Une nouvelle étude montre comment la pornographie violente peut transformer les hommes en psychopathes
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Lundi 10 mars 2025 (LifeSiteNews) — Une étude récente publiée dans la revue Psychology of Violence a affirmé, une fois de plus, que la pornographie alimente la montée de l’agression sexuelle chez les hommes.
Intitulée Pornography Exposure Profiles Differentiate Sexual Aggression and Its Risk Factors: A Person-Centered Approach, l’étude a été réalisée par Wenqi Zheng, Travis N. Ray et Michele R. Parkhill auprès de 491 hommes américains âgés en moyenne de 30 ans. L’étude confirme les preuves de plus en plus nombreuses que la pornographie et la violence sexuelle sont inextricablement liées. Comme le rapporte le PsyPost :
Les chercheurs ont identifié trois modèles distincts d’utilisation de la pornographie, un groupe — ceux qui ont regardé de la pornographie violente — présentant des taux plus élevés d’agression sexuelle, d’acceptation de mythes nuisibles sur le viol, d’hostilité envers les femmes, de relations sexuelles occasionnelles, de psychopathie et de difficultés de régulation émotionnelle. Ces résultats contribuent à clarifier la relation entre les différents types de pornographie et l’agression sexuelle, un sujet qui a suscité un débat ces dernières années.
De nombreuses études ont été menées sur les liens entre la violence sexuelle et la pornographie au cours des dernières années — j’en ai parlé ici, ici, ici, ici et ici. Lors de cette étude, les participants ont été invités à remplir un questionnaire leur demandant de détailler leurs habitudes de consommation de pornographie et de catégoriser les contenus qu’ils consomment, notamment les « images ou films non violents », les « films dégradants » et les « films violents ».
Lire la suiteRichard Martineau : l’opposition contrôlée et le déni de la solution divine
Par Campagne Québec-Vie — Photo (montage) : QUB Radio/YouTube, Wikimedia Commons
Dans son article intitulé Le club des violeurs, Richard Martineau endosse une fois de plus son rôle habituel de critique du statu quo, tout en demeurant parfaitement intégré au système qu’il prétend dénoncer. Ce rôle, qu’on pourrait qualifier d’« opposition contrôlée », consiste à donner une voix aux dissidents et aux gens frustrés par certains excès du système en place (p. ex. Wokisme, propagande LGBT, etc.). Martineau donne l’impression de se tenir aux côtés des dissidents et des frustrés. Pourtant, son rôle est bien celui d’une soupape de sécurité : il permet aux mécontents d’exprimer leur frustration, mais une fois leur colère exprimée, rien ne change. Le système continue à ignorer ces voix, et les excès qu’il dénonce se poursuivent sans relâche. C’est précisément pour cette raison que Richard Martineau reste en poste depuis tant d’années : il canalise la colère sans jamais menacer le véritable pouvoir.
Cette semaine, Martineau reprend son jeu habituel, oscillant entre athéisme déclaré et fascination pour Dieu. Il déplore l’absence de Dieu, tout en laissant entrevoir un certain regret, voire un désir caché qu’Il existe. Ce strip-tease intellectuel sert à attirer à la fois des lecteurs athées, qui se reconnaissent dans son rejet de la religion, et des lecteurs croyants, qui gardent l’espoir de le voir un jour se convertir. Après tout, pourquoi parlerait-il tant de Dieu s’il n’était pas profondément fasciné par la question ? Ce double jeu lui permet de séduire un large public, tout en restant fidèle à son rôle de rebelle domestiqué.
Lire la suiteConçu lors d’un viol, Mark est reconnaissant à sa mère biologique d’avoir choisi la vie
Mark Roepke.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Mark Roepke a toujours su qu’il avait été adopté. Il savait aussi qu’il était le fils d’une jeune fille de 14 ans dont il a appris plus tard qu’elle est devenue enceinte à la suite d’un viol lors d’une fête du 4 juillet à laquelle elle avait participé avec son cousin dans le Dakota du Sud.
Ayant grandi sur une ferme de l’Iowa, Roepke a passé une enfance relativement normale avec ses frères et sœurs, eux aussi adoptés. Il a déclaré à Live Action News : « Mes parents avaient adopté quatre enfants pour avoir une famille. Quand j’ai eu sept ans, ils ont eu leur propre enfant, puis deux autres sont arrivés plus tard ».
Roepke avait trois ans lorsqu’il a vécu une tragédie. Un jour que ses parents jouaient au tennis, il a poursuivi une balle perdue. Il a glissé sur le gravier, descendu une colline abrupte, et atterri avec la jambe coincée devant lui. Une voiture qui prenait un raccourci dans le stationnement a roulé sur sa jambe qui dépassait et l’a écrasée.
« L’homme ne s’est jamais arrêté », a déclaré Roepke. « Nous avons appris plus tard qu’il était pressé et en retard au travail. Malheureusement, les médecins n’ont pas pu sauver ma jambe ». Mais Roepke n’a jamais laissé son handicap le définir.
Le travail à la ferme a donné au jeune Roepke le sens des responsabilités. Il a vu des animaux donner naissance à leur progéniture et a compris le miracle de la vie. Un jour, il a entendu un groupe de lycéennes discuter de l’avortement. Se demandant ce que ce mot signifiait, il est allé directement voir son père pour obtenir une explication.
« Lorsque mon père m’a expliqué ce qu’était un avortement, j’ai été horrifié », a déclaré M. Roepke. « Mes parents avaient lutté pendant des années pour avoir des enfants, il était donc difficile de comprendre que des gens tuaient leurs enfants pour des raisons de commodité ».
Lire la suiteUne femme devenue enceinte à 15 ans à la suite d’un viol témoigne avec force contre l’avortement
Ayala Isenberg.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
11 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a choisi la vie pour le bébé qu’elle a conçu à la suite d’un viol s’est élevée contre la rhétorique pro-avortement qui utilise des situations tragiques comme la sienne pour justifier les avortements.
Dans une entrevue accordée à la nouvelle émission en ligne de Students for Life of America « Let’s Talk About Life » animée par Christine Yeargin et Autumn Higashi, la jeune Ayala Isenberg (alors Harrison), âgée de 20 ans, a témoigné du fait qu’elle est devenue militante pro-vie après avoir conçu à la suite d’un viol lorsqu’elle était jeune adolescente et avoir choisi de ne pas se faire avorter.
« Je trouve assez insultant, honnêtement, d’utiliser des femmes comme moi et nos enfants pour alimenter le discours [des partisans de l’avortement], et surtout pour le profit économique de l’industrie de l’avortement », a déclaré Ayala Isenberg. « Je trouve cela insultant parce que je pense que l’on parle de femmes comme moi et de nos enfants. »
Cette jeune mère engagée de Charlotte, en Caroline du Nord, que les animateurs ont qualifiée d’« énergique » et de « pleine de fougue », a raconté son histoire dévastatrice : elle a été « violée plus de fois que je ne peux le compter » au cours de quatre années d’abus qui ont commencé alors qu’elle n’était qu’une petite fille.
Lire la suiteEnceinte d’un viol à 12 ans, elle a choisi la vie : « L’avortement n’est pas une solution », c’est un « double viol »
Lianna Rebolledo.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lianna Rebolledo, fondatrice de Loving Life, s’est récemment entretenue avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action, pour discuter de son expérience de choix de vie pour son bébé après avoir été violée.
À l’âge de 12 ans, Lianna Rebolledo se trouvait dans un petit centre commercial de Los Angeles lorsque deux hommes l’ont enlevée, violée à plusieurs reprises et laissée pour morte. À son retour de l’hôpital, elle a lutté contre la dépression et a tenté de se suicider en prenant tous ses médicaments d’un coup. Elle a été emmenée à l’hôpital où elle a appris qu’elle était enceinte.
« Le médecin m’a dit de ne pas m’inquiéter », a déclaré Mme Rebolledo à Rose, « parce que c’était légal — l’avortement était légal. Mais dans ces moments-là, on ne veut entendre que de la gentillesse, on a besoin de sympathie, on a besoin d’amour, on a besoin de soins. Je me suis donc demandé pourquoi il me disait : “Tu peux toujours te faire avorter. Tu n’as même pas besoin de payer pour cela” ».
Mme Rebolledo a déclaré qu’elle savait qu’elle avait un bébé en elle et elle a refusé de se faire avorter. Selon elle, les jeunes filles victimes d’agressions sexuelles qui deviennent enceintes n’ont pas besoin d’avortement, mais les avorteurs cherchent à tirer profit de leur traumatisme.
Lire la suiteLe gouverneur de Virginie gracie le père qui s’est fâché au conseil scolaire de l’école dans laquelle sa fille avait été violée par un « transgenre »
Glenn Yougkin, gouverneur de Virginie.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Le gouverneur Glenn Youngkin a gracié Scott Smith, un père condamné pour son agressivité lorsqu’il a appris le viol de sa fille par un élève transgenre dans les toilettes scolaires.
La colère bien naturelle de Scott Smith lors d’une réunion du conseil scolaire en 2021 avait servi de prétexte à la note du procureur général Merrick Garland qui ordonnait aux forces de l’ordre fédérales de surveiller de près les citoyens qui s’exprimaient contre les politiques LGBT et COVID.
Les faits
Tout commence lorsque le conseil scolaire du comté de Loudoun a mis en œuvre une nouvelle politique autorisant les élèves de sexe masculin à accéder aux toilettes réservées aux femmes. En 2021, la fille de Scott Smith a été violée dans ces toilettes scolaires par un élève transgenre.
Scott Smith a été arrêté au cours d’une réunion du Conseil scolaire parce qu’il s’énervait en réclamant des comptes à la direction scolaire qui avait autorisé l’accès des toilettes pour femmes à des élèves transgenres. La direction scolaire avait appelé le shérif du comté. Le père de famille a résisté à la tentative d’arrestation. Cela lui a valu une condamnation pour deux chefs d’accusation.
Lire la suitePérou : une grossesse adolescente instrumentalisée pour promouvoir l’avortement
Par Jeanne Smith (reinformation.tv)
Le scénario a un goût de déjà-vu : au Pérou, une petite jeune fille, « Mila » (le prénom a été modifié), 11 ans, est tombée enceinte des œuvres de son beau-père et a servi de détonateur à une polémique politico-médiatique en faveur de l’avortement « thérapeutique » auquel le lobby de la mort estime qu’elle a droit. En Argentine, au Brésil et ailleurs en Amérique latine, où l’avortement demeure illégal dans la plupart des situations dans de nombreux pays, c’est de tels faits que se saisissent les militants, souvent actifs dans des associations internationales, pour faire évoluer la législation et faire apparaître la mise à mort d’un enfant à naître comme un bien et un droit. Quand ce n’est pas le viol de mineure, c’est la santé de la mère qui est invoquée. Et la presse locale et mondiale relaie les faits de manière univoque, où le vrai bien des victimes n’est guère mis en avant.
Dans un premier temps, l’équipe médicale qui a examiné l’enfant a jugé que les conditions n’étaient pas réunies pour pratiquer l’avortement « thérapeutique » que la loi péruvienne autorise dans des circonstances très restrictives. Cela a provoqué une levée de boucliers de la part des féministes péruviennes et notamment de l’ONG Promsex qui assure la promotion de la « santé reproductive » chère aux Objectifs du Développement durable de l’ONU à travers la lutte pour l’accès à la contraception et pour la légalisation de l’avortement.
Mila, petite adolescente, soumise à un avortement à 18 semaines
La directrice de cette association féministe, Susana Chávez, a dirigé la campagne visant à réclamer l’avortement pour Mila, tout en assurant défendre simultanément la mère de la petite, une femme très pauvre et analphabète qui selon Promsex a eu elle-même à souffrir des violences de son concubin, tout comme deux petits frères de Mila âgés de 7 et 3 ans. L’ONG dénonce l’absence de réaction des autorités locales d’Iquitos qui a décidé de placer les trois enfants, ainsi que leur petit frère nouveau-né de 3 mois, en dehors de leur famille. Leur mère a été déclarée « incompétente ». C’est elle qui, avec Promsex, a exigé qu’un avortement fût pratiqué — sous quelles pressions ?
Lire la suiteUne femme conçue lors d’un viol déclare qu’il est « insultant » de l’appeler « le bébé du violeur »
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : akachai studio/Adobe Stock
Une femme conçue lors d’un viol s’est élevée contre le discours pro-avortement dans une lettre au rédacteur en chef du Times-Picayune/The New Orleans Advocate.
Amber Dubois est une épouse et une enseignante dont la mère a été violée pendant son adolescence. Sa mère ne vivait pas près de sa famille et n’était pas croyante, mais elle n’a pas avorté — ce que beaucoup d’autres auraient pu envisager, selon Amber Dubois.
« Au lieu de cela, elle me dit encore aujourd’hui que je suis la meilleure décision qu’elle ait jamais prise », écrit-elle. « Elle m’a dit qu’elle savait que j’étais une vie humaine et que le cadeau d’une belle vie l’emporterait sur le cauchemar d’être violée. Elle a convenu que je ne devais pas être tuée à cause du crime horrible de mon père biologique. Elle a décidé que je serais son enfant, quoi qu’il arrive ».
Nombreux sont ceux, même parmi ceux qui se disent pro-vie, qui affirment que des exceptions aux lois protégeant les enfants à naître devraient être prévues pour les femmes violées. Mais, selon Mme Dubois, les enfants conçus lors d’un viol ne méritent pas d’être condamnés à mort pour les crimes de leurs parents.
Lire la suiteLe procureur général de l’Indiana dépose une poursuite contre l’avorteuse qui a fait traverser la frontière de l’État à une victime de viol
L'avorteuse Caitlin Bernard.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBS News
2 décembre 2022, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le procureur général républicain de l’Indiana, Todd Rokita, a déposé mercredi une action administrative contre l’avorteuse Dr Caitlin Bernard, l’accusant d’avoir violé les lois de l’État et les lois fédérales dans le cas d’une jeune fille de dix ans emmenée au-delà des frontières de l’État cet été pour un avortement.
Le 1er juillet, l’Indianapolis Star a rapporté que trois jours après que la Cour suprême des États-Unis ait rendu sa décision dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization renversant Roe v. Wade, Bernard « a reçu un appel d’un collègue, un médecin de l’Ohio spécialisé dans la maltraitance des enfants. Quelques heures après l’action de la Cour suprême, l’État de Buckeye avait rendu illégal tout avortement après six semaines. Ce médecin avait dans son cabinet une patiente de 10 ans, enceinte de six semaines et trois jours... La jeune fille a rapidement pris le chemin de l’Indiana pour être prise en charge par Bernard. »
Les partisans de l’avortement ont rapidement diffusé l’histoire afin de susciter la peur quant aux effets supposés qui résulteraient de ce qu’on laisse les États fixer leurs propres lois sur l’avortement, tandis que les pro-vie et d’autres personnes ont remis en question l’histoire en raison de son manque de détails corroborants. Mais plus tard dans le mois, l’histoire a été confirmée par l’inculpation de Gershon Fuentes, 27 ans, immigrant illégal et petit ami de la mère de la victime. Les révélations ultérieures sur l’affaire ont suscité des spéculations quant à la possibilité que la jeune fille ait en fait été emmenée en Indiana pour avorter afin d’éviter d’identifier son violeur.
Le 30 novembre, le bureau de Rokita a annoncé le dépôt d’une plainte administrative contre Bernard, sur la base de son « propre témoignage sous serment » indiquant « qu’elle a violé les lois fédérales et de l’Indiana relatives à la vie privée des patients et au signalement des abus sur les enfants ».
Lire la suiteLe violeur d’une fillette de 10 ans de l’Ohio est un étranger en situation irrégulière et s’avère être le concubin de sa mère
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 juillet 2022, Ohio (LifeSiteNews) — De nouveaux développements sont apparus dans l’affaire de la fillette de 10 ans violée dans l’Ohio et emmenée en Indiana pour un avortement, et soulèvent de nouvelles questions sur les causes profondes de la tragédie.
Le 1er juillet dernier, l’Indianapolis Star a rapporté que trois jours après que la Cour suprême des États-Unis ait rendu sa décision dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization renversant Roe v. Wade, « Dr Caitlin Bernard, un gynécologue-obstétricien d’Indianapolis, a reçu un appel d’un collègue, un médecin spécialisé dans la maltraitance des enfants dans l’Ohio. Quelques heures après l’action de la Cour suprême, l’Ohio avait rendu illégal tout avortement après six semaines de grossesse. Or, ce médecin avait dans son cabinet une patiente de 10 ans, enceinte de six semaines et trois jours... la fillette était bientôt en route vers l’Indiana pour être soignée par Bernard. »
Beaucoup ont mis en doute cette histoire en raison du manque de détails, de l’absence de preuves corroborantes accessibles au public et des antécédents de Bernard en matière de défense de l’avortement, mais le 13 juillet, les autorités ont confirmé la véracité de cette histoire en inculpant Gerson Fuentes, 27 ans, pour ce crime. Il aurait « avoué avoir violé l’enfant à au moins deux reprises » et encourt une peine de prison à vie.
Après l’annonce de la nouvelle, le service américain de l’immigration et des douanes (ICE) a confirmé à Fox News que Fuentes est un ressortissant guatémaltèque en situation irrégulière aux États-Unis et que l’agence l’a placé en détention en vue d’une éventuelle expulsion. Selon les conservateurs, cette révélation rend la mauvaise sécurité des frontières et l’application laxiste des lois sur l’immigration par le gouvernement fédéral [de Biden] en partie responsable du crime.
Le 14 juillet, la mère de la victime a déclaré à la journaliste de Telemundo María Vargas-Pion que sa fille allait « bien » et que « tout » ce qui a été dit dans la presse au sujet de Fuentes « est un mensonge ».
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