Par Pour une école libre au Québec — Photo : Dimitri Martin/PublicDomainPictures
Extrait[s] du programme officiel d’éducation à la sexualité du Québec, partie des contenus obligatoires au secondaire :
En agrandissant certains passages, on voit un des aspects idéologiques du programme : la lutte conte les « stéréotypes » sexuels traditionnels, contre les normes sociales qui s’opposeraient à la fluidité de l’« identité de genre » des enfants, distincte rappelons-le de leur sexe, selon la théorie du genre en vogue dans certains départements universitaires de sciences sociales […]
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Notez ci-dessous le « mais ». Pourquoi « mais » ? Comme si les comportements et les attitudes « de genre » plus traditionnels étaient une mauvaise chose...
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Le programme est écrit dans un langage un peu hermétique (sans doute pour aider les parents...). Rappelons à ce sujet que le Monopole de l’Éducation du Québec (MEES) fournit du matériel pédagogique, mais qu’il n’est accessible qu’à ceux qui enseignent le programme, mais pas aux parents.
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Ici l’allusion aux jeunes immigrés (en novlangue « issus de différentes communautés culturelles ») qui font face à un plus important « défi » signifie que ces communautés culturelles sont plus traditionnelles et s’opposeraient à une libre « construction [de genre] de soi » chère aux militants LGBTQ2SAI+. Heureusement, l’État québécois est là pour assurer qu’ils pourront se construire « librement » dans le domaine des rôles, de l’orientation et du genre, loin des constructions stéréotypées et traditionnelles.
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