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Un homme qui se dit «femme» entre dans les toilettes des femmes et agresse une fillette de 10 ans

Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alexas_Fotos/Pixabay

15 février 2019 (LifeSiteNews) — Des décennies après que le féminisme ait balayé l’Occident, les droits des transgenres ont officiellement remplacé les droits des femmes, car l’idéologie émergente de la fluidité des sexes annihile toute conception formelle de ce qu’est une « femme » en partant.

Les femmes et les filles qui ne se sentent pas en sécurité lorsque des hommes biologiques* pénètrent dans des espaces autrefois réservés aux femmes se font essentiellement dire qu’elles sont transphobes et qu’elles devraient se taire. L’Université de West England a même lancé récemment une campagne par le biais d’affiches invitant les étudiants à ne pas se préoccuper de ceux qui auraient l’air d’être dans les mauvaises toilettes. Lorsque la journaliste Josephine Bartosch a fait remarquer que « l’UWE en en train de dire que les sentiments et les craintes des femmes comptent moins que ceux qui s’identifient comme transgenres », elle a rapidement été condamnée par le chef de la société LGBT.

Les militants LGBT insistent sans cesse sur le fait qu’il n’y a pas d’inconvénient à éliminer les espaces réservés aux femmes ou à les limiter aux femmes biologiques*. Quiconque prétend qu’il pourrait y avoir un danger à permettre à quelqu’un d’entrer dans un espace privé en fonction de la façon dont il décide de s’identifier se fait dire qu’il est motivé par la haine envers les personnes transgenres plutôt que par le souci des femmes vulnérables. Tout malaise exprimé par les femmes elles-mêmes est condamné comme de l’intolérance. Et ce système est imperméable aux questions : Il n’est pas seulement transphobe de demander si certains espaces devraient être limités aux femmes biologiques* pour des raisons de sécurité, il est également transphobe de poser des questions complémentaires à ce sujet. La communauté transgenre, apparemment, est un groupe uniformément parfait, tout à fait sans péché et dépourvu de membres infâmes, quels qu’ils soient. Je suppose que si l’on est capable de croire qu’une femme a un organe sexuel masculin, l’on peut croire n’importe quoi.

Malheureusement, mais comme on pouvait s’y attendre, ce n’est pas le cas. Au Royaume-Uni, le Courier a récemment rapporté qu’un jeune homme violent, pour lequel les médias ont docilement utilisé le pronom « elle » tout au long de leur reportage, a reçu une tape sur le poignet ayant agressé sexuellement une fillette de dix ans dans les toilettes des femmes d’un supermarché à Morrisons en Kirkcaldy. L’individu de 18 ans, qui porte actuellement le nom de « Katie Dolatowski », a attrapé la petite fille par le devant, l’a poussée dans une cabine de toilettes et lui a ordonné d’ôter son pantalon, ajoutant qu’un homme devant la salle de bains tuerait sa mère. La fille a paniqué et a commencé à frapper Dolatowski, le frappant [...] au ventre et au visage. Elle s’est ensuite précipitée vers son père et ses frères et sœurs, qui l’attendaient juste à l’extérieur de la salle de bains, présumée sûre pour les femmes.

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La fillette de dix ans n’a pas cessé de souffrir de vifs ressouvenirs depuis l’incident traumatique, ce qui la rend compréhensivement hystérique. Sa mère, enragée, a noté que l’agression était « quelque chose qui restera avec elle pour le reste de sa vie ».

Il rôdait dans les toilettes. Il s’y est rendu spécifiquement pour attaquer un enfant. Nous avons eu tellement de chance qu’il ne se soit rien produit de pire. C’est seulement sa réaction qui a arrêté ça. Ça aurait pu être une enfant de cinq ans qui n’aurait pas été capable de se défendre.

Ce n’était pas non plus le premier délit de Dolatowski. En février dernier, il a filmé une fillette de 12 ans sur la toilette dans un autre supermarché de Dunfermline en plaçant son téléphone portable dans le lieu. Malgré cela, Dolatowski a été qualifié de « risque modéré » pour la communauté et a reçu l’ordre de rester à l’écart des enfants mais fut libéré de l’Institution pour jeunes délinquants de Polmont. Le tribunal a eu pitié de Dolatowski après avoir appris qu’il était dans le système de protection sociale depuis son enfance et qu’il avait des problèmes de santé mentale. Les parents de la petite fille qui a été agressée sexuellement par Dolatowski sont furieux à juste titre, sa mère soulignant que ce « elle » était manifestement un « il ».

Il y a bien d’autres exemples de ce type. En fait, beaucoup de gens ont déjà prétendu être transgenres pour avoir accès aux toilettes des femmes à des fins de voyeurisme — et parfois de comportement pire. Ces exemples sont généralement complètement ignorés, et même les mentionner peut vous faire passer pour un fanatique. Les directives des enseignants aux États-Unis ont explicitement déclaré que les lycéennes qui se plaignent de la présence d’hommes biologiques* dans leurs douches et leurs vestiaires ou qui dorment avec elles lors de sorties éducatives devraient être rééduquées pour les soulager de leur « transphobie intériorisée », et ce sont en fait une adolescente et ses amies qui poursuivent leur école secondaire pour ses politiques qui autorisent les hommes biologiques* dans leurs vestiaires. Malheureusement pour elles, notre société a laissé derrière son admiration pour les jeunes filles qui prennent des initiatives et se défendent elles-mêmes. Ce n’est plus à ton tour, ma fille !

Maintenant, ferme-la, transphobe.


*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». ― A. H.



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