M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

L’effet de serre financier

Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist

Celui qu’il faut stopper en priorité

Les médias nous répètent, depuis des années et de façon sans cesse plus stridente, que le carbone est un gaz à Effet de Serre et que nos émissions ont un impact climatique. Dans le pire des cas, nous dit-on, le climat du Québec ressemblera un jour à celui de la Virginie et la production agricole mondiale augmentera de 30 %. Pour éviter cette catastrophe, nous devons tous, individuellement et collectivement, réduire notre Empreinte Carbone pour ainsi stopper le processus d’effet de serre. D’ailleurs, quand une enfant comme Greta Thunberg s’énerve à propos du climat elle devient aussitôt, comme par magie (la magie du Cartel et de ses médias), une célébrité planétaire, inspirant des millions de jeunes à devenir, comme elle, des écolos-stupides au service de l’agenda mondialiste.

Mais, ceci dit, le climat planétaire n’est pas le sujet de cet article. Je veux décrire, ici, d’un autre effet de serre qui est différent et beaucoup plus dangereux. Cet effet représente une menace beaucoup plus immédiate et extrême que les changements climatiques. Pour le contrer nous devons, individuellement et collectivement, réduire une autre empreinte, notre Empreinte Cartel.

L’effet de serre est ainsi nommé parce qu’on avait observé que le toit vitré des serres retenait la chaleur radiante créant une boucle de rétroaction qui augmentait la température à l’intérieur de la serre. Dans certaines situations, cet effet pourrait même causer une boucle de rétroaction irréversible augmentant la chaleur de façon incontrôlée. Le carbone dans l’atmosphère aurait, selon le narratif mondialiste, un effet similaire à l’effet de serre mais à l’échelle de la planète, causant des perturbations climatiques.

Un processus de rétroaction similaire à l’effet de serre est en cours, depuis des années, dans le domaine financier. En effet, une part croissante des flux de devises générés par la consommation de masse aboutit entre les mains d’un Cartel mondialiste* qui réutilise ces fonds pour accentuer la propagande médiatique, les narratifs d’endoctrinement, la corruption des officiels et toutes sortes d’autres manipulations sociales qui, à leur tour, augmentent notre dépendance à la consommation de masse ce qui augmente encore le pouvoir du cartel de façonner la société en fonction de ses objectifs. Cette réutilisation des flux de devises de la consommation de masse pour manipuler les comportements sociaux génère un Effet de Serre Financier. Ce processus a corrompu les élites du monde occidental, empoisonné notre culture et menace maintenant de nous enfermer dans un esclavage technocratique. Ce danger dépasse, de loin, la menace climatique. Cet effet a permis au Cartel d’amplifier et d’orienter les narratifs médiatiques concernant le climat pour justifier une prise de contrôle totalitaire de nos sociétés alors qu’une humanité bien gouvernée pourrait sans doute s’adapter aux changements climatiques et même en tirer profit.

L'article continue ci-dessous...

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !

L’influence toxique de l’effet de serre financier sur nos sociétés représente, de loin, la menace la plus grave pour l’humanité ; une menace beaucoup plus sérieuse et plus immédiate que l’urgence climatique. L’accumulation de pouvoir entre les mains d’un cartel financier mondialiste a peut-être même atteint un point de Great Reset non-retour et est en voie de détruire nos libertés de façon permanente.

Ce processus de rétroaction et la corruption généralisée qu’il cause se déroulait dans l’ombre jusqu’en mars 2020. Pour abattre la présidence de Donald Trump et enclencher le Cartel mondialiste a alors accéléré sa prise de contrôle et a, ainsi, révélé toute l’étendue de son pouvoir. Les masques sont tombés. L’Agenda** se déploie maintenant à fond de train. Nos sociétés font face, aujourd’hui, à la plus grave menace de leur histoire. Nos Élites***, totalement corrompues par l’effet de serre financier, collaborent activement à ce putsch planétaire alors qu’elles devraient nous en protéger. Il est même possible que ce processus toxique de rétroaction qui nous mène à la tyrannie soit si avancée qu’il est devenu irréversible. Prions que ce ne soit pas le cas et résistons quelle qu’en soit l’issue !

Les grands médias nous inondent de messages disant qu’il faut réduire notre empreinte carbone pour contrer l’effet de serre climatique. Pourtant, la menace qui provient de l’Effet de Serre Financier est beaucoup plus grave et plus urgente. Ce qu’il faut réduire, en priorité, ce n’est pas l’empreinte carbone, c’est notre Empreinte Cartel.

Nos activités de consommation génèrent des flux de devises. Une portion de ces flux paie pour les biens que nous consommons mais une autre portion va ailleurs. Dans le cas de la consommation de masse, une partie des flux génère des activités de commercialisation qui comprennent la création et la diffusion de contenus médiatiques de manipulation. Enfin, une part des entrées aboutit directement sous la forme de profits entre les mains du cartel mondialiste qui détient une part importante des actions des grandes entreprises. Ce cartel est composé d’un petit groupe extrêmement cohésif de grands financiers dont les investissements contrôlent la production de masse et orientent nos comportements. Ceux-ci réutilisent ces profits, dans un processus de rétroaction, pour acheter les médias, financer la recherche qui sert leurs intérêts, promouvoir les politiciens favorables à leurs agendas, subventionner les activistes qui leur sont utiles, influencer la production culturelle et modifier nos comportements en transformant l’environnement social.

Il s’agit véritablement ici d’un effet de serre, mais qui se déroule sur le plan financier. En effet, ce processus de manipulation récursif augmente sans cesse notre dépendance à ces produits et services qui accroissent toujours plus les revenus du Cartel mondialiste et sont constamment réinvestis pour augmenter son pouvoir de façonner la société en fonction de ses besoins. Cette boucle de rétroaction a des conséquences toxiques. Ainsi, une portion grandissante de ce que nous consommons est des produits spécifiquement conçus pour augmenter notre consommation. Dans bien des cas, ces produits empoisonnent nos vies, salissent nos cultures, influencent nos politiciens et pervertissent nos enfants. Le Cartel mondialiste n’est pas au service des consommateurs ; il les consomme.

Avec le « Great Reset », nous sommes entrés dans une phase extrême de ce processus. Il ne s’agit plus de vendre des produits de masse à des consommateurs libres de les acheter. L’objectif est de nous enfermer dans une réalité sociale artificielle, créé par et pour la consommation de masse. Il s’agit d’étouffer les formes traditionnelles de socialisation et de travail pour les remplacer par de la télé activité encourue dans des espaces artificiels gérés par le grand capital. On veut remplacer la consommation libre par une consommation forcée (l’injection du jus vaccinal est l’exemple ultime de cette forme de consommation). Il s’agit de remodeler les comportements, de canaliser les échanges et de conditionner les populations pour en faire des organes de consommation entièrement assimilés dans une culture de masse contrôlée par Cartel mondialiste et au service de ses besoins. Le Great Reset nous mène vers l’aboutissement de ce processus : une population d’individus étiquetés et totalement contrôlés, qui consomment en subissant des injections qu’ils payent avec leurs taxes. Cette société serait un cheptel qui travaille et se divertit dans une réalité artificielle, conçue pour les contrôler.

Il y a, en effet, une urgence planétaire qui nous menace mais ce n’est pas le climat. Le danger imminent provient du Cartel mondialiste qui a déclenché un putsch planétaire pour détruire nos sociétés et imposer sa tyrannie. Ce qui rend ce putsch possible, c’est l’effet de serre financier en cours depuis des décennies qui a donné un pouvoir planétaire démesuré à un cartel financier restreint et cohésif. Chacun d’entre nous a le pouvoir de faire quelque chose pour contrer ce pouvoir. Nous pouvons tous, individuellement et collectivement, réduire notre Empreinte Cartel. Ce sera le sujet du prochain article.


* Par Cartel, ou Cartel Mondialiste je fais référence aux partenaires du Forum Économique Mondial (FEM) et du Club de Rome, aux familles de milliardaires qui contrôlent les grandes multinationales à travers des véhicules financiers, et aux dirigeants de la bureaucratie internationale qui les sert.

** Par Agenda, je fais référence au Great Reset du FEM qui vise l’imposition dans les sociétés occidentales, des dix-sept Objectifs de Développement Durable de l’ONU avant 2030. Je fais aussi référence à la tyrannie électrochimique que le Cartel et ses Élites tentent de mettre en place pour y arriver et que j’ai décrite précédemment.

***Par Élites, je fais référence à nos politiciens nationaux, provinciaux et municipaux ainsi qu’à ceux qui exercent des postes de pouvoir et d’influence dans les médias, la bureaucratie, les confessions religieuses, les universités, le domaine médical, et les forces de l’ordre.



Laissez un commentaire