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Les risques pour les enfants de l'homoparentalité

Sur le site de Pour une École Libre du 3 juillet 2012:

 

(Je veux une maman et un papa!)

Dans un article intitulé « À quel point les enfants de parents homosexuels devenus adultes sont-ils différents ? Résultats de l’Étude sur les nouvelles structures familiales » rendu public le 11 juin 2012, Mark Regnerus, chercheur en sociologie à l’université du Texas, présente une étude considérée comme rigoureuse et complète selon l’analyse de plusieurs de ses pairs (Osborne, Cynthia. « Further comments on the papers by Marks and Regnerus ». Social Science Research 41, n° 4 (juillet 2012) : pp. 779-783), ou même de promoteurs de l’homoparentalité (Burroway, Jim. « First Look at Mark Regnerus’s Study on Children of Parents In Same-Sex Relationships », boxturtlebulletin.com, juin 10, 2012).
(...) 

Quelques conclusions à retenir :
 
— Toutes les recherches scientifiques précédentes sur l’homoparentalité sont d’une utilité virtuellement nulle, car leurs conclusions ne peuvent pas être extrapolées à la population entière. En effet, d’une part, les échantillons y sont trop faibles (des échantillons de 44 personnes au maximum, d’après Regnerus, p. 754, qui donne un résumé de ces recherches) et, d’autre part, ils sont constitués de façon non aléatoire, selon la méthode « boule de neige » : les membres de l’échantillon sont sélectionnés à l’intérieur d’un réseau dont les membres se cooptent. Pour ces raisons, ces échantillons ne sauraient refléter la composition socio-économique, religieuse, raciale et géographique des États-Unis. Par ailleurs, les personnes interrogées ont souvent conscience de l’impact politique de l’enquête à laquelle ils participent. Ils sont en outre souvent des militants de la cause homosexuelle.
 
— Cette étude est novatrice, car elle donne avec une grande rigueur méthodologique le point de vue de l’enfant sur le fait d’avoir eu un parent homosexuel, alors que la parole était jusqu’ici monopolisée par les parents homosexuels.
 
— Le trait le plus marquant de cette enquête sociologique, s’il fallait en retenir un, est l’instabilité de la vie de l’enfant dont la mère a eu une relation amoureuse avec une femme : davantage de temps passé dans un foyer d’accueil, davantage de temps passé chez les grands-parents, davantage de temps passé de manière autonome avant 18 ans. En fait, moins de 2 % de ces enfants ont passé leur enfance entière avec leur mère et sa partenaire. (Mark Regnerus, « Queers as Folk », Slate, juin 11, 2012.)

Une seconde étude met à mal un rapport de l'APA

Une seconde étude, également publiée dans Social Science Research, jette un regard critique sur les hypothèses d'un rapport de l'American Psychological Association souvent cité en matière d'homoparentalité.
 
Le rapport de l'APA dit qu'« aucune étude n'a constaté que les enfants élevés par des couples homosexuels sont désavantagés d'une quelconque manière significative par rapport aux enfants de parents hétérosexuels. »
 
Cependant, après avoir examiné de près les 59 études qui étayent cette affirmation, Loren Marks, professeur agrégée à l'École d'écologie humaine de l'Université d'État de Louisiane, a déclaré que « les débats sont toujours ouverts » « Le manque de données fiables laisse les questions les plus importantes [au sujet de l'homoparentalité] en suspens. »
 
Les faiblesses identifiées dans les études utilisées par l'APA concernent la petite taille des échantillons, une sur-représentation des mères lesbiennes bien éduquées blanches et riches, l'absence de résultats portant sur les effets habituels sur les enfants, comme leur éducation, leur taux de chômage, les risques de déclassement social ou de pauvreté, leur taux de criminalité, de grossesses précoces, de consommation de drogues et leur taux de suicide. Au lieu de cela, les études utilisées par l'APA se concentrent sur les comportements des enfants pour y déceler ou non des comportements traditionnels envers les sexes jugés « sexistes », le fonctionnement émotionnel et l'identité sexuelle.
 
Le Washington Times rapporte qu'il n'a pas réussi à joindre un porte-parole APA pour une réaction à cette étude.

Cliquez ici pour voir les résultats statistiques de l'étude.

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225 000 avortements par année en France

Un nombre effarant démontrant l'inefficacité de la contraception, car ce sont pour la plupart des avortements de personnes utilisant une méthode contraceptive. Un article paru sur le site de Yahoo du 2 juillet 2012:

(Marianne, telle une Rachel biblique, peut bien pleurer ses enfants)

Le nombre d'avortements s'est stabilisé en France en 2010, à "plus de 225.000", selon une étude publiée lundi, qui confirme aussi le désengagement du secteur hospitalier privé.

"L'évolution quasi parallèle du nombre d'IVG et du nombre de naissances observée depuis vingt ans se poursuit, traduisant une relative stabilité de la propension à interrompre une grossesse", écrit la Drees, le service statistique des ministères sociaux.

On compte grosso modo ces dernières années 800.000 naissances par an pour 200.000 avortements.

En chiffres absolus, "ce sont plus de 225.000 IVG qui ont été pratiquées en 2010 en France" dont 13.100 outre-mer.(...)

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La liberté anticonservatrice?

Il est de bon ton de critiquer sans nuances et sans jugement, le parti conservateur du Canada. Loin de nous l’idée de recommander les yeux fermés ce parti politique. Le premier ministre Stephen Harper a déclaré qu’il votera contre la motion M-312 du député Stephen Woodworth et il tient à ce que le débat sur l’avortement soit clos.
(Les fascistes et les communistes, deux exemples de troupeaux méprisant ceux ne partageant pas leur idéogies, de peur d'être mis de côté par le troupeau...) 
 
 
Mais il y a une attitude de fond que l’on retrouve au Québec, du conservatisme « bashing », qui permet de se donner une supériorité morale et de montrer que nous faisons partie de la « gang »… Nous ne sommes pas comme cette bande de retardés, rigoristes moraux, crapules sans conscience environnementale, etc.
 
Si bien des critiques sont justifiables, il nous faut revenir sur le ton, arrogant, moralisateur, infiniment prétentieux, de ceux qui veulent écraser le parti au pouvoir. Il faut bien prendre conscience que ce qui permet, pour ces gens, de mépriser profondément le PC, c’est qu’une grande partie de son électorat est pour le droit des enfants à naître et pour les soins palliatifs, contre l’euthanasie et l’avortement.
 
L’exemple des États-Unis est frappant. Alors que le président Obama n’a guère changé la politique militaire des États-Unis, on entend plus les récriminations d’une classe se croyant nettement plus intelligente et supérieure sur la bêtise des décisions militaires du gouvernement. Cela est vrai également des Canadiens, à genoux et sans esprit critique devant Obama, comme s'il était un dieu venu sauver l'Amérique...
 
Nous avons à nous dépêtrer de tout sentiment d’infériorité face à ce mépris, à cette fatuité des biens pensants, pour leur répondre les yeux dans les yeux qu’ils peuvent avoir profondément honte de soutenir le meurtre des enfants à naître et celui des personnes âgées. Nous n’avons pas à partager leur arrogance, mais nous n’avons aucune raison de nous laisser intimider par des gens qui se croient moraux, mais sont objectivement collaborateurs de meurtres en séries institutionnalisés.
 
Nous ne sommes absolument pas obligés de voter pour le parti conservateur. Mais dans notre décision, que jamais la honte ne prenne part. Cette honte doit être foulée aux pieds. Et même plus, il serait bénéfique pour la société que ce qui est vraiment honteux, le soit, que les défenseurs de l’avortement louvoient pour défendre l’inacceptable. Ce n’est pas parce que nous vivons dans une société où une majorité des personnes sont intellectuellement des collaborateurs, comme c’était le cas dans l’Allemagne Nazie, que nous devons baisser la tête devant ces inconscients. Une juste colère peut-être bénéfique, n’oublions pas qu’elle est là pour défendre le droit des innocents et des sans-voix, devant le régime carnassier des biens pensants. Non, la honte n’a pas sa place dans notre prise de parole et ne doit pas avoir de rôle dans nos choix politiques, dans nos prochains votes.
 
Que chacun soit fort et libre de voter en conscience, et non pas selon ce qui fera en sorte qu’il sera bien vu du troupeau!
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Retour sur Rio+20

Sur le site de zenit.org du 29 juin 2012, on trouve cette importante analyse du délégué catholique à la réunion de Rio+20, Mgr Chulikatt:

 

 

(...)

Le document final est le résultat d’une série de négociations multilatérales complexes qui a demandé près d’un an de travail. Ce n’est pas un document parfait. Toutefois, si la communauté internationale à la volonté politique qu’il faut et s’engage à appliquer de manière rigoureuse les mesures qui sont indiquées, elle pourra le rendre fécond.

Les négociations et discussions pour arriver au document final de la conférence des nations Unies sur le développement durable, ont donné au Saint-Siège et aux membres de la communauté catholique réunis à Rio, l’occasion unique d’articuler un bon message pour la communauté internationale.

La bonne nouvelle nait de la charité et de la préoccupation pour nos frères et nos sœurs engagés dans des relations d’amour profond et de solidarité authentique pour toutes les personnes du monde.

Les négociations autour du document final ont soulevé de profondes tensions dues aux réalités économiques et financières des régions. Les disparités, surtout dans le contexte de l’Afrique, ont fait ressortir les pressions que des pays développés exercent sur certaines délégations. Il est apparu très clairement que la solidarité est un élément décisif pour éliminer la faim et la pauvreté.

Le document final aurait du adopter des mesures axées sur le transfert de technologies appropriées pour le développement local, afin qu’il y ait un marché plus équitable et inclusif, respectueux des engagements pris, et ainsi fournir des aides au développement et trouver de nouveaux moyens qui mettraient la dignité humaine, le bien commun et la sauvegarde de la création au centre de la vie économique.

Une autre préoccupation concerne le sens et l’application de certains concepts. Alors que des notions comme la « green economy » pourrait être l’occasion d’indiquer et d’ouvrir de nouvelles voies à la sauvegarde de l’environnement, nous devons reconnaître que des solutions purement technologiques, sans le support de considérations juste et adéquates en matière de responsabilité éthique, sans l’implication des communautés locales, n’aident pas les pauvres.

Ceux qui voudront donner suite au document final de Rio + 20, devront mettre le bien-être de la personne au centre du développement durable. Cette approche permettra d’éviter les risques de réductionnisme et d’approches stériles, de type néomalthusien, qui voient pour ainsi dire les êtres humains comme un obstacle au développement. Bien que cette vison néomalthusienne soit intrinsèquement imparfaite, on a vu des délégations de pays développes s’activer pour l’introduire dans le document final.

Il n’y a pas conflit entre les êtres humains et leur développement. Pour éliminer la pauvreté et la faim nous avons besoin de soutenir et promouvoir les personnes. Nous devons encourager peuples et nations à forger leur avenir, « l’avenir dont ils ont besoin », en cohérence avec leur dignité, leurs convictions religieuses, leurs cultures et traditions populaires.

Il faut dire, avec tristesse, que certaines délégations se sont engagées à promouvoir le concept discutable de « droits sexuels et reproductifs ». Graace au ciel, ces expressions ne figurent pas dans le document final. Cette approche du développement durable aurait saper le premier des principes de Rio, c’est-à-dire: que l’être humain est au centre du développement durable. L'être humain est toujours une fin en soi, et le développement durable est le moyen qui serve cette fin. Chaque programme qui va contre la vie va contre le développement. Toute politique qui entend promouvoir l’interruption volontaire de grossesse ou l’utilisation de substances abortives sous couvert de contraceptifs court au désastre. Ce sont des politiques qui menacent le droit à la vie à l’endroit même où celle-ci est le plus en sécurité, soit le ventre de la mère, menaçant la santé de la femme qui a érigé en elle un sanctuaire et une demeure pour son enfant.

Il est évident que ce genre de politique n’est pas au service de la santé, ni des enfants, ni de leurs mères non des familles, mais se transforme en violence contre les femmes, les enfants et la famille.

Le Saint-Siège a dit clairement quel était son point de vue, mettant en discussion l’expression, vague et ambigües, de « santé reproductive » contenue dans le document. Pour le Saint-Siège, le terme « santé sexuelle et reproductive » devrait s’appliquer à un concept holistique de la santé qui considère la personne dans sa totalité (esprit et corps), encourage à la maturation personnelle dans la sexualité et dans l’amour réciproque et au processus décisionnel qui caractérise la relation conjugale selon les normes de l’ordre moral naturel.(...)

Les organisations religieuses exercent un rôle fondamental de solidarité avec les personnes plus vulnérables, pour donner la voix aux sans voix. Ne pas pouvoir promouvoir l’humanité comme centre du développement durable, serait un échec pour les institutions religieuses, car cela serait ne pas reconnaître la vraie nature de la personne dont la dimension spirituelle est innée, chez l’individu comme dans la société.

Il est important de comprendre que les pays pauvres et en voie de développement sont arrivés à la conférence avec beaucoup d’attentes. Ils ont demandé aide, solidarité et compétence, au niveau social, économique et financier, à leurs frères et sœurs des pays développés. Beaucoup ont été déçus par le document final. Les gouvernements doivent tenir leurs promesses, autrement un avenir prospère et meilleur restera un rêve pour les personnes les plus vulnérables du monde. (...)

Le monde a beaucoup changé depuis la première conférence de Rio, mais malgré les progrès, trop d’enfants sons encore sans nourriture, trop de familles victimes de catastrophes artificielles et environnementales, trop de personnes déprimées, déçues et résignées.

L’heure est venue pour les gouvernements de reconnaître que le développement durable part de la personne humaine et de la famille. Ceci est la manière de construire « l’avenir dont nous avons besoin ». C’est le chemin à prendre pour un vrai progrès. C’est le chemin vers un monde plus juste et équitable pour tous.

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La France veut combattre le "mariage gai" que veut imposer le président socialiste

Sur le site du journal Le Figaro du 29 juin 2012:

 

 

Les opposants à l'ouverture du mariage et de l'adoption aux personnes du même sexe fourbissent leurs armes. Plus de dix ans après le débat sur le pacs, les défenseurs de la famille «traditionnelle» savent qu'ils risquent d'être taxés d'homophobie en s'opposant au projet gouvernemental. Sans attendre le débat de la rentrée, ils ont déjà entamé leur réflexion sur la meilleure façon de faire entendre leurs arguments en déjouant la critique.

Sans prendre officiellement position sur la proposition 31 de François Hollande, l'Unaf (Union nationale des associations familiales) a déjà émis des réserves sur un futur projet de loi en empruntant les mots… d'Élisabeth Guigou.

«Mon refus de l'adoption pour des couples homosexuels est fondé sur l'intérêt de l'enfant, sur son droit à un milieu familial où il puisse structurer son identité et épanouir sa personnalité», a cité le président de l'Unaf, François Fondard, reprenant des propos de l'ancienne garde des Sceaux lors de l'adoption du pacs. Un peu chahutée lors de l'assemblée générale annuelle de l'Unaf, la ministre déléguée à la famille, Dominique Bertinotti, a cependant également été applaudie. Preuve du difficile consensus sur la question au sein de l'institution.

Boutin va «rentrer en résistance»

Pasionaria antipacs, Christine Boutin n'a pas la voix qui tremble. Très remontée, la présidente du Parti chrétien-démocrate annonce qu'elle a l'intention de «rentrer en résistance» et promet même qu'elle ira «jusqu'à l'incivilité si nécessaire». «Ce projet est gravissime. Il s'agit d'un changement de civilisation car toutes les sociétés sont fondées sur la différence des sexes. Je ne mets pas en cause l'amour entre deux personnes du même sexe mais si l'on se place du point de vue de l'enfant, tous les désirs d'adultes n'ont pas à être contentés», tonne l'ancienne ministre du Logement. «Les exceptions n'ont pas à être érigées en normes légales», rajoute-t-elle. (...)

L'association Alliance Vita, fondée par l'ancienne ministre, annonce de son côté une mobilisation centrée sur le droit de l'enfant à être élevé par un père et une mère plus qu'une opposition de principe au mariage gay, «même si les deux sujets sont liés». «L'escamotage du père ou de la mère, c'est une rupture de la correspondance entre la nature et la culture. Nous voulons également souligner le risque de basculement vers la procréation médicalement assistée pour les couples du même sexe», explique Tugdual Derville, délégué général de l'association.

Associations d'aide à l'enfance, volontaires à l'adoption effrayés par l'impact de la nouvelle loi sur leur propre projet: «Il y aura beaucoup d'autres acteurs mobilisés avec différents niveaux d'opposition au projet, prévoit-t-il. La question des dégâts de l'homofiliation devra également être abordée. Cela passera par une libération de la parole de ceux qui ont subi ces bricolages procréatifs. Il ne s'agit pas de stigmatiser mais de lever le tabou sur des souffrances.» (...)

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Hilary Clinton et le Planning Familial amers après leur défaite de Rio+20

Sur le site de C-Fam du 29 juin 2012:

 

(Hillary Clinton)

 

RIO DE JANEIRO, 29 juin (C-FAM) Les leaders politiques, reconnaissant la cinglante défaite de la cause du droit des femmes à Rio, se sont joints aux militants pour exprimer leur révolte après l’élimination des termes « droits reproductifs » des conclusions de la conférence de l’ONU sur le développement durable.

Le dernier jour de la conférence, dans son adresse aux chefs d’Etats, la Secrétaire d’Etat des Etats-Unis Hillary Clinton a clairement indiqué où le combat avait été perdu lors de la conférence. « Bien que je sois très satisfaite que les conclusions de la conférence de cette année soutiennent la santé sexuelle et reproductive, nous n’atteindrons nos objectifs en matière de développement durable qu’en garantissant les droits reproductifs des femmes. »

Bien qu’il soit fait mention de la santé reproductive à six reprises et dans trois paragraphes différents, nombreux sont ceux qui se sont plaints de l’absence de mention des droits reproductifs, expression synonyme de « IVG » pour les militants: sans cette mention, le document ne peut être considéré comme une victoire, ni pour les droits des femmes ni pour le développement durable.

Le groupement féministe le plus important, qui représente plus de 200 organisations féministes des Nations Unies, est allé jusqu’à considérer que « les deux ans de négociations dont le point culminant devait être les négociations de Rio+20, n’ont eu pour résultat que des conclusions qui ne sont pas un progrès pour les droits des femmes ni pour les droits des futures générations [concernées par] le développement durable. »

Pendant les deux semaines de la conférence, le Planning Familial International et d’autres groupes ont animé des conférences dans lesquelles elles ont montré l’existence un lien entre droits reproductifs et le contrôle démographique, et particulièrement dans les pays en voie de développement ».

(...)

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IMamma pour l'application Iphone d'Apple

Sur le site du journal Le Droit du 29 juin 2012:

 

 

 

Au pays de la «mamma», l'application iMamma pour les femmes enceintes fait un tabac avec plus de 15 000 téléchargements depuis son lancement, fin avril, a indiqué vendredi un porte-parole du concepteur.

iMamma est une application gratuite pour l'iPhone d'Apple qui aide les femmes en attente d'un heureux événement à suivre au mieux les phases de leur grossesse: du rappel des examens à effectuer au contrôle de leur poids, de l'enregistrement des contractions à l'amusant compteur de coups de pieds, selon un communiqué.

(...)

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Obamacare: la victoire d'Obama pourrait-elle se retourner contre lui?

Sur le site du Salon Beige du 28 juin 2012:

 

(La Cour suprême des États-Unis)

La Cour suprême des États-Unis a déclaré aujourd'hui compatible avec la Constitution la principale réforme instituée par Obama pendant son mandat: le contrôle de l'assurance-santé par l'Etat fédéral. Le principal point d'achoppement de cette loi était l'obligation faite d'acquérir une assurance-santé, sous peine d'amende.

C'est donc une victoire pour Obama, mais une victoire qui pourrait s'avérer pyrrhique.

En effet, la Cour ne parvient à sauver la loi qu'en déclarant que l'amende en cas de défaut d'assurance n'est pas une amende mais une taxe.

Le tour de passe-passe est manifeste, et a pour effet d'indigner et de mobiliser les opposants à la loi (qui sont majoritaires dans le pays) autour de Romney, puisque seule la victoire de ce dernier peut maintenant bloquer son application. A contrario, une invalidation de la loi aurait privé Romney d'un des sujets les plus mobilisateurs dans son électorat.

(...)

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34 % d'avortements évités au Mexique grâce à l'adoption et le soutien aux femmes enceintes en difficultés

Des mesures qui devraient couvrir le territoire québécois, à la place de l'offre d'avortement généralisée. Sur le site de Jeanne Smits du 28 juin 2012:

 

 

Des statistiques officielles faisant le bilan de cinq ans d’avortement légal à la demande, rendues publiques par le secrétaire à la Santé de la ville de Mexico, révèlent que sur 125.000 demandes d’avortement auprès d’établissements publics, seules 82.000 ont été effectivement suivies de l’intervention. 34 % des femmes changent d’avis en prenant connaissance des aides qui leur sont proposées par le gouvernement de Mexico pour poursuivre leur grossesse.
 
Les soins de santé proposés pendant la grossesse, puis pour l’enfant après la naissance, ainsi que l’option de pouvoir faire adopter l’enfant sont les aides déterminantes pour ce bon tiers de « repentirs » : cela fait tout de même 43.000 vies sauvées en 2012. (...)
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La France veut éradiquer la prostitution sur son territoire!

Une très bonne nouvelle parue sur le site deLa Presse du 28 juin 2012:

(La ministre Najat Vallaud-Belkacem)

 

(Paris) La nouvelle ministre au droit des Femmes, Najat Vallaud-Belkacem, espère en finir avec la prostitution en France et envisage pour y parvenir d'introduire un nouveau délit pénal ciblant les clients.

«La question n'est pas de savoir si nous voulons abolir la prostitution - la réponse est oui -, mais de nous donner les moyens de le faire. Mon objectif, comme celui du Parti socialiste, c'est de voir la prostitution disparaître», a-t-elle déclaré il y a quelques jours au Journal du dimanche.

La ministre, qui est également porte-parole du gouvernement, a précisé qu'elle n'était «pas naïve» et savait pertinemment que l'atteinte de cet objectif représentait un «chantier à long terme». (...)

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