Plus de décès que de naissances au Québec
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Dernièrement, l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié un rapport sur la démographie québécoise, révélant des chiffres consternants : pour la première fois de notre histoire, il y a eu plus de décès que de naissances, rapporte La Presse.
Ainsi, entre juillet 2023 et juillet 2024, il y a eu 1550 décès de plus que de naissance, ce qu’on appelle l’accroissement naturel de la population a donc été négatif durant cette période.
Autre facteur inquiétant, mais qui suit, pour ainsi dire, naturellement la baisse de la natalité, l’âge moyen est monté jusqu’à 43 ans.
Les causes de cette dénatalité ne sont pas abordées par l’article de La Presse qui rapporte les chiffres de ISQ. Nous pouvons en nommer quelques-unes :
- La difficulté de fonder une famille : maintenant, plus que jamais, avec la hausse des prix, il est de plus en plus difficile pour les jeunes de fonder une famille.
- L’instabilité des foyers : beaucoup de jeunes, passés par les classes du monopole de l’éducation du Québec, n’ont pas appris à fonder une famille stable, bien au contraire ! ils se font enseigner à vivre dans le libertinage le plus complet, bien loin de l’idée d’avoir des enfants, avec à la clef, pour éviter cette dernière éventualité, la contraception et l’avortement comme garanties.
- En parlant d’avortement et de contraception, ce sont certainement les deux causes principales au désastre démographique du Québec, dans les dernières années, le Québec avait entre 20 000 à 30 000 avortements par an.
Quiconque a à cœur l’avenir du Québec doit s’opposer avec fermeté à ces fléaux, notamment la corruption de la jeunesse, l’avortement et la contraception.
Voici comment les francs-maçons ont utilisé un livre mensonger pour mener la guerre à l’humanité
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
14 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il n’est pas exagéré de dire que les élites mondialistes encore responsables de la plupart des gouvernements occidentaux ont longtemps été déterminées à exterminer la majeure partie de l’humanité. Et elles le sont toujours.
Sous le couvert du mantra du « choix », ils soutiennent tout, de l’avortement et de l’euthanasie à la stérilisation de masse et à l’idéologie du genre. Mais le « choix » n’est qu’une couverture commode pour générer un soutien populaire à leur objectif sous-jacent : stériliser, avorter, euthanasier ou transsexualiser la majorité de l’humanité pour la faire disparaître.
Comment expliquer autrement leur pression continue en faveur du contrôle de la population à une époque où les taux de natalité mondiaux sont déjà inférieurs au taux de remplacement ? Les mondialistes ne se contentent pas de penser que les « mauvaises » personnes ont des bébés ; pour eux, le problème est que les gens aient des bébés.
Prenons l’exemple d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et femme politique la plus puissante d’Europe. Elle a récemment prononcé un discours dans lequel elle a suggéré que les êtres humains étaient une sorte de peste pour la planète :
Lire la suite« En 1972, le Club de Rome et un groupe de chercheurs du MIT ont publié un rapport intitulé “The Limits to Growth” (Les limites de la croissance) », a déclaré Ursula. « Ce rapport décrit l’interaction entre la croissance démographique, l’économie et l’environnement. Il y a 50 ans, il est parvenu à une conclusion radicale : Arrêtez la croissance économique et démographique, sinon notre planète ne pourra pas s’en sortir ».
Québec : un plan de 7,5 millions de dollars pour promouvoir l’avortement et la contraception
François Legault.
Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CBC News/YouTube
Ville de Québec (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Québec a lancé un « Plan d’action » de 7,5 millions de dollars visant à élargir l’accès à l’avortement et à la contraception sur l’ensemble du territoire québécois.
Dans un communiqué de presse publié le 18 novembre, Martine Biron, ministre responsable de la Condition féminine, a annoncé que cette somme serait investie de 2024 à 2027 afin d’accroître l’accès à ces services.
« Partout dans le monde, on observe un recul du droit des femmes. Une onde de choc a eu lieu en 2022 avec l’annulation du jugement Roe v. Wade aux États-Unis. L’avortement est un soin de santé essentiel. Tout cela nous rappelle que rien n’est acquis, et que nous devons toujours rester vigilants pour défendre le libre choix des femmes », a affirmé Mme Biron, qualifiant directement le meurtre d’un enfant à naître, de « droit » des femmes.
« En agissant pour améliorer l’accès à l’avortement, nous construisons une société plus juste où les femmes peuvent choisir librement », a-t-elle ajouté, sans aborder le fait que les bébés avortés n’ont aucun choix dans cette situation.
« La décision d’une femme de mener sa grossesse à terme ou non lui appartient entièrement », a poursuivi la politicienne pro-avortement. « Au Québec, l’avortement est reconnu comme un soin de santé sûr qui doit être accessible à toutes les femmes, peu importe leur région. »
Lire la suiteIl y aura plus de décès que de naissances au Québec en 2027
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (montage) : Pxfuel/Nathan Sugg/Wirestock/Adobe Stock
Selon les estimations de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), le nombre de décès devrait dépasser celui des naissances en 2027. Bien que la population continue à croître à cause de l’immigration, le Québec selon les prévisions de l’ISQ devant atteindre les 10 millions dans 20 ans, l’« accroissement naturel » de la population québécoise plafonnera d’ici 2027. Selon Le Devoir :
Lire la suiteÀ l’instar de nombreux pays occidentaux, l’accroissement naturel de la population québécoise plafonnera d’ici trois ans, estime l’ISQ. Il est déjà négatif depuis quelques années au Bas-Saint-Laurent, en Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, en Mauricie et plus récemment au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Le taux de natalité du Canada chute à 1,26 enfant par femme
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
30 septembre 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le taux de natalité du Canada continue de chuter, atteignant encore un autre niveau historiquement bas.
Selon les dernières données de Statistique Canada sur les naissances et les mortinaissances publiées le 25 septembre, en 2023, 10 des 13 provinces et territoires ont enregistré un nouveau record de faible taux de natalité, la moyenne nationale se situant à seulement 1,26 enfant par femme.
Pour caractériser ces nouvelles données, Statistique Canada a annoncé que le pays avait « rejoint le groupe des pays où la fécondité est la plus basse, dont la Corée du Sud, l’Espagne, l’Italie et le Japon, avec 1,3 enfant par femme ou moins ».
À titre de comparaison, le taux de fécondité global des États-Unis était de 1,62 enfant par femme en 2023.
Lire la suiteKamala et sa grand-mère
Kamala Harris.
Par Campagne Québec-Vie — Image : capture d’écran vidéo/X
Kamala Harris a évoqué avec fierté l’engagement de sa grand-mère en Inde, où cette dernière se rendait dans des villages ruraux pour prêcher au moyen d’un mégaphone sur l’importance des « soins de santé reproductive ». Ce terme, dans le discours politique contemporain, est généralement compris comme incluant la contraception et l’avortement.
Chez Campagne Québec-Vie (CQV), nous sommes profondément préoccupés par ce genre de témoignages. Ce qui est présenté comme un « soin » cache souvent des pratiques qui, au lieu de protéger la vie humaine, la détruisent. La promotion de l’avortement et de la contraception dans des communautés vulnérables est une tragédie morale qui va à l’encontre du respect de la dignité humaine.
La description de Kamala Harris souligne la propagation de ces idéologies à travers le monde sous couvert de « santé reproductive », y compris dans des villages ruraux d’Inde où les femmes et les familles sont souvent dans des situations socio-économiques précaires. Loin de fournir des solutions respectueuses de la vie et du bien-être des familles, ces programmes tendent à imposer des normes occidentales qui favorisent l’avortement comme une solution à la pauvreté.
Nous croyons fermement que les véritables solutions résident dans le soutien aux familles, la promotion de la culture de la vie, et la défense des droits des plus vulnérables, y compris les enfants à naître. Loin d’imposer des solutions destructrices, les initiatives devraient viser à éduquer et à soutenir les familles dans la dignité et le respect de la vie humaine à toutes ses étapes. Kamala Harris et d’autres chefs doivent reconnaître que les politiques qui favorisent l’élimination de la vie innocente sous couvert de la « santé reproductive » ne répondent pas aux besoins fondamentaux des communautés.
Melinda Gates soutient la candidature de Joe Biden à l’élection présidentielle et affirme que l’avortement empêche qu’il y ait trop d’enfants
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : natara/Adobe Stock
26 juin 2024 (LifeSiteNews) — Comme je l’ai noté dans cet espace le 3 juin, Melinda French-Gates — qui a divorcé de son mari adultère Bill en 2021 — a quitté la Fondation Bill et Melinda Gates en mai et a rapidement engagé une fortune d’un milliard de dollars dans les guerres de l’avortement. Bill et Melinda ont toujours été des adeptes de l’avortement, mais Melinda a clairement fait savoir que le fœticide serait l’un de ses principaux objectifs en tant que philanthrope solo. C’est pour cette raison qu’elle a récemment annoncé son soutien à Joe Biden.
Dans un éditorial pour CNN, Mme French-Gates a fait remarquer qu’elle n’avait jamais soutenu un candidat à la présidence auparavant (non pas que ses allégeances aient jamais été mises en doute) en raison de son travail avec les dirigeants des deux camps, mais que les politiques pro-vie de la précédente administration Trump l’avaient fait changer d’avis cette fois-ci. M. Trump, a-t-elle noté, « a délibérément nommé des juges à la Cour suprême qui renverseraient Roe v. Wade », affirmant également que l’avortement est un « soin de santé » et que « l’accès à des services de base comme les contraceptifs » était également menacé.
Pour enfoncer le clou, elle a fait suivre son éditorial d’une entrevue vidéo de sa fille Phoebe Gates, âgée de 21 ans, publiée sur X et légendée comme suit : « Il y a deux ans aujourd’hui, l’arrêt Roe v. Wade a été annulé et la génération de mes filles a perdu un droit fondamental avec lequel j’ai grandi. J’ai récemment discuté avec ma fille, Phoebe, de l’importance de la liberté de reproduction et de la raison pour laquelle les élections de cette année sont si cruciales ».
Lire la suiteUn médecin admet que le programme de contraception de Trudeau coûtera moins cher que si les femmes devenaient mères
Le Dr Wandy Norman.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Bc Women's Health Foundation/YouTube
12 juin 2024 (LifeSiteNews) — Un médecin du gouvernement a admis au Parlement que le plan de contraception « gratuit » du premier ministre Justin Trudeau permettra aux femmes de rester sur le marché du travail au lieu d’avoir des enfants, ce qui, selon elle, serait bénéfique pour l’économie.
Lors d’une réunion de la commission des finances le 30 mai, le Dr Wendy Norman, professeur à l’université de Colombie-Britannique et chef de l’équipe de recherche sur la contraception et l’avortement au Canada, a admis que le plan de contraception gratuit proposé par M. Trudeau contribuerait à maintenir les femmes sur le marché du travail et coûterait finalement moins cher au gouvernement que si ces mêmes femmes devenaient mères à la place.
« Il semble que les arguments économiques en faveur de l’accès universel à la contraception soient écrasants », a déclaré Don Davies, député du Nouveau Parti démocratique (NPD), en réponse à Mme Norman.
« Vous avez brièvement évoqué les impacts macroéconomiques de la facilitation de l’entrée et de la participation des femmes sur le marché du travail », a-t-il poursuivi. « Existe-t-il des données ou des recherches établies qui permettent de quantifier la valeur de la participation des femmes à l’économie grâce au contrôle de la procréation ? »
« C’est une excellente question », a répondu Mme Norman.
« En guise de réponse globale, j’examinerais la déclaration de l’Association américaine de santé publique sur les 100 principales interventions de santé publique au cours du siècle dernier, de 1900 à l’an 2000 », a-t-elle poursuivi. « Il s’agit en fait de la période allant de 1900 à 2000 ».
« L’intervention de santé publique la plus importante dans tout le pays — et c’était à l’époque où nous avons développé la pénicilline, les vaccins et toutes ces choses — a été l’introduction de la planification familiale pour soutenir la réussite et l’engagement des personnes aptes à la grossesse [sic] dans toute notre société », a conclu Mme Norman.
L’aveu de Mme Norman selon lequel la contraception aide les femmes à rester sur le marché du travail et donc à s’éloigner de leur famille a été vivement critiqué par les groupes pro-vie canadiens.
Lire la suiteLe ministre canadien de l’Emploi affirme que les femmes doivent avoir accès à la contraception et à l’avortement pour « réussir »
Randy Boissonnault.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
28 mai 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie du Canada a dénoncé la poursuite des efforts du gouvernement fédéral en faveur de l’avortement après qu’un ministre de premier plan ait laissé entendre que les femmes devaient prendre la pilule pour étouffer leur fertilité et accepter librement un nombre illimité d’avortements pour « réussir » dans la vie.
Lors des questions orales à la Chambre des communes le 24 mai, Randy Boissonnault, ministre libéral de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et des Langues officielles, s’est vanté d’un projet de loi en cours qui fournirait gratuitement certains contraceptifs, y compris des « pilules abortives ».
« Notre gouvernement croit qu’il faut donner aux femmes les moyens de réussir. C’est pourquoi nous formons des femmes à des métiers spécialisés. C’est pourquoi les contraceptifs seront gratuits dans le cadre de notre régime d’assurance-médicaments. C’est pourquoi nous défendrons le droit des femmes à choisir [l’avortement] », a-t-il déclaré.
« Nous soutenons les femmes à chaque étape de leur parcours. Que font les conservateurs pour soutenir les femmes ? Ils votent non ».
Le directeur des communications de la Coalition nationale pour la vie (CNV), Pete Baklinski, après avoir pris connaissance des commentaires de M. Boissonnault promouvant les contraceptifs et l’avortement, l’a critiqué, ainsi que le gouvernement du premier ministre Justin Trudeau, pour avoir encouragé les femmes à « tuer leurs enfants à naître pour atteindre le “succès” ».
Lire la suiteTrudeau et son nouveau plan de contraception gratuit
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/Adobe Stock
23 mai 2024 (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie du Canada a blâmé le premier ministre Justin Trudeau comme étant « malavisé » et anti-famille en faisant « payer » tous les Canadiens pour les « pilules abortives » après qu’il se soit vanté sur les médias sociaux de son nouveau projet de loi gouvernemental qui fournira des contraceptifs gratuits, y compris la pilule du lendemain, à toutes les Canadiennes.
Le jour de la fête de la Reine [ou de Dollard des Ormeaux, ou des Patriotes...], qui est l’une des plus anciennes fêtes du Canada, M. Trudeau a publié sur X : « Être pro-choix, c’est croire que les femmes doivent avoir la liberté de choisir si elles veulent fonder une famille ou comment elles veulent le faire. C’est pourquoi nous allons rendre les contraceptifs — y compris les contraceptifs d’urgence — gratuits au Canada ».
Le message de M. Trudeau comprenait une vidéo en français, dans laquelle on le voit s’entretenir sur un sofa avec une jeune femme et se vanter de son nouveau projet de loi qui fournira des contraceptifs gratuits.
Il laisse entendre que les jeunes femmes cherchent toutes à utiliser des contraceptifs qu’elles « ne peuvent pas se payer ». Par conséquent, a-t-il déclaré, « nous avons besoin que les femmes aient toujours la liberté de choisir quand elles veulent fonder une famille, ou si elles veulent fonder une famille ».
« C’est pourquoi nous avons reconnu que ces frais de contraception sur ordonnance devraient être couverts par l’assurance-médicaments, et c’est ce que nous allons faire », a déclaré M. Trudeau.
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