Un rapport du FNUAP veut l’accès libre à l’avortement et à la stérilisation dès 12 ans
Par Steven W. Mosher (LifeSiteNews) — Traduction par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Alors que le taux de natalité continue de s’effondrer au niveau mondial, le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA, ou FNUAP pour retenir l’acronyme français) ne trouve rien de mieux que de dénoncer les politiques natalistes et préconiser la contraception et la stérilisation, en les rendant accessibles aux jeunes filles dès 12 ans. Ce même organisme mondialiste reconnaît pourtant qu’un grand nombre de personnes dans le monde pensent qu’elles n’auront pas le nombre d’enfants qu’elles souhaitent — une sur cinq, aux termes d’une enquête menée auprès de 14 000 sondés — et chez « la plupart » d’entre elles, il s’agit bien de la peur d’avoir moins d’enfants qu’elles ne le désireraient.
Dans son dernier Rapport sur l’état de la population mondiale 2025, le FNUAP maintient fortement son parti-pris pour le contrôle de la population, comme le souligne Steven Mosher, président et fondateur du Population Research Institute qui combat le mythe de la surpopulation.
Le FNUAP toujours au service du contrôle de la population
Il y manque un fait : la montée des robots et de l’intelligence artificielle, qui sont en voie d’assurer le véritable « grand remplacement » de l’humanité, comme cela se constate déjà en Corée du Sud, cette dernière ayant déjà remplacé plus de 10 % de sa main-d’œuvre par des robots avec 1 102 robots pour 10 000 employés de l’industrie manufacturière, leur « densité » ayant progressé de 5 % en moyenne par an depuis 2018 selon les données de décembre 2024. La France dépassait à peine la moyenne mondiale (162 pour 10 000 à cette date-là, avec 186 robots pour 10 000 ouvriers).
L’IA, elle, permettra de remplacer un nombre sans cesse croissant d’êtres humains dans d’autres secteurs de l’économie. Et la production de robots « humanoïdes » augmente elle aussi massivement, notamment en Chine.
Nous vous proposons ci-dessous la traduction intégrale de l’article qu’il a consacré à ce thème sur LifeSiteNews, le 14 juin. — J.S.
Lire la suiteDeux « philosophes » décrivent la grossesse comme une « maladie » dans le Journal of Medical Ethics...
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Il y a des articles qui passent inaperçus alors que la terre entière devrait réagir devant leur folie jusqu’au-boutiste, en tout cas, pour celui-ci, au moins la moitié de l’humanité, à savoir les femmes. Parce qu’il les dit régulièrement malades : malades d’engendrer ! Cette publication, parue dans le très officiel Journal of Medical Ethics, s’interroge en effet sur la grossesse et suggère que c’est ni plus ni moins, en fait, qu’une maladie.
L’argumentaire est fallacieux, voire ridicule. Mais il est instructif, car il éclaire le chemin parcouru depuis la mise en place de la contraception qui a décorrélé la sexualité de la procréation, et il donne à voir la trajectoire progressiste dont le transhumanisme n’est qu’un aboutissement : devenir son seul maître. La grossesse est une contrainte et une limite tout à la fois, nécessitant la contribution obligée, sur neuf mois, d’un seul sexe. En ce sens, elle est un enjeu majeur : il faut la contourner, la déborder, et auparavant, pour cela, la déprécier.
Quoi d’étonnant à ce que les deux auteurs, « philosophes », soient favorables par ailleurs à l’ectogenèse pour les hommes ou à l’utilisation des femmes en état de mort cérébrale pour porter les enfants… Le monde post-moderne veut choisir sa dépendance, dans une éternelle rébellion à son Créateur et Maître.
Lire la suiteContraception gratuite au Québec ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : torwaiphoto/Adobe Stock
Ruba Ghazal, député de Québec solidaire, a déposé le 7 mai « au nom de la santé des femmes » un projet de loi visant à rendre la contraception gratuite pour les femmes au Québec. Le projet de loi 994 est appuyé par une pétition de quelque 100 000 signatures.
Mme Ghazal invoque l’interdiction partielle de l’avortement dans plusieurs des États américains pour promouvoir son projet de loi. Selon Radio-Canada :
« Dans le contexte actuel où on voit des reculs pour les droits des femmes ailleurs dans le monde, notamment chez nos voisins du Sud, on ne peut pas juste se contenter du statu quo. On a besoin de bonnes nouvelles et d’avancées pour les droits des femmes. Et la contraception gratuite permettrait ça au Québec. »
Mme Ghazal espère que son projet de loi sera appuyé par la CAQ, le premier ministre François Legault ayant montré un certain intérêt, mitigé cependant de quelques réserves quant à la possibilité de mettre en œuvre un tel programme. Radio-Canada rapporte :
Lire la suiteEn réponse à la première question posée par Ruba Ghazal à titre de cheffe parlementaire, en décembre, François Legault avait répondu que rendre la contraception gratuite était « une bonne suggestion », « une bonne idée », mais que le ministre de la Santé, Christian Dubé, n’avait « pas vraiment » la « marge de manœuvre » nécessaire.
M. Legault a d’ailleurs répondu sensiblement la même chose, mercredi dernier, lors de l’étude des crédits budgétaires du ministère du Conseil exécutif. « C’est quelque chose qu’on regarde » et qui mérite d’être « considéré », a-t-il dit, tout en soulignant qu’il y avait « beaucoup de demandes » en santé et services sociaux.
Appel aux Québécois le lendemain de l’élection fédérale
Statue du Sieur Paul de Chomedey de Maisonneuve, sur la Place d'Armes de Montréal.
Par Georges Buscemi (Campagne Québec-Vie) — Photo : Anniestm/Wikimedia Commons
Chers compatriotes,
Comme tant d’autres Québécois, j’ai écouté avec attention les justes doléances de commentateurs comme Benoît Dutrizac face au triomphe accablant du Parti libéral du Canada, porté au pouvoir par ceux-là mêmes qu’il maltraite depuis des décennies — les Québécois.
À Campagne Québec-Vie, nous comprenons cette colère. Nous comprenons ce sentiment d’impuissance devant une classe politique déconnectée, élitiste et méprisante. Nous comprenons ce découragement qui a fait dire à Dutrizac : « Je ne crois plus en Dieu ni en la justice », devant tant d’injustices répétées.
Cependant, il faut aller plus loin dans l’analyse.
Car vouloir protéger la culture québécoise, défendre la nation, affirmer la différence linguistique et culturelle — tout cela est vain si nous refusons de voir que la famille est la première courroie de transmission de cette culture, et que la famille québécoise est aujourd'hui minée de l'intérieur.
Lire la suiteL’eugénisme et la véritable histoire de la campagne pour l’avortement en Grande-Bretagne (2)
Par Ann Farmer (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wellcome Library/Wikimedia Commons
En 1926, le nombre de décès attribués à l’avortement criminel était de 431 ; en 1936, il était de 383, pour tomber à 307 l’année suivante [1] ; l’enquête Birkett a conclu que « la fréquence de l’avortement n’a pas augmenté de manière appréciable ». Néanmoins, grâce aux allusions des militants à des « connaissances secrètes » sur la prévalence de l’avortement clandestin — bien que leurs informations fussent de sources secondaires — même les opposants étaient persuadés de l’existence d’un énorme problème, et l’enquête, dont le président était un sympathisant de l’avortement [2], a déclaré que « l’impression générale » dans les « cercles médicaux, policiers et sociaux » était que l’avortement criminel était récemment devenu « plus fréquent ». [3]
Cependant, les statistiques peuvent être trompeuses — aujourd’hui, on prétend parfois qu’une femme sur trois a subi un avortement, alors qu’en réalité une proportion plus faible en a subi plusieurs. Dans les années 1930, certaines régions ne voyaient pas de cas d’avortement criminel pendant des années, car ils tendaient à se concentrer dans les quartiers pauvres des villes, repaires de prostituées et de criminels [4], ainsi que dans les ports de mer, où les marins de passage constituaient une source de revenus pour les prostituées. [5]
Cependant, les affirmations mensongères des activistes se sont retournées contre eux lorsque des personnes non impliquées dans leur campagne ont suggéré des moyens d’aider les femmes à éviter l’avortement plutôt que de le légaliser. Les militants ont fait valoir que pour chaque avortement mortel pratiqué dans les ruelles, il devait y avoir de nombreux avortements « réussis », mais que, de par sa nature même, l’avortement était si dangereux qu’il ne pouvait y avoir de problème « énorme mais invisible » : hormis les potions douteuses, l’intervention directe dans l’utérus risquait d’entraîner des blessures graves ou la mort de la mère. Les manifestants d’aujourd’hui qui brandissent des cintres en fil de fer pour mettre en garde contre les restrictions à l’avortement légal semblent ne pas se rendre compte que dans les années 1930, les femmes pauvres ne fréquentaient pas les nettoyeurs à sec ; les cintres étaient un luxe, et les pauvres gardaient généralement leurs vêtements dans un coffre, ou les suspendaient à un crochet derrière la porte, pressant leurs tenues du dimanche en les plaçant sous le matelas. Les contestataires modernes supposent également que les femmes pauvres possédaient des connaissances gynécologiques détaillées leur permettant de s’avorter secrètement, alors qu’aujourd’hui encore, les tampons comportent des diagrammes biologiques pour faciliter leur installation.
Lire la suiteCommission sur le statut de la femme 2025, partie 1
La beauté (ou l’absence de beauté) du bâtiment principal des Nations unies reflète bien le contenu de ce qui se passe à l’intérieur.
Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie) — Photos : Arpad Nagy
Quelques jours se sont écoulés depuis mon retour de New York. J’étais aux Nations unies en tant que déléguée à la Commission de la condition de la femme (CSW).
Je travaille d’arrache-pied pour terminer mes rapports sur l’ONU, répondre aux courriels et continuer à rattraper le retard accumulé pendant mon séjour là-bas. Comme les rapports du vendredi sont encore frais dans ma mémoire, voici un petit résumé de trois des événements auxquels j’ai assisté vendredi dernier. Il y a eu plusieurs centaines d’événements au cours de cette première semaine de la CSW, et notre équipe s’est dispersée pour assister à autant d’entre eux que possible.
Tout d’abord, j’ai assisté à un événement organisé par la République de Guinée. Cet événement était axé sur l’égalité entre les hommes et les femmes sur le marché du travail et sur les progrès déjà réalisés dans ce domaine. Charlotte Daffé, ministre de la Promotion de la femme, de l’enfant et des personnes vulnérables de la République de Guinée, a dévoilé un projet appelé Simandou 2040. Ce projet a pour but de mettre en avant des femmes d’affaires clés qui ont fait un travail exceptionnel dans leur domaine. D’autres ministres et délégués se sont exprimés sur des sujets connexes. Par exemple, dans le domaine de l’éducation, la distribution de 19 000 kits d’hygiène pour les filles scolarisées et la création de toilettes séparées pour les garçons et les filles ont été soulignées.
Lire la suiteL’eugénisme et la véritable histoire de la campagne pour l’avortement en Grande-Bretagne (1)
Marie Stopes.
Par Ann Farmer (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adam Cuerden/Wikimedia Commons
Mon livre, By Their Fruits : Eugenics, Population Control, and the Abortion Campaign, met deux choses en évidence : premièrement, ce que la plupart des gens connaissent de l’histoire de l’avortement n’est que la « partie émergée de l’iceberg » ; et deuxièmement, ce n’est pas le bon iceberg. Les rapports contemporains et les archives de l’Abortion Law Reform Association (conservées dans les archives de l'Eugenics Society) révèlent la véritable histoire ; mais la version transmise est écrite par le même lobby, ou plutôt il a réécrit l’histoire de la campagne. Les militantes sont présentées comme féministes et radicales, et leurs adversaires comme des hommes, conservateurs et catholiques, par exemple le Dr Halliday Sutherland, qualifié de « médecin catholique » [1], qui a accusé la militante de la contraception Marie Stopes de faire des expériences sur les pauvres de l’East End de Londres ; elle l’a poursuivi en justice pour diffamation, mais bien qu’elle ait finalement perdu [2], la campagne eugénique a fini par l’emporter.
Stopes, docteur en paléontologie, était une eugéniste [3] et, bien que cela ne signifie pas nécessairement que l’avortement illégal n’était pas un problème, les visions du monde et les associations documentées des militants mettent en évidence leur véritable allégeance au contrôle eugénique de la population — une allégeance antérieure à leur plaidoyer en faveur de l’avortement.
Stopes demandait : « Ces enfants au visage chétif, décharné, tacheté, mal équilibré, faible, disgracieux, flétri, sont-ils les enfants d’une race impériale ? ... Mme Jones est en train de détruire la race ! » [4]
Les eugénistes souhaitaient que soient stérilisés non seulement les individus « inaptes », mais aussi leurs familles entières, et Dorothy Thurtle, pionnière de la campagne en faveur de l’avortement — membre éminent de la Société eugénique et de l’Abortion Law Reform Association (ALRA) [5] — a apporté son soutien au Comité Brock sur la stérilisation [6], a rejeté les craintes selon lesquelles la stérilisation des couples « inaptes » empêcherait la naissance de ceux qui « peuvent échapper à la tare des défauts physiques et mentaux », arguant que « le prix à payer pour obtenir un nombre inconnu et douteux d’enfants sains issus de telles unions serait un certain nombre d’enfants malsains, qui pourraient transmettre leur héritage défectueux à un nombre inconnu et croissant d’enfants dans les générations suivantes. » [7]
Lire la suitePfizer poursuivi à cause du lien entre le contraceptif Depo-Provera et les tumeurs cérébrales
Par Chiara McKenna (Population Research Institute) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : katemangostar/Freepik
11 février 2025 — Depuis des décennies, l’injection contraceptive Depo-Provera est remise en question pour de nombreuses raisons. Par exemple, son lien avec un taux beaucoup plus élevé de maladies transmises sexuellement. Mais récemment, des preuves ont fait surface concernant un effet indésirable encore plus grave : les tumeurs cérébrales.
Depo-Provera est le nom commercial de l’acétate de dépot-médroxyprogestérone (DMPA). Ce produit approuvé par la FDA est un contraceptif injectable administré aux femmes tous les trois mois. Il supprime l’ovulation et épaissit la glaire cervicale afin d’empêcher les spermatozoïdes d’atteindre l’ovule en cas d’ovulation. Cela semble assez simple, mais comme tous les produits pharmaceutiques, il s’accompagne d’effets secondaires.
Sur l’étiquette la plus récente du contraceptif, le fabricant Pfizer met en garde contre les effets indésirables les plus courants, notamment les irrégularités menstruelles, les douleurs ou désagréments abdominaux, la prise de poids, les vertiges, les maux de tête, la nervosité et la baisse de libido. Il y a également un avertissement important concernant la « PERTE DE DENSITÉ MINÉRALE DES OS », suivi de détails sur la gravité de cet effet secondaire. Au total, l’étiquette du produit comporte 27 pages d’effets potentiels.
Lire la suitePlus de décès que de naissances au Québec
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Dernièrement, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié un rapport sur la démographie québécoise, révélant des chiffres consternants : pour la première fois de notre histoire, il y a eu plus de décès que de naissances, rapporte La Presse.
Ainsi, entre juillet 2023 et juillet 2024, il y a eu 1550 décès de plus que de naissance, ce qu’on appelle l’accroissement naturel de la population a donc été négatif durant cette période.
Autre facteur inquiétant, mais qui suit, pour ainsi dire, naturellement la baisse de la natalité, l’âge moyen est monté jusqu’à 43 ans.
Les causes de cette dénatalité ne sont pas abordées par l’article de La Presse qui rapporte les chiffres de ISQ. Nous pouvons en nommer quelques-unes :
- La difficulté de fonder une famille : maintenant, plus que jamais, avec la hausse des prix, il est de plus en plus difficile pour les jeunes de fonder une famille.
- L’instabilité des foyers : beaucoup de jeunes, passés par les classes du monopole de l’éducation du Québec, n’ont pas appris à fonder une famille stable, bien au contraire ! ils se font enseigner à vivre dans le libertinage le plus complet, bien loin de l’idée d’avoir des enfants, avec à la clef, pour éviter cette dernière éventualité, la contraception et l’avortement comme garanties.
- En parlant d’avortement et de contraception, ce sont certainement les deux causes principales au désastre démographique du Québec, dans les dernières années, le Québec avait entre 20 000 à 30 000 avortements par an.
Quiconque a à cœur l’avenir du Québec doit s’opposer avec fermeté à ces fléaux, notamment la corruption de la jeunesse, l’avortement et la contraception.
Voici comment les francs-maçons ont utilisé un livre mensonger pour mener la guerre à l’humanité
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
14 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il n’est pas exagéré de dire que les élites mondialistes encore responsables de la plupart des gouvernements occidentaux ont longtemps été déterminées à exterminer la majeure partie de l’humanité. Et elles le sont toujours.
Sous le couvert du mantra du « choix », ils soutiennent tout, de l’avortement et de l’euthanasie à la stérilisation de masse et à l’idéologie du genre. Mais le « choix » n’est qu’une couverture commode pour générer un soutien populaire à leur objectif sous-jacent : stériliser, avorter, euthanasier ou transsexualiser la majorité de l’humanité pour la faire disparaître.
Comment expliquer autrement leur pression continue en faveur du contrôle de la population à une époque où les taux de natalité mondiaux sont déjà inférieurs au taux de remplacement ? Les mondialistes ne se contentent pas de penser que les « mauvaises » personnes ont des bébés ; pour eux, le problème est que les gens aient des bébés.
Prenons l’exemple d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et femme politique la plus puissante d’Europe. Elle a récemment prononcé un discours dans lequel elle a suggéré que les êtres humains étaient une sorte de peste pour la planète :
Lire la suite« En 1972, le Club de Rome et un groupe de chercheurs du MIT ont publié un rapport intitulé “The Limits to Growth” (Les limites de la croissance) », a déclaré Ursula. « Ce rapport décrit l’interaction entre la croissance démographique, l’économie et l’environnement. Il y a 50 ans, il est parvenu à une conclusion radicale : Arrêtez la croissance économique et démographique, sinon notre planète ne pourra pas s’en sortir ».