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Le fondateur de Twitter veut donner 1 milliard de dollars à des organismes de contrôle de la population


Jack Dorsey.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : JD Lasica/Flickr

Décidément, les potentats de notre époque semblent avoir du mal à séparer leur désire de réduire la population du financement d’« aides » pour lutter contre ce qui serait apparemment une pandémie (coronavirus), ou alors ils ne savent pas où ils mettent leur argent, ou ils s'en fichent. Or, ceux à qui Jack Dorsey, président de Twitter, fait référence quand il parle de se délester d’un milliard de dollars promeuvent la « santé reproductive », ce qui est un euphémisme signifiant dans les faits : avortement et contraception ; surtout dans un contexte où ils prônent également la réduction de la croissance démographique. Selon LifeSiteNews :

Jack Dorsey, cofondateur et directeur général de Twitter, s’est engagé à donner un milliard de dollars de son propre argent « pour financer les secours mondiaux contre le COVID-19 » et à soutenir un programme politique progressiste, notamment la promotion du contrôle de la population.

« Après avoir désarmé cette pandémie, l’accent sera mis sur la santé et l’éducation des filles et sur l’UBI », annonçait Jack Dorsey sur Twitter le 7 avril. UBI signifie Universal Basic Income (Revenu de base universel).

Dans un tweet de suivi, Dorsey expliqua que l’UBI et la santé et l’éducation des filles « représentent les meilleures solutions à long terme aux problèmes existentiels auxquels le monde est confronté. L’UBI est une grande idée qui a besoin d’être expérimentée. La santé et l’éducation des filles sont essentielles à l’équilibre ».

Il mit donc un lien vers le site internet de Projet Drawdown. Ce site internet parle explicitement de « planification familiale » et de « croissance démographique ».

L’éducation des filles, selon le projet Drawdown, « est l’un des plus puissants leviers disponibles pour éviter les émissions, en réduisant la croissance démographique ». Les femmes plus instruites « ont des enfants moins nombreux et en meilleure santé, et gèrent activement leur santé reproductive ».

Ben tiens ! comme si les femmes qui ont plus d’enfants ne prenaient pas bien soins d’eux.

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Deux arnaques, le danger de la croissance démographique… :

Alors que Project Drawdown craint la « croissance démographique », Steven W. Mosher et Anne Roback Morse expliquaient déjà en 2013 que la surpopulation est un mythe.

Au sujet des prétendues pénuries alimentaires, les deux auteurs ont écrit que « le monde produit actuellement assez de nourriture pour nourrir 10 milliards de personnes, et nous ne sommes que 7 milliards. Autrement dit, avec 7 milliards d’esprits humains à l’œuvre, nous produisons assez de nourriture pour 10 milliards de corps humains. Imaginez la quantité de nourriture que nous pouvons produire avec 10 milliards d’esprits ! »

Et le revenu de base universel :

L’idée progressiste d’un revenu de base universel a été largement discréditée. Arkadiusz Sieroń, professeur adjoint d’économie à l’Institut des sciences économiques de l’Université de Wrocław, en Pologne, emploie de simples équations pour prouver le caractère irréalisable d’un revenu universel de base.

« Supposons pour simplifier qu’il y a 250 millions d’adultes américains et que chacun d’entre eux recevait 1 000 dollars par mois [...] Nous obtenons donc un coût total de 250 milliards de dollars par mois et de 3 000 milliards de dollars par an. Cela représenterait environ 14 % du PIB américain, soit 42 % des dépenses totales du gouvernement, ou 73 % des dépenses fédérales », souligne Sieroń.

« En comparaison, c’est plus que le total des dépenses en matière de santé, de défense et d’éducation. Et pourtant, nous ne parlons “seulement” que de 12 000 dollars par an (soit 19 % du revenu médian des ménages, ou 36 % du revenu personnel médian). Bonne chance avec un programme aussi coûteux ! »



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