La Marche un million pour les enfants a vu son soutien quadrupler depuis l’année dernière
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Coalition nationale pour la vie
22 août 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — La marche canadienne un million pour les enfants cet automne devrait être encore plus importante que celle de l’année dernière qui a vu plus d’un million de Canadiens marcher pour les droits parentaux.
Au cours d’une entrevue exclusive avec LifeSiteNews, l’activiste musulman pro-famille Kamel El-Cheikh a révélé que le mouvement Hands Off Our Kids contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles a quadruplé en taille dans les mois précédant la deuxième Marche un million.
Des Canadiens d’un bout à l’autre du pays se joignaient au mouvement et disaient : « J’ai participé à la Marche un million l’année dernière, je n’ai pas travaillé directement avec vous, mais nous avons essayé d’aider et de combler ce vide, et nous avons fait du bon travail. Nous avons eu une participation massive. J’aimerais travailler avec vous officiellement », a déclaré M. El-Cheikh, qui a organisé la marche d’un océan à l’autre pour les droits parentaux en septembre dernier.
« Et il s’agit de Canadiens chrétiens », a-t-il ajouté. « Il s’agit de gens des Premières nations, de sikhs, de musulmans. »
M. El-Cheikh a également révélé que le mouvement a « quadruplé en taille » par rapport à septembre 2023, tant en termes de sympathisants que de personnel. Le groupe a désormais des responsables en Colombie-Britannique, en Alberta, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick, en Ontario et au Québec.
« Nous sommes 75 % plus importants que l’année dernière en termes de personnel et de personnes », a déclaré M. El-Cheikh.
Lire la suite20 septembre : manifestez pour les enfants et les droits parentaux
Participants à la Marche 1 million pour les enfants, le 20 septembre 2023 à Montréal.
Par UVVC — Photo : X
Marche 1 million pour les enfants
Défendons nos enfants. Nos droits parentaux sont des droits donnés par Dieu et aucun parti politique ou aucune autorité ne peut compromettre ou nous enlever ce droit à nous, parents.
Le 20 septembre 2023 a été une journée historique qui s’est déroulée dans notre société canadienne à travers le pays pour protéger l’avenir de nos enfants, préserver nos droits en tant que parents et assurer l’avenir de notre pays.
Cette année, le 20 septembre 2024, sera un autre jour pour rappeler aux oreilles sourdes, aux yeux aveugles et à tous les prédateurs et pédophiles que pour chaque enfant, certains parents sont prêts à sacrifier tout ce qu’ils ont pour protéger la dignité
et l’innocence de leurs enfants.
Défendons nos enfants. Les droits des parents d’élever leurs enfants sont des droits que Dieu nous a donnés, et aucun parti politique ou autorité ne peut nous obliger à renoncer ou à nous enlever ce droit, parents et parents adoptifs.
Un rendez-vous à ne pas manquer le 20 septembre, L’emplacement : en face de l’Hôtel de Ville de Montréal, à côté du palais de justice…
215 Rue Notre Dame E, Montréal, QC H2Y 1C6
Métro Champ de Mars
À 9 h
Le cours de Culture et citoyenneté québécoise imposera l’idéologie du genre à la rentrée
Jean-Léon Laffitte, président de l'Association des parents catholiques du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jordaniste/YouTube
Le nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise, qui remplacera l’ancien cours d’ÉCR à la prochaine rentrée, comprendra dans son volet d’éducation sexuelle (déjà néfaste) l’idéologie du genre.
Dans une entrevue avec Michel Lizotte, journaliste indépendant, Jean-Léon Laffitte, président de l’Association des parents catholiques du Québec (APCQ), explique les fondements de l’idéologie du genre, qui prétend que le sexe est « assigné » à la naissance et est une construction sociale.
La théorie du genre est-elle fondée scientifiquement ? M. Laffitte nous parle du tout récent rapport Cass produit en Grande-Bretagne, où des milliers de personnes ayant subi une « transition de genre » regrettent maintenant d’avoir suivi cette procédure irréversible, qui affirme qu’aucune étude probante ne soutient les prétentions de la théorie du genre, à savoir que les « traitements » comme les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles ou les opérations sont bénéfiques aux enfants atteints de dysphorie du genre.
Le suicide des jeunes à qui on ne procurerait pas de transition est souvent brandi comme argument pour forcer les parents à approuver la transition de leur enfant atteint de dysphorie. Pour répondre à cet argument, M. Laffitte mentionne une autre étude qui démontre que le taux de suicide chez les jeunes n’est pas plus élevé si on s’occupe de leur santé mentale plutôt que de les transitionner.
Le gouvernement britannique, sur le fondement du rapport Cass est en train de revenir sur l’expérience de l’idéologie du genre. Pourtant, au Québec, souligne M. Laffitte, nous ne profitons pas de l’expérience britannique et persévérons dans la même erreur (Errare humanum est, perseverare diabolicum...).
Lire la suiteLa 2e manifestation de refus de la « fierté » LGBT au Canada est un succès, selon un groupe pro-famille
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
5 juin 2024 (LifeSiteNews) — Pour la deuxième année consécutive, des Canadiens à travers le pays ont gardé leurs enfants à la maison cette semaine pour protester contre la célébration du mois de la « fierté » LGBT dans les écoles.
En début de semaine, les écoles publiques célébrant le mois de la « fierté » ont enregistré des absences d’élèves, car de nombreuses familles canadiennes n’ont pas envoyé leurs enfants à l’école du 31 mai au 4 juin, préférant participer à des prières devant les conseils scolaires catholiques et les bureaux des évêques, selon l’organisateur du mouvement, la Coalition nationale pour la vie.
« La bataille pour les droits parentaux nécessitera de la persévérance et un engagement à long terme jusqu’à ce que le fléau de la suprématie et de l’endoctrinement homosexuels soit éliminé de nos écoles et des salles de classe de nos enfants », a déclaré Jack Fonseca, de la CNV, à LifeSiteNews.
« Cette manifestation a été un élément important de la pression exercée pour envoyer un message aux enseignants pro-LGBT, aux directeurs d’école, aux administrateurs et aux fonctionnaires du ministère de l’Éducation », a-t-il poursuivi.
La manifestation a bénéficié d’une bonne publicité et du soutien de divers groupes de défense des droits des parents et de réseaux de défense des parents, dont la Coalition canadienne des droits des parents, Hands Off Our Kids et Kamil El-Sheikh, l’organisateur de la MillionPersonMarch4Children de septembre dernier.
Lire la suiteLe mouvement des écoles catholiques indépendantes offre aux parents ontariens une alternative
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : puhimec/Adobe Stock
22 avril 2024 — Un groupe de personnes investies dans l’éducation catholique développe un réseau pour aider le mouvement des écoles catholiques indépendantes en Ontario.
Le Consortium des écoles catholiques indépendantes de l’Ontario (Consortium of Independent Ontario Catholic Schools — CIOCS) est un réseau d’écoles dont l’objectif principal est de favoriser la collaboration et la communion entre les écoles membres tout en soutenant des valeurs, une mission et un engagement communs envers l’éducation catholique.
John Pacheco, l’un des directeurs du Consortium, a expliqué l’une des motivations du groupe.
« On parle beaucoup aujourd’hui d’identité, et nous croyons que l’identité de chaque enfant doit s’enraciner et se conformer à l’image de Jésus-Christ, à l’image immuable duquel nous avons été créés », a-t-il déclaré.
« D’un point de vue pratique, nous cherchons à développer une structure de soutien pour aider nos écoles membres actuelles et futures dans divers domaines. L’un des principaux objectifs du CIOCS est de trouver des moyens de réduire les coûts afin de mettre l’enseignement privé catholique à la portée des parents ».
Lire la suiteDeSantis recule devant les idéologues LGBT au sujet de la loi sur les droits parentaux en éducation
Ron DeSantis.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
22 mars 2024 (LifeSiteNews) — L’administration DeSantis a inexplicablement déclaré victoire pour le maintien de sa loi surnommée « Ne dites pas Gay » après avoir signé un accord qui neutralise l’intention de la loi, permettant aux influenceurs LGBT dans les systèmes scolaires de Floride de continuer pratiquement sans entrave leurs efforts d’endoctrinement des enfants dans les écoles publiques.
La semaine dernière, l’État de Floride a conclu un accord avec le groupe pro -LGBT Equality Florida et d’autres plaignants dans une affaire contestant la loi sur les droits parentaux en éducation (Parental Rights in Education Act), promulguée en 2022 pour restreindre l’enseignement de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre dans les écoles publiques.
Le règlement, qui a été accepté par l’administration DeSantis, laisse la loi en place mais contient un langage très inquiétant que la Christian Family Coalition (CFC) de Floride pense que les enseignants et administrateurs activistes LGBT utiliseront pour violer l’intention et l’esprit originaux de la loi, qui a été créée en réponse à l’indignation croissante des parents face à l’endoctrinement LGBT omniprésent dans les salles de classe à travers la Floride.
Lire la suiteL’Indiana lance un site permettant aux parents de dénoncer l’endoctrinement sur le genre et les races dans les écoles
Todd Rokita, procureur général de l'Indiana.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Office of the Indiana Attorney General/YouTube
9 février 2024, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le bureau du procureur général républicain de l’Indiana, Todd Rokita, a lancé un site internet pour permettre aux parents de l’État de signaler plus facilement les cas d’endoctrinement idéologique dans les salles de classe de leurs enfants.
La page officielle « Eyes on Education » de l’État contient un formulaire que les résidents peuvent remplir pour soumettre leurs plaintes, accompagnées de photos ou de documents le cas échéant, un lien vers la Charte des droits des parents de l’Indiana qui précise les garanties d’implication des parents et les options de recours, ainsi que des liens vers la documentation sur les politiques pertinentes et le matériel répréhensible provenant de nombreux districts scolaires de l’État.
« Nos enfants doivent se concentrer sur les éléments fondamentaux de l’éducation, et non sur l’idéologie politique, qu’elle soit de gauche ou de droite », peut-on lire sur la page. « Eyes on Education est une plateforme permettant aux étudiants, aux parents et aux éducateurs de soumettre et de visionner des exemples réels provenant de salles de classe de tout l’État. Le bureau du procureur général assurera le suivi des documents soumis au portail qui pourraient enfreindre la loi de l’Indiana en utilisant nos outils d’investigation, y compris les demandes d’archives publiques, et publiera également ses conclusions sur le portail ».
Lire la suiteUne vidéo hilarante montre à quel point il est facile de démystifier la propagande transgenre
Socrate.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tloutakos/Wikimedia Commons
5 février 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo publiée sur X (Twitter) par Lee Harris, le commentateur de GB News, dans laquelle un enseignant interroge calmement un élève sur les raisons pour lesquelles il pense que J.K. Rowling est « transphobe », est devenue virale, accumulant 36 millions de vues et 36 000 rediffusions. La vidéo dure un peu plus de quatre minutes et mérite qu’on s’y attarde :
This is utterly brilliant. A student accuses @jk_rowling of being transphobic. This teacher skilfully dissects the claim and challenges it by asking questions.
— Lee Harris (@addicted2newz) February 3, 2024
He teaches not what to think, but how to think critically.
Watch until the end.
You see the epiphany in real-time. pic.twitter.com/x00gWdOugc
L’élève demande au professeur s’il aime toujours le travail de Rowling « malgré ses opinions intolérantes ».
« Mais soyons précis. Définissons les “opinions intolérantes”. Quelles sont les opinions intolérantes ? », répond l’enseignant. « Il s’agit d’une expérience de pensée. Je ne vais pas dire ce qui est bien ou mal ou ce qu’il faut penser. L’objectif est d’apprendre à penser, pas de savoir ce qu’il faut penser. Oui, lorsque vous dites “intolérantes”, vous partez de la conclusion suivante : “étant donné ses opinions intolérantes”. Commençons donc par demander si elle a des opinions intolérantes. Ainsi, lorsque vous dites “opinions intolérantes”... »
L’élève : « J’ai entendu dire qu’elle était extrêmement transphobe ».
Enseignant : « Vous avez entendu, et alors ? Pouvez-vous me donner un exemple ? »
Lire la suiteLes militants LGBT craignent que Blaine Higgs ne l’emporte grâce à son programme sur les droits parentaux
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
29 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Le jeudi 25 janvier, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, a prononcé un discours sur « l’état de la province » devant une foule à Fredericton, détaillant les réalisations de son gouvernement et exposant le plan de son administration. À plusieurs reprises, M. Higgs a mentionné le soutien indéfectible de son gouvernement aux droits parentaux, ce qui lui a valu d’être la cible des militants LGBT et des politiciens progressistes depuis qu’il a modifié la politique 713. En vertu de ces modifications, le personnel scolaire doit obtenir le consentement des parents avant de changer, à l’école, le nom ou les pronoms de leurs enfants pour le genre opposé, une pratique qui avait été introduite discrètement quelques années auparavant.
M. Higgs a indiqué qu’il était prêt à s’attaquer à des « questions difficiles » — en décembre, il a réaffirmé que les droits parentaux étaient « très importants » pour lui — et son bilan le prouve. Malgré une couverture médiatique presque universellement négative et la démission de deux de ses ministres, M. Higgs s’en est tenu à ses principes et a compté sur le soutien de l’opinion publique. En effet, les sondages ont indiqué qu’une super-majorité de Canadiens soutenait sa décision politique, et une série d’autres premiers ministres lui ont rapidement emboîté le pas en mettant en œuvre des politiques similaires. La décision de M. Higgs de prendre position a donné aux autres premiers ministres la colonne vertébrale qu’ils auraient dû avoir eux-mêmes. En effet, les conservateurs de son propre parti ont renoncé à contrecœur à tenter de l’évincer après de multiples tentatives risibles et infructueuses d’imposer un réexamen de la direction du parti.
Lire la suiteLa guerre non déclarée contre les parents
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Le 28 février 1395, Isidore Glabas, évêque de Thessalonique, en Grèce du Nord, prononça un sermon dans lequel il commença par poser la question suivante :
« Que dois-je dire et comment dois-je considérer l’ampleur du malheur présent ? ... J’ai entendu le dur décret concernant nos êtres les plus chers, et je tremble comme quelqu’un devant un feu trop chaud pour en être approché, ou comme quelqu’un qui se trouve face à un escrimeur invincible. ... Mes lèvres se transforment en lamentations, mon esprit se voile d’un nuage de découragement et je suis presque fou. Mes yeux sont remplis de larmes et je ne peux plus supporter de voir mes bien-aimés. » (1)
Ce qu’il raconte ensuite est l’une des premières descriptions que nous ayons du devshirme (du mot turc signifiant « rassemblement »), également connu sous le nom d’impôt sur le sang : le tribut sur les enfants exigé des peuples de Roumanie, de Grèce et des Balkans. Tous les cinq ans environ, sur les terres chrétiennes de l’Empire ottoman, les garçons âgés de huit à quinze ans étaient « rassemblés » et les plus grands, les plus forts et les plus beaux étaient ramenés en Anatolie en tant qu’esclaves. Là, ils étaient convertis de force à l’islam et recevaient des noms musulmans. Ils étaient soumis à des travaux forcés pour les endurcir avant de suivre une formation militaire. Les meilleurs et les plus brillants rejoignaient les rangs privilégiés des janissaires, les troupes d’élite du sultan. Fanatiquement fidèles à leur nouveau maître, ils étaient utilisés pour soumettre leur propre peuple et conquérir de nouveaux territoires pour les Turcs. C’est ainsi que les fils de parents chrétiens ont contribué à perpétuer le régime qui les avait réduits en esclavage ainsi que les générations de garçons qui leur ont succédé.
Lire la suite