La Floride enlève des avantages fiscaux à Disney
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Jrobertiko/Wikimedia Commons
C’est la guerre entre les républicains de Floride et Walt Disney. La pomme de la discorde : le soutien apporté à la culture gay par la société de divertissement pour enfants et jeunes.
Walt Disney devra dire adieu à son statut si particulier de Floride. Cela a été décidé par le gouvernement de Floride après l’opposition du géant à la loi interdisant l’enseignement du genre dans les écoles primaires.
La zizanie naît de la loi voulue par les républicains qui interdit la discussion en classe sur les questions liées à « l’identité de genre » dans les écoles primaires de l’État et que les progressistes ont surnommée « Don’t say gay » (Ne dit pas gay).
Sous la pression des associations LGBTQ et des démocrates, Disney a officiellement contesté la loi ces dernières semaines et promis de se battre pour l’abroger, expliquant que l’objectif du géant est de la faire « supprimer ».
En réponse, le gouverneur de Floride DeSantis a lancé une contre-attaque. Les législateurs de Floride ont voté pour priver Walt Disney de son statut spécial d’autonomie gouvernementale au milieu d’une confrontation politique entre l’entreprise et le gouverneur. Le statut conférait à Disney le pouvoir de prélever des impôts, construire des routes et contrôler les services publics sur le terrain inhérent à son parc à thème.
Connu sous le nom de Reedy Creek Improvement District, ce statut spécial est né à la suite d’un accord de 1967 entre l’État et la Walt Disney Company. Il permettait à l’entreprise de fonctionner comme une véritable administration municipale, avec son propre conseil de surveillance : cela signifie que le géant aurait même pu construire son propre aéroport ou une centrale nucléaire s’il le voulait.
Lire la suiteLa Pologne et la Hongrie sanctionnées pour leurs politiques pro-vie — même si elles accueillent des Ukrainiens…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sara Kurfess/Usnplash
L’Union européenne ne semble pas faire de ses priorités l’aide aux Ukrainiens réfugiés de la guerre qui se déroule dans leur pays. En effets, la Pologne et la Hongrie, qui accueillent à elles seules deux millions et cinq cents milles réfugiés, continuent à faire l’objet de sanctions de l’UE qui retient la coquette somme de 45 milliards d’euros du fonds de relance économique. Quel est donc le crime effroyable qui devrait ainsi faire passer en seconde place le secours des Ukrainiens ? Rien moins que le « rejet des valeurs fondamentales de l’Union européenne » ; plus précisément, la Pologne a interdit l’avortement eugénique, une centaine de municipalités polonaises ont voté une résolution définissant le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme, la Hongrie a interdit la propagande LGBT à l’école, et autres questions moins importantes qui ne relèvent du reste pas de la compétence de l’UE.
FSSPX.News dresse un bref portrait de la mesquinerie européenne :
La Commission européenne a décidé de retenir les fonds d’aide alloués à la Pologne et à la Hongrie l’année dernière : une enveloppe de 2000 milliards — sous forme de dette commune — avait été votée pour relancer les économies.
La raison invoquée pour justifier cette retenue est que la Pologne et la Hongrie ont rejeté les « valeurs fondamentales de l’Union européenne » en matière d’Etat de droit et de non-discrimination. Concrètement, c’est une sanction de leur gestion de l’avortement, des questions LGBT et de certaines réformes juridiques.
L’année dernière, la Hongrie a adopté une loi interdisant la diffusion de la propagande transgenre et homosexuelle aux enfants. Ces dernières années, près de 100 municipalités en Pologne ont adopté des résolutions définissant le mariage comme l’union d’un homme et d’une femme. En outre, la Cour suprême polonaise a interdit l’avortement pour des raisons eugéniques.
Il faut rappeler que la somme dont il s’agit n’est pas une bagatelle : le total se monte à 45 milliards d’euros.
La culture de mort n’admet aucune exception, aucun compromis, aucun « recul » et révèle par l’attitude intransigeante des gouvernements européens, le peu de cas que l’Union fait de l’Ukraine.
DeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
Lire la suiteLe nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
Lire la suiteUne mère donne un puissant témoignage expliquant comment l’idéologie LGBT a conduit sa fille au suicide
Abigail Martinez.
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
17 mars 2022 (LifeSiteNews) — Une mère a pris la parole lors d’une conférence organisée par Heritage Foundation pour raconter comment le programme LGBT du système scolaire et du gouvernement a conduit sa fille adolescente au suicide.
Dans une présentation sincère le 7 mars, Abigail Martinez, une mère américaine, a décrit comment le gouvernement et le système scolaire public ont endoctriné sa fille en lui faisant croire qu’elle était un garçon « transgenre ». Mme Martinez a expliqué que la pression exercée sur sa fille pour qu’elle adopte le mode de vie LGBT a conduit le Department of Children and Family Services (DCFS) à la retirer du foyer des Martinez et a abouti au suicide de l’adolescente.
Au début de son discours, Mme Martinez a expliqué que sa fille avait été, en grandissant une petite fille très féminine, presque stéréotypée, qui aimait se déguiser et pratiquer d’autres activités traditionnellement féminines.
Après avoir subi une période d’intimidation, la fille de Mme Martinez a commencé à montrer des « signes de dépression » au collège. Lors du passage de son enfant au lycée, son humeur dépressive n’a fait qu’empirer, ce qui a amené Mme Martinez à demander à l’école de « garder un œil » sur son enfant.
Mme Martinez raconte qu’à son insu, sa fille a fini par fréquenter le groupe « LGBT » de l’école et est rentrée à la maison en expliquant qu’elle était désormais un « garçon ». Mme Martinez a déclaré qu’elle savait qu’une soi-disant transition ne réglerait pas le problème et que sa fille avait un problème de « santé mentale » et non d’identité sexuelle.
Lire la suiteDeSantis reproche à Disney de s’opposer au projet de loi interdisant l’« éducation sexuelle » radicale des jeunes enfants
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
11 mars 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a riposté jeudi au PDG de Disney, Bob Chapek, lui reprochant d’avoir critiqué publiquement un projet de loi de Floride qui vise à protéger les jeunes enfants de l’idéologie sexuelle radicale dans les écoles.
Lors d’un événement organisé le 10 mars à Orlando, en Floride, où se trouve l’immense complexe Disney World de 27 000 acres, le gouverneur républicain a déclaré que l’« État ensoleillé » ne fonderait pas sa politique sur « les rêveries des grandes sociétés » et a critiqué la méga-corporation pour ses relations avec le régime brutal du Parti communiste chinois (PCC).
« Voici donc ce que je peux vous dire : dans l’État de Floride, nous n’allons pas permettre que l’on injecte du transgenrisme en maternelle », a déclaré DeSantis dans une vidéo obtenue par Fox News Digital.
« Les enfants de première année ne devraient pas se voir imposer l’idéologie du genre “woke” dans leurs programmes, et c’est ce que nous défendons, parce que nous défendons les enfants et les parents », a déclaré DeSantis, qui a suscité un large soutien parmi les conservateurs pour avoir combattu les mesures COVID-19 liberticides, soutenu l’application de la loi, favorisé les mesures limitant l’avortement et travaillé à déraciner les idéologies radicales de la salle de classe.
« Je peux vous dire ceci : la probabilité que je renonce à mon engagement envers les étudiants et à mon engagement envers les droits des parents simplement à cause de récits médiatiques frauduleux ou de pressions exercées par des sociétés malveillantes est nulle », a déclaré M. DeSantis.
Lire la suiteLe Guatemala renforce sa loi sur l’avortement
Chambre du Parlement du Guatemala.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gobierno de Guatemala/Wikimedia Commons
Le parlement unicaméral du Guatemala a adopté un projet loi alourdissant les peines encourues pour le crime d’avortement, il n’y manque plus que la signature du président Alejandro Gianmattei, pro-vie déclaré.
Ce petit État d’Amérique centrale, peuplé de 16 millions d’habitants, punissait déjà l’avortement de trois ans de prison — maintenant ce sera de dix. Selon FSSPX.News :
En ce mardi 8 mars 2022 que le Congrès du Guatemala — qui n’est constitué que d’une seule chambre — a voté l’approbation de la « Loi pour la protection de la vie et de la famille ». Ce texte renforce la défense de la vie de l’enfant à naître en augmentant les peines liées à l’avortement.
Cette loi, qui doit encore être signée par le président Alejandro Giammattei, punit désormais jusqu’à dix ans de prison, contre trois actuellement, toute femme qui « a réalisé son propre avortement ou consenti à ce qu’une autre personne l’effectue ».
Le texte punit également quiconque effectue « un avortement ou des manœuvres abortives sans le consentement de la femme » et qui provoque son décès, d’une peine pouvant aller jusqu’à 50 ans de prison.
En plus de renforcer la lutte contre l’avortement, cette nouvelle loi interdit également le « mariage » entre personnes de même sexe, ainsi que l’idéologie transgenre à l’école, selon Gènéthique :
La « loi pour la protection de la vie et de la famille » introduit également une réforme du Code civil. Il y est désormais stipulé que « le mariage entre personnes du même sexe est expressément prohibé ». Par ailleurs, le texte interdit « aux entités éducatives publiques et privées de promouvoir auprès des enfants et adolescents des politiques ou des programmes qui tendent à dévier de leur identité sexuelle de naissance ».
Pologne : une nouvelle loi contre la propagande LGBT dans les écoles
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : rimmdream/Adobe Stock
Un projet de loi dirigé contre la propagande LGBT dans les écoles en Pologne a été approuvé par le Parlement polonais, et nécessite pour entrer en vigueur la signature du président Andrzej Duda — qui a jusqu’au 3 mars pour parapher au bas du texte… ou s’en abstenir. La Lex Czernek, du nom de son auteur le ministre de l’Éducation Przemysław Czarnek, réforme également la structure du système de nomination des directeurs d’école publique, selon The European Conservative :
La « Lex Czarnek » prend la forme d’un amendement à la Loi sur l’éducation générale. Elle ne traite pas seulement de la question de la propagande LGBT, mais modifie les relations d’autorité au sein du système éducatif polonais. C’est ce point qui a soulevé plus d’opposition que le dilemme idéologique. En effet, le projet de loi renforce l’autorité des recteurs d’école par rapport à la juridiction des maires, qui avaient jusqu’à présent le pouvoir de contrôler les directeurs d’école.
Si la loi est approuvée, les recteurs détermineront la nomination des directeurs d’école et exerceront davantage de poids dans l’inspection et la supervision des événements et des cours supplémentaires organisés par les écoles — et, en particulier, des interventions d’associations externes, qui sont généralement le lieu de l’activisme LGBT. En pratique, cela permettra au ministère de l’Éducation de s’opposer à la politique de certaines villes à tendance libérale, comme Varsovie et Gdańsk, qui consiste à faire entrer des militants LGBT dans les écoles. Souvent cachés sous le couvert de la lutte contre la discrimination, ces groupes gauchistes diffusent un programme pro-LGBT et mettent en œuvre une éducation sexuelle conforme aux normes recommandées par l’OMS, qui ont fait l’objet de nombreuses contestations en Pologne. La menace du projet de loi pour les libéraux est évidente : s’il est adopté, de nombreuses associations de gauche n’auront plus le champ libre pour intervenir dans les écoles.
Une commission scolaire « catholique » au Canada lance un sondage « LGBT »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik
Une commission scolaire catholique en Ontario a émis un sondage pour tous ses élèves de la 4e année jusqu’à la 12e année. Sous la bannière de l’inclusivité, le sondage optionnel revêt ouvertement les folies de la théorie du genre.
Une des questions posées aux élèves porte sur les « adultes avec lesquels ils vivent », à laquelle ils peuvent répondre « deux mères » ou « deux pères ».
Selon LifeSiteNews, « Les enfants sont également invités à répondre à “comment décrivez-vous votre sexe ?” » Les choix de réponses indiquent « garçon », « fille », ou l’option de s’identifier d’« une autre manière ».
« De plus, les élèves sont informés qu’ils peuvent sélectionner “plus d’une case”, ce qui leur permet d’indiquer plusieurs combinaisons de genres, y compris garçon et fille simultanément. » « L’enquête fournit un champ dans lequel les étudiants peuvent élaborer une description personnalisée de leur identité de genre. »
Les écoles, et surtout les écoles catholiques, ne doivent-elles pas garantir une éducation saine et véritable pour les enfants qui les fréquentent ?
Si les personnes responsables de leur apprentissage de la réalité présentent aux étudiants le « choix » de nier cette réalité, et d’inventer leur propre sexe, comment peuvent-ils alors prétendre transmettre la vérité ?
L’erreur est ouvertement enseignée, et la vérité volontairement cachée.
LifeSiteNews rapporte aussi que, « Le conseil scolaire a déclaré que seul le personnel du département des services de recherche et de données du district “aura accès aux réponses anonymes de votre enfant à l’enquête”, qui autrement seront cachées aux parents, aux enseignants et aux directeurs. »
Le droit des parents est atténué pour laisser place à l’emprise d’un système de mensonges.
La Californie supprime du programme scolaire les chants en l’honneur d’un dieu aztèque (auquel autrefois on offrait des sacrifices humains)
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Naradoa/Adobe Stock
18 janvier 2022 (LifeSiteNews) — À la suite d’un procès intenté par des parents inquiets, l’État de Californie a accepté de retirer un chant à un dieu aztèque [auquel on offrait autrefois des] sacrifices humain de son programme scolaire modèle d’études ethniques (ESMC).
« Les prières aztèques en question — qui demandent des bénédictions et l’intercession de ces forces démoniaques — n’étaient pas enseignées comme de la poésie ou de l’histoire », a fait remarquer l’avocat Paul M. Jonna, associé du cabinet LiMandri & Jonna LLP et conseiller spécial de la Société Thomas More, qui représentait les parents.
« L’ESMC a plutôt demandé aux élèves de chanter les prières pour se nourrir émotionnellement après une “leçon qui peut être émotionnellement éprouvante ou même lorsque l’engagement des élèves peut sembler faible”. L’idée était de les utiliser comme prière », a expliqué Jonna dans un fil Twitter.
« Les Aztèques accomplissaient régulièrement des actes macabres et horribles dans le seul but de pacifier et d’apaiser les êtres mêmes que les prières du programme invoquent », a déclaré Jonna lorsqu’il a déposé sa plainte en septembre. Il poursuit :
Les sacrifices d’êtres humains, l’extraction de cœurs [encore palpitants], l’écorchement des victimes et le port de leur peau font partie des archives historiques, tout comme les sacrifices de prisonniers de guerre et les autres actes et cérémonies répugnants que les Aztèques pratiquaient pour honorer leurs divinités. Toute forme de prière et de glorification de ces êtres sanguinaires au nom desquels d’horribles atrocités ont été commises est répugnante pour tout observateur raisonnablement informé.
Selon un communiqué de presse de la Thomas More Society, ce programme controversé, profondément ancré dans la théorie de la race critique et la pédagogie critique, s’appuie sur une vision de la culture basée sur la race et sur une dichotomie oppresseur-victime.
Lire la suite