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L'obésité pourrait entraîner l'infertilité

Sur le site de genethique.org du 26 juin 2012:

 

 

 

En s’interrogeant sur "les liens possibles entre obésité et infertilité masculine", diverses études menées par le Pr Rachel Levy (Service d’histologie, embryologie, cytogénétique et biologie de la reproduction - hôpital Jean Verdier de Bondy) ont montré que "l’hypercholestérolémie chez le lapin, l’obésité paternelle induite par l’alimentation chez la souris et l’obésité chez l’homme altéraient le pouvoir fécondant du sperme". De même, "le développement embryonnaire [fait l’objet d’une détérioration] par le surpoids et l’obésité, chez la souris comme chez l’homme". Afin d’évaluer cette détérioration de l’embryon, un programme hospitalier de recherche clinique va être réalisé dans des centres d’AMP. Plus particulièrement, "l’obésité est considéré comme un facteur de risque de dysfonction érectile, d’apnée du sommeil (qui interrompt l’élévation nocturne en testotérone) et d’augmentation de température du scrotum". (...)

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"Battez les traîtres à la nation", ceux qui veulent avoir plus d'un enfant en Chine, et le disent publiquement...

Le mari de Feng Jiangmei est toujours disparu. Les autorités locales auraient subi des représailles pour l'avortement forcé, mais dans la rue des manifestants protestent contre la mauvaise image de la Chine que ces mauvais patriotes, ce couple voulant plus d'un enfant, a donnée. Vous pouvez écouter le reportage Catherine Mercier de Radio-Canada du 27 juin 2012 en cliquant ici.

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La grande inquisition

On a raconté tout et n’importe quoi sur l’inquisition religieuse des siècles passés. Mais on ne peut faire de même avec celle qui a cours actuellement, sous nos yeux. Des catégories de personnes sont jugées, condamnées, purgent leur peine carcérale et, sont recondamnées par l’opinion publique comme n’ayant pas le droit au rachat. La punition de la prison n’a aucune valeur, ces personnes doivent payer toute leur vie leurs crimes.
 
Karla Homolka en est un bon exemple. Elle a participé à des crimes atroces qui ont valu à son partenaire la prison à vie. Elle a passé 12 années en prison. Elle en est sortie, elle a quitté le pays, s’est mariée, ELLE A TROIS ENFANTS…
 
Peu importe, la journaliste Paula Todd, n’a rien trouvé de mieux dans son métier que de ramener dans l’actualité cette histoire pour voyeurs de sordide et d’aller débusquer Karla Homolka là où elle se trouve maintenant, dans une île de Guadeloupe. Pour que personne n’oublie, pour que tous sachent où elle se trouve, pour que nous puissions la haïr et lui répéter que si seulement nous avions été les juges, elle serait du moins toujours en prison, sinon pendue au bout d’une corde. Karla Homolka doit subir la « justice » de journalistes qui affirment qu’elle ne doit pas avoir la paix. Jamais. Peu importe ses enfants…
 
« RETROUVER KARLA », crie la grande inquisitrice Petrowski. « L'important, c'est que nous l'avons retrouvée. Et que nous la retrouverons encore. Toute femme libre qu'elle soit, elle ne le sera jamais entièrement. » Petrowski veut plutôt dire que tout comme elle, des juges-journalistes ne la laisseront jamais libre, car elle constitue une ressource facile pour chasseurs de primes en panne de sujet.
 
La justice a condamné Karla Homolka à 12 années de prison qu’elle a purgées. Si des juges-journalistes trouvent qu’il y eut injustice, alors qu’ils fassent un travail utile. Des reportages et des entrevues d’hommes de loi sur les réformes pouvant améliorer cette justice. Mais si les experts et spécialistes affirment que les jugements rendus sont les plus justes possible dans l’un des meilleurs systèmes de droits, alors qu’elles se trouvent un autre os à ronger. Une personne qui a purgé sa peine a droit, à DROIT à la réhabilitation.
 
Karla Homolka ne sera jamais entièrement libre parce qu’en son cœur, elle connaît la souffrance d’avoir été complice, d'avoir laissé tué et torturé sa sœur et d’autres jeunes filles. Elle sait qu’aux yeux du monde elle est un monstre et que cette image pourrait être transmise à ses enfants. « Souvent je pleure. Je n'arrive pas à me pardonner. Je pense à ce que j'ai fait, puis je pense que je ne mérite pas d'être heureuse à cause de ça », a-t-elle dit dans une entrevue à sa sortie de prison. Est-elle sincère? Dieu jugera de son cœur après la justice terrestre. Beaucoup de femmes ayant subi un ou plusieurs avortements vivent une souffrance semblable.
 
Mais ce n’est certainement pas à nous, même si nous avons le titre de journaliste ou de journaliste vautour, d’en juger. Le lynchage public est une caractéristiques des pays où l'état de droit n'est toujours pas en place...
 
Ces jeunes enfants ont le droit de ne pas regarder leur mère comme un monstre, une meurtrière qui devrait pendre au bout d’une corde…
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Une italienne donne sa vie pour son enfant à naître

Sur le blog de Jeanne Smits du 26 juin 2012:

 

(Chiara Petrillo Corbella et famille)

Ils étaient radieux, rayonnants de joie lorsqu'ils ont pu parler au Pape, début mai, à la fin d'une audience du mercredi. Chiara et Enrico Petrillo Corbella étaient venus lui présenter leur petit Francesco, né il y a un peu plus d'un an. Et dire que Chiara allait mourir. Bientôt. Car elle avait refusé les traitements lourds qui auraient pu la sauver d'un cancer très agressif pour ne pas risquer de porter atteinte à la vie de leur troisième enfant. Benoît XVI en avait été profondément ému, caressant l'enfant, les touchant avec tendresse.

Chiara est morte le 13 juin. Dans la paix de Dieu qui dépasse toute intelligence.
 (...)

Pour lire ce très beau témoignage, cliquez ici.

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Intolérance et homosexualité

À lire, un excellent article paru sur le site de RCSQ du 26 juin 2012. En voici un extrait sur la définition de la Tolérance:

 

 

La nouvelle tolérance

Je suis en train de lire le dernier livre de Donald Carson : The Intolerance of Tolerance, dans lequel il démontre un changement de paradigme dans le concept de tolérance. Autrefois la tolérance signifiait accepter l’existence d’opinions divergentes et leur accorder la liberté d’expression. Aujourd’hui la tolérance signifie ne pas critiquer le point de vue d’un autre. Voici comment Carson résume ce changement de paradigme :

Ce passage de « accepter l’existence d’opinions divergentes » vers « accepter les opinions divergentes » (…) peut paraître subtil extérieurement, mais il est substantiellement massif. Accepter qu’une position différente ou opposée existe et qu’elle ait le droit d’exister est une chose, accepter cette position même signifie qu’on ne peut plus s’y opposer. (…) Nous sommes partis de « permettre la libre expression d’opinions contraires » pour arriver à « l’acceptation de toutes les opinions »; nous sommes passés de « permettre l’articulation de croyances et d’affirmations avec lesquelles nous ne sommes pas d’accord » à « déclarer toutes croyances et affirmations comme étant également valides ». C’est ainsi que l’ancienne tolérance a cédé la place à la nouvelle tolérance.

L’ouvrage a pour but de démontrer la poutre dans l’œil de cette nouvelle définition de la tolérance : une intolérance agressive envers toute critique d’une opinion personnelle qui offense celui qui tient cette opinion. La tolérance signifie le rejet catégorique de tout dogmatisme… voilà le nouveau dogme! Ironique n’est-ce pas? Dans son livre, Carson démontre comment la nouvelle tolérance, pour ne pas dire la nouvelle intolérance, est en train de ruiner l’honnêteté intellectuelle des milieux académiques, comment elle a pris d’assaut les médias et il démontre par plusieurs cas d’arbitrages et de poursuites judiciaires les ravages de ce néo-totalitarisme.

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Un débat public sur l'euthanasie réclamé par le Journal de l'association médicale canadienne

Si l'on pouvait compter sur une procédure honnête, le débat serait une bonne initiative. Mais après avoir constaté l'irrégularité de la Commission "Mourir dans la dignité" qui n'a tenu aucun compte des arguments plus que valables contre l'euthanasie, déposés par une majorité de spécialistes et d'organismes défendant les personnes les plus vulnérables de la société, il est permis de douter des intentions du Journal. Ce débat ne servira-t-il qu'à couvrir d'une apparence d'écoute de la population une décision déjà prise? Sur le site de Radio-Canada du 25 juin 2012:

(Dr John Fletcher)

Les Canadiens doivent lancer un débat public national sur la légalisation du suicide médicalement assisté pour les malades en phase terminale, ont déclaré lundi deux médecins dans un éditorial du Journal de l'Association médicale canadienne (JAMC).

Intitulé « Choisir comment et quand mourir : sommes-nous prêts à effectuer des homicides thérapeutiques? », le texte fait suite au rapport récemment publié par une commission du gouvernement du Québec, qui affirme que les mourants devraient avoir la possibilité, dans certaines conditions précises, de recevoir une aide médicale pour mettre fin à leurs jours.(...)

Dans l'éditorial publié lundi, les Dr John Fletcher et Ken Flegel ont écrit que la question du droit de mourir dans la dignité ne devrait pas être réglée par les tribunaux, mais dans le cadre d'un processus démocratique.

Les deux médecins faisaient référence à un jugement rendu le 15 juin par la Cour suprême de la Colombie-Britannique, qui a invalidé les lois interdisant le suicide médicalement assisté sous prétexte qu'elles sont inconstitutionnelles. Le tribunal a toutefois suspendu sa décision pour un an, le temps de laisser à la Chambre des communes le soin de rédiger une nouvelle loi qui prend en compte sa décision.

Ne pas tenir compte de la loi naturelle inscrite dans le coeur de chacun, loi universelle qui demande de ne pas tuer, c'est retourner la démocratie contre ces citoyens...

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Interview de Jean-Guy Mercier qui tente de fonder un nouveau parti politique québécois

Jean-Guy Mercier, que nous vous avons présenté plus tôt, veut fonder un nouveau parti politique québécois pour contrer l'euthanasie et restreindre l'avortement entre autre. Radio-Canada l'interview avec irritation. Pour écouter l'interview, cliquer ici.

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Le mari de Feng Jiangmei, la Chinoise forcée à avorter au 7e mois de sa grossesse, a disparu...

Sur le site du journal La Presse du 26 juin 2012:

 

(Feng Jiangmei, épouse de Deng Jiyuan, et son enfant avorté de force)

 

L'époux d'une Chinoise forcée à avorter à sept mois de grossesse, une affaire qui a scandalisé l'opinion en Chine, a disparu, a annoncé mardi un proche en faisant état du harcèlement quotidien que vie cette famille.

Feng Jiangmei, déjà mère d'un enfant, avait été forcée à avorter faute de pouvoir payer les 40 000 yuans (6260 $) d'amende pour non-respect de la politique de l'enfant unique.

Une photo la montrant sur son lit d'hôpital, son foetus ensanglanté auprès d'elle, avait entraîné une avalanche de commentaires outrés des internautes à la mi-juin.

Son mari, Deng Jiyuan, a disparu depuis dimanche, a annoncé un proche à l'AFP. « La dernière fois que je l'ai vu, il est parti en disant qu'il devait aller voir un responsable qui voulait le rencontrer », a dit cette personne sous couvert de l'anonymat. « On ne l'a pas revu ».

Mardi toutefois, Deng a appelé sa famille, mais sans toutefois dire où il se trouvait ni s'il allait rentrer chez lui. (...)

Et les autorités chinoises continueront d'affirmer qu'elles sont scandalisées par cet avortement forcé, qui ne respecterait pas les lois... Deng Jiyuan avait probablement trop parlé...

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Des élections bientôt!

C’est dans l’air, un vent d’élection se lève avec les publicités et déclarations pour mousser tranquillement son parti.
 
Nous ne pourrons pas ne pas aller voter. Les enjeux sont beaucoup trop importants. Avec le temps s’est développé ce que tous appellent les principes non négociables dans une élection, à savoir :
 
-la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu’à sa mort naturelle;
 
-la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille — comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage — et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d’union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent à sa déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;
-
la protection du droit des parents d’éduquer leurs enfants. »
 
Dans chaque parti, il s’agit de vérifier auprès de vos candidats régionaux leurs opinions sur ces principes. Il pourrait y avoir un candidat qui s’oppose aux politiques inhumaines de son parti. À vérifier et faire connaître!
 
Pour ce qui est des partis, l’échelle des principes non négociables nous donne des balises claires pour choisir ou éliminer une option.
 
— QUÉBEC SOLIDAIRE : Françoise David est une féministe proavortement, ancienne chef de la fédération des femmes du Québec. Dans son dernier livre, elle répète ses convictions proavortement.
Amir Khadir a fait partie du cirque de la commission « Mourir dans la Dignité ». Comme les autres commissaires, il n’a pas tenu compte des organismes et spécialistes venus affirmer que l’euthanasie n’est pas une solution. Au contraire. En bon idéologue complètement déconnecté de la réalité, il n’en a tenu aucunement compte et s’est fait le promoteur de l’euthanasie.
 
Selon les principes non négociables, impossible de voter pour ce parti.
 
— PARTI QUÉBÉCOIS : Pauline Marois est également une féministe qui a pourri la vie des parents en instituant le programme des garderies familiales. Prônant une laïcité fermée, elle soutient le cours ECR, contre l’avis des parents. Elle avait promis que la perte de la confessionnalité des commissions scolaires n’entraînerait pas la perte de la confessionnalité des écoles, avec le résultat que l’on connaît, et qu’elle approuve, peu importe sa parole. Elle est bien sûr une grande partisane du « droit » à l’avortement.
 
S’il n’y a pas de députés divergeant fortement d’opinion avec son chef, le Parti Québécois est donc également un parti pour lequel on ne peut voter.
 
— COALITION AVENIR QUÉBEC (CAQ) : La CAQ s’est engagée à éliminer le cours d’Éthique et Culture Religieuse à l’école primaire, mais à le maintenir obligatoire au secondaire. La CAQ s’est engagée à mettre en place toutes les mesures contenues dans le rapport de la commission « Mourir dans la dignité », l’euthanasie comprise!
 
Par ce point seulement, son appui inconditionnel de l’euthanasie, la CAQ vient de perdre toute possibilité de voter pour elle.
 
— PARTI LIBÉRAL DU QUÉBEC : S’il n’est pas l’auteur de nombreuses initiatives nauséabondes, le parti libéral continue par contre de les appliquer sans remise en question. Le programme des garderies s’est développé sous son parti. Le cours d’Éthique et Culture Religieuse est l’œuvre du Parti Libéral. On le voit, rien pour soutenir les parents…
 
Jean Charest s’est prononcé pour le « droit » à l’avortement.
 
À vérifier, il pourrait y avoir un député plus brillant que son parti…
 
— PARTI CONSERVATEUR DU QUÉBEC : Ce parti contient plusieurs points des plus intéressants. – Abolition du programme de garderie pour privilégier un crédit d’impôt supplémentaire aux parents. – Abolition du cours d’Éthique et Culture Religieuse. – Refus de l’euthanasie pour privilégier les soins palliatifs. – Faciliter l’adoption plutôt que l’avortement.
 
Bien que les mesures pour contrer l’avortement soient légères, c’est un parti qui a d’importantes initiatives et qui ne contredit en aucun point les principes non négociables. Un choix tout à fait légitime.
 
— LA DÉMOCRATIE CHRÉTIENNE DU QUÉBEC : Démocratie chrétienne ou parti catholique? Ce parti respecte les points non négociables. On peut également voter pour ce parti la conscience en paix. Mais la présentation « religieuse » de ce parti lui retire tout auditoire, avant même qu’il puisse exposer ses idées, le confinant dans la marginalité.
 
— OBJECTIF VIE QUÉBEC : Un nouveau parti de l’ancien député Jean-Guy Mercier serait sur le point de naître. Lui aussi respecte les points non négociables. Un choix possible, s’il se concrétise en Mauricie.
 
Bon choix et n’oubliez pas de nous faire parvenir les opinions de vos candidats régionaux sur les points non négociables. Nous les publierons pour informer nos lecteurs pour un choix plus éclairé!
 
Bonnes Élections!
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Un nouveau parti politique provincial pourrait naître en Mauricie!

Sur le site du journal Le Nouvelliste du 25 juin 2012, cette nouvelle:

 

 

(Trois-Rivières) Jean-Guy Mercier, ancien député du Parti québécois de Berthier élu aux côtés de René Lévesque en 1976 et exclu du parti en 1981, retourne dans l'arène politique. Cet ancien député devenu plus tard agriculteur a l'intention de fonder un nouveau parti politique de droite fondé sur la promotion des valeurs morales judéo-chrétiennes.

Jean-Guy Mercier estime qu'il n'y a pas eu de véritable débat politique autour de la question du suicide assisté, question qui est, selon lui, intimement liée au droit à l'avortement.

«J'ai été insulté de voir l'unanimité de l'Assemblée nationale autour de la question de l'euthanasie. Il n'y a pas de consensus social sur cette question», lance-t-il.

Les élus québécois auraient pris cette décision selon lui, car les Québécois sont «habitués à la mort» en raison des avortements qui sont pratiqués.

«Il y a 35 000 avortements par année au Québec. Des avortements se font de 28 à 32 semaines. C'est presque un infanticide», ajoute-t-il. «Le nombre d'avortements est en hausse au Québec ce qui a pour effet d'augmenter le vieillissement de la population.»

Notons toutefois que le ministère de la Santé et des Services sociaux déclare plutôt 26 124 interruptions de grossesse en 2010. Les statistiques démontrent aussi une diminution constante depuis le sommet de 2004 où 29 460 interruptions de grossesse ont été pratiquées.

Jean-Guy Mercier craint que l'ouverture au suicide assisté amène des conséquences «extrêmement graves».

«Des fonctionnaires pourront vider les centres d'accueil pour régler des problèmes budgétaires afin de continuer à mettre de l'argent dans le trou sans fond des garderies à 7 $. Je veux provoquer un débat là-dessus.»

Un nouveau parti politique basé sur la défense de ces valeurs morales pourrait voir le jour. Jean-Guy Mercier a d'ailleurs réservé le nom «Objectif vie Québec» auprès du directeur général des élections du Québec. Nostalgique de l'Union nationale, Jean-Guy Mercier voulait faire revivre ce parti politique. Toutefois, le DGE a refusé sa demande, car la loi n'autorise pas l'utilisation d'un nom de parti qui a déjà existé. Cela pourrait entraîner une confusion historique.

(...)

L'existence du Parti Conservateur du Québec et de la Démocratie chrétienne du Québec montre un courant conservateur très encourageant!

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