Habits dégenrés de haute couture dégénérée
Vous trouvez franchement qu'il a l'air intelligent là-dedans, ce gars ? Pas moi...
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
Récemment c’est la maison italienne Gucci qui fait dans la genderofolie à outrance. Désormais au centre de la scène des défilés de mode depuis quelques années, les choix stylistiques d’Alessandro Michele, le directeur artistique (sic) de Gucci, s’inscrivent résolument dans une propagande lgbtqi++++.
Dernièrement il a lancé une robe, rappelant les vêtements de poupées, pour homme : jupe, nœud en satin à la taille, boutons en nacre, en tartan orange, avec un col rond. Sur le site, la robe est décrite comme « reflétant l’idée d’une fluidité de genre sans les stéréotypes toxiques qui façonnent l’identité du genre masculin ».
Quant à l’identité de genre de la haute couture, sans ambiguïté c’est d’être… dégénérée !
Les « stéréotypes de genre » sont scientifiquement prouvés
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : AdobeStock
À quelle époque dégénérée vivons-nous, eut dit Dickens, pour que nous eussions besoin de débattre sur le fait que les hommes et les femmes ont des comportements spécifiques ? C’est une chose qui pour moi est évidente, mais si vous voulez trouver quelques arguments pour rajouter à votre panoplie dialectique, en voici quelques-uns basés sur des études scientifiques et expliqués par Virginie Vota dans une vidéo, sous laquelle on peut lire :
De nouvelles études scientifiques viennent confirmer le fait que les hommes et les femmes ont bien des personnalités différentes, et qu’il serait possible d’identifier un cerveau masculin ou féminin grâce à des tests. Or les résultats de ces recherches sont particulièrement intéressants en ce que ces différences se manifestent plus fortement dans des sociétés égalitaires et individualistes... Un étrange paradoxe qui ne plaira pas à la cause féministe. En effet, plus le pouvoir en place s’acharnerait à gommer les particularités inhérentes aux deux sexes, plus le comportement des individus correspondrait aux « stéréotypes de genre » tant décriés.
Quelle conclusion pouvons-nous tirer de tous ces éléments ?
Pour l’ONU, le covid-19 montre que le patriarcat est néfaste
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
L’un des thèmes préférés de l’ONU est la situation malheureuse de la femme sous la tyrannie dite patriarcale, autrement dit là où il n’y a que des hommes qui commandent.
C’est donc sur ce chapitre que l’ONU a publié sur sa page Twitter officielle un paragraphe surprenant (quoique… on ne devrait s’étonner de rien venant de l’ONU), paraphrasant le secrétaire général de l’organisme António Guterres : le covid-19 démontre ce que nous savons tous, le patriarcat est néfaste, tant pour les hommes que pour les femmes, tant pour les garçons que pour les filles :
La pandémie #COVID19 démontre ce que nous savons tous : des millénaires de patriarcat ont abouti à un monde dominé par les hommes avec une culture masculine qui nuit à tout le monde — femmes, hommes, filles et garçons.
Ainsi la masculinité serait toxique selon António Guterres ? Les usagers de Twitter ont raillé l’idée selon laquelle les hommes seraient responsables de la propagation du virus, ou quelque chose comme ça. Mais ce que ce paragraphe énonce c’est en fait le résumé de tout un discours : les hommes dirigent mal et le covid-19 le démontrerait (au fait, pourquoi António Guterres ne démissionne-t-il pas pour donner la chance à une femme de diriger l’ONU, bien mieux que lui bien sûr…).
La proposition d’António Guterres — ou, quand il n’y a pas 50 % de femmes qui dirigent, les choses vont mal — s’inscrit dans un discours qu’il a donné à New York. Il dépeint les malheurs dont les femmes seraient particulièrement les victimes au sein de la « pandémie » à cause de la négligence des hommes dominateurs, traçant à grand trait des généralités englobant des régions entières de la planète ou le monde entier. Sans doute que certaines de ses assertions sont valables, mais je ne pourrais acquiescer à des remarques telles que « toutes les femmes ont droit à des services de santé reproductive et sexuelle de qualité et abordables », quand on sait que cela inclut l’avortement et la contraception.
Lire la suiteMasculinité toxique : Gillette semble faire marche arrière
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : News.com.au et The Post Millennial/Voici la source de la photo : jarmoluk/Pixabay
Il faut dire qu’après avoir aliéné les hommes, l’entreprise a vu sa valeur fondre de 8 milliards de dollars le mois dernier.
Gillette semble avoir tiré des leçons de sa publicité critiquant la « masculinité toxique ». Après avoir fait la promotion du mouvement « Me-Too » en martelant que les hommes pouvaient « faire mieux », l’entreprise a décidé de faire une volte-face en mettant en vedette le pompier et entraîneur Ben Ziekenheiner, très connu en Australie, dans sa nouvelle publicité.
M. Ziekenheiner y est présenté comme un homme fort qui passe du temps avec sa fille tout en étant conscient que la nature de son travail de pompier implique qu’il ne pourrait jamais plus la revoir. On le voit se raser avant d’aller accomplir son devoir. À première vue, il s’agit donc d’une scène vouée à mettre en valeur les qualités de force et de courage normalement attribuées à la gent masculine.
Ce qu’il faut souligner, c’est que ce « nouveau souffle » survient alors que la société mère de l’entreprise, Proctor & Gamble, a vu la valeur de Gillette se déprécier de 8 milliards de dollars le mois dernier. Bien qu’il ne soit pas possible d’établir un lien de causalité entre la stratégie marketing et la rentabilité de la compagnie, il est néanmoins légitime d’être frappé par cette concomitance.
Soulignons que la décision de lyncher tous les hommes sur la place publique avait déplu à plusieurs téléspectateurs. Une campagne de boycottage des produits Gillette était devenue virale sur les médias sociaux et une [certaine] vidéo mise sur YouTube s’était mérité une volée de bois verts.
Une école de Barcelone retire 200 contes pour enfants considérés comme «toxiques»
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Wikimédia Commons
L’école Tàber de Barcelone, qui relève de la Generalitat de Catalogne, a décidé de revoir le catalogue des livres pour enfants de sa bibliothèque. Après avoir analysé les livres destinés aux enfants de moins de six ans, l’école a décidé de se débarrasser de 200 titres considérés comme « toxiques » parce qu’ils reproduisaient des schémas sexistes, ce qui représente 30 % du fonds. Dans 60 % des cas, le problème est moins grave, alors que 10 % seulement ont été écrits qui respectent le « genre ». D’autres centres cherchent également à acquérir des livres plus « égalitaires ».
Saint Georges est le patron de l’Aragon, de Valence, des Baléares et de la Catalogne.
La tradition veut que, chaque année le 23 avril, on offre une rose,
et depuis les années 1920, un livre.
On approche de la Saint George [Sant Jordi en catalan], journée idéale quand les garderies et les écoles racontent sa légende ou quand les parents se mettront à la cherche d’une histoire pour leurs enfants. Un coup d’œil au vaste catalogue d’histoires sur ce héros qui terrassa le dragon révèle que la plupart des titres reprennent les stéréotypes selon lesquels le personnage masculin est le héros courageux qui doit sauver la princesse craintive. Mais, nous révèle El Païs (journal de gauche branchée), on commence pourtant à trouver sur le marché des titres « alternatifs » tels que Sainte Jordina (par Inès Macpherson, aux éditions La Galera) ou La révolte de Sainte Jordina (par Lyona et David Fernandez, aux éditions Amsterdam), où la jeune fille est l’héroïne et où, en passant, le dragon n’est pas obligé de mourir...
La légende de Sant Jordi fait partie des contes bannis de l’école Tàber, tout comme la Belle au bois dormant ou le Petit chaperon rouge, selon la télévision locale Betevé. Cependant, Anna Tutzó, l’une des mères de la commission chargée de réviser le catalogue, préfère ne pas donner la liste complète des titres bannis, car elle considère qu’il est plus important de se concentrer sur le problème sous-jacent, qui dépasse les récits traditionnels. « En outre, ces livres ne représentent qu’une minorité, cela affecte également les livres pour apprendre l’alphabet, les couleurs ou les bonnes manières. La société évolue et est plus soucieuse de la question du genre, mais cela ne se voit pas dans les contes », a-t-elle déclaré.
Rappelons que le Québec a un Bureau d’approbation du matériel didactique dont une des fonctions est de lutter contre les stéréotypes sexuels. En voici les critères d’approbation socioculturels :
- une juste représentation (25 p.100) des personnages des groupes minoritaires ;
- des rapports égalitaires entre les personnages des deux sexes ;
- une représentation diversifiée et non stéréotypée des caractéristiques personnelles ou sociales ;
- une interaction des personnages de groupes minoritaires dans des situations de la vie courante ;
- une rédaction non sexiste des textes.
Programme d’éducation à la sexualité du Québec: lutter contre «les effets nuisibles des versions traditionnelles» des rôles sexuels
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Dimitri Martin/PublicDomainPictures
Extrait[s] du programme officiel d’éducation à la sexualité du Québec, partie des contenus obligatoires au secondaire :
En agrandissant certains passages, on voit un des aspects idéologiques du programme : la lutte conte les « stéréotypes » sexuels traditionnels, contre les normes sociales qui s’opposeraient à la fluidité de l’« identité de genre » des enfants, distincte rappelons-le de leur sexe, selon la théorie du genre en vogue dans certains départements universitaires de sciences sociales […]
Notez ci-dessous le « mais ». Pourquoi « mais » ? Comme si les comportements et les attitudes « de genre » plus traditionnels étaient une mauvaise chose...
Le programme est écrit dans un langage un peu hermétique (sans doute pour aider les parents...). Rappelons à ce sujet que le Monopole de l’Éducation du Québec (MEES) fournit du matériel pédagogique, mais qu’il n’est accessible qu’à ceux qui enseignent le programme, mais pas aux parents.
Ici l’allusion aux jeunes immigrés (en novlangue « issus de différentes communautés culturelles ») qui font face à un plus important « défi » signifie que ces communautés culturelles sont plus traditionnelles et s’opposeraient à une libre « construction [de genre] de soi » chère aux militants LGBTQ2SAI+. Heureusement, l’État québécois est là pour assurer qu’ils pourront se construire « librement » dans le domaine des rôles, de l’orientation et du genre, loin des constructions stéréotypées et traditionnelles.
Une compagnie horlogère contre-attaque avec une vidéo la publicité de la firme Gillette sur la «masculinité toxique» ; ses ventes ont explosé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Dernièrement, l'American psychological Association avait produit son dernier guide qui parlait de « masculinité toxique », récente notion qui déprécie l'homme normal.
Plus récemment encore, la firme Gillette avait publié une publicité qui reprenait l'idée de « masculinité toxique », obtenant pour résultat d'être fortement décriée, et ce, à forte raison.
En réaction, une compagnie d'hologerie, Egard, a produit une vidéo défendant la masculinité comme étant une bonne chose.
Le plus drôle dans toute l’affaire, c’est que la vidéo de la compagnie d’horlogerie Egard n’était en rien publicitaire… ce qui a eu pour résultat, ô combien recherché ordinairement, d’augmenter fulguramment les ventes d’Egard, au point d’être en rupture de stock devant la demande.
Lire la suiteLa marque Gillette embarque à fond dans l'ingénierie sociale
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Daily Mail, YouTube, American Thinker, Journal de Montréal, Jezebel et Le Monde / Voici la source de la photo : Mr.TinDC, Flickr, CC BY-ND 2.0
Une nouvelle publicité de la marque détenue par Proctor and Gamble fait le procès de la pseudo « masculinité toxique ».
Ça y est, les recommandations de l'American Psychological Association (APA) à l'effet de transformer une culture de la masculinité qui serait intrinsèquement « toxique » ont trouvé un écho dans le monde de la publicité. La marque Gillette s'est prêtée au jeu de la mise en accusation des hommes en lançant une campagne publicitaire conçue par une féministe radicale qui ne fait pas dans la dentelle.
Une féministe radicale travaille pour Gillette
En effet, une féministe ultraradicale, Kim Gehrig, a été mise à contribution par l'agence new-yorkaise Grey Advertising pour concevoir un clip publicitaire qui s'adresse aux hommes pour qu'ils prennent conscience de leur « masculinité toxique » afin de devenir de « meilleurs humains » en définitive.
Le slogan de Gillette qui était « The best a man can get » (Le mieux qu'un homme puisse avoir) est réinterprété pour les besoins de la cause féministe et prend la forme d'une question pernicieuse : « Is this the best a man can get ? » (Est-ce que ça, c'est le mieux qu'un homme puisse avoir ?), en référence à cette « masculinité toxique » qu'il convient d'éradiquer au plus vite.
Un protagoniste de race noire y prend le crachoir pour nous prévenir que « We ? We believe in the best in men » (Nous ? [les hommes roses], nous croyons en ce qu'il y a de mieux pour l'homme) et en profite pour faire l'apologie de la délation en affirmant que « Men need to hold other men accountable » (Les hommes doivent rendre les autres hommes imputables [de leurs gestes]).
Lire la suiteL'American Psychological Association (APA) déblatère sur les « genres » : la masculinité est néfaste
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sotheby’s Sale catalogue/Wikimedia Commons
La plus grosse association de psychologues des États-Unis a publié dernièrement de nouvelles lignes directrices, qui prétendent que la masculinité est « nuisible, » et que la masculinité et la féminité, par ailleurs, sont des stéréotypes ou des « rôles » où l’homme tient évidemment une position nécessairement mauvaise, puisque suivant le « rôle » masculin, d’après le Washington Examiner.
Les nouvelles lignes directrices de l’APA ont soulevé l’indignation du professeur en psychologie Jordan B. Peterson : « Je suis consterné que l’APA parle au nom des membres de ma profession. Il n’y a tout simplement pas d’excuse pour ce qu’ils ont écrit, » d’après le compte Twitter de Jordan B. Peterson.
Extrait du Washington Examiner :
Les lignes directrices de l’APA ont, à juste titre, déclenché un énorme mouvement de ressac. Ils mettent l’accent sur des idées absurdes telles que la « tension entre les rôles de genre », défini comme « une situation psychologique dans laquelle les exigences des rôles de genre ont des conséquences négatives sur l’individu ou les autres », et le « conflit entre les rôles de genre », défini comme « les problèmes résultant de l’adhésion à des rôles rigides, sexistes ou restrictifs, appris pendant la socialisation, qui résultent en restriction personnelle, dévaluation ou violation des autres ou de soi ».
Plus loin, s’adressant à l’APA dans son article du Washington Examiner, Suzanne Venker écrit :
Comme tous membres du parti de gauche, vos membres croient clairement que tout ce qui s’apparente à la tradition est nuisible et doit être changé ou réparé. Vous ne pouvez pas voir ce que les Américains ordinaires peuvent voir par eux-mêmes : ce n’est pas la masculinité qui provoque des comportements pathologiques (conformément à la croyance qu’un « vrai homme » est violent). Un mauvais comportement, de la part des deux sexes, est un comportement appris. C’est un problème au sein de l’individu qui découle de son éducation et de son environnement. Ne savez-vous pas que la grande majorité des détenus viennent de foyers violents, brisés ou autrement dysfonctionnels ?
Non seulement la masculinité traditionnelle n’est pas mauvaise, mais elle est nécessaire pour les enfants, les mariages et une société stable. Les garçons et les hommes dont vous semblez si préoccupés deviennent pathologiques parce qu’ils n’ont pas un modèle traditionnel de masculinité.
Puisque vous ne semblez pas savoir à quoi ressemble la masculinité traditionnelle, permettez-moi de vous éclairer. Les traits auxquels vous faites référence dans votre rapport (comme le stoïcisme, l’agressivité, être le soutien de la maison et même la domination [propension à commander ?]) sont des traits admirables et non destructifs. Voilà une surprise pour vous : les femmes aiment ces traits chez les hommes. Ils permettent aux femmes et aux enfants de se sentir en sécurité. Elles suscitent le respect des femmes, ce qui est crucial pour la pérennité d’un mariage. À tous points de vue, les études ont montré que lorsque les hommes sont féminisés, il y a rupture du mariage, de la famille et de la société.
Le retour des hommes à la virilité : une solution à bien des problèmes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
J’ai récemment découvert cette intéressante vidéo de la Prager University qui traite d’une théorie qui circule ces temps-ci, selon laquelle la masculinité serait un lien commun aux, entre autres, viols, meurtres et guerres, et par conséquent dénonçant celle-ci comme « toxique »!
Une bien dangereuse théorie qui ne ferait qu’aggraver la situation, car une masculinité frustrée conduit plus sûrement à un mauvais comportement.
Au fait, combien d’avortements seraient évités si bien des hommes voulaient accepter de prendre leur rôle de père envers l’enfant à naître qu’ils ont conçu?
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