C’est l’avortement qui devrait choquer, pas un autocollant pro-vie sur un vélo
Les autocollants pro-vie sur les vélos parisiens de velib font scandale
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Il aura suffi d’autocollants portant le message « Et si vous l’aviez laissé vivre ? » placés sur les vélos Vélib’ de Paris pour créer un séisme parmi les bobos pro-avortement.
C’est une campagne de sensibilisation réussie qui s’est déclenchée dans la nuit de mercredi à jeudi à l’initiative du collectif les Survivants. Sur l’arrière d’un nombre conséquent de bicyclettes de location dans le tout Paris, des militants pro-vie ont placé un autocollant sympa avec le slogan « Et si vous l’aviez laissé vivre ? » assorti du dessin d’un fœtus grandissant, puis devenant un bébé et enfin… un cycliste joyeux.
Il n’en fallait pas plus pour choquer des hommes et des femmes par ailleurs insensibles au sort des centaines de milliers de fœtus avortés chaque année, bébés tués dans le ventre de leur mère.
La direction de Vélib’ a condamné cette action et a annoncé déposer une plainte. Quant à Anne Hidalgo, maire de Paris, elle a plastronné qu’elle va « prendre toutes les mesures pour que cela ne se reproduise pas ». En plaçant un policier ou une caméra derrière chaque vélo ?
Lire la suiteEn 1977, une jeune fille de 12 ans demandait à Pierre, le père de Justin Trudeau, de mettre fin à l'avortement
Lori Mallett (à gauche), Pierre Elliott Trudeau (à droite).
Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 14 mars 2023 — En 1977, une jeune fille des Prairies, âgée de 12 ans, a écrit une lettre puissante au premier ministre de l'époque, Pierre Elliott Trudeau, le suppliant de faire quelque chose, n'importe quoi, pour mettre fin au meurtre d'enfants dans l'utérus par l'avortement.
La lettre, datée du 16 mars 1977, commence ainsi : « Cher Monsieur le Premier ministre. J'ai 12 ans et je suis en 7e année. J'ai deux frères qui ont 9 et 11 ans. »
« Mes frères et moi sommes très inquiets et préoccupés, et nous aimerions attirer votre attention sur le nombre de bébés à naître qui ont été tués et qui sont en train d'être tués. »
« Vous ne devez pas le savoir, sinon vous auriez fait quelque chose à ce sujet ! »
Cette lettre a été écrite par Lori Mallett de Swift Current, en Saskatchewan.
Jack Mallett, le père de Lori, a récemment envoyé une copie de la lettre à Campaign Life Coalition, racontant à l'organisation pro-vie l'histoire de la vie courte mais marquante de sa fille.
La lettre écrite en 1977 par Lori Mallett au premier ministre Pierre Elliott Trudeau.
Lori avait quatre ans lorsque, en 1969, le dirigeant libéral Pierre Trudeau a décriminalisé l'avortement, ce que les défenseurs de la vie appellent le « jour d'infamie » du Canada. Auparavant, toute personne, y compris la mère, qui avait délibérément l'intention de « provoquer une fausse couche chez une personne de sexe féminin » était « coupable d'un acte criminel » et « passible d'une peine d'emprisonnement à perpétuité ». Pierre Trudeau a supervisé l'adoption d'un projet de loi qui prévoyait des exceptions à la loi, autorisant un médecin à tuer l'enfant à naître d'une femme dans un « hôpital agréé » avec l'approbation préalable d'un « comité d'avortement thérapeutique ».
Lire la suiteUn ancien avorteur partage son histoire de conversion : « Il est beaucoup plus courageux » de protéger la vie que de la tuer
Le Dr John Bruchalski.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le Dr John Bruchalski, ancien avorteur, fondateur de Divine Mercy Care (Soins de la Miséricorde divine) et auteur de « Two Patients : My Conversion from Abortion to Life-Affirming Medicine », s’est entretenu en exclusivité avec Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action. Il a partagé son histoire de conversion pro-vie et les sombres vérités de la lucrative industrie de l’avortement, ainsi que son espoir pour l’avenir.
M. Bruchalski a été élevé dans une famille catholique et pro-vie. Ils sont allés à la Marche pour la vie et son père a qualifié de « lundi noir » le jour où Roe v. Wade a été annoncé, le 22 janvier 1973. Mais, dit-il, sa mère et son père « ont confié notre formation au système éducatif ».
Et comme beaucoup d’entre nous dans les années 60, 70, 80, 90, 2000 et plus, on nous a présenté, vous savez, « Dieu est un grand Dieu. Il y a de nombreux chemins. Ne vous inquiétez pas. Dieu est un homme très aimant. Ne vous inquiétez pas. Il n’y a probablement pas de péché. Ne vous inquiétez pas », a-t-il déclaré.
Il a ajouté qu’il avait vécu une « vie tiède parce que la vérité et l’amour étaient devenus tièdes ».
Devenir gynécologue-obstétricien
Bruchalski est devenu gynécologue-obstétricien pour aider les femmes à vivre en bonne santé, mais on lui avait aussi dit qu’il y avait un problème de surpopulation. Pendant ses études de médecine, des professeurs de cabinets privés pratiquaient des avortements et permettaient aux étudiants de les regarder et d’y participer. Bruchalski voulait être le meilleur médecin possible, et il pensait que cela signifiait qu’il devait participer à des avortements.
Parlant du premier avortement qu’il a pratiqué, il a expliqué : « Je mets fin à la vie de la personne la plus innocente de notre famille humaine. Quand ils sont petits, ils ne se débattent pas beaucoup parce qu’ils n’ont pas encore de vrais os. Mais lorsqu’ils deviennent assez grands et que le calcium a pénétré ces os, il faut compter les parties du corps. Il s’agissait d’un de ces avortements... L’homme qui m’a enseigné cela m’a demandé à plusieurs reprises : “Êtes-vous sûr ?” »
Lire la suiteLes Péruviens célèbrent la vie et la famille lors d’un grand défilé qui a rassemblé environ 120 000 personnes
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Corso por la Vida y Familia
24 avril 2023, Arequipa, Pérou (LifeSiteNews) — Plus de 120 000 personnes ont participé à une grande parade pro-famille au Pérou ce mois-ci pour célébrer « la valeur de chaque personne et de chaque vie humaine », ont déclaré les organisateurs du groupe.
Le groupe pro-vie Corso por la Vida y la Familia (CORVIDA) a organisé l’événement le 15 avril. Les participants ont commencé par écouter un discours sur la Plaza Mayta Cápac, dans le quartier de Miraflores à Arequipa, et ont terminé par une marche commune jusqu’à la Plaza de Armas, selon un message publié sur Facebook.
Dans les commentaires adressés aux participants, l’archevêque d’Arequipa, Mgr Javier Del Rio Alba a fait l’éloge des défenseurs de la vie et de la famille et a exprimé sa joie de pouvoir à nouveau organiser l’événement en personne après les contrôles COVID de ces dernières années.
« C’est une joie de réunir des familles, des jeunes, des adultes, des enfants, des mères, dans ces délégations qui disent oui à la vie de notre chère Arequipa », a-t-il déclaré. « Après deux ans sans pouvoir le faire en personne si ce n’est à travers les réseaux… il est très encourageant de voir que des milliers et des milliers de personnes célèbrent le don de la vie et de la famille. »
Lire la suiteTrudeau débat de l’avortement avec des étudiants, mais jamais avec des pro-vie chevronnés
Justin Trudeau argumentant avec un jeune homme inexpérimenté sur la question de l'avortement, à l'Université du Manitoba à Winnipeg.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie — Photo : NoahFromCanada/Reddit
17 avril 2023 (LifeSiteNews) — Plus tôt cette année, les militants pro-vie ont eu l’occasion de confronter le premier ministre Justin Trudeau, le politicien le plus pro-choix de l’Histoire du Canada. À Hamilton, en Ontario, des partisans pro-vie de Hamilton Against Abortion et de Campaign Life Coalition ont brandi des pancartes représentant des victimes de l’avortement à l’extérieur d’un lieu où Trudeau se réunissait avec les gros bonnets du parti pour une séance de stratégie. Lorsqu’il est sorti, un militant pro-vie lui a demandé : « Que pensez-vous de l’avortement ? »
Il a répondu : « Le droit des femmes de choisir… » puis s’est promptement esquivé. Il a rapidement rencontré un autre groupe pro-vie qui lui a posé une autre question : « Monsieur le Premier Ministre, croyez-vous en l’égalité des droits pour tous les êtres humains ? »
« Je crois au droit des femmes de choisir », a-t-il répondu. « Qu’en est-il de cet être humain qui a été tué ? », lui a demandé un partisan pro-vie en lui montrant une pancarte sur laquelle on voyait un bébé avorté. « Je défendrai les droits des femmes tous les jours », a-t-il répondu en passant rapidement devant lui. Ses réponses, bien sûr, n’étaient que des mots creux qui refusaient d’humaniser le personnage central du grand drame moral dans le débat sur l’avortement : l’enfant à naître. M. Trudeau a affirmé croire au « droit des femmes de choisir », mais n’a pas voulu discuter de la conséquence de ce choix en question : la destruction d’un bébé dans l’utérus. La position de Trudeau sur la question n’est qu’une phrase inachevée.
Il est très probable que vous n’ayez jamais entendu parler de la rencontre, en janvier, du premier ministre avec deux jeunes femmes pro-vie aux arguments convaincants et pleins de compassion pour la défense de l’enfant à naître. Le portrait est loin d’être flatteur : un premier ministre dont le bilan avec les femmes est douteux déclarant à deux jeunes femmes opposées à l’avortement que sa position est favorable aux femmes — c’est pourquoi le Parti libéral a choisi de rendre publique l’interaction de M. Trudeau avec un adolescent ce mois-ci.
Lire la suiteUne étudiante harcelée pour ses convictions pro-vie poursuit son combat contre une université canadienne
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 avril 2023 — Dans l’épisode de cette semaine du Van Maren Show, Jonathon s’entretient avec Talia Battista, une étudiante chrétienne qui a déposé une plainte contre une université devant le tribunal des droits de la personne de l’Ontario, pour harcèlement et « discrimination » en raison de ses croyances pro-vie.
En 2017, alors qu’elle était étudiante à l’Université Ryerson (rebaptisée depuis Université métropolitaine de Toronto), Talia Battista a été victime de harcèlement de la part du syndicat étudiant de l’université. Elle a été victime de multiples vols et a été aspergée d’eau par des bénévoles et des employés du syndicat étudiant. Selon Mme Battista, la direction du syndicat étudiant n’est élue que par une poignée d’étudiants, mais reçoit des cotisations de tous les étudiants dans le cadre de leurs frais de scolarité.
Au cours de l’hiver de cette année-là, Mme Battista a été exclue d’une réunion du syndicat étudiant destinée aux victimes d’agressions sexuelles. On lui a dit que ses opinions pro-vie contredisaient la politique pro-avortement du syndicat étudiant. Mme Battista a dit à un représentant du syndicat étudiant qu’elle avait été exclue de la réunion alors qu’elle n’avait pas l’intention d’aborder les questions liées à l’avortement.
Après que la représentante en ait parlé à son responsable, Battista a été informée qu’en raison de son appartenance au club Ryerson Students for Life, elle serait exclue de tous les services de l’association étudiante. Or, le club Students for Life n’était pas présent sur le campus, ayant été interdit par l’association étudiante. De plus, Mme Battista n’a jamais appartenu à la section de Ryerson de Students for Life.
Après avoir contacté le syndicat étudiant au sujet d’autres pro-vie sur le campus, Mme Battista a découvert que toute personne perçue comme ayant des opinions pro-vie, ou toute personne soupçonnée d’être associée à une personne perçue comme ayant des opinions pro-vie, n’avait pas non plus accès aux services étudiants.
Lire la suiteDes pays d’Amérique du Sud célèbrent la Journée de l’enfant à naître par des marches pro-vie le jour de la fête de l’Annonciation
Marche pour la Vie au Pérou.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
30 mars 2023 (LifeSiteNews) — Des pays d’Amérique du Sud, l’Argentine, l’Équateur et le Pérou, ont célébré la fête de l’Annonciation le 25 mars comme la Journée de l’enfant à naître avec de grandes marches pro-vie.
Samedi, 20 000 personnes ont participé à la Marche pour la vie à Buenos Aires, en Argentine, où la Journée de l’enfant à naître a été célébrée pour la première fois en 1999 à la suite d’une déclaration présidentielle du président argentin Carlos Menem. Son décret indiquait que « selon notre constitution et notre législation civile, la vie commence au moment de la conception », une position dont la législature argentine s’est tragiquement écartée depuis.
À l’époque de son institution, la Journée de l’enfant à naître a reçu le soutien du pape Jean-Paul II, qui a écrit dans une lettre : « J’espère que chacun profitera de la Journée internationale de l’enfant à naître pour sensibiliser davantage à la dignité de la vie humaine, pour prier afin que cessent les crimes violents contre la vie naissante, pour la guérison de ceux qui ont provoqué un avortement, qui l’ont encouragé ou qui y ont participé, pour que chaque vie, sans exception, soit chérie et aimée, pour tous ceux qui travaillent inlassablement à défendre et à servir la vie, et pour que notre nation devienne une véritable culture de la vie. »
En 2020, le législateur argentin a légalisé l’avortement sur demande dans tout le pays jusqu’à 14 semaines de grossesse. Parlant de l’espoir d’abroger la loi sur l’avortement, la dirigeante pro-vie argentine Ana Belén Marmora a déclaré à propos des marches organisées dans tout le pays : « Cela est important, car si nous voulons vraiment abroger la loi désastreuse sur l’avortement, plus que jamais, nous devons montrer clairement que ce n’est pas fini et que personne ici n’abandonne ».
D’autres marches ont eu lieu samedi en Argentine dans les villes de Salta, Tucumán, Bahía Blanca, Corrientes, Mar de Plata, Córdoba et Santiago del Estero.
De même, des milliers de pro-vie ont défilé dans les villes équatoriennes de Quito, Guayaquil et Cuenca. La Journée de l’enfant à naître a été instituée en Équateur par le président Alfredo Palacios González par un décret de 2006 qui reconnaît l’enfant conçu comme une personne. Ce décret garantit « le droit à la vie, en reconnaissant expressément le bébé comme un être humain vivant et une personne juridique qui ne peut faire l’objet d’aucune discrimination en raison de son état d’enfant à naître ».
Lire la suiteDes pro-vie arrêtés devant un avortoir gagnent leur procès
David Benham.
LifeSitenews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 mars 2023, Charlotte, Caroline du Nord (Alliance Defending Freedom) — Dans le cadre du règlement d’un procès que les avocats de l’Alliance Defending Freedom ont intenté au nom de David Benham et des membres de deux organisations pro-vie qui ont été arrêtés ou cités pour avoir prié pacifiquement et conseillé des femmes sur le trottoir devant un avortoir, les responsables du comté de Mecklenburg ont admis que le Premier Amendement protège les citoyens pro-vie dans leur activisme public.
Dans le cadre de l’accord de règlement, les fonctionnaires du comté ont reconnu que « la défense pacifique des droits sur les trottoirs et les voies publiques est généralement régie par la loi du premier amendement concernant la liberté d’expression dans un forum public traditionnel ».
En outre, les fonctionnaires du comté ont déclaré que tout ordre d’urgence futur lié à la pandémie de COVID-19 autorisera expressément les rassemblements religieux en plein air et les « activités de prière sur les trottoirs et de plaidoyer pacifique en faveur de la vie » auxquelles se sont livrés M. Benham, président de Cities4Life (organisation caritative pro-vie à but non lucratif), et les autres citoyens pro-vie associés au ministère chrétien Love Life.
« Le gouvernement peut protéger la santé et la sécurité publiques tout en respectant les libertés garanties par la Constitution des Américains », a déclaré Denise Harle, avocate-conseil de l’ADF et directrice du Centre pour la vie de l’ADF.
Depuis le début, cette affaire porte sur le fait que le gouvernement réduit des personnes au silence parce qu’il n’aime pas leur point de vue. Les personnes croyantes ne peuvent pas être pointées du doigt pour leurs croyances religieuses ou parce que leur forme d’expression est la prière ou le conseil pro-vie. Nous félicitons les autorités du comté de Mecklenburg d’avoir enfin accepté de respecter la liberté d’expression de M. Benham et des autres citoyens pro-vie et d’avoir reconnu leur liberté de prier et de s’exprimer sur la place publique, et nous invitons la ville de Charlotte à faire de même.
Avant que les avocats de l’ADF ne portent plainte contre le comté de Mecklenburg et la ville de Charlotte en avril 2020, ils ont envoyé une lettre aux responsables de la ville expliquant que les arrestations n’auraient pas dû avoir lieu car les individus avaient respecté tous les ordres et proclamations d’urgence applicables liés à la pandémie de COVID-19. Les procureurs ont abandonné toutes les charges quelques mois plus tard.
À la lumière de ce règlement, les avocats de l’ADF ont déposé mercredi une demande de non-lieu pour le comté dans l’affaire Benham v. City of Charlotte, qui est toujours en cours contre la ville de Charlotte. Dans le cadre du règlement, les responsables du comté de Mecklenburg ont accepté de verser 20 000 dollars pour couvrir les frais d’avocats des organisations pro-vie.
Le pro-vie Gerrit Van Dorland, exclu par le Parti conservateur de la course à l’investiture du comté d’Oxford en Ontario
Gerrit Van Dorland.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : YouTube
Gerrit Van Dorland, qui avait présenté sa candidature à l’investiture dans le comté d’Oxford pour le Parti conservateur du Canada, s’est vu rejeter par le Comité national dudit parti, par un vote de 3 voix contre 2. Cette décision a été confirmée par le Comité national de sélection des candidats par un vote de 11 voix contre 3 et une abstention, selon les sources de LifeSiteNews.
Gerrit Van Dorland aurait-il été exclu pour ses convictions pro-vie ou parce que le parti voulait parachuter un de ses favoris, ou les deux ? Il est à noter que le comté d'Oxford en Ontario est une place forte conservatrice tenue depuis 2004 par le député Dave MacKenzie, qui a pris sa retraite.
Selon la source de LifeSiteNews proche du Parti conservateur, Pierre Poilievre serait en faveur de cette disqualification :
Il semble également que le chef du PCC, Pierre Poilievre, était en faveur du maintien de l’interdiction de Van Dorland, selon les informations envoyées à LifeSiteNews.
« Il (Poilievre) aurait même pu exprimer son mécontentement face à la pratique de la discrimination contre les conservateurs sociaux, afin d’envoyer le message qu’il ne veut pas que ce genre d’escroquerie se poursuive », a déclaré la source de LifeSiteNews.
« Nos informations indiquent que la pression exercée par le bureau du chef était de maintenir la disqualification.
Le parti, quant à lui, dans un récent communiqué, invoque “un manquement à l’obligation de divulguer les informations requises au cours de la procédure de candidature” de la part de Van Dorland, rapporte True North. Cependant, Bas Sluijmers, directeur de campagne de Van Dorland, souligne que le parti ne précise pas quels documents manquaient au dossier du candidat rejeté — ce qui semble être une pratique courante au sein du parti…
Lire la suite« Ce n’est pas une course » : Mon frère trisomique incarne d’une manière particulière le précieux don de la vie
Jacinta et Gabriel Hamilton.
Par Jacinta Hamilton — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Famille Hamilton
21 mars 2023 (LifeSiteNews) — Le 21 mars marque la célébration de la Journée mondiale de la trisomie 21 — une célébration des innombrables individus qui bénissent notre monde avec cette condition.
Cependant, la lutte pour la reconnaissance de la valeur de toute vie se poursuit, et les statistiques sont stupéfiantes.
En Irlande, 95 % des bébés atteints du syndrome de Down seraient avortés. L’Islande prétend avoir « éliminé » le syndrome de Down en tuant 100 % des bébés trisomiques par avortement. Aux États-Unis, environ 74 % des futurs parents avortent leur enfant atteint du syndrome de Down.
Ce paysage brutal est en opposition totale avec les belles expériences des familles qui choisissent de donner la vie à des bébés atteints du syndrome de Down. En réalité, la trisomie 21 n’est pas une condamnation à mort. C’est une bénédiction.
Je crois que nous vivons un moment de grâce dans ce pays, où nous pouvons accorder une attention plus profonde à la vie humaine ayant des besoins particuliers. En fin de compte, je pense que ce sont les histoires personnelles et les visages associés au diagnostic qui changeront les cœurs.
Il y a quatorze ans, lorsque j’ai appris que mon petit frère était né avec le syndrome de Down et qu’il ferait certaines choses plus lentement que ses frères et sœurs, ma petite personne de huit ans s’est écriée spontanément : « Ce n’est pas une course ! »
Les mots ne peuvent exprimer la bénédiction que représente Gabriel pour ses parents, ses six frères et sœurs, ainsi que pour les nombreux autres membres de sa famille et ses amis. Ce jeune homme a eu une influence extrêmement puissante sur ceux qui le connaissent et l’aiment. Il rend la vie plus pleine et plus riche à tous points de vue !
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