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Menace de déclin dramatique de la natalité mondiale — une chute inédite de la population depuis la Grande Peste

Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : michel/Adobe Stock

Un « déclin dramatique ». C’est avec ces mots que la revue scientifique The Lancet décrit la chute prévisible, et inédite, de la population mondiale, annoncée aux termes d’une étude réalisée par l’Institute of Health Metrics de l’université de Washington. Pour l’IHME, c’est plié : d’ici à 2050, les trois quarts des pays du monde n’auront pas un taux de fécondité suffisant pour assurer le remplacement de leurs propres générations. Et cinquante ans plus tard, en 2100, il en ira de même pour 97 % des pays, tandis que le taux de fécondité global passera de 2,23 enfants par femme en 2021 à 1,8 en 2050 et à 1,6 en 2100, selon les projections réalisées selon des méthodes innovantes. Ne dites plus : « nation » !

Il faut 2,1 enfants par femme en âge de procréer pour assurer le simple renouvellement des générations dans les pays développés (et davantage dans les pays pauvres). Avec un taux de 1,6, le monde perdra un quart de sa population dans la génération suivante.

La chute de population s’accompagnera d’un vieillissement inédit

L’effondrement des naissances aura ainsi pour conséquence l’augmentation moins rapide qu’estimé jusqu’ici de la population mondiale, qui dépasse actuellement de peu les 8 milliards. Le pic de population est prévu pour 2080 environ, à 10,5 milliards, avec un rétrécissement dès avant la fin du siècle. Les prévisions de l’IHME ne dépassent pas l’an 2100. Mais il faut bien imaginer que la chute pourra s’accélérer alors que les générations plus anciennes disparaîtront parmi les populations les plus vieillies.

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La Vigne de Rachel dans la région de Québec

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik

Un parcours de la Vigne de Rachel aura lieu dans la région de Québec du 3 au 5 mai 2024. Ce parcours de guérison est destiné aux femmes qui ont avorté et à tous ceux qui ont été impliqués dans l’avortement, ainsi qu’aux femmes qui ont eu une fausse couche ainsi que leur conjoint.

Pour en savoir plus et pour vous inscrire, contactez Lise Dufour au 418 456 0743, ou en lui écrivant au [email protected].

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Nahanni Fontaine et les pro-vie à l’ONU


Josie Luetke de la Coalition nationale pour la vie (à gauche) et Nahanni Fontaine, député du NPD du Manitoba (à droite).

Par Josie Luetke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Nahanni Fontaine/Facebook

Le 11 mars, premier jour de la 68e session de la Commission de la condition de la femme (CCF) des Nations Unies, j’ai eu l’occasion de m’entretenir en tête-à-tête avec la députée néo-démocrate manitobaine Nahanni Fontaine. Elle est ministre de la Famille, ministre responsable de l’Accessibilité et ministre responsable de l’Égalité des sexes pour la province.

Quelques jours auparavant, le 7 mars, elle avait, pour la sixième fois, présenté un projet de loi sur les zones bulle au Manitoba, qui interdirait toute expression pro-vie à proximité immédiate des établissements pratiquant l’avortement.

Vous pouvez lire notre discussion sur cette loi dans la partie 1.

La courte vidéo capturant juste une partie de notre rencontre est devenue virale, accumulant près de 800 000 lectures et 52 000 « j’aime » sur Instagram.

Dans sa légende, Mme Fontaine se lamente : « Je n’aurais jamais pensé qu’un jour, un manifestant anti-choix m’aborderait au sujet de ma législation sur la zone tampon pour l’avortement à la Commission de la condition de la femme des Nations Unies — un organisme qui se consacre aux droits des femmes, des filles et des personnes de sexe différent, y compris à la justice reproductive — mais nous y sommes ».

Eh bien, elle a fini par entendre non pas un seul « anti-choix » à la CCF, mais trois d’entre nous de la Coalition nationale pour la vie.

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Un avocat qui a vécu dans un poumon d’acier à partir de l’âge de six ans à cause de la polio meurt à 78 ans : « Dieu m’a appris à croire »


Paul Alexander.

Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Paul Alexander, surnommé « l’homme au poumon d’acier », est décédé à l’âge de 78 ans, peu de temps après avoir contracté le Covid-19.

Paul Alexander vivait avec la machine connue sous le nom de « poumon d’acier » depuis 1952, année où il a contracté la polio à l’âge de six ans. En quelques jours, la maladie l’a laissé paralysé à partir du cou et incapable de respirer de façon autonome. Le poumon d’acier est un cylindre métallique horizontal qui stimule la respiration des patients incapables d’utiliser leurs muscles respiratoires.

Lorsqu’il s’est réveillé pour la première fois à l’hôpital, incapable de bouger ou de parler en raison d’une trachéotomie, le jeune garçon était probablement terrifié. Il est resté à l’hôpital pendant 18 mois.

« J’étais un enfant comme les autres », explique-t-il dans une vidéo de Gizmodo. « J’ai commencé à me sentir un peu malade. Quand maman a vu mon visage, elle a compris. Elle m’a immédiatement mis au lit. Au cours des cinq jours suivants, j’ai tout perdu : je ne pouvais plus bouger, je ne pouvais plus marcher. Enfin, le dernier jour, je ne pouvais plus respirer. Mon diaphragme avait disparu, il était détruit. Les muscles de mon corps n’existaient plus, ils étaient détruits. J’ai donc dû rester dans un poumon d’acier jusqu’à la fin de mes jours ».

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Près de 30 % des femmes de la génération Z s’identifieraient désormais comme LGBT, selon un sondage Gallup

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (modifiée) : Freepik

18 mars 2024 (LifeSiteNews) — Plus tôt cette semaine, j’ai noté dans un essai qu’avec la montée en flèche des taux de jeunes s’identifiant comme LGBT et une tendance correspondante à la baisse de ceux qui s’identifient comme chrétiens, nous sommes témoins d’une migration d’une source de pouvoir culturel à une autre. Les sondages réalisés ces deux dernières années ont montré que jusqu’à un quart de la génération Z — ceux qui sont nés entre 1996 et 2010 — s’identifie à un groupe LGBT, dont le nombre ne cesse de croître.

Un récent sondage Gallup montre que cette tendance s’accélère rapidement. En 2016, lorsque mon premier livre The Culture War a été publié, moins de 3 % des personnes s’identifiaient comme faisant partie du spectre LGBT. L’année dernière, ce chiffre a atteint le chiffre stupéfiant de 7,6 %. L’enquête Gallup, menée auprès de 12 000 personnes âgées de 18 ans et plus, a également révélé que la majorité de la croissance provient des jeunes femmes, qui sont deux fois plus susceptibles que les hommes de s’identifier comme LGBT.

Selon Jeffrey Jones, rédacteur en chef chez Gallup, « près de 30 % des femmes de la génération Z s’identifient comme LGBTQ+, la plupart comme bisexuelles. C’est là qu’une grande partie de la croissance semble se produire. Il est important de savoir à quel point la communauté LGBTQ est bisexuelle, et c’est certainement quelque chose que nous constatons chez les jeunes générations. » Dans l’ensemble, 8,5 % des femmes et 4,7 % des hommes s’identifient maintenant comme LGBT, ce qui représente également une forte augmentation.

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Un chercheur pro-vie critique une nouvelle étude sur la mortalité des adolescentes enceintes

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixel Shot/Adobe Stock

8 février 2024 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude canadienne qui montre que la grossesse chez les adolescentes serait liée à des taux plus élevés de décès prématurés ne devrait pas être utilisée pour justifier l’avortement, a déclaré un universitaire pro-vie.

La nouvelle étude de JAMA Network Open aurait trouvé que « le risque de décès prématuré était 1,5 fois plus élevé chez les adolescentes ayant vécu une grossesse et plus de deux fois plus élevé chez celles ayant vécu plusieurs grossesses pendant leur adolescence », selon l’analyse du professeur Michael New. « Elle aurait également découvert que le risque de décès prématuré était plus élevé chez les adolescentes canadiennes plus jeunes qui sont devenues enceintes. »

« Fait intéressant, l’étude aurait prétendument trouvé que les adolescentes canadiennes enceintes qui ont avorté avaient un taux de mortalité plus faible que les adolescentes canadiennes enceintes qui ont mené une grossesse à terme », a écrit New pour National Review.

New, chercheur à l’Institut Charlotte Lozier et professeur à l’Université catholique d’Amérique, a déclaré que ces résultats ne devraient pas être utilisés pour affirmer que l’avortement est bénéfique.

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Le premier ministre homosexuel irlandais Leo Varadkar annonce sa démission


Leo Varadkar.

Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie

20 mars 2024, Dublin (LifeSiteNews) — Le premier ministre irlandais ouvertement homosexuel, Leo Varadkar, a annoncé aujourd’hui sa démission de son poste de chef du Fine Gael.

Les médias irlandais en prédisaient l’annonce tôt mercredi matin. Lors d’une conférence de presse non planifiée, à midi, Varadkar a fait connaître qu’il démissionnait immédiatement de son poste de chef du parti Fine Gael. Sa démission de Taoiseach (premier ministre) prendra effet en avril, après Pâques, lorsque les membres du parti éliront un nouveau chef.

Varadkar, ouvertement homosexuel, a déclaré que ses raisons « sont personnelles et politiques, mais principalement politiques ». Il a minimisé les « spéculations » sur les autres causes de l’annonce, ajoutant que « les politiciens sont des êtres humains. Nous avons nos limites. Nous donnons tout jusqu’à ce que nous ne puissions plus le faire, puis nous devons passer à autre chose. »

L’annonce intervient moins de deux semaines après que les électeurs irlandais aient rejeté massivement l’amendement à la constitution de la nation, proposé par le gouvernement, qui aurait ôté le mariage et la maternité de la définition de la famille.

Le 8 mars, les électeurs ont rejeté par 67,7 % le référendum sur la famille qui proposait d’élargir la définition d’une famille pour y inclure les relations extraconjugales « durables » et par 73,9 % le référendum sur les soins, qui proposait de réécrire une partie de la Constitution de la nation en langage neutre en matière de genre.

Cela a été perçu comme un coup dur et inattendu pour le gouvernement, et on a ensuite demandé au gouvernement de « cesser de jouer à des jeux idéologiques ». Le sénateur indépendant Rónán Mullen a reproché au gouvernement d’avoir « détourné l’appareil et les ressources de l’État pour faire avancer son propre programme idéologique ».

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Trudeau refuse de soutenir la vérification de l’âge sur les sites pornographiques malgré un soutien multipartisan

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pvproductions/Freepik

18 mars 2024 (LifeSiteNews) — En 2015, Justin Trudeau a été interrogé sur l’augmentation de la violence sexuelle contre les femmes. « Je ne sais pas exactement où pointer le doigt », a répondu Trudeau. « Je pense qu’il y a probablement un grand nombre de facteurs qui se conjuguent pour façonner les comportements sociétaux, qu’il s’agisse de certains types de musique — il y a beaucoup de misogynie dans certains types de musique. Il y a des problèmes autour de la pornographie, de sa prévalence et de son accessibilité — c’est une chose que je suis en train de comprendre en tant que père d’enfants qui approchent de l’adolescence ».

J’ai été surpris à l’époque — entendre un Trudeau s’inquiéter d’un quelconque aspect de la révolution sexuelle était, pour le moins, inattendu. Aujourd’hui, cependant, il semble s’être rétracté par rapport à ses préoccupations antérieures concernant l’impact de la pornographie. Le mois dernier, il a attaqué le chef de file des conservateurs, Pierre Poilievre, pour avoir approuvé une forme de vérification de l’âge sur les sites pornographiques afin de protéger les mineurs de ce type de contenu. L’âge moyen de la première exposition à la pornographie au Canada est de 12 ans ; le matériel que les enfants découvrent est en grande majorité constitué de brutalité sexuelle à l’encontre de femmes et de jeunes filles.

Lors de l’annonce d’un projet de logement au Cap-Breton, M. Trudeau a insisté sur le fait que la protection des enfants contre la pornographie était en fait une mauvaise chose. « Pierre propose que les adultes soient obligés de donner leur identité et leurs informations personnelles à des sites web douteux ou de créer une carte d’identité numérique pour que les adultes puissent naviguer sur l’internet comme ils le souhaitent », a déclaré M. Trudeau. « C’est une chose à laquelle nous nous opposons ». Pour mémoire, M. Poilievre et les conservateurs ne sont pas favorables à l’idée d’exiger des utilisateurs qu’ils vérifient leur âge au moyen d’une carte d’identité numérique. M. Trudeau a poursuivi en affirmant que le soutien de M. Poilievre à la vérification de l’âge était hypocrite, car il s’oppose au projet de loi libéral désastreux sur les « préjudices en ligne », que même l’auteure féministe Margaret Atwood a condamné en le qualifiant d’« orwellien ».

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Au Canada, un nouveau projet de loi promet d’étouffer la liberté d’expression en prétendant punir des crimes non encore commis

Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : motortion/Adobe Stock

Parmi les pays occidentaux, le Canada fonctionne un peu comme une boule de cristal. Ecoutez ce qu’il dit, voyez ce qu’il fait et vous aurez une petite idée de ce qui risque de vous arriver prochainement… La loi présentée le 24 février dernier est à analyser gravement. Elle consiste à mettre en œuvre un puissant régime de censure, indépendant du Parlement, qui signifierait la fin de la liberté d’expression au Canada. Si elle passe, Justin Trudeau aura réussi à faire advenir un nouveau type d’Etat totalitaire woke.

Alors bien sûr, elle affiche la visée de protéger les enfants contre les abus en ligne, à stopper la propagation du terrorisme extrême et du génocide, mais, dans les faits (serait-ce même sa seule intention ?), elle qualifie de « crime » une opinion contradictoire et introduit de nouvelles dispositions qui révolutionnent le droit. Et puis quand on lit par ailleurs que Trudeau vient de rejeter la possibilité de vérifier l’âge pour les sites pornographiques, l’argumentaire de la protection de l’enfance fait doucement rigoler – il y a bien autre chose.

« Créer un espace en ligne plus sûr et plus inclusif » — et parfaitement totalitaire

A la base, le projet de loi C-63 a donc été présenté comme un moyen de promouvoir la sécurité en ligne des personnes au Canada et d’y réduire les contenus préjudiciables, en imposant notamment certaines obligations aux plates-formes de médias sociaux. Comme le faisait remarquer le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), c’est bien beau de vouloir supprimer la vengeance pornographique, le partage non consensuel d’images intimes, les contenus qui intimident les enfants ou qui les victimisent sexuellement : mais il y a déjà des lois pour ça.

Pourquoi cette duplication inutile du Code criminel ? Il faut chercher plus loin, dans cet article 13, dont une proposition antérieure avait déjà soulevé des problèmes constitutionnels, et ses fameux discours dits de haine :

« Quiconque commet une infraction à la présente loi ou à toute autre loi fédérale, si la commission de l’infraction est motivée par la haine fondée sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, un handicap mental ou physique, un handicap sexuel, l’orientation sexuelle, l’identité ou l’expression de genre est coupable d’un acte criminel et passible de l’emprisonnement à perpétuité. »

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Une journaliste de Radio-Canada défend son reportage sur les « cliniques du genre » pour enfants « en transition »


Pasquale Turbide à l'émission Tout le monde en parle.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tout le monde en parle/Radio-Canada

18 mars 2024 (LifeSiteNews) — Une journaliste de Radio-Canada défend son rapport d’enquête qui a révélé qu’une clinique du « genre » au Québec avait prescrit en moins de dix minutes des hormones potentiellement stérilisantes à une actrice se faisant passer pour une jeune adolescente.

Dans une entrevue accordée le 3 mars à l’émission Tout le monde en parle, Pasquale Turbide, journaliste à Radio-Canada, a révélé que les préoccupations des parents étaient à l’origine de son reportage d’investigation sur la « transition » de genre des enfants, et qu’elle restait fidèle à son travail malgré les réactions négatives.

« C’étaient vraiment des parents qui nous ont écrit. C’était l’été dernier, je me souviens, il commençait à y avoir un petit peu de controverse autour des prénoms, des pronoms, de la question des toilettes mixtes ».

« Mais les lettres qu’on recevait ce n’était pas du tout de ça dont ça parlait. Ça parlait des transitions médicales », explique-t-elle.

Selon Mme Turbide, les parents qui ont contacté Radio-Canada ont révélé que leurs enfants, qui « tout d’un coup » voulaient « être transgenres », se voyaient proposer des « bloqueurs de puberté » stérilisants au nom de soins.

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