Lettre au ministre de l’Éducation Drainville par Solange Lefebvre-Pageau
Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
Le 15 décembre 2022
Monsieur le Ministre Bernard Drainville
Ministère de l’Éducation (Québec)
Bonjour Monsieur Drainville !
À l’approche du congé des ministres du Québec, assurément bien mérité, consciente que les défis ne vous manquent pas et sachant que vous avez exprimé votre volonté de faire avancer les choses, je me permets de venir vers vous.
Pourquoi ? Pour vous inviter, d’abord, Monsieur Drainvillle, à lire le livret ci-joint, intitulé Le témoignage d’une militante, qui vous fera découvrir les grands défis qui continuent à être les miens depuis 1970 — comme infirmière spécialisée en Éducation — dans le domaine de l’éducation de nos enfants et de nos jeunes à l’amour et à la sexualité intégrés. Ce concept, je le reconnais, est hélas largement méconnu sinon profondément méprisé au sein de notre société laïque ayant opté pour un projet de société sans Dieu.
En tant que fondatrice et directrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF), j’estime cette tendance inacceptable, voire criminelle, dans notre société qui se dit démocratique et ouverte à tous. Que les enjeux sont graves pour nos enfants, jeunes et moins jeunes, qui ont reçu, depuis des décennies, une pseudo éducation à la sexualité qui ne répond aucunement à leurs besoins. Ils ont le DROIT de recevoir une éducation de qualité dans ce domaine, pour s’humaniser en vérité.
Bien que je sache que le contenu du cours d’Éducation à la sexualité en milieu scolaire fera dorénavant partie du cours Citoyenneté, qui remplacera celui d’Éthique et culture religieuse, je prévois que cet aspect du cours ira à l’encontre du concept d’intégration à l’amour et à la sexualité appelé à être transmis personnellement à l’enfant dès sa petite enfance.
Monsieur Drainville, dans le cas où vous acceptiez de lire mon livret avec un préjugé favorable, je ne serais pas surprise que vous vouliez aussi prendre un peu de temps pour découvrir notre site Web www.ciref.ca. Je vous invite surtout à prendre connaissance de la rubrique Formation, ce qui vous amènera à découvrir notre Campus virtuel qui offre un important enseignement à distance des deux premières formations annoncées. La troisième formation, L’intégration de l’amour et de la sexualité chez les jeunes adultes, sera prête sous peu. Vous en trouverez, ci-joint, le Module 13 que je viens de terminer. C’est un échantillon de notre enseignement à distance.
Les deux premières formations L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’enfant de 0 à 12 ans et L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’adolescent(e), comme vous le constaterez, sont destinées particulièrement aux parents, qui, à notre avis, ont la responsabilité de transmettre, dans le climat intime de leur foyer et au moment opportun, les éléments essentiels d’humanité. Cela serait fort possible grâce à l’enseignement à distance de notre CIREF, soutenu par des agents formateurs des parents préparés par nous.
Pour parvenir à atteindre cet objectif, il faudrait que les responsables des Comités de parents soient encouragés par vous, Monsieur Drainville à découvrir et partager cette information. Pas vrai ?
Je souhaite tellement que l’ensemble du monde de l’Éducation et de la Santé œuvrant en milieu scolaire découvrent, par notre enseignement à distance, une solide éducation du concept d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité, afin qu’advienne bientôt chez nous une véritable culture de l’amour et de la sexualité intégrés.
Pour terminer, je vous dis, monsieur Drainville, que je serais ravie de vous rencontrer en personne pour vous démontrer combien le milieu de l’Éducation a besoin de notre CIREF, pour renouveler les fondements éthiques de notre société québécoise.
Un grand merci, monsieur Drainville, de bien accueillir mon appel à l’aide.
Solange Lefebvre-Pageau
Fondatrice et directrice du CIREF
Infirmière retraitée
M. Sc., option enseignement
Certificat en théologie
Maman et grand-maman
Canada : les groupes 2ELGBTQI+ recevront 100 millions de dollars de Justin Trudeau
Justin Trudeau, lors de la conférence de presse à Ottawa le 28 août 2022, annonce le financement de la « communauté » 2ELGBTQI+ durant une journée de la fierté.
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : YouTube
Chers citoyens canadiens et québécois, j’espère que vous êtes prêt à oublier l’exclusivité sexuelle, la monogamie, le mariage naturel et le genre biologique, car bientôt, ces concepts risquent de faire partie de la préhistoire du Québec et du Canada entiers.
Dimanche le 28 août 2022, lors d’une conférence de presse à Ottawa le premier ministre Justin Trudeau et la ministre des Femmes, de l’Égalité des sexes et de la Jeunesse, Marci Ien dévoilent les détails d’un plan d’action du gouvernement pour soutenir les « communautés » 2ELGBTQI+, tel que reporté par The Canadian Press.
Pour préciser l’acronyme, 2ELGBTQI+ (pour les personnes qui ne seraient pas au courant) inclut les personnes qui s’identifient soit comme ayant deux esprits (l’esprit masculin et féminin), soit comme lesbienne, gay, bisexuel, transgenre, queer, intersexe et autres sexualités ou genres différents.
Alors que les lettres 2EL (2S en anglais pour two spirit) référent à la bispiritualité. Ce terme est utilisé par certains autochtones nord-américains pour décrire les personnes de leurs communautés qui remplissent un rôle cérémoniel et social traditionnel de troisième genre (ou d’une autre variante de genre) dans leurs cultures. En d’autres mots, la bispiritualité c’est être aux deux esprits.
Ainsi, le gouvernement fédéral décrit leur action de financement comme une première historique, en annonçant un plan quinquennal de 100 millions de dollars pour soutenir les communautés 2ELGBTQI+ à travers le pays, incluant le Québec.
Sur le site du premier ministre, nous pouvons lire un communiqué à cet égard qui explique la répartition du budget pendant les 5 années consécutives :
- Jusqu’à 75 millions de dollars pour les organismes communautaires 2ELGBTQI+ qui défendent et servent leurs communautés [...];
- 11,7 millions de dollars pour le Secrétariat 2ELGBTQI+ afin qu’il supervise et facilite la mise en œuvre du Plan d’action;
- 7,7 millions de dollars pour la collecte de données et la recherche en matière de politiques dirigée par la communauté à l’appui des interventions fédérales liées aux enjeux 2ELGBTQI+;
- 5,6 millions de dollars pour la conception et la mise en œuvre de campagnes de sensibilisation axées sur l’élimination de la stigmatisation et de la discrimination que subissent les personnes 2ELGBTQI+ du Canada;
Supprimer Dieu des salles de classe : un plan maçonnique pour façonner l’esprit des enfants américains
Par Raymond Maria — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Patcharida/Adobe Stock
23 août 2022 (LifeSiteNews) — Il y a un peu plus d’un siècle, la Juridiction Sud du Rite écossais franc-maçon aux États-Unis a élaboré un plan pour la sécularisation des écoles publiques américaines et l’endoctrinement des esprits des jeunes Américains par l’imposition d’une religion naturelle entre les murs de la classe. Ce plan a pris des décennies à être réalisé, et ses résultats sont en train de se révéler aujourd’hui. Si l’on veut remédier à l’état intellectuel et moral déplorable des écoles de la nation, il faut connaître les manœuvres politiques, les politiques et les décisions en justice des francs-maçons, qui ont conduit l’Amérique à la crise actuelle. Un parcours à vol d’oiseau du paysage de l’éducation ne sera qu’un début pour tenter de résoudre le problème.
La crise actuelle de l’éducation
L’éducation publique a longtemps fait la une des journaux ces dernières années. La Virginie a notamment connu un changement de gouverneur, en grande partie à cause du scandale de la dissimulation dans une école publique d’un viol qui s’est produit pendant les heures de classe. Le gouverneur Youngkin a trouvé dans le mépris de la gauche pour les droits des parents et le contrôle de l’éducation de leurs enfants de quoi alimenter sa campagne. Il s’est présenté en défendant le rôle naturel des parents en tant qu’éducateurs de leurs enfants et a plaidé pour que les conseils scolaires, les professeurs et l’administration rendent des comptes aux parents. Sans surprise, il a remporté une victoire écrasante.
Une fois encore, l’exposition des enfants à toutes sortes de perversions sexuelles par le biais des spectacles de drag queens est un fait qui hante désormais les écoles, les bibliothèques et même les églises du pays. Le matériel pornographique est utilisé pour l’enseignement de l’éducation sexuelle. Des programmes d’enseignement endoctrinant des esprits innocents à l’idéologie homosexuelle et transgenre sont imposés dès la maternelle. Les États débattent les uns après les autres de la législation sur les sports féminins et sur l’utilisation des vestiaires, des salles de bain et des douches par les hommes qui ont passé par une « transition » ou se sont « identifiés » comme femmes. Des bloqueurs de puberté sont administrés aux enfants du primaire à l’insu des parents. Et on dit aux enfants de cacher à leurs parents leur prétendu désir de « transition » vers le sexe opposé, au cas où leurs parents seraient susceptibles de s’opposer aux mutilations qu’implique un tel processus.
La « théorie critique de la race » est poussée dans les écoles par une relecture de l’histoire américaine entièrement interprétée selon les théories marxistes de la domination raciale et de la lutte des classes. On apprend aux enfants à haïr leur pays, son histoire et ses héros.
Alors que l’on montre de la pornographie dans les écoles publiques et que l’on enseigne une histoire sous-tendue par le marxisme athée, la lecture de la Bible est interdite, la prière publique bannie et l’affichage des Dix Commandements ou des Béatitudes strictement proscrit. La religion n’a pas sa place dans l’enseignement public, car il s’agit d’une affaire entièrement privée, établie comme telle, nous dit-on, par la Constitution, à travers le « mur de séparation de l’Église et de l’État. »
Lire la suiteUne coalition mondiale de parents se forme pour résister à l’endoctrinement sexuel pro-LGBT en classe
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : a4gpa/Flickr
22 juillet 2022 — Un mouvement international de parents de différents pays, tels que les États-Unis, l’Irlande, le Canada et des nations d’Amérique du Sud, a pris naissance. Tous ces parents se lèvent contre la sexualisation des enfants par leurs enseignants, leurs districts et leurs commissions scolaires dans un nouvel Engagement des parents qui prendra effet tout au long de l’année scolaire 2022-23.
En formant une coalition unie, les parents se soutiennent mutuellement et édifient un pouvoir populaire pour résister au matériel pornographique promu et distribué par certaines des plus grandes ONG du monde, dont l’Organisation mondiale de la santé.
Comme le montre la pétition déjà signée par plus d’un millier de parents, l’Engagement des parents est fondé sur la résistance dans trois domaines clés :
- La poussée politique en faveur d’une théorie transgenre radicale
- L’objectif de l’OMS de faire passer le plaisir sexuel pour des soins de santé
- La « préparation sexuelle » des enfants dans leurs salles de classe par des enseignants et des adultes en qui ils ont confiance pour qu’ils deviennent sexuellement actifs.
S’adressant exclusivement à LifeSiteNews, un parent américain souhaitant rester anonyme a exposé les raisons qui l’ont poussé à signer l’Engagement des parents :
Le fait que des documents pornographiques sur la masturbation soient présentés comme des soins de santé à des enfants de 4 ans par l’Organisation mondiale de la santé n’est qu’une petite indication de l’agenda prédateur bien ancré contre les valeurs familiales traditionnelles, mais nous, parents, faisons front commun avec le nouvel Engagement des parents.
L’Engagement des parents renvoie également à une leçon vidéo déchirante expliquant la « transition » de Lucy à Liam, produite par l’Irish National Teachers' Organization. On y trouve également la désormais tristement célèbre proposition de l’OMS qui préconise que les enfants de 0 à 4 ans soient informés sur la masturbation et l’« identité de genre ».
L’« identité de genre » pose un risque majeur pour la sécurité des enfants, comme l’a montré une histoire qui a attiré l’attention internationale, dans laquelle un étudiant a violé une étudiante dans les toilettes des filles à l’école.
Lire la suiteUn père du comté de Loudoun, qui a été traîné hors d’une réunion du conseil d’administration de l’école, révèle que sa fille a été « violée » dans les toilettes des filles par un élève en jupe qui a été arrêté pour avoir agressé une DEUXIÈME fille des mois plus tard — mais le personnel n’a rien fait.
— Jack Posobiec (@JackPosobiec) 12 octobre 2021
Des élèves de la maternelle au Canada reçoivent un devoir promouvant la masturbation
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bernardbodo/Adobe Stock
16 mai 2022, Alert Bay, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — De jeunes enfants d’une école primaire de la Colombie-Britannique ont reçu un devoir qui pourrait les encourager à une activité sexuelle solitaire.
La feuille de travail leur dit que « certains enfants aiment toucher les parties intimes de leur corps » et leur demande quels sont les lieux « privés » à la maison où ils peuvent, eux aussi, se toucher.
Les Libs of TikTok, un compte de média social populaire qui surveille les activités de gauche, ont rapporté que le devoir scandaleux a été donné après qu’une image du devoir eût été publiée sur Facebook.
La page du devoir est tirée d’un livre intitulé Body Smart : Right from the Start et demande aux enfants : « faire un dessin des lieux privés où tu peux toucher ton pénis ou ta vulve si tu le veux ».
Sur la même page, il est également écrit : « Toutes les familles ont des règles différentes concernant la masturbation (toucher ses propres parties intimes). Parle avec les adultes en qui tu as confiance des règles de ta famille ».
Le livre pro-masturbation infantile serait écrit pour des enfants de 3 ans, selon un site internet de revue d’éducation sexuelle.
Selon Libs of TikTok, l’auteur du livre ─ Kerri Isham ─ soutient la promotion de la masturbation auprès des tout-petits sur Facebook.
Isham a défendu le livre en disant qu’il ne fait pas directement la promotion de l’activité sexuelle auprès des enfants.
La sexualisation des enfants a fait la une des journaux depuis qu’il a été révélé que Disney a un programme secret pour promouvoir des contenus LGBT auprès des enfants. En outre, les activistes politiques de gauche se sont mis en colère après l’adoption par la Floride d’une loi protégeant les enfants contre les contenus sexualisants dans les écoles primaires publiques.
Un jeune adulte sur 12 au Royaume-Uni s’identifie comme « LGB »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Paolese/Adobe Stock
Pourquoi s’acharner à combattre activement et sans relâche l’intégration de l’idéologie LGBT dans l’éducation scolaire des enfants ? Pourquoi est-ce si important ?
Un article récent de LifeSiteNews rapporte que « De nouveaux chiffres de l’Office britannique des statistiques nationales (ONS) montrent que la proportion de personnes au Royaume-Uni âgées de 16 à 24 ans s’identifiant comme “LGB” en 2020 était de 8 %, soit près de 1 sur 12. »
8 % ne sont pas un pourcentage insignifiant. Même s’il avait été seulement 1 %, la gravité n’aurait pas changé. Ce sont de nombreuses personnes affectées, la plupart étant sûrement inconscients de leur erreur, qui adhèrent aveuglement à une idéologie destructrice ; une idéologie qui prône avant tout le désordre.
« Les résultats de l’enquête annuelle sur la population ont montré que le groupe des 16 à 24 ans contient la catégorie unique la plus élevée d’individus s’identifiant comme “LGB” » note le site de nouvelles pro-vie.
Au fond, est-ce surprenant que les jeunes soient les plus atteints puisque selon NBC News, depuis 2020, « L’éducation sexuelle inclusive LGBTQ est désormais obligatoire dans tous les lycées d’Angleterre. À partir de ce mois-ci, tous les adolescents anglais découvriront la santé sexuelle et les relations positives des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et homosexuels. »
D’où l’importance d’une éducation saine et solide, d’une formation qui trace un chemin clair vers le Vrai, le Bon, et le Beau, et non un endoctrinement qui oriente vers le désordre.
Ceux qui combattent bec et ongles l’idéologie LGBT, spécialement dans les programmes éducatifs, exagèrent ? Nous n’avons qu’à constater les résultats visibles et dévastateurs de tels programmes dans les pays qui les appliquent ; des résultats qui ne sont guère prometteurs pour les bâtisseurs de demain et l’avenir des pays.
La Floride enlève des avantages fiscaux à Disney
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Jrobertiko/Wikimedia Commons
C’est la guerre entre les républicains de Floride et Walt Disney. La pomme de la discorde : le soutien apporté à la culture gay par la société de divertissement pour enfants et jeunes.
Walt Disney devra dire adieu à son statut si particulier de Floride. Cela a été décidé par le gouvernement de Floride après l’opposition du géant à la loi interdisant l’enseignement du genre dans les écoles primaires.
La zizanie naît de la loi voulue par les républicains qui interdit la discussion en classe sur les questions liées à « l’identité de genre » dans les écoles primaires de l’État et que les progressistes ont surnommée « Don’t say gay » (Ne dit pas gay).
Sous la pression des associations LGBTQ et des démocrates, Disney a officiellement contesté la loi ces dernières semaines et promis de se battre pour l’abroger, expliquant que l’objectif du géant est de la faire « supprimer ».
En réponse, le gouverneur de Floride DeSantis a lancé une contre-attaque. Les législateurs de Floride ont voté pour priver Walt Disney de son statut spécial d’autonomie gouvernementale au milieu d’une confrontation politique entre l’entreprise et le gouverneur. Le statut conférait à Disney le pouvoir de prélever des impôts, construire des routes et contrôler les services publics sur le terrain inhérent à son parc à thème.
Connu sous le nom de Reedy Creek Improvement District, ce statut spécial est né à la suite d’un accord de 1967 entre l’État et la Walt Disney Company. Il permettait à l’entreprise de fonctionner comme une véritable administration municipale, avec son propre conseil de surveillance : cela signifie que le géant aurait même pu construire son propre aéroport ou une centrale nucléaire s’il le voulait.
Lire la suiteDeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
Lire la suitePatrick Brown et Jean Charest se lancent dans la course à la chefferie 2022 du PCC
Jean Charest, ex-premier ministre libéral du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Martin Sauvageau/Flickr
Deux candidats ont rejoint ceux déjà en lices pour la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada Patrick Brown et Jean Charest concourront avec la pro-vie Leslyn Lewis et le pro-avortement Pierre Poilievre.
Si la réputation de Jean Charest n’est sans doute plus à faire, nous en parlerons quand même plus loin, Patrick Brown n’est sûrement pas aussi connu des pro-vie que ce premier.
Lire la suitePatrick Brown a été notamment chef du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario de mai 2015 à 25 janvier 2018. Pour atteindre ce poste il a fait montre de sentiments susceptibles de plaire aux conservateurs sociaux… avant de tourner veste une fois élu. Selon Jack Fonseca de Campaign Life Coalition (CLC) :
Brown peut être caractérisé comme un politicien mutant. Lorsqu’il fait appel aux électeurs conservateurs dans les courses à la direction, il se présente comme un conservateur bleu profond et donne l’impression qu’il soutient des politiques conservatrices sur le plan social et fiscal. (En ce moment, il se présente comme un champion de la liberté religieuse.)
Mais une fois au pouvoir, et lorsqu’il perçoit qu’il n’a plus besoin de cet électorat, Brown se métamorphose en libéral rouge flamboyant et commence à copier toutes les politiques gauchistes de Justin Trudeau et des libéraux provinciaux.
Un exemple concret est le revirement honteux de Brown sur le programme d’éducation sexuelle radical du gouvernement libéral de Kathleen Wynne pour les enfants dès l’âge de six ans.
M. Brown a remporté la direction du Parti conservateur de l’Ontario en 2015 en grande partie en vendant des cartes de membres à des parents auxquels il a promis d’abroger le programme d’éducation sexuelle détesté. Il a même pris la parole lors d’une grande manifestation des droits des parents contre le programme d’études à Queen’s Park. Peu après sa victoire, cependant, il s’est prononcé en faveur du programme libéral d’éducation sexuelle pour enfants et, telle une vipère, s’est retourné contre les parents qui l’avaient élu, les traitant d’« homophobes ».
Au cours de cette course à la direction du PC, M. Brown s’est également présenté comme étant « solidement pro-vie » et « pro-mariage traditionnel », soulignant son bilan parfait de votes pro-vie en tant que député fédéral.
Mais après avoir remporté la course à la direction, il a brusquement abandonné ces positions, déclarant son soutien au « mariage » homosexuel, défilant dans une parade de la fierté gaie, et exprimant son engagement indéfectible envers l’avortement, qu’il a appelé par euphémisme « le droit des femmes de choisir ».
[...]
Brown est complètement pro-avortement et anti-famille. Il reçoit définitivement une cote feu rouge, et nous demanderons instamment aux partisans de Campaign Life Coalition de ne pas le classer sur leurs bulletins de vote.
Le nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
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