Enceinte d’un viol à 12 ans, elle a choisi la vie : « L’avortement n’est pas une solution », c’est un « double viol »
Lianna Rebolledo.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lianna Rebolledo, fondatrice de Loving Life, s’est récemment entretenue avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action, pour discuter de son expérience de choix de vie pour son bébé après avoir été violée.
À l’âge de 12 ans, Lianna Rebolledo se trouvait dans un petit centre commercial de Los Angeles lorsque deux hommes l’ont enlevée, violée à plusieurs reprises et laissée pour morte. À son retour de l’hôpital, elle a lutté contre la dépression et a tenté de se suicider en prenant tous ses médicaments d’un coup. Elle a été emmenée à l’hôpital où elle a appris qu’elle était enceinte.
« Le médecin m’a dit de ne pas m’inquiéter », a déclaré Mme Rebolledo à Rose, « parce que c’était légal — l’avortement était légal. Mais dans ces moments-là, on ne veut entendre que de la gentillesse, on a besoin de sympathie, on a besoin d’amour, on a besoin de soins. Je me suis donc demandé pourquoi il me disait : “Tu peux toujours te faire avorter. Tu n’as même pas besoin de payer pour cela” ».
Mme Rebolledo a déclaré qu’elle savait qu’elle avait un bébé en elle et elle a refusé de se faire avorter. Selon elle, les jeunes filles victimes d’agressions sexuelles qui deviennent enceintes n’ont pas besoin d’avortement, mais les avorteurs cherchent à tirer profit de leur traumatisme.
Lire la suiteLe gouverneur de Virginie gracie le père qui s’est fâché au conseil scolaire de l’école dans laquelle sa fille avait été violée par un « transgenre »
Glenn Yougkin, gouverneur de Virginie.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Le gouverneur Glenn Youngkin a gracié Scott Smith, un père condamné pour son agressivité lorsqu’il a appris le viol de sa fille par un élève transgenre dans les toilettes scolaires.
La colère bien naturelle de Scott Smith lors d’une réunion du conseil scolaire en 2021 avait servi de prétexte à la note du procureur général Merrick Garland qui ordonnait aux forces de l’ordre fédérales de surveiller de près les citoyens qui s’exprimaient contre les politiques LGBT et COVID.
Les faits
Tout commence lorsque le conseil scolaire du comté de Loudoun a mis en œuvre une nouvelle politique autorisant les élèves de sexe masculin à accéder aux toilettes réservées aux femmes. En 2021, la fille de Scott Smith a été violée dans ces toilettes scolaires par un élève transgenre.
Scott Smith a été arrêté au cours d’une réunion du Conseil scolaire parce qu’il s’énervait en réclamant des comptes à la direction scolaire qui avait autorisé l’accès des toilettes pour femmes à des élèves transgenres. La direction scolaire avait appelé le shérif du comté. Le père de famille a résisté à la tentative d’arrestation. Cela lui a valu une condamnation pour deux chefs d’accusation.
Lire la suitePérou : une grossesse adolescente instrumentalisée pour promouvoir l’avortement
Par Jeanne Smith (reinformation.tv)
Le scénario a un goût de déjà-vu : au Pérou, une petite jeune fille, « Mila » (le prénom a été modifié), 11 ans, est tombée enceinte des œuvres de son beau-père et a servi de détonateur à une polémique politico-médiatique en faveur de l’avortement « thérapeutique » auquel le lobby de la mort estime qu’elle a droit. En Argentine, au Brésil et ailleurs en Amérique latine, où l’avortement demeure illégal dans la plupart des situations dans de nombreux pays, c’est de tels faits que se saisissent les militants, souvent actifs dans des associations internationales, pour faire évoluer la législation et faire apparaître la mise à mort d’un enfant à naître comme un bien et un droit. Quand ce n’est pas le viol de mineure, c’est la santé de la mère qui est invoquée. Et la presse locale et mondiale relaie les faits de manière univoque, où le vrai bien des victimes n’est guère mis en avant.
Dans un premier temps, l’équipe médicale qui a examiné l’enfant a jugé que les conditions n’étaient pas réunies pour pratiquer l’avortement « thérapeutique » que la loi péruvienne autorise dans des circonstances très restrictives. Cela a provoqué une levée de boucliers de la part des féministes péruviennes et notamment de l’ONG Promsex qui assure la promotion de la « santé reproductive » chère aux Objectifs du Développement durable de l’ONU à travers la lutte pour l’accès à la contraception et pour la légalisation de l’avortement.
Mila, petite adolescente, soumise à un avortement à 18 semaines
La directrice de cette association féministe, Susana Chávez, a dirigé la campagne visant à réclamer l’avortement pour Mila, tout en assurant défendre simultanément la mère de la petite, une femme très pauvre et analphabète qui selon Promsex a eu elle-même à souffrir des violences de son concubin, tout comme deux petits frères de Mila âgés de 7 et 3 ans. L’ONG dénonce l’absence de réaction des autorités locales d’Iquitos qui a décidé de placer les trois enfants, ainsi que leur petit frère nouveau-né de 3 mois, en dehors de leur famille. Leur mère a été déclarée « incompétente ». C’est elle qui, avec Promsex, a exigé qu’un avortement fût pratiqué — sous quelles pressions ?
Lire la suiteUne femme conçue lors d’un viol déclare qu’il est « insultant » de l’appeler « le bébé du violeur »
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : akachai studio/Adobe Stock
Une femme conçue lors d’un viol s’est élevée contre le discours pro-avortement dans une lettre au rédacteur en chef du Times-Picayune/The New Orleans Advocate.
Amber Dubois est une épouse et une enseignante dont la mère a été violée pendant son adolescence. Sa mère ne vivait pas près de sa famille et n’était pas croyante, mais elle n’a pas avorté — ce que beaucoup d’autres auraient pu envisager, selon Amber Dubois.
« Au lieu de cela, elle me dit encore aujourd’hui que je suis la meilleure décision qu’elle ait jamais prise », écrit-elle. « Elle m’a dit qu’elle savait que j’étais une vie humaine et que le cadeau d’une belle vie l’emporterait sur le cauchemar d’être violée. Elle a convenu que je ne devais pas être tuée à cause du crime horrible de mon père biologique. Elle a décidé que je serais son enfant, quoi qu’il arrive ».
Nombreux sont ceux, même parmi ceux qui se disent pro-vie, qui affirment que des exceptions aux lois protégeant les enfants à naître devraient être prévues pour les femmes violées. Mais, selon Mme Dubois, les enfants conçus lors d’un viol ne méritent pas d’être condamnés à mort pour les crimes de leurs parents.
Lire la suiteLe procureur général de l’Indiana dépose une poursuite contre l’avorteuse qui a fait traverser la frontière de l’État à une victime de viol
L'avorteuse Caitlin Bernard.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBS News
2 décembre 2022, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le procureur général républicain de l’Indiana, Todd Rokita, a déposé mercredi une action administrative contre l’avorteuse Dr Caitlin Bernard, l’accusant d’avoir violé les lois de l’État et les lois fédérales dans le cas d’une jeune fille de dix ans emmenée au-delà des frontières de l’État cet été pour un avortement.
Le 1er juillet, l’Indianapolis Star a rapporté que trois jours après que la Cour suprême des États-Unis ait rendu sa décision dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization renversant Roe v. Wade, Bernard « a reçu un appel d’un collègue, un médecin de l’Ohio spécialisé dans la maltraitance des enfants. Quelques heures après l’action de la Cour suprême, l’État de Buckeye avait rendu illégal tout avortement après six semaines. Ce médecin avait dans son cabinet une patiente de 10 ans, enceinte de six semaines et trois jours... La jeune fille a rapidement pris le chemin de l’Indiana pour être prise en charge par Bernard. »
Les partisans de l’avortement ont rapidement diffusé l’histoire afin de susciter la peur quant aux effets supposés qui résulteraient de ce qu’on laisse les États fixer leurs propres lois sur l’avortement, tandis que les pro-vie et d’autres personnes ont remis en question l’histoire en raison de son manque de détails corroborants. Mais plus tard dans le mois, l’histoire a été confirmée par l’inculpation de Gershon Fuentes, 27 ans, immigrant illégal et petit ami de la mère de la victime. Les révélations ultérieures sur l’affaire ont suscité des spéculations quant à la possibilité que la jeune fille ait en fait été emmenée en Indiana pour avorter afin d’éviter d’identifier son violeur.
Le 30 novembre, le bureau de Rokita a annoncé le dépôt d’une plainte administrative contre Bernard, sur la base de son « propre témoignage sous serment » indiquant « qu’elle a violé les lois fédérales et de l’Indiana relatives à la vie privée des patients et au signalement des abus sur les enfants ».
Lire la suiteLe violeur d’une fillette de 10 ans de l’Ohio est un étranger en situation irrégulière et s’avère être le concubin de sa mère
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 juillet 2022, Ohio (LifeSiteNews) — De nouveaux développements sont apparus dans l’affaire de la fillette de 10 ans violée dans l’Ohio et emmenée en Indiana pour un avortement, et soulèvent de nouvelles questions sur les causes profondes de la tragédie.
Le 1er juillet dernier, l’Indianapolis Star a rapporté que trois jours après que la Cour suprême des États-Unis ait rendu sa décision dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization renversant Roe v. Wade, « Dr Caitlin Bernard, un gynécologue-obstétricien d’Indianapolis, a reçu un appel d’un collègue, un médecin spécialisé dans la maltraitance des enfants dans l’Ohio. Quelques heures après l’action de la Cour suprême, l’Ohio avait rendu illégal tout avortement après six semaines de grossesse. Or, ce médecin avait dans son cabinet une patiente de 10 ans, enceinte de six semaines et trois jours... la fillette était bientôt en route vers l’Indiana pour être soignée par Bernard. »
Beaucoup ont mis en doute cette histoire en raison du manque de détails, de l’absence de preuves corroborantes accessibles au public et des antécédents de Bernard en matière de défense de l’avortement, mais le 13 juillet, les autorités ont confirmé la véracité de cette histoire en inculpant Gerson Fuentes, 27 ans, pour ce crime. Il aurait « avoué avoir violé l’enfant à au moins deux reprises » et encourt une peine de prison à vie.
Après l’annonce de la nouvelle, le service américain de l’immigration et des douanes (ICE) a confirmé à Fox News que Fuentes est un ressortissant guatémaltèque en situation irrégulière aux États-Unis et que l’agence l’a placé en détention en vue d’une éventuelle expulsion. Selon les conservateurs, cette révélation rend la mauvaise sécurité des frontières et l’application laxiste des lois sur l’immigration par le gouvernement fédéral [de Biden] en partie responsable du crime.
Le 14 juillet, la mère de la victime a déclaré à la journaliste de Telemundo María Vargas-Pion que sa fille allait « bien » et que « tout » ce qui a été dit dans la presse au sujet de Fuentes « est un mensonge ».
Lire la suiteLes pro-avortement politisent une jeune fille de 11 ans, victime de viol
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Photo : Alexas Fotos/Pixabay
Les défenseurs de l’avortement sont scandalisés qu’un juge brésilien ait refusé d’autoriser une enfant de 11 ans, victime de viol, à avorter l’enfant qu’elle porte. La mère de la jeune fille l’aurait emmenée chez un médecin de Florianopolis, dans l’État de Santa Catarina, pour se faire avorter alors qu’elle était déjà enceinte de 22 semaines. Mais le médecin a refusé et a dit qu’il fallait une ordonnance du tribunal, car l’avortement n’est autorisé que jusqu’à 20 semaines.
La famille s’est alors adressée au juge Joana Ribeiro Zimmer, qui fait actuellement l’objet d’une enquête de la Cour de justice brésilienne après avoir refusé d’autoriser l’avortement.
Selon The Intercept, la motivation du juge Zimmer tient en partie au fait que les enfants nés à 22 semaines sont désormais considérés comme viables, car ils sont capables de survivre à un âge de plus en plus précoce. Ainsi, autoriser cet avortement, pour Zimmer, « serait une autorisation de meurtre ».
De nombreuses personnes ont critiqué le juge Zimmer de ne pas avoir suffisamment protégé la victime de viol âgée de 11 ans, qui est maintenant enceinte de 29 semaines, mais le juge a pris des mesures pour assurer sa sécurité. Alors que la mère menaçait de commettre elle-même l’avortement, Mme Zimmer a envoyé la jeune fille dans un refuge pour la protéger de la personne responsable du viol ─ qui a eu lieu à son domicile, ce qui indique qu’il s’agit d’un membre du ménage. Un avortement pourrait faciliter la dissimulation des crimes du violeur.
Un autre magistrat a depuis décidé que la jeune fille pouvait rentrer chez elle, ce qui était le souhait de sa mère.
Ipas, une organisation d’accès à l’avortement, a publié une déclaration sur Newsweek critiquant les valeurs pro-vie du Brésil. « Parce que la loi brésilienne n’autorise l’avortement qu’en cas de viol, d’anencéphalie fœtale ou de risque pour la vie, en 2012, le ministère de la Santé du pays n’a signalé que 1 626 avortements légaux dans une nation de 203 millions d’habitants », ont-ils déclaré. « Cependant, on estime qu’un million de Brésiliennes se font avorter chaque année. Beaucoup de ces femmes, en particulier celles qui n’ont pas les ressources financières ou sociales nécessaires pour consulter un prestataire bien formé et disposé à le faire, courent un risque juridique énorme lorsqu’elles décident de mettre fin à une grossesse non désirée. Les conséquences physiques peuvent également être dévastatrices. »
Bien que cette affaire ait suscité l'indignation internationale, l’avortement n’est jamais la réponse au viol, même si la victime est une enfant. Un avortement tardif prend plusieurs jours et peut conduire l’enfant à accoucher du corps de son enfant décédé, seule, à la maison ─ ce qui serait extrêmement traumatisant.
Bien que la grossesse à un si jeune âge soit effectivement dangereuse, les avortements tardifs sont également très risqués pour les femmes et les jeunes filles ─ et l’affirmation selon laquelle l’avortement est plus sûr que l’accouchement repose sur une seule étude erronée.
Permettre à cette enfant d’avorter ne ferait qu’ajouter davantage de violence et de traumatisme à une situation déjà violente et traumatisante. De plus, elle a déjà été replacée dans une situation où le violeur, quel qu’il soit, a accès à elle, contre la volonté du juge pro-vie qui voulait la protéger. Le fait de lui donner un avortement et de la renvoyer chez elle répondrait mieux aux besoins du violeur ; toutes les preuves de son crime seraient détruites, et sa victime serait là pour qu’il abuse d’elle à nouveau.
L’avortement n’est pas une réponse aux problèmes de cette jeune fille. Il ne ferait que les aggraver.
Pressée d’avorter après un viol, Amy a choisi la vie pour son fils et ne l’a jamais regretté
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Adobe Stock
Il y a tout juste trois ans, Amy Walker était une jeune femme de 19 ans qui rêvait de faire des études qui la mèneraient à une carrière épanouissante. Amy a traversé sa part de difficultés alors qu’elle traçait son chemin. Mais au fond d’elle-même, elle luttait en silence contre le poids de la culpabilité, de la dépression et de l’anxiété, car contrairement à la plupart des femmes, Amy avait été victime d’un viol collectif un an auparavant.
En quête d’aide pour un traumatisme lié à un viol, Amy a été poussée à avorter
Amy a raconté à Live Action News : « Je suivais des cours d’été en Caroline du Nord après avoir obtenu mon diplôme de fin d’études secondaires et j’étais à une réunion avec des amis lorsque cela s’est produit. C’est trop horrible pour en parler, même aujourd’hui, quatre ans plus tard. Mais après le viol, j’ai souffert d’anxiété et de dépression. Je n’arrivais pas à nouer des relations saines. Je n’étais pas en bons termes avec mes parents. À ce moment-là, je voulais juste que la douleur s’arrête. J’ai fait une overdose dans l’espoir de mettre fin à ma vie ».
La famille d’Amy est intervenue et l’a fait entrer dans un centre de réadaptation pour la mettre sur la voie de la guérison et du pardon de soi. C’est pendant son séjour là-bas qu’elle a commencé à se sentir mal et a demandé un traitement médical. Des analyses de sang ont révélé qu’elle était enceinte. Une infirmière praticienne qui s’occupait d’elle lui a conseillé vivement de se faire avorter.
Elle n’avait pas de ressources financières et pensait que l’homme qu’elle fréquentait par hasard ─ qui est décédé quelque temps après d’une overdose de drogue ─ était le père de son enfant. Elle a découvert plus tard, grâce à un test ADN, qu’il ne l’était pas. Elle savait qu’elle serait seule responsable de l’éducation de son bébé. Pourtant, elle ne pouvait pas envisager d’interrompre sa grossesse.
Lire la suiteLa Suisse reconnaît par referendum le « mariage » homosexuel
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AdobeStock
27 septembre 2021 (LifeSiteNews) — La Suisse est le dernier pays européen à reconnaître officiellement le « mariage » homosexuel dans la loi, dimanche, lors d’un referendum.
« Les résultats officiels ont montré que la mesure a été adoptée avec 64,1 % des voix, tandis que plus de la moitié des électeurs l’ont approuvée dans chacun des 26 cantons, ou états, de la Suisse », a rapporté CBS News. « Le vote, qui a été préparé pendant des années, devrait permettre à la nation alpine de s’aligner sur de nombreux autres pays d’Europe occidentale et met fin à une campagne souvent tendue entre les parties rivales. »
Les partenaires de même sexe bénéficient d’une union civile depuis 2007, mais leurs liaisons seront désormais reconnues comme égales au mariage d’un homme et d’une femme.
La loi permettra également aux femmes lesbiennes de se procurer le sperme d’un donneur pour se féconder elles-mêmes, ainsi qu’aux duos de même sexe d’adopter des enfants.
« Grâce à cela, tous les couples seront à l’avenir traités de manière égale devant la loi : tous pourront contracter un mariage civil, avec les mêmes droits et obligations », a déclaré la ministre de la Justice, Karin Keller-Sutter.
Les opposants conservateurs ont déclaré qu’ils espéraient que leurs efforts de sensibilisation pour empêcher le referendum conduiraient à une meilleure compréhension des méfaits de l’agenda LGBT.
« De notre côté, nous avons essayé d’attirer l’attention sur le problème central, celui des enfants et de la procréation médicalement assistée », a déclaré Benjamin Roudit, du Parti populaire chrétien-démocrate, selon CBS News. « Sur ce point, je pense que nous avons réussi à sensibiliser la population suisse et nous serons encore là lorsque d’autres démarches seront proposées. »
Lire la suiteCanada : des « transgenres » meurtriers et violeurs bientôt dans les prisons pour femmes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel/Burst
Faut-il le rappeler ? Grâce à la loi C-16 de Justin Trudeau votée le 17 juin 2017, l’« orientation de genre » a été reconnue au Canada… jusque dans les pénitenciers. Ce qui fait qu’aujourd’hui, on en parlait depuis un certain temps, des « transgenres » ou hommes se prétendant « femmes » seront transférés en tant que « femmes » dans les établissements réservés à la gent féminine. Or, dans ce lot, on trouve un nombre significatif de meurtriers, de violeurs et même de pédophiles — ce qui est encore plus inquiétant quand on songe que certaines prisons pour femmes peuvent permettre à celles-ci de voir leurs enfants.
Selon le Toronto Sun, d’après la traduction d’Eugène d’Estimauville de Beaumouchel sur Horizon Québec Actuel, les détenues sont inquiètes du prochain transfère d’une douzaine de « transgenres » dans leurs établissements :
Ce qui attise cette peur est l’arrivée de « détenues » ayant commis des agressions sexuelles violentes — et des meurtres.
Une douzaine d’autres transgenres devraient arriver à Grand Valley [qui ne comprend pas le programme mère-enfant]*.
« C’est bizarre, parmi les conditions qu’on leur a imposées, il y a de ne pas s’approcher des femmes et des enfants. Où sont-ils placés ? Avec des femmes et des enfants », a déclaré Mason au Toronto Sun.
Elle décrit les têtes d’affiche de cette audacieuse réforme qui chamboule le Service correctionnel du Canada (SCC) :
Matthew Harks, Tara Pearsall, Fallon Aubee, Tara Desousa et Jean Boulachanis.
Un pédophile en série, un délinquant sexuel en série, un tueur à gages, un tueur d’enfants et un meurtrier.
Ces criminels qui se prétendent transgenres sont dangereux. Et les détenues de sexe féminin le savent.
La liste des exigences du SCC pour être transféré d’une prison pour hommes à une prison pour femmes est dérisoire.
Enfin, après avoir lu ceci, je ne pense pas que vous voterez pour Trudeau…
*Commentaire d’A.H.