Lettre au ministre de l’Éducation Drainville par Solange Lefebvre-Pageau
Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
Le 15 décembre 2022
Monsieur le Ministre Bernard Drainville
Ministère de l’Éducation (Québec)
Bonjour Monsieur Drainville !
À l’approche du congé des ministres du Québec, assurément bien mérité, consciente que les défis ne vous manquent pas et sachant que vous avez exprimé votre volonté de faire avancer les choses, je me permets de venir vers vous.
Pourquoi ? Pour vous inviter, d’abord, Monsieur Drainvillle, à lire le livret ci-joint, intitulé Le témoignage d’une militante, qui vous fera découvrir les grands défis qui continuent à être les miens depuis 1970 — comme infirmière spécialisée en Éducation — dans le domaine de l’éducation de nos enfants et de nos jeunes à l’amour et à la sexualité intégrés. Ce concept, je le reconnais, est hélas largement méconnu sinon profondément méprisé au sein de notre société laïque ayant opté pour un projet de société sans Dieu.
En tant que fondatrice et directrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF), j’estime cette tendance inacceptable, voire criminelle, dans notre société qui se dit démocratique et ouverte à tous. Que les enjeux sont graves pour nos enfants, jeunes et moins jeunes, qui ont reçu, depuis des décennies, une pseudo éducation à la sexualité qui ne répond aucunement à leurs besoins. Ils ont le DROIT de recevoir une éducation de qualité dans ce domaine, pour s’humaniser en vérité.
Bien que je sache que le contenu du cours d’Éducation à la sexualité en milieu scolaire fera dorénavant partie du cours Citoyenneté, qui remplacera celui d’Éthique et culture religieuse, je prévois que cet aspect du cours ira à l’encontre du concept d’intégration à l’amour et à la sexualité appelé à être transmis personnellement à l’enfant dès sa petite enfance.
Monsieur Drainville, dans le cas où vous acceptiez de lire mon livret avec un préjugé favorable, je ne serais pas surprise que vous vouliez aussi prendre un peu de temps pour découvrir notre site Web www.ciref.ca. Je vous invite surtout à prendre connaissance de la rubrique Formation, ce qui vous amènera à découvrir notre Campus virtuel qui offre un important enseignement à distance des deux premières formations annoncées. La troisième formation, L’intégration de l’amour et de la sexualité chez les jeunes adultes, sera prête sous peu. Vous en trouverez, ci-joint, le Module 13 que je viens de terminer. C’est un échantillon de notre enseignement à distance.
Les deux premières formations L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’enfant de 0 à 12 ans et L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’adolescent(e), comme vous le constaterez, sont destinées particulièrement aux parents, qui, à notre avis, ont la responsabilité de transmettre, dans le climat intime de leur foyer et au moment opportun, les éléments essentiels d’humanité. Cela serait fort possible grâce à l’enseignement à distance de notre CIREF, soutenu par des agents formateurs des parents préparés par nous.
Pour parvenir à atteindre cet objectif, il faudrait que les responsables des Comités de parents soient encouragés par vous, Monsieur Drainville à découvrir et partager cette information. Pas vrai ?
Je souhaite tellement que l’ensemble du monde de l’Éducation et de la Santé œuvrant en milieu scolaire découvrent, par notre enseignement à distance, une solide éducation du concept d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité, afin qu’advienne bientôt chez nous une véritable culture de l’amour et de la sexualité intégrés.
Pour terminer, je vous dis, monsieur Drainville, que je serais ravie de vous rencontrer en personne pour vous démontrer combien le milieu de l’Éducation a besoin de notre CIREF, pour renouveler les fondements éthiques de notre société québécoise.
Un grand merci, monsieur Drainville, de bien accueillir mon appel à l’aide.
Solange Lefebvre-Pageau
Fondatrice et directrice du CIREF
Infirmière retraitée
M. Sc., option enseignement
Certificat en théologie
Maman et grand-maman
«Il faut sortir les enfants du système scolaire» - Dr Ann E. Gillies, PhD avertit les parents sur l'endoctrinement du genre
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Montage Photo : Joanne D’Arc
Le genre et le sexe sont des termes qui sont utilisés de manière interchangeable dans la société d’aujourd’hui, mais avant 1950 le genre ne s’appliquait qu’à la grammaire et non aux personnes.
Présentement, on entend souvent les gens parler de changement de genre, alors qu’ils se réfèrent au changement de sexe.
La définition scientifique du sexe biologique est, pour la quasi-totalité des humains, claire, binaire et stable (le nombre extrêmement faible de naissances intersexuées étant l’exception), reflétant une réalité biologique sous-jacente qui n’est pas contredite par les exceptions de comportement sexuel et ne peut pas être modifiée par la chirurgie ou le conditionnement social.
La définition du genre, soit la conscience et le sentiment d’être un homme ou une femme, est un concept sociologique et psychologique, et non un concept biologique.
Personne ne naît avec un genre, mais chacun naît avec un sexe biologique.
La science nous permet de conclure que le sexe humain est une dichotomie; il est binaire — homme et femme — et non un continuum. Plus de 99,98 % des humains naissent soit mâles, soit femelles.
Malheureusement, le système d’éducation présent, les médias de masse, les réseaux sociaux ainsi que les politiciens utilisent un langage qui porte à confusion à ces propos non seulement la majorité des adultes, mais les plus petits membres de notre société : nos enfants.
Suite à l’annonce récente du financement impressionnant de 100 $ millions par le premier ministre Justin Trudeau pour les groupes 2ELGBTQI+ nous avons discuté avec Dr Ann E. Gillies qui est thérapeute et conférencière d’Ottawa, spécialisée entre autres en Genre et Sexualité.
Dr Ann E. Gillies nous permet de mettre les choses au clair. Elle a passé plus de 25 ans dans un cabinet privé, travaillant intensivement avec des survivants de traumatismes, voyant des vies restaurées et transformées. Ann s’est retirée de la pratique en 2019 pour se concentrer sur la défense des droits et la réforme politique, pour les personnes traumatisées, surtout celles qui luttent contre les attirances sexuelles non désirées et pour les plus vulnérables — les enfants.
Lire la suiteSupprimer Dieu des salles de classe : un plan maçonnique pour façonner l’esprit des enfants américains
Par Raymond Maria — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Patcharida/Adobe Stock
23 août 2022 (LifeSiteNews) — Il y a un peu plus d’un siècle, la Juridiction Sud du Rite écossais franc-maçon aux États-Unis a élaboré un plan pour la sécularisation des écoles publiques américaines et l’endoctrinement des esprits des jeunes Américains par l’imposition d’une religion naturelle entre les murs de la classe. Ce plan a pris des décennies à être réalisé, et ses résultats sont en train de se révéler aujourd’hui. Si l’on veut remédier à l’état intellectuel et moral déplorable des écoles de la nation, il faut connaître les manœuvres politiques, les politiques et les décisions en justice des francs-maçons, qui ont conduit l’Amérique à la crise actuelle. Un parcours à vol d’oiseau du paysage de l’éducation ne sera qu’un début pour tenter de résoudre le problème.
La crise actuelle de l’éducation
L’éducation publique a longtemps fait la une des journaux ces dernières années. La Virginie a notamment connu un changement de gouverneur, en grande partie à cause du scandale de la dissimulation dans une école publique d’un viol qui s’est produit pendant les heures de classe. Le gouverneur Youngkin a trouvé dans le mépris de la gauche pour les droits des parents et le contrôle de l’éducation de leurs enfants de quoi alimenter sa campagne. Il s’est présenté en défendant le rôle naturel des parents en tant qu’éducateurs de leurs enfants et a plaidé pour que les conseils scolaires, les professeurs et l’administration rendent des comptes aux parents. Sans surprise, il a remporté une victoire écrasante.
Une fois encore, l’exposition des enfants à toutes sortes de perversions sexuelles par le biais des spectacles de drag queens est un fait qui hante désormais les écoles, les bibliothèques et même les églises du pays. Le matériel pornographique est utilisé pour l’enseignement de l’éducation sexuelle. Des programmes d’enseignement endoctrinant des esprits innocents à l’idéologie homosexuelle et transgenre sont imposés dès la maternelle. Les États débattent les uns après les autres de la législation sur les sports féminins et sur l’utilisation des vestiaires, des salles de bain et des douches par les hommes qui ont passé par une « transition » ou se sont « identifiés » comme femmes. Des bloqueurs de puberté sont administrés aux enfants du primaire à l’insu des parents. Et on dit aux enfants de cacher à leurs parents leur prétendu désir de « transition » vers le sexe opposé, au cas où leurs parents seraient susceptibles de s’opposer aux mutilations qu’implique un tel processus.
La « théorie critique de la race » est poussée dans les écoles par une relecture de l’histoire américaine entièrement interprétée selon les théories marxistes de la domination raciale et de la lutte des classes. On apprend aux enfants à haïr leur pays, son histoire et ses héros.
Alors que l’on montre de la pornographie dans les écoles publiques et que l’on enseigne une histoire sous-tendue par le marxisme athée, la lecture de la Bible est interdite, la prière publique bannie et l’affichage des Dix Commandements ou des Béatitudes strictement proscrit. La religion n’a pas sa place dans l’enseignement public, car il s’agit d’une affaire entièrement privée, établie comme telle, nous dit-on, par la Constitution, à travers le « mur de séparation de l’Église et de l’État. »
Lire la suiteRéaction de parents à l’annonce d’une école pour filles voulant inclure des garçons se disant « filles »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : dtiberio/Adobe Stock
(LifeSiteNews) — Le 17 août, nous rapportions l’histoire d’une annonce faite par la prestigieuse école de filles du Tennessee, Harpeth Hall, selon laquelle les garçons biologiques* qui s’identifient comme filles pourraient être admis comme étudiants. La nouvelle fut également couverte par une série de médias conservateurs et l’histoire devint virale nationalement et internationalement — ce qui provoqua une réaction massive. Dans les jours qui suivirent, Harpeth Hall annonça qu’il mettait en pause la « philosophie de la diversité des sexes », et il fut rapporté que le personnel avait organisé des appels de discussion avec des centaines de parents et d’anciens élèves, inquiets de cette politique.
Les discussions sont toujours en cours, car Harpeth Hall se retrouve coincé entre ceux qui insistent sur le fait que les garçons biologiques qui s’identifient comme filles sont des filles et l’indignation de nombreux parents qui envoient leurs filles dans une école exclusivement féminine pour une bonne raison. WSMV 4 a maintenant obtenu des lettres soulignant la division interne « au sein de la communauté de Harpeth Hall », dont une lettre d’opposition à la politique compte plus de 1 000 donateurs, parents et anciens élèves signataires, et une lettre anonyme de suivi appelant à un changement de direction de l’école.
Parmi les signataires de la lettre figurent d’éminents avocats, chefs d’entreprise et médecins de Nashville. La lettre, rédigée en termes forts, se lit comme suit :
Chère Mme Hill et le conseil d’administration de Harpeth Hall,
Nous vous écrivons aujourd’hui au nom d’un nombre important de parents actuels, d’anciens parents et d’anciens élèves. La semaine dernière a été difficile pour tout le monde, de quelque point de vue que ce soit. Une chose sur laquelle nous sommes tous d’accord est que vous, le corps professoral et le conseil d’administration, vous vous souciez profondément de nos filles et de Harpeth Hall en tant qu’institution. Dans cette optique, rien ne peut surpasser l’amour et l’intérêt d’un parent pour sa fille. L’adoption d’une politique qui invite les personnes autres que des femmes à poser leur candidature à Harpeth Hall constitue un changement critique dans la structure de l’école et, par extension, a un impact majeur sur nos filles.
Nous comprenons profondément la nécessité pour chaque enfant d’être soutenu et de trouver le meilleur environnement pour chaque étape de son développement. Nous admirons également tous les parents qui cherchent à trouver le meilleur environnement pour leur enfant unique. Nashville présente de nombreuses options, notamment des écoles réparties dans toutes les dimensions sociales et éducatives — qui acceptent les enfants sans considération de sexe ou genre et aident à leur développement. Mais nous avons choisi Harpeth Hall intentionnellement en raison de l’excellence de son enseignement, de ses nombreuses traditions et, oui, de l’importance qu’il accorde aux filles. Bien que beaucoup considèrent les questions de sexe et genre comme très complexes, il existe également une approche simple pour notre école : Harpeth Hall sélectionne et aide au développement des filles issues d’un large éventail de milieux, mais uniquement des filles, des filles à la naissance qui s’identifient également comme des filles aujourd’hui. Nous sommes convaincus que c’est l’idéal pour nos filles et nos petites-filles, et que cela leur permettra de se développer et de grandir, de concourir et de s’épanouir sans les distractions et les complexités des garçons, nés ou déclarés, dans la salle de classe, sur le terrain et les lieux.
Un nombre important de familles et de donateurs de la communauté de Harpeth Hall, dont ceux qui ont reçu une copie de ce message, estiment que l’administration et le conseil d’administration de Harpeth Hall ont oublié de nous inclure dans le processus d’examen d’un changement aussi important. La réputation de Harpeth Hall est endommagée et nous aimerions tous faire partie du processus de réparation. Nous demandons respectueusement la tenue d’une réunion publique en direct, avec tous les administrateurs de l’école, les membres du comité et les membres du conseil d’administration impliqués dans la création et l’adoption de cette politique. Étant donné les récents dommages causés à l’image de Harpeth Hall au niveau national et international, la question est urgente. Nous vous soumettons les dates et heures suivantes qui se tiendront dans le gymnase principal de Harpeth Hall, sans la présence des médias, des équipes de gestion de crise ou de relations publiques.
Au lieu des réunions en personne demandées, le personnel de Harpeth Hall a organisé des discussions virtuelles. Des groupes LGBT comme la Human Rights Campaign ont déjà exprimé leur déception face à la décision de mettre la politique en pause, et exercent sans aucun doute une pression énorme en coulisses.
Dans l’intervalle, cependant, la situation de Harpeth Hall souligne une fois de plus une leçon importante : lorsque les parents et les citoyens de bonne volonté s’opposent à des politiques radicales que la majorité des Américains ne soutiennent pas, ils peuvent créer un véritable changement. Le travail des journalistes et des militants conservateurs mettant en lumière ces politiques est essentiel.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Les Nations Unies demandent que l’enseignement à domicile soit davantage réglementé
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
19 avril 2022 (LifeSiteNews) — Alors que le débat sur l’implication des parents dans l’éducation se poursuit, un nouveau rapport de l’ONU suggère de réglementer davantage ceux qui choisissent de scolariser leurs enfants à domicile.
Dans le dernier « Rapport mondial de suivi sur l’éducation » des Nations Unies pour « 2021/2 » intitulé « Les acteurs non étatiques dans l’éducation : qui choisit ? qui perd ? », l’organisation mondiale suggère qu’un système de réglementation plus strict doit être mis en œuvre pour assurer l’uniformité de ce qui est enseigné aux enfants, indépendamment de l’endroit ou de la personne qui les éduque.
Selon le rapport de l’ONU, la présence d’« acteurs non étatiques » dans l’éducation, qui fait principalement référence aux éducateurs du secteur de l’enseignement privé mais mentionne également les parents impliqués dans l’enseignement à domicile, favorise l’« inégalité » et les « privilèges », et la solution consiste donc pour les gouvernements à consolider « toute » l’éducation dans un « système unique ».
L’ONU affirme que l’augmentation du taux d’enseignement à domicile est le résultat de la « mobilisation d’un mouvement conservateur mondial ». Le rapport poursuit en critiquant l’éducation à domicile pour son rôle supposé dans « l’exacerbation des déséquilibres entre les sexes » et l’impact négatif sur les taux d’emploi des « mères mais pas des pères », une tendance observée lorsque les taux de « homeschooling » ont grimpé en flèche pendant l’ère COVID.
En réponse à ces arguments, Michael Donnelly, avocat principal de la Home School Legal Defense Association, a écrit dans une analyse approfondie du rapport qu’« il y a quelque chose de profondément défectueux dans le fait qu’un organisme international considère la “participation au marché du travail” comme la condition sine qua non de l’épanouissement humain, en particulier lorsque le sujet est en fait l’éducation des enfants ».
Lire la suiteLa Floride enlève des avantages fiscaux à Disney
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Jrobertiko/Wikimedia Commons
C’est la guerre entre les républicains de Floride et Walt Disney. La pomme de la discorde : le soutien apporté à la culture gay par la société de divertissement pour enfants et jeunes.
Walt Disney devra dire adieu à son statut si particulier de Floride. Cela a été décidé par le gouvernement de Floride après l’opposition du géant à la loi interdisant l’enseignement du genre dans les écoles primaires.
La zizanie naît de la loi voulue par les républicains qui interdit la discussion en classe sur les questions liées à « l’identité de genre » dans les écoles primaires de l’État et que les progressistes ont surnommée « Don’t say gay » (Ne dit pas gay).
Sous la pression des associations LGBTQ et des démocrates, Disney a officiellement contesté la loi ces dernières semaines et promis de se battre pour l’abroger, expliquant que l’objectif du géant est de la faire « supprimer ».
En réponse, le gouverneur de Floride DeSantis a lancé une contre-attaque. Les législateurs de Floride ont voté pour priver Walt Disney de son statut spécial d’autonomie gouvernementale au milieu d’une confrontation politique entre l’entreprise et le gouverneur. Le statut conférait à Disney le pouvoir de prélever des impôts, construire des routes et contrôler les services publics sur le terrain inhérent à son parc à thème.
Connu sous le nom de Reedy Creek Improvement District, ce statut spécial est né à la suite d’un accord de 1967 entre l’État et la Walt Disney Company. Il permettait à l’entreprise de fonctionner comme une véritable administration municipale, avec son propre conseil de surveillance : cela signifie que le géant aurait même pu construire son propre aéroport ou une centrale nucléaire s’il le voulait.
Lire la suiteDeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
Lire la suiteLe nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
Lire la suiteDeSantis reproche à Disney de s’opposer au projet de loi interdisant l’« éducation sexuelle » radicale des jeunes enfants
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
11 mars 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a riposté jeudi au PDG de Disney, Bob Chapek, lui reprochant d’avoir critiqué publiquement un projet de loi de Floride qui vise à protéger les jeunes enfants de l’idéologie sexuelle radicale dans les écoles.
Lors d’un événement organisé le 10 mars à Orlando, en Floride, où se trouve l’immense complexe Disney World de 27 000 acres, le gouverneur républicain a déclaré que l’« État ensoleillé » ne fonderait pas sa politique sur « les rêveries des grandes sociétés » et a critiqué la méga-corporation pour ses relations avec le régime brutal du Parti communiste chinois (PCC).
« Voici donc ce que je peux vous dire : dans l’État de Floride, nous n’allons pas permettre que l’on injecte du transgenrisme en maternelle », a déclaré DeSantis dans une vidéo obtenue par Fox News Digital.
« Les enfants de première année ne devraient pas se voir imposer l’idéologie du genre “woke” dans leurs programmes, et c’est ce que nous défendons, parce que nous défendons les enfants et les parents », a déclaré DeSantis, qui a suscité un large soutien parmi les conservateurs pour avoir combattu les mesures COVID-19 liberticides, soutenu l’application de la loi, favorisé les mesures limitant l’avortement et travaillé à déraciner les idéologies radicales de la salle de classe.
« Je peux vous dire ceci : la probabilité que je renonce à mon engagement envers les étudiants et à mon engagement envers les droits des parents simplement à cause de récits médiatiques frauduleux ou de pressions exercées par des sociétés malveillantes est nulle », a déclaré M. DeSantis.
Lire la suiteLe Guatemala renforce sa loi sur l’avortement
Chambre du Parlement du Guatemala.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gobierno de Guatemala/Wikimedia Commons
Le parlement unicaméral du Guatemala a adopté un projet loi alourdissant les peines encourues pour le crime d’avortement, il n’y manque plus que la signature du président Alejandro Gianmattei, pro-vie déclaré.
Ce petit État d’Amérique centrale, peuplé de 16 millions d’habitants, punissait déjà l’avortement de trois ans de prison — maintenant ce sera de dix. Selon FSSPX.News :
En ce mardi 8 mars 2022 que le Congrès du Guatemala — qui n’est constitué que d’une seule chambre — a voté l’approbation de la « Loi pour la protection de la vie et de la famille ». Ce texte renforce la défense de la vie de l’enfant à naître en augmentant les peines liées à l’avortement.
Cette loi, qui doit encore être signée par le président Alejandro Giammattei, punit désormais jusqu’à dix ans de prison, contre trois actuellement, toute femme qui « a réalisé son propre avortement ou consenti à ce qu’une autre personne l’effectue ».
Le texte punit également quiconque effectue « un avortement ou des manœuvres abortives sans le consentement de la femme » et qui provoque son décès, d’une peine pouvant aller jusqu’à 50 ans de prison.
En plus de renforcer la lutte contre l’avortement, cette nouvelle loi interdit également le « mariage » entre personnes de même sexe, ainsi que l’idéologie transgenre à l’école, selon Gènéthique :
La « loi pour la protection de la vie et de la famille » introduit également une réforme du Code civil. Il y est désormais stipulé que « le mariage entre personnes du même sexe est expressément prohibé ». Par ailleurs, le texte interdit « aux entités éducatives publiques et privées de promouvoir auprès des enfants et adolescents des politiques ou des programmes qui tendent à dévier de leur identité sexuelle de naissance ».