Kamala Harris se moque de deux étudiants proclamant « Christ est roi » : « Vous n’êtes pas au bon rassemblement »
Kamala Harris.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
21 octobre 2024 (LifeSiteNews) — La candidate démocrate à la présidence Kamala Harris a interrompu un discours de campagne à l’Université de Wisconsin-La Crosse pour ridiculiser deux étudiants qui ont crié « Jésus est Seigneur ! » et « Christ est Roi ! » alors que la candidate promettait à une foule enthousiaste que si elle était élue, elle établirait le droit à l’avortement sans limites.
« Oh, vous vous êtes trompés de rassemblement », a plaisanté Harris alors que la foule se moquait bruyamment des étudiants chrétiens.
« Je pense que vous vouliez aller au plus petit, plus bas dans la rue », a ajouté Harris, à la grande joie de la foule pro-avortement, tout en faisant un signe de la main dédaigneux aux étudiants.
Cette vidéo publiée par Jennifer McKinney, qui a été la première à rapporter l’incident, est devenue « virale », ayant été regardée plus de 42 millions de fois.
Lire la suiteLe Père Ripperger souligne l’importance de la maternité et met en garde contre l’« attaque en règle » contre la vie familiale
Le Père Chad Ripperger.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
11 janvier 2023, Pine Bluff, Wisconsin (LifeSiteNews) — Le Père Chad Ripperger, prêtre catholique, théologien, philosophe et exorciste bien connu, a marqué la fête de la Sainte Famille en prononçant un avertissement sévère lors de son sermon sur l’état précaire de la famille moderne et de la vie conjugale, qui, selon lui, sont « attaquées de plein fouet ». Il a déclaré qu’il est important de reconnaître la noblesse de la maternité et la structure de droit naturel du mariage et de la vie familiale afin de restaurer la culture.
Le père Ripperger a fait ces commentaires dans un sermon prononcé lors de la messe traditionnelle en latin de 7 h 30 à l’église St. Mary of Pine Bluff, au Wisconsin. Il a commencé par citer des statistiques suggérant que les gens d’aujourd’hui sont moins susceptibles de valoriser la loyauté dans le mariage, puis il a dénoncé les effets corrosifs du divorce sans faute.
« Il n’y a pas un seul aspect de la vie conjugale ou familiale qui ne soit attaqué de plein fouet par notre culture », a-t-il déclaré.
Né à Casper, dans le Wyoming, le père Ripperger est un prêtre catholique traditionnel qui détient deux licences distinctes en théologie et en philosophie de l’Université de San Francisco. Il détient également deux maîtrises (également en philosophie et en théologie) du Centre d’études thomistes de l’Université de St. Thomas au Texas et du Holy Apostles College and Seminary dans le Connecticut, ainsi qu’un doctorat en philosophie de l’Université de la Sainte-Croix à Rome.
Dans son sermon de dimanche, le théologien de 58 ans a rappelé que le mariage est défini comme « un contrat solennel entre un homme et une femme dans le but d’avoir des enfants. La finalité première du mariage est d’avoir des enfants. C’est vers cela qu’il est ordonné ».
« C’est une chose qui, malheureusement, n’est pas comprise aujourd’hui », a-t-il poursuivi, ajoutant que beaucoup de gens aujourd’hui ne reconnaissent même plus que le mariage ne peut être qu’entre un homme et une femme.
Observant que les unions homosexuelles ne répondent pas à la définition d’un véritable mariage, le père Ripperger a déclaré que le fait de traiter les relations homosexuelles comme un « mariage » invite le jugement de Dieu sur la culture.
Lire la suiteUn avortoir du Wisconsin met la clé sous la porte après trente ans d’existence
Pro-vie se tenant devant l'avortoir fermé de Milwaukee au Wisconsin.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pro-Life Wisconsin
28 octobre 2022 (LifeSiteNews) — Un autre centre d’avortement aux États-Unis a fermé définitivement ses portes après la décision de la Cour suprême d’annuler Roe v. Wade en juin.
Un bâtiment appartenant à l’ancien avortoir d’Affiliated Medical Services à Milwaukee, dans le Wisconsin, a été mis en vente après avoir fourni des avortements pendant trois décennies.
« Personne n’a jamais vu sa santé s’améliorer en franchissant les portes d’Affiliated Medical Services (AMS) ou de tout autre centre d’avortement », a déclaré Dan Miller, directeur d’État de Pro-Life Wisconsin, dans un courriel adressé à LifeSiteNews, tout en se réjouissant de la fermeture de l’usine d’avortement. « Ils n’ont jamais offert de soins de santé, seulement la mort aux enfants. Personne n’a jamais été guéri là-bas ».
Les avortements sont devenus illégaux le 24 juin dans le Wisconsin après la décision de la Cour suprême qui a ramené l’État à sa loi de 1849 qui interdit strictement les avortements sauf pour sauver la vie de la mère.
« Ce centre d’avortement particulier a été victime de l’affaire Dobbs v. Jackson, il n’y a aucun doute là-dessus », poursuit Miller. « Cependant, la seule chose qui empêche les avorteurs de tuer des bébés ici après l’affaire Dobbs était une interdiction totale de l’avortement rédigée par nos ancêtres en 1849, la loi d’État 940.04. Elle contient une exception large et indéfinie concernant la vie de la mère, mais cette loi est la seule raison pour laquelle les bébés du Wisconsin ne sont pas massacrés à AMS ou dans les trois autres centres d’avortement de Planned Parenthood à Milwaukee, Madison et Sheboygan. »
M. Miller a témoigné qu’il a personnellement passé « plus de 6 500 heures devant des centres d’avortement » et qu’il a « documenté 1 691 bébés sauvés de l’avortement à Affiliated Medical Services depuis le 3 août 2010 ».
Lire la suiteL’avortement est désormais limité dans au moins 13 États américains, d’autres suivront
Pro-vie manifestant devant la Cour suprême des États-Unis le 13 juin 2022.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Doug Mainwaring/LifeSiteNews
25 juin, 2022 (LifeSiteNews) — Dans une décision historique vendredi 24 juin 2022, la Cour suprême des États-Unis a annulé Roe v. Wade, mettant fin à près de 50 ans d’avortement à la demande à l’échelle nationale et permettant à nouveau aux États de protéger la vie à naître dès le moment de la conception.
À la suite de cette victoire sismique en faveur de la vie, une dizaine d’États ont déjà éliminé l’avortement sur leur territoire pour la première fois depuis 1973, tandis qu’une dizaine d’autres sont prêts à interdire cette pratique barbare dans les jours et les semaines à venir.
Mise à jour — Lundi 27 juin :
- Le projet de loi sur les battements de cœur de la Caroline du Sud interdisant l'avortement à environ six semaines est entré en vigueur après qu'un tribunal fédéral ait levé une injonction, antérieure au jugement Dobbs, sur la loi.
- Un juge de l'État a temporairement bloqué l'interdiction de l'avortement en Louisiane à la demande des activistes de l'avortement. Cependant, la Constitution de la Louisiane nie spécifiquement le "droit" à l'avortement, et cette pause ne devrait pas durer longtemps. Au moins une clinique a déclaré qu'elle reprendrait les avortements dans l'intervalle.
- Un juge de l'Utah a bloqué la loi « à déclenchement » interdisant l'avortement dans cet État à la demande de Planned Parenthood, qui a invoqué la clause de confidentialité de la Constitution de l'Utah. L'ordonnance dure 14 jours, et le tribunal doit entendre d'autres arguments d'ici là. Les dirigeants républicains de l'État ont promis de défendre la loi.
- L'interdiction quasi-totale de l'avortement dans le Mississippi entrera en vigueur dans 10 jours, après que le procureur général Lynn Fitch eût certifié lundi que la Cour suprême avait annulé l'arrêt Roe.
- [Le Tennesse est maintenant le 13e État a voir fait entrer en vigueur ses lois sur l'avortement suite au jugement Dobbs.]
Consultez la liste ci-dessous pour connaître la position de chaque État sur l’avortement dans l’Amérique post-Roe.
États où l’avortement est illégal
L’avortement est désormais pratiquement illégal ou fortement limité dans au moins 10 États, dont la plupart ont mis en œuvre des lois dites « de déclenchement » conçues pour entrer en vigueur immédiatement après l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade et criminaliser l’avortement tout au long de la grossesse.
Les interdictions nouvellement applicables sont un coup dévastateur pour l’industrie de l’avortement : depuis vendredi matin, les cliniques ont arrêté les avortements en Alabama, Arkansas, Louisiane, Kentucky, Missouri, Oklahoma, Texas, Dakota du Sud, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Près de 100 000 avortements ont eu lieu dans ces États en 2019, selon les données du CDC.
Environ un quart des femmes âgées de 13 à 44 ans aux États-Unis vivent dans des États où des interdictions sont entrées en vigueur depuis la chute de Roe, dont plus de 6 millions rien qu’au Texas. Pour beaucoup de ces femmes, le centre d’avortement le plus proche peut se trouver à des centaines de kilomètres, et même là, il peut être inaccessible.
Les pénalités pour l’avortement dans de nombreux États conservateurs sont prohibitives. Au Texas et en Alabama, pratiquer un avortement volontaire est désormais un crime équivalent au viol ou à la tentative de meurtre et peut conduire à la prison à vie. En Louisiane, avorter le bébé d’une mineure peut entraîner jusqu’à 50 ans de prison.
Tous les États où les interdictions post-Roe sont en vigueur, à l’exception d’un seul (l’Utah), interdisent l’avortement en cas de viol ou d’inceste, ce qui témoigne de manière frappante d’une prise de conscience accrue de la qualité de personne du fœtus et d’une rupture avec la politique républicaine de longue date.
Chaque État continue cependant à autoriser des exceptions pour, le cas échéant, sauver la vie de la mère en raison d’une condition physique. Des experts ont attesté cependant que l’avortement n’est jamais médicalement nécessaire, et de nombreux partisans de la vie et l’Église catholique soulignent qu’il s’agit toujours du meurtre délibéré d’une vie humaine innocente.
Alabama
Depuis vendredi, l’avortement est illégal à tous les stades de la grossesse en Alabama, à quelques exceptions près.
Un tribunal fédéral a levé une injonction sur l’interdiction quasi totale de l’avortement dans l’État, promulguée en 2019, a annoncé le procureur général Steve Marshall dans les heures qui ont suivi l’arrêt Dobbs. La loi de 2019, connue sous le nom de Loi sur la protection de la vie humaine, fait de l’avortement un crime de classe A qui peut entraîner une peine de prison à vie.
La loi prévoit des exceptions en cas de « risque grave pour la santé » de la mère ou d’anomalies fatales du fœtus. En Alabama, une autre interdiction datant de 1951, antérieure à l’arrêt Roe, interdit l’avortement sauf pour préserver la vie ou la santé de la mère.
Les trois derniers centres d’avortement de l’Alabama ont interrompu toute procédure vendredi.
Lire la suite26 États interdiront les avortements lorsque la Cour suprême aura annulé Roe vs Wade
Par Steven Ertelt, Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mallivan/Adobe Stock
Plus de la moitié du pays protégera les bébés à naître en interdisant tous les avortements ou la plupart d’entre eux lorsque le jugement Roe v. Wade sera annulé, comme on l’espère, le mois prochain.
Cette estimation provient de l’Institut Guttmacher, une organisation pro-avortement précédemment affiliée à Planned Parenthood, la plus grande entreprise d’avortement du pays. Selon son analyse, 26 États « sont certains ou susceptibles d’interdire les avortements » si la Cour suprême des États-Unis abolit Roe.
Le juge Samuel Alito ayant rédigé un projet d’avis renversant Roe qui a récemment fait l’objet d’une fuite, l’accent sera mis sur la protection des bébés contre les avortements dans le plus grand nombre d’États possible. La bonne nouvelle est que la moitié du pays protégera légalement les enfants à naître assez rapidement, certains États commençant à les protéger dès le premier jour.
De nombreux États ont déjà pris des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement en prévision du jour où Roe sera annulé. L’analyse de Guttmacher a identifié 21 États qui ont des lois ou des amendements constitutionnels qui interdiraient les avortements lorsque le pouvoir de le faire reviendra aux États.
Il s’agit des États : Alabama, Arizona, Arkansas, Géorgie, Idaho, Iowa, Kentucky, Louisiane, Michigan, Mississippi, Missouri, Dakota du Nord, Ohio, Oklahoma, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie-Occidentale et Wisconsin.
Certains de ces États ont encore des lois antérieures à Roe qui interdisent les avortements, et d’autres ont des lois de déclenchement qui interdiront immédiatement le meurtre des bébés à naître par avortement une fois que Roe sera annulé. Plusieurs d’entre eux ont également mis en place de multiples lois pro-vie, y compris des lois sur le battement de cœur et d’autres lois qui limiteraient ou interdiraient les avortements si les tribunaux les autorisaient à le faire.
En outre, Guttmacher prévoit que cinq autres États prendraient rapidement des mesures pour protéger les bébés à naître contre l’avortement si l’arrêt Roe était annulé. La Floride, l’Indiana, le Montana, le Nebraska et le Wyoming ont adopté un certain nombre de lois pro-vie ces dernières années et, selon l’analyse, ils prendraient probablement des mesures « dès que possible » pour protéger les bébés à naître en interdisant l’avortement.
Lire la suiteUn hôpital du Wisconsin a refusé de réanimer une patiente trisomique non vaccinée
Cindy, Grace et SCott Schara.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OurAmazingGrace.net
14 février 2022, Appleton, Wisconsin (LifeSiteNews) — Un couple du Wisconsin veut des réponses après qu’un hôpital catholique à but non lucratif eût inscrit et traité leur fille trisomique non vaccinée en tant que cas de non-réanimation sans leur consentement, avant sa mort.
Selon The Epoch Times, Grace Schara, 19 ans, a été admise à l’hôpital St. Elizabeth d’Appleton le 6 octobre 2021, cinq jours après avoir été testée positive au COVID-19. Schara était atteinte de Trisomie 21 et son père, Scott, l’a décrite comme une personne très active. L’hôpital St. Elizabeth fait partie du groupe Ascension, qui se veut « confessionnel ».
Les parents Scott et Cindy Schara affirment que, dès le début, le personnel de l’hôpital a critiqué le rejet par la famille des vaccins COVID-19 et son acceptation des protocoles de traitement précoce recommandés par le groupe America’s Frontline Doctors. Ils se sont également opposés aux efforts finalement couronnés de succès de Scott et Jessica (la sœur de Grace) pour rester auprès de Grace en tant que défenseurs des droits des patients via l’American Disabilities Act, ainsi qu’à ceux de Scott qui a dû désactiver lui-même les alarmes dans la chambre de sa fille pour l’aider à dormir après que le personnel ait ignoré à plusieurs reprises ses demandes pour que les alarmes ne se déclenchent qu’au poste de l’infirmière.
Scott allègue que le niveau d’oxygène dans le sang de Grace a été enregistré à plusieurs reprises comme étant plus bas qu’il ne l’était en réalité, afin de tenter de justifier son placement sous respirateur. Cependant, étant donné qu’il était présent, il dit avoir pu enquêter et déterminer qu’un équipement défectueux était responsable de ces faibles valeurs.
« Ils voulaient donc que nous prenions une décision anticipée pour pouvoir mettre Grace sous respirateur quand ils le voudraient », a déclaré Scott à The Epoch Times. « Cela est significatif car c’est ce qu’ils font : ils veulent avoir cette décision de la famille dans leur poche arrière. »
Lire la suiteRapport du VAERS : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez
Par Celeste McGovern – Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sushytska/Adobe Stock
10 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bébé dont la mère a reçu deux injections de vaccin COVID au cours de son dernier trimestre de grossesse est né en saignant de la bouche et du nez, et est mort le lendemain de sa naissance, selon un rapport récent transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain par une « autorité de réglementation » étrangère.
Le petit garçon est né le matin du 6 octobre 2021, après que sa mère eût reçu deux injections expérimentales de Moderna à ARNm les 19 juillet et 13 août. Il était attendu le 15 octobre mais a été mis au monde à l’hôpital le 6, pesant 2 800 grammes (un peu plus de six livres, deux onces), après un travail marqué par des battements cardiaques fœtaux instables.
« Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène, et il a été admis à l’USIN [Unité de soins intensifs néonataux] », selon le rapport reçu le 18 novembre par le VAERS d’une agence de santé étrangère non identifiée. « À l’USIN, son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque ».
Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une « exposition transplacentaire » au vaccin ARNm ; on ne sait pas si une autopsie a été pratiquée et aucune cause du décès n’a été précisée, mais le père du nourrisson soupçonne qu’il est lié au vaccin.
Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021.
Lire la suiteLa campagne de soutien au P. James Altman dépasse 4 000 donateurs et les 300 000 $
Le Père James Altman, curé de la paroisse Saint-Jacques le Majeur à La Crosse au Wisconsin.
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 juin 2021 (LifeSiteNews) — Deux semaines seulement après le lancement d’une campagne de collecte de fonds pour le Père James Altman, connu pour avoir attaqué sans crainte le catholicisme « allégé », la plateforme LifeFunder de LifeSite a recueilli plus de 332 000 $ grâce aux généreuses contributions de près de 4 000 donateurs, tous en faveur du travail du Père Altman.
Le P. Altman a critiqué la hiérarchie catholique américaine, notamment la décision d’innombrables évêques de fermer les portes de leurs églises et de refuser la messe et les sacrements aux fidèles en période de grand besoin, ce qui lui a valu l’ire des médias laïques et de nombreux prélats.
Ce pasteur du Wisconsin a aussi fait face à de vives réactions de la part de la gauche politique depuis qu’il a fait irruption dans la sphère publique à l’automne 2020 avec son désormais célèbre discours vidéo « Vous ne pouvez pas être catholique et démocrate. » Dès sa sortie, la vidéo est devenue virale, cumulant plus d’un million de vues et attirant l’attention du monde entier sur le P. Altman, qui n’était que simple curé de la modeste paroisse de Saint-Jacques le Mineur à La Crosse, dans le Wisconsin.
Après la publication de son discours, le P. Altman a rapidement fait l’objet d’attaques de la part d’ennemis tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Église, son bureau recevant de nombreux messages d’opposition à sa position audacieuse en faveur de la vérité : « Nous avons reçu des lettres, des appels téléphoniques parmi les plus vils et les plus méprisables. J’ai reçu des messages terribles, vraiment immondes », a déclaré le Père Altman au rédacteur en chef de LifeSite, John-Henry Westen, en septembre.
La dernière tentative de faire taire le P. Altman est venue de son propre évêque, Mgr William P. Callahan, du diocèse de La Crosse, dans le Wisconsin. Fin mai, Mgr Callahan a demandé au P. Altman de démissionner prématurément de son poste à la paroisse de Saint-Jacques le Mineur, après des mois de menaces de « sanctions canoniques ». Auparavant, il avait demandé au P. Altman de cesser de diffuser ses messes en direct après avoir critiqué le programme du parti démocrate.
Lire la suiteLe Sénat du Wisconsin approuve un projet de loi autorisant la dissolution des corps et leur envoi aux égouts
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
Madison, Wisconsin, 13 mai 2021 (LifeSiteNews) — Les sénateurs du Wisconsin ont approuvé plus tôt cette semaine un projet de loi permettant de dissoudre les cadavres dans un bain chimique et de les jeter comme des eaux usées.
Le projet de loi, Senate Bill 228, autorise une pratique appelée hydrolyse alcaline, ou « crémation à l’eau », qui liquéfie le corps humain en utilisant un mélange d’eau, de chaleur et d’agents chimiques, ne laissant que les os. Le liquide est ensuite déversé dans le réseau d’égouts ou éliminé par ébullition, et les os peuvent être broyés et déposés dans une urne.
Le Sénat, dirigé par les républicains, a adopté la loi sans débat mardi, malgré l’objection des évêques catholiques du Wisconsin.
« L’enseignement catholique est centré sur la vie et la dignité de la personne humaine parce que chaque personne est créée à l’image et à la ressemblance de Dieu », a écrit Kim Vercauteren, directrice générale de la Conférence catholique du Wisconsin, à la commission sénatoriale de la santé. « Le cœur, l’esprit, la chair, les os et même l’ADN d’une personne humaine sont tous les éléments d’une création unique qui doit être honorée même après la mort. »
« Notre préoccupation est qu’avec l’hydrolyse alcaline, les restes sont déversés dans un système d’eaux usées comme si le corps créé par Dieu n’avait jamais existé », a ajouté Vercauteren. « Les eaux usées n’honorent pas le caractère sacré du corps, et ne permettent pas aux endeuillés d’honorer les morts après leur décès. »
Lire la suiteNé à 21 semaines, ce bébé prématuré du Wisconsin passera Noël à la maison
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Beth et Rick Hutchinson de Somerset, au Wisconsin, ont obtenu un miracle de Noël précoce cette année. En début de semaine, ils ont ramené leur fils Richard, âgé de six mois, de l’hôpital. Richard est né à seulement 21 semaines et deux jours, après que Beth eût entamé un travail précoce le 5 juin. Il pesait un peu moins d’une livre, plus léger qu’un sac de carottes pour bébé.
Les Hutchinson ont déclaré à la chaîne locale d'ABC News que le pronostic de survie de Richard semblait complètement désespéré au début. « Quand il est né, ils lui ont donné zéro pour cent de chance de survie », racontait son père.
Comme prévu, les deux premiers mois du bébé Richard ont été les plus difficiles. « Le premier mois, ils n’étaient même pas sûrs qu’il allait s’en sortir. C’était vraiment difficile. Vous savez au fond de votre tête [et] de votre esprit que ses chances n’étaient pas très bonnes », affirma Beth.
Richard eut d’abord besoin de ventilation mécanique avec un appareil respiratoire et d’être nourri par intraveineuse. Ses parents ont lentement commencé à voir des lueurs d’espoir alors qu’il faisait de petites améliorations. Beth dit à KSTP Eyewitness News avec un sourire : « Il est devenu plus fort chaque mois et a montré qu’il allait réussir. Nous avons appris tout au long de ce processus que Richard a son propre programme ».
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