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Le coronavirus est utilisé pour faire taire les pro-vie


Les frères jumeaux Benham.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews

Les frères Benham, pro-vie américains actifs, se sont vu refuser, en la personne de David Benham, le droit d’être présent devant les avortoirs, quoiqu’ils respectassent les distances exigées et le nombre de personnes autorisé, et que leur organisme, Cities4Life, fût classé comme essentiel. Il s’est fait tout simplement arrêter par la police, selon LifeSiteNews :

Benham [...] note que son organisation, Cities4Life, est une organisation caritative reconnue par le gouvernement fédéral et qui est classée en tant qu’« entreprise essentielle » selon le décret de confinement, et que les bénévoles qui sont sortis le 4 avril étaient non seulement bien en deçà de la limite des dix personnes pour les rassemblements publics, mais avaient dessiné à la craie sur le trottoir des lignes afin de s’assurer qu’ils restaient à six pieds les uns des autres.

Une vidéo diffusée par les frères Benham montre David faisant valoir ses droits légaux auprès d’un agent de police avant d’être arrêté. « La raison réellement invoquée [pour l’arrêt] était la violation des interdictions et des restrictions d’urgence », affirme Benham, notant que l’agent a déclaré agir sur ordre du procureur de la ville. Il ajoute que le service de police l’a ensuite faussement accusé d’avoir organisé une manifestation de cinquante personnes.

« La seule raison pour laquelle vous n’allez pas au Home Depot (qui est au bas de la rue) où il a mille personnes là-bas, la seule raison pour laquelle vous n’allez pas au parc ou se trouve 1500 personnes là-bas, c’est parce que je me tiens devant une clinique d’avortement », se souvient-il avoir asséné à l’agent. « Il n’avait rien à dire. »

« Nous savons aujourd’hui que si nos droits et nos libertés sont pris, » prévient Benham. « Qui sait ce que ce sera pour nos enfants et les enfants de nos enfants ».

Il accuse les fonctionnaires de l’État et de la ville de dire en substance : « nous voulons que ces femmes aillent dans ces centres d’avortement qui ne leur apporteront aucune aide, et cela dévastera leur vie », tout en les tenant à l’écart des « organisations pro-vie qui vont aider complètement ces mères, de l’utérus à la tombe (from womb to tomb), pas seulement le bébé, mais la mère et la famille ».

Des militants pro-vie ont également été arrêtés en Californie et dans le Michigan pour s’être rassemblés devant des centres d’avortement, même en maintenant les distances et en apportant avec eux des documents attestant leur droit à le faire. Des conseillers de trottoir ont également été menacés d’arrestation dans le Wisconsin, mais ont finalement été autorisés à continuer.

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