Le rôle d’un délégué pro-vie au Congrès du Parti conservateur du Canada
Congrès conservateur de 2018, à Halifax en Nouvelle-Écosse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pour promouvoir la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, je vous invite à devenir délégué à la Convention politique 2021 du Parti conservateur du Canada (PCC) qui se tiendra virtuellement le 18 mars 2021. Pourquoi devenir délégué à la Convention politique 2021 du PCC ? C’est l’un des plus grands partis du Canada où il est encore possible de se dire pro-Dieu, pro-famille et pro-vie, et aux députés de déposer des projets de loi qui correspondent à ces principes. Certes, le parti a inscrit dans sa politique officielle qu’il ne légiférerait pas sur la question de l’avortement. Il fut un temps où il n’en était pas ainsi. Mais précisément, à la Convention politique du PCC, c’est le moment où le parti décide et modifie ses politiques, moment auquel on peut faire basculer cette grosse machine en notre faveur ― pourvu qu’il y ait assez de délégués pour voter en ce sens.
En outre, le Parti conservateur du Canada est l’un des seuls partis où il est encore possible de tenir une opinion différente sur d’autres enjeux importants. Vous n’iriez pas bien loin en tentant de modifier le cours du Parti libéral…
Qu’est-ce qu’un délégué ?
Un délégué, à la Convention politique du PCC, est soit un membre du parti qui détient un poste dans celui-ci (députés, sénateurs, etc.), soit un représentant de circonscription électorale ― c’est ce dernier type de représentation qui nous concerne et dont je ferais désormais mention par le terme « délégué ».
Le délégué possède le droit de voter lors de la Convention politique sur divers aspects du parti, aussi bien sur les mécanismes du parti que sur les politiques de celui-ci. Il possède également le droit de présenter des projets de modification, lesquels passeront au vote des délégués lors de la Convention politique.
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Congrès conservateur de 2018, à Halifax en Nouvelle-Écosse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pour promouvoir la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, je vous invite à devenir délégué à la Convention politique 2021 du Parti conservateur du Canada (PCC) qui se tiendra virtuellement le 18 mars 2021. Pourquoi devenir délégué à la Convention politique 2021 du PCC ? C’est l’un des plus grands partis du Canada où il est encore possible de se dire pro-Dieu, pro-famille et pro-vie, et aux députés de déposer des projets de loi qui correspondent à ces principes. Certes, le parti a inscrit dans sa politique officielle qu’il ne légiférerait pas sur la question de l’avortement. Il fut un temps où il n’en était pas ainsi. Mais précisément, à la Convention politique du PCC, c’est le moment où le parti décide et modifie ses politiques, moment auquel on peut faire basculer cette grosse machine en notre faveur ― pourvu qu’il y ait assez de délégués pour voter en ce sens.
En outre, le Parti conservateur du Canada est l’un des seuls partis où il est encore possible de tenir une opinion différente sur d’autres enjeux importants. Vous n’iriez pas bien loin en tentant de modifier le cours du Parti libéral…
Qu’est-ce qu’un délégué ?
Un délégué, à la Convention politique du PCC, est soit un membre du parti qui détient un poste dans celui-ci (députés, sénateurs, etc.), soit un représentant de circonscription électorale ― c’est ce dernier type de représentation qui nous concerne et dont je ferais désormais mention par le terme « délégué ».
Le délégué possède le droit de voter lors de la Convention politique sur divers aspects du parti, aussi bien sur les mécanismes du parti que sur les politiques de celui-ci. Il possède également le droit de présenter des projets de modification, lesquels passeront au vote des délégués lors de la Convention politique.
Lire la suiteDéfaite de Trump, l’un des présidents américains les plus pro-vie de l’histoire
Donald Trump, président des États-Unis
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : The White House
Donald Trump a mené un combat intense pour protéger l’enfant à naître aux États-Unis et dans le monde entier, à une époque où l’avortement est férocement défendu par ses promoteurs. C’est l’un des présidents des États-Unis les plus pro-vie que ce pays ait jamais eus. Bien sûr, beaucoup diront que c’est un fou, un violent, un incompétent, etc., répétant ce que les gros médias leur ont mis dans la tête ; je reviendrai là-dessus plus loin.
Le 6 janvier 2020, où le Congrès des États-Unis devait se prononcer sur l’élection du prochain président, c’est Joe Biden que les deux chambres du Congrès ont reconnu comme dirigeant du pays ; bien à tort si l’on considère la vaste fraude électorale en faveur de Biden dont les élections présidentielles ont fait l’objet.
Aussi, à moins d’un événement sortant de l’ordinaire (bien que ces derniers temps sortent déjà de l’ordinaire), Joe Biden, grand supporteur de l’avortement, de la contraception, de l’idéologie LGBT et de la culture de mort en général, siégera dans le Bureau ovale.
Donald Trump s’est engagé à céder le pouvoir pacifiquement.*
Il est décevant que le vice-président Mike Pence n’ait pas usé de son pouvoir de veto au Sénat pour arrêter l’approbation du résultat d’une fraude électorale, évoquant la possible non-correspondance d’un tel geste à la volonté des fondateurs des États-Unis, selon LifeSiteNews :
« Certains pensent qu’en tant que vice-président, je devrais pouvoir accepter ou rejeter les votes électoraux unilatéralement », peut-on lire dans son message, ajoutant qu’il ne considérait pas ce « point de vue » comme étant « correct ». « Je ne crois pas que les fondateurs de notre pays aient eu l’intention d’investir le vice-président du pouvoir unilatéral de décider quels votes électoraux devraient être comptés lors de la session conjointe du Congrès, et aucun vice-président dans l’histoire américaine n’a jamais revendiqué un tel pouvoir ».
Pourtant, plusieurs experts constitutionnels ont souligné que de multiples vice-présidents, comme Thomas Jefferson, Richard Nixon et Al Gore, ont usé de leur pouvoir lors de confirmation des élections. Du reste, devant une telle fraude électorale, il me semble que c’est s’empêtrer dans les fleurs du tapis.
Cette défaite de Trump, donc, représente une forte défaite pour le mouvement pro-vie dans le monde entier, car il représentait un allier de taille par l’office qu’il occupait. N’a-t-il pas retiré les fonds des États-Unis de tout financement de l’avortement à l’étranger, des centaines de millions de dollars en moins pour la promotion du meurtre d’enfants à naître ? N’a-t-il pas diminué le financement de l’avortement aux États-Unis ? N’a-t-il pas défendu la liberté des entreprises américaines face à l’imposition du financement de l’avortement et de la contraception par le biais des assurances privées ? N’a-t-il combattu les tentatives de l’ONU d’adopter un langage pro-avortement dans ses textes officiels ? N’a-t-il pas multiplié les déclarations nationales et internationales, gestes amicaux et soutiens aux mouvements pro-vie et aux enfants à naître ? N’a-t-il pas retiré le financement des États-Unis à l’OMS, grand promoteur de l’avortement et de la masturbation infantile, bien que pour une autre raison officielle il est vrai ?
Certes, perdre une bataille n’est pas perdre la guerre, et si Trump est un allié du mouvement pro-vie, le mouvement pro-vie ne tient pas qu’à lui seul, tant s’en faut.
Lire la suitePetit éloge funèbre à Sœur Marie-Claude Bouffard, ex-présidente de Pro-Vie Québec
Sœur Marie-Claude Bouffard.
Par Stefan Jetchick (jesus-eucharistie.org)
Je n’ai jamais écrit d’éloge funèbre de ma vie, j’ai la mémoire d’un poisson rouge, et en plus mes émotions obscurcissent ma raison dès que j’essaie d’aborder ce sujet. Néanmoins, je vais tenter de parler un peu de ma bien-aimée, pour conserver au moins quelques souvenirs d’elle.
D’emblée, je m’excuse auprès de toutes les personnes qui ont un quelconque rapport à Marie-Claude. Votre rôle dans sa vie a sûrement été plus important que ce que je vais dire ici ! De plus, je ne pourrai jamais suffisamment remercier tous ceux qui ont fait des sacrifices pour essayer d’aider Marie-Claude durant sa terrible maladie : toute sa famille, Manon L., Richard B., Père F., abbé H., Bernard W., Lorraine G., Françoise G., Ilène T., Lynn P., Daniel D., Andrée-Anne C., Julie I., Anne-Marie T., Jacques L., Lucie L., Frère P.-J., Suzie H., Suzanne L., Ginette M., etc., etc.
J’ai vu Sœur Marie-Claude pour la première fois quand j’avais environ 25 ans. J’étais brancardier au CHUL (Centre Hospitalier de l’Université Laval). Je poussais une jeune bonne sœur (elle portait son voile) en fauteuil roulant. La technicienne l’avait accueillie avec un beau sourire et « Bonjour Madame ». Moi j’avais dit : « Il faut dire Ma Sœur, pas Madame ». La technicienne avait rétorqué : « Madame ! », et moi j’avais insisté encore : « Ma Sœur ! » Si ma mémoire est bonne, elle avait apprécié que je la défende un peu. Quelques semaines plus tard je l’avais revue à l’hôpital. Je me souviens lui avoir demandé : « Si vous deviez choisir entre Marie-Paule Giguère et le Pape, qui choisiriez-vous ? » Elle avait répondu : « Le Pape ! », mais l’autre bonne sœur avec elle avait répondu : « Marie-Paule Giguère ! » Je me souviens avoir apprécié la réponse de Marie-Claude. De nombreuses années plus tard, elle m’a dit que ma rencontre l’avait marquée, et qu’elle n’avait jamais cessé de prier pour moi.
Ensuite, je l’ai perdue de vue pour de longues années. Elle m’avait abonné au journal officiel de l’Armée de Marie, probablement parce que c’était la seule chose qu’elle pouvait faire, en tant que religieuse (surtout dans une secte !) pour essayer d’être gentille avec moi et de rester en contact. Moi j’avais été dégoûté par l’Armée de Marie, alors cela m’avait éloigné.
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Sœur Marie-Claude Bouffard.
Par Stefan Jetchick (jesus-eucharistie.org)
Je n’ai jamais écrit d’éloge funèbre de ma vie, j’ai la mémoire d’un poisson rouge, et en plus mes émotions obscurcissent ma raison dès que j’essaie d’aborder ce sujet. Néanmoins, je vais tenter de parler un peu de ma bien-aimée, pour conserver au moins quelques souvenirs d’elle.
D’emblée, je m’excuse auprès de toutes les personnes qui ont un quelconque rapport à Marie-Claude. Votre rôle dans sa vie a sûrement été plus important que ce que je vais dire ici ! De plus, je ne pourrai jamais suffisamment remercier tous ceux qui ont fait des sacrifices pour essayer d’aider Marie-Claude durant sa terrible maladie : toute sa famille, Manon L., Richard B., Père F., abbé H., Bernard W., Lorraine G., Françoise G., Ilène T., Lynn P., Daniel D., Andrée-Anne C., Julie I., Anne-Marie T., Jacques L., Lucie L., Frère P.-J., Suzie H., Suzanne L., Ginette M., etc., etc.
J’ai vu Sœur Marie-Claude pour la première fois quand j’avais environ 25 ans. J’étais brancardier au CHUL (Centre Hospitalier de l’Université Laval). Je poussais une jeune bonne sœur (elle portait son voile) en fauteuil roulant. La technicienne l’avait accueillie avec un beau sourire et « Bonjour Madame ». Moi j’avais dit : « Il faut dire Ma Sœur, pas Madame ». La technicienne avait rétorqué : « Madame ! », et moi j’avais insisté encore : « Ma Sœur ! » Si ma mémoire est bonne, elle avait apprécié que je la défende un peu. Quelques semaines plus tard je l’avais revue à l’hôpital. Je me souviens lui avoir demandé : « Si vous deviez choisir entre Marie-Paule Giguère et le Pape, qui choisiriez-vous ? » Elle avait répondu : « Le Pape ! », mais l’autre bonne sœur avec elle avait répondu : « Marie-Paule Giguère ! » Je me souviens avoir apprécié la réponse de Marie-Claude. De nombreuses années plus tard, elle m’a dit que ma rencontre l’avait marquée, et qu’elle n’avait jamais cessé de prier pour moi.
Ensuite, je l’ai perdue de vue pour de longues années. Elle m’avait abonné au journal officiel de l’Armée de Marie, probablement parce que c’était la seule chose qu’elle pouvait faire, en tant que religieuse (surtout dans une secte !) pour essayer d’être gentille avec moi et de rester en contact. Moi j’avais été dégoûté par l’Armée de Marie, alors cela m’avait éloigné.
Lire la suiteNotre-Dame de Guadalupe
Image miraculeuse de Notre-Dame de Guadalupe.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée, côtés flous rajoutés) : Wikimedia Commons
Aujourd’hui, samedi 12 décembre, c’est la fête de Notre-Dame de Guadalupe, proclamée « patronne des Amériques » par Jean-Paul II en l’an 2000.
À l’époque où la Vierge apparut à saint Juan Diego, en 1531, les indigènes du Mexique restaient attachés à leur culte païen, à l’adoration des démons, avec tout ce que comprend une telle pratique : les sacrifices humains. Pourtant, depuis 1521, les Espagnols avaient conquis Mexico, libérant les indigènes du lourd tribut humain que demandait le culte officiel aux idoles, le contact avec les missionnaires de l’Ancien Monde n’avait apporté alors que peu de conversion.
Peu après les apparitions de la Sainte Vierge sur la colline de Tepeyac, près de 8 millions d’Indiens demandèrent le baptême. Ce fut donc Elle qui mit définitivement fin aux sacrifices sanglants qui souillaient cette terre.
Notre-Dame de Guadalupe, sur l’image miraculeuse qu’elle nous a laissée, porte une ceinture noire qui indiquait la grossesse chez les Aztèques. La seule image miraculeuse où la Vierge montre aussi évidemment sa maternité divine !
C’est pour ce signe de la maternité divine et la fin des sacrifices humains que le mouvement pro-vie a pris pour protectrice la Très Sainte Vierge, sous le vocable de Notre-Dame de Guadalupe.
Notre-Dame de Guadalupe, priez pour les enfants à naître et pour nous !
Décès de Daniel Hamiche, blogueur francophone des 40 Jours pour la Vie
Daniel Hamiche.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Olivier Figueras
Daniel, c’était une bonne personne. Une très bonne personne. Que de là-haut, il me pardonne de lui emprunter l’expression qu’il utilisait souvent et volontiers, Daniel si bienveillant, pour évoquer son prochain. Cela ne l’empêchait pas d’être intraitable avec les démolisseurs de la foi, les destructeurs de l’innocence, les ennemis de Dieu, les malfaisants qui pullulent hélas sur la face de cette terre, à qui il réservait des « ils me dégoûtent » d’anthologie.
Daniel Hamiche n’est plus. C’est un combattant qui est parti, un confrère, un homme de talent, mais surtout un frère d’armes et de cœur. Il faisait partie de ces gens avec qui il faisait bon « être », tout simplement. Drôle, cultivé, profondément croyant et animé par sa foi : chaque rencontre avec lui était une fête. Sa gravité était légère. Il vous enveloppait de son affection et de sa générosité. Il laisse un vide immense.
Je l’ai connu dans sa petite boutique légitimiste, quelque part dans Paris : ça débordait des livres que Daniel éditait, toujours fidèle à la cause royaliste, cultivant la culture : la sienne et celle de ses auteurs. L’aventure ne dura pas. D’autres aventures l’appelaient…
Daniel l’anglophone a beaucoup œuvré pour exploser le mythe du rapport Kinsey (sur lequel reposent bien des aberrations morales aujourd’hui), pour faire connaître La Passion du Christ, ce film de Mel Gibson que les distributeurs français snobaient du haut de leur idéologie sans Dieu, pour répandre la prière contre l’avortement à travers les « Quarante jours pour la vie ». Et j’en passe. De l’Amérique, en quelque sorte, il importait le meilleur.
Puis ce fut, jusqu’à la fin, « l’Observatoire de la christianophobie », une mine d’informations et un outil d’action et de réaction en ligne.
Lire la suiteUn étudiant de l’Université du Manitoba renvoyé pour convictions pro-vie ?
Bâtiment administratif de l'Université du Manitoba.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sancho McCann/Flickr
Rafael Zaki, Copte pro-vie, se serait fait mettre à la porte du Collège de médecine Max Rady de l’Université du Manitoba pour ses opinions pro-vie et pro-armes-à-feu. Le chef d’accusation qui a été retenu contre lui par le Comité disciplinaire de l’université est d’avoir tenu des opinions « misogynes et hostiles aux femmes », ce qui peut évidemment n’être qu’un prétexte…
Rafael Zaki a porté plainte devant la Cour du Banc de la Reine (Cour suprême de la province), ce qui indique la plausibilité de ses dires, de l’injustice dont il fait l’objet, ainsi que le véritable but de son renvoi. C’est pourquoi, sur ces bases, cela vaut la peine que je vous rapporte l’affaire suivante. Il est évidemment dommage que Rafael Zaki n’eût pas enregistré les sept incroyables séances de rééducation auxquelles le collège l’aurait astreint.
C’est en février 2019 que dix-huit plaintes anonymes furent portées contre Rafael Zaki, citant des billets Facebook pro-vie et pro-armes-à-feu, dont le dernier de la série était un long essai dans le cadre de l’école du dimanche (Sunday School). Le collège fit suite aux plaintes en astreignant l’inculpé à sept séances de, dirais-je, rééducation où on lui demanda de supprimer les billets en question, et de produire des excuses, ce qu’il fit dix fois. Malgré tout, Rafael Zaki ne trouva pas grâce aux yeux du Dr Ripstein, chargé de la rééducation de l’étudiant, car Rafael Zaki n’avait pas fait preuve d’un assez grand remord puisqu’il n’avait pas changé d’opinions ! selon The Post Millennial :
Lire la suiteLes plaignants anonymes déclarèrent que les messages les faisaient se sentir en « insécurité ». Une enquête fut donc lancée, qui mena directement à un processus de réparation, dans le cadre duquel Zaki fut convoqué à sept réunions avec le Dr Ira Ripstein, vice-doyen de la Faculté de médecine Max Rady à l’enseignement médical de premier cycle.
Un étudiant de l’Université du Manitoba renvoyé pour convictions pro-vie ?
Bâtiment administratif de l'Université du Manitoba.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Sancho McCann/Flickr
Rafael Zaki, Copte pro-vie, se serait fait mettre à la porte du Collège de médecine Max Rady de l’Université du Manitoba pour ses opinions pro-vie et pro-armes-à-feu. Le chef d’accusation qui a été retenu contre lui par le Comité disciplinaire de l’université est d’avoir tenu des opinions « misogynes et hostiles aux femmes », ce qui peut évidemment n’être qu’un prétexte…
Rafael Zaki a porté plainte devant la Cour du Banc de la Reine (Cour suprême de la province), ce qui indique la plausibilité de ses dires, de l’injustice dont il fait l’objet, ainsi que le véritable but de son renvoi. C’est pourquoi, sur ces bases, cela vaut la peine que je vous rapporte l’affaire suivante. Il est évidemment dommage que Rafael Zaki n’eût pas enregistré les sept incroyables séances de rééducation auxquelles le collège l’aurait astreint.
C’est en février 2019 que dix-huit plaintes anonymes furent portées contre Rafael Zaki, citant des billets Facebook pro-vie et pro-armes-à-feu, dont le dernier de la série était un long essai dans le cadre de l’école du dimanche (Sunday School). Le collège fit suite aux plaintes en astreignant l’inculpé à sept séances de, dirais-je, rééducation où on lui demanda de supprimer les billets en question, et de produire des excuses, ce qu’il fit dix fois. Malgré tout, Rafael Zaki ne trouva pas grâce aux yeux du Dr Ripstein, chargé de la rééducation de l’étudiant, car Rafael Zaki n’avait pas fait preuve d’un assez grand remord puisqu’il n’avait pas changé d’opinions ! selon The Post Millennial :
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Un député canadien diffuse un beau message sur la famille, les pro-avortement se confondent de rage
L'affiche créée par le député Garnett Genuis, novembre 2020.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Garnett Genuis/Twitter
11 novembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans l’étrange monde où les progressistes vivent, il y a beaucoup d’enfants non désirés, mais pas d’avortements non désirés. L’avortement, selon eux, est un bien intrinsèque qui doit être célébré par tous. Cela est particulièrement vrai pour les libéraux du Canada, qui ne cessent d’évoquer l’avortement tout en refusant de condamner le fœticide, même lorsqu’il vise l’élimination des petites filles. Lors des dernières élections, Justin Trudeau a même tenté de faire entrer l’avortement dans le cycle de l’actualité en annonçant que s’il était auparavant personnellement opposé à l’avortement mais politiquement favorable à celui-ci, il le soutenait désormais à la fois personnellement et politiquement. Quel que soit son niveau de soutien, il s’avère que les bébés avortés restent morts.
Nous avons récemment eu droit à un autre exemple de l’enthousiasme des libéraux pour l’avortement. Une organisation appelée One Child One Planet avait lancé une campagne publicitaire à Vancouver, se présentant sous la forme d’un panneau d’affichage comportant la photo d’un enfant noir et le slogan « Le cadeau le plus affectueux que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre ». Le député Garnett Genuis riposta à cette campagne dans un éditorial dans The Post Millennial, en qualifiant la publicité de raciste. Il lança alors une campagne publicitaire de son cru dans les transports en commun de Vancouver. Les publicités présentent une photo de trois enfants souriants et une citation de Mère Teresa : « Comment pourrait-il y avoir trop d’enfants ? C’est comme dire qu’il y a trop de fleurs ».
Lire la suiteCertaines personnes ont affiché une annonce raciste à Vancouver, disant à tout le monde de n’avoir qu’un seul enfant ou pas d’enfant du tout. J’y ai répondu avec une annonce dépeignant mes enfants, disant essentiellement que les enfants sont merveilleux. Hedy Fry s’est plainte de la deuxième annonce, mais pas de la première.
– Garnett Genuis (@GarnettGenuis) 3 novembre 2020