Voici comment les francs-maçons ont utilisé un livre mensonger pour mener la guerre à l’humanité
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
14 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il n’est pas exagéré de dire que les élites mondialistes encore responsables de la plupart des gouvernements occidentaux ont longtemps été déterminées à exterminer la majeure partie de l’humanité. Et elles le sont toujours.
Sous le couvert du mantra du « choix », ils soutiennent tout, de l’avortement et de l’euthanasie à la stérilisation de masse et à l’idéologie du genre. Mais le « choix » n’est qu’une couverture commode pour générer un soutien populaire à leur objectif sous-jacent : stériliser, avorter, euthanasier ou transsexualiser la majorité de l’humanité pour la faire disparaître.
Comment expliquer autrement leur pression continue en faveur du contrôle de la population à une époque où les taux de natalité mondiaux sont déjà inférieurs au taux de remplacement ? Les mondialistes ne se contentent pas de penser que les « mauvaises » personnes ont des bébés ; pour eux, le problème est que les gens aient des bébés.
Prenons l’exemple d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et femme politique la plus puissante d’Europe. Elle a récemment prononcé un discours dans lequel elle a suggéré que les êtres humains étaient une sorte de peste pour la planète :
Lire la suite« En 1972, le Club de Rome et un groupe de chercheurs du MIT ont publié un rapport intitulé “The Limits to Growth” (Les limites de la croissance) », a déclaré Ursula. « Ce rapport décrit l’interaction entre la croissance démographique, l’économie et l’environnement. Il y a 50 ans, il est parvenu à une conclusion radicale : Arrêtez la croissance économique et démographique, sinon notre planète ne pourra pas s’en sortir ».
La surpopulation : un vieux mythe réfuté
Par Aidan Grogan (American Institute for Economic Research) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Konstantin Shishkin/Adobe Stock
Le prince Philip a déclaré un jour : « Au cas où je me réincarnerais, j’aimerais revenir sous la forme d’un virus mortel, afin de contribuer à résoudre le problème de la surpopulation. » Le défunt duc d’Édimbourg est décédé en 2021, mais le sentiment hystérique qu’il exprimait à propos de la surpopulation perdure.
Un sondage YouGov a révélé que les préoccupations liées à la surpopulation sont largement répandues parmi les adultes de la planète, près de la moitié des Américains interrogés estimant que la population mondiale est trop élevée. Ce point de vue est partagé par 76 % des Hongrois et 69 % des Indiens, selon le sondage.
La surpopulation et les catastrophes écologiques ont été les thèmes de nombreuses superproductions cinématographiques, dont ZPD (1972), Soleil vert (1973), Idiocracy (2006) et Elysium (2013). Les médias grand public ont à maintes reprises promu l’idée apocalyptique auprès du public, avec des titres tels que « La science prouve que les enfants sont mauvais pour la Terre. La morale nous suggère d’arrêter d’en avoir » (NBC News). Le magazine progressiste Fast Company a publié une vidéo intitulée « Pourquoi avoir des enfants est la pire chose que vous puissiez faire pour la planète ».
La théorie de la surpopulation et l’idée collectiviste selon laquelle la reproduction humaine doit être limitée, même par la force, ne sont pas nouvelles. Elles sont apparues pour la première fois dans l’ancienne épopée mésopotamienne d’Atrahasis, où les dieux contrôlent la population humaine par la stérilité, l’infanticide et la nomination d’une classe de prêtres chargés de limiter les naissances.
Lire la suiteUn franc-maçon notoire était présent à la conférence environnementale du Vatican pour promouvoir la dépopulation et le gouvernement mondial
Carlos Alvarez-Pereira.
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
31 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Le sixième forum des « Communautés Laudato Si' » s’est tenu à Vérone, en Italie, au début du mois. Il s’agit d’une série de réunions consacrées à la propagation des opinions du pape François sur ce que l’on appelle « l’urgence climatique ».
Cette dernière rencontre était intitulée « Doubler l’engagement ». Il s’agit d’une référence à la nouvelle exhortation de François, Laudate Deum, dans laquelle il nous avertit que la fin est proche, à la fois pour « notre planète qui souffre » et, par extension, pour nous.
Dans son message vidéo d’ouverture de la réunion de Vérone, le pape avertit qu’il s’agit d’une « période très difficile » et que « d’ici 30 ans, le monde ne sera plus vivable ».
Ce message de « l’apocalypse maintenant » est désormais tristement familier, mais j’ai tout de même été surpris par le zèle messianique avec lequel il est proposé par des dirigeants de l’Église catholique.
Lire la suite« Le véritable ennemi est l’humanité elle-même » — les racines occultes de l’agenda climatique du Club de Rome
Maurice Strong
Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
30 mars 2023 (LifeSiteNews) — La preuve de l’influence de l’occultisme sur le mouvement environnemental mondial commence avec l’homme qui est réputé l’avoir fondé : Maurice Strong.
Maurice Strong était un magnat canadien du pétrole, un riche entrepreneur dont l’implication dans le Club de Rome lui a permis de promouvoir un programme écologique mondial basé sur l’utopie, la misanthropie et la manipulation délibérée du sentiment public. Il a dirigé le Programme des Nations unies pour l’environnement, puis la Fondation économique mondiale. Maître d’œuvre du sommet de la Terre de Rio en 1992, on lui attribue la création de l’expression « changement climatique ».
Une biographie sur son propre site internet affirme fièrement que M. Strong « a joué un rôle unique et essentiel dans la mondialisation du mouvement environnemental ».
Qu’est-ce que le Club de Rome ?
Le Club de Rome a été fondé dans la propriété de David Rockefeller à Bellagio en 1968. Vers la fin de sa vie, Rockefeller a répondu par l’affirmative à l’accusation selon laquelle lui et sa famille cherchaient à établir un gouvernement mondial :
Certains pensent même que nous faisons partie d’une cabale secrète qui travaille contre les intérêts des États-Unis, nous qualifiant, ma famille et moi, d’« internationalistes » et de conspirateurs avec d’autres personnes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée — un seul monde, si vous voulez. Si telle est l’accusation, je suis coupable et j’en suis fier.
Le Club de Rome promeut un programme planétaire de contrôle technocratique. Il a qualifié de bénéfique l’effondrement de la société industrielle et la mort par famine des deux tiers de la population humaine. Comment se fait-il que cela ne soit pas connu de tous ? Rockefeller a expliqué dans ses mémoires qu’un tel projet aurait été impossible sans la collusion de la presse :
Lire la suiteNous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et à d’autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans... Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années.
Mais le monde est plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés.
Steven Mosher, du Population Research Institute, annonce une dénatalité inédite dans le monde entier, Afrique comprise
Par Steven Mosher (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Joachim Huber/Flickr
Fondateur et président du Population Research Institute qui combat le mythe de la surpopulation, Steven Mosher vient de publier une tribune pour expliquer que The Population Bomb, le livre par lequel Paul Ehrlich annonçait l’apocalypse démographique au début des années 1970, est totalement contredit par les faits : c’est la bombe de la dénatalité et de la dépopulation qui menace aujourd’hui le monde entier, y compris l’Afrique. Pour le plus grand plaisir de certains… D’autres faisaient déjà un constat analogue en 2018. Voici la traduction intégrale de l’article de Steven Mosher.
J.S.
Steven Mosher annonce l’effondrement démographique mondial
La bombe démographique a fait pschitt.
Nous savons depuis des décennies que l’Europe et l’Amérique du Nord se mouraient et que la Chine commettait un suicide démographique en s’engageant dans une politique de l’enfant unique. Au cours du dernier quart de siècle, la plupart des pays du reste du monde, y compris l’Amérique latine et le reste de l’Asie, leur ont rapidement emboîté le pas.
Toutefois, les taux de natalité en Afrique subsaharienne sont restés élevés, et les adeptes du Population Bomb se sont emparés de ce fait pour justifier la poursuite de leur guerre contre les êtres humains. Ce rassemblement hétéroclite de partisans du contrôle des populations avides d’argent, d’écologistes radicaux et de féministes antinatalistes s’est appuyé sur les taux de natalité élevés dans des pays comme le Nigeria pour affirmer qu’il fallait continuer à faire avorter, à stériliser et à répandre la contraception dans le monde entier.
Leur argumentaire de levée de fonds était très simple : à moins de vouloir deux milliards d’Africains de plus sur la planète, il fallait continuer à injecter des milliards dans leurs programmes. Le racisme implicite était palpable.
Le seul problème que pose leur discours est celui-ci : le taux de natalité, même sur le continent africain, est en train de chuter plus fortement et plus vite qu’on ne l’aurait jamais imaginé. Même le plus excessif des prophètes de la surpopulation commence aujourd’hui à tempérer son discours.
Prenez le Club de Rome. Il n’y a pas si longtemps, ce groupe maçonnique, basé dans la capitale italienne, avertissait que la fin était proche. La croissance démographique et la consommation des ressources incontrôlées allaient conduire à un effondrement économique en l’espace de quelques décennies, prédisait le Club dans son best-seller de 1972, The Limits to Growth (Les limites de la croissance).
Lire la suiteL’armée mondialiste
L'armée d'Hannibal à la bataille de Zama.
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Planétaire, multisectorielle et cohésive
C’est quand un animal bouge qu’il se révèle. En 2020, les forces mondialistes ont accéléré la cadence de leurs activités et sont sorties de l’ombre. Une opération d’envergure mondiale est maintenant en cours. Elle se déroule avec une précision militaire. Or, là où il y a une opération, ça signifie qu’il y a aussi une organisation. Comme on dirait dans le militaire, il y a du SMEAC* derrière tout ça. Mais quelle est la forme de cette organisation, quels sont ses composantes et ses mécanismes ?
Je n’ai pas la réponse définitive à ces questions mais je commence à entrevoir les contours. Je vais décrire, ici, la composition et la structure de l’armée mondialiste telle que je la perçois présentement. Je dis bien « armée », car, malgré sa composition diversifiée, il s’agit d’une organisation hiérarchique capable d’effectuer des opérations complexes et coordonnées. Les opérations de cette organisation se déroulent à l’échelle de la planète et intègrent des décisions administratives, des distributions massives de produits, des résultats « scientifiques » ciblés, des actions politiques et policières, le tout soutenu et justifié par des narratifs médiatiques uniformisés. Cela signifie la présence d’un système mondial de Commandement et de Contrôle.
Comme dans n’importe quelle armée, les forces qui tentent d’imposer le Nouvel Ordre Mondial sont donc hiérarchiques. Il s’agit d’une organisation pyramidale avec, en haut, un groupe restreint qui prend des décisions stratégiques et en bas, une troupe nombreuse d’activistes qui cassent des vitres et intimident les opposants. Je distingue cinq niveaux ou strates dans cette organisation. Ils sont, de haut en bas : le Cartel, les Gnomes, les Kapos, les Lieutenants et les Brutes. Examinons-les tour à tour :
Le Cartel**. Au plus haut niveau on trouve le Cartel. Celui-ci est composé des grands investisseurs et des PDG des plus grandes multinationales. Les membres du Cartel comprennent les grandes fortunes (Rothschild, Rockefeller, Bush, Windsor…), quelques individus (Gates, Bezos, Zuckerberg), et la haute direction des principales multinationales de la planète. Ces dernières constituent un monopole effectif à l’échelle mondiale. Ce monopole n’est pas restreint à un seul secteur d’activité (comme nos banques canadiennes, par exemple, qui forment un monopole effectif dans le secteur financier) mais couvrent un éventail de secteurs (finance, médias, pharmaceutiques…). Comme dans tout monopole, ces organisations se soutiennent mutuellement effectuant des actions concertées qui les bénéficient toutes.
Les membres du Cartel sont un groupe restreint de quelques centaines d’individus (quelques milliers tout au plus). Ces gens sont physiquement disséminés mais évoluent dans le même environnement et partagent la même culture (mêmes écoles privées, hôpitaux, jets personnels, châteaux, clubs exclusifs, paradis fiscaux, prostitution de luxe…). Ils interagissent constamment entre eux. Les membres du Cartel vivent, en quelque sorte, dans un village global ; un genre de mini pays, invisible et sans frontières, dont les composantes sont éparpillées ici et là (surtout où il fait beau et chaud).
Lire la suiteL’effet de serre financier
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pikist
Celui qu’il faut stopper en priorité
Les médias nous répètent, depuis des années et de façon sans cesse plus stridente, que le carbone est un gaz à Effet de Serre et que nos émissions ont un impact climatique. Dans le pire des cas, nous dit-on, le climat du Québec ressemblera un jour à celui de la Virginie et la production agricole mondiale augmentera de 30 %. Pour éviter cette catastrophe, nous devons tous, individuellement et collectivement, réduire notre Empreinte Carbone pour ainsi stopper le processus d’effet de serre. D’ailleurs, quand une enfant comme Greta Thunberg s’énerve à propos du climat elle devient aussitôt, comme par magie (la magie du Cartel et de ses médias), une célébrité planétaire, inspirant des millions de jeunes à devenir, comme elle, des écolos-stupides au service de l’agenda mondialiste.
Mais, ceci dit, le climat planétaire n’est pas le sujet de cet article. Je veux décrire, ici, d’un autre effet de serre qui est différent et beaucoup plus dangereux. Cet effet représente une menace beaucoup plus immédiate et extrême que les changements climatiques. Pour le contrer nous devons, individuellement et collectivement, réduire une autre empreinte, notre Empreinte Cartel.
L’effet de serre est ainsi nommé parce qu’on avait observé que le toit vitré des serres retenait la chaleur radiante créant une boucle de rétroaction qui augmentait la température à l’intérieur de la serre. Dans certaines situations, cet effet pourrait même causer une boucle de rétroaction irréversible augmentant la chaleur de façon incontrôlée. Le carbone dans l’atmosphère aurait, selon le narratif mondialiste, un effet similaire à l’effet de serre mais à l’échelle de la planète, causant des perturbations climatiques.
Un processus de rétroaction similaire à l’effet de serre est en cours, depuis des années, dans le domaine financier. En effet, une part croissante des flux de devises générés par la consommation de masse aboutit entre les mains d’un Cartel mondialiste* qui réutilise ces fonds pour accentuer la propagande médiatique, les narratifs d’endoctrinement, la corruption des officiels et toutes sortes d’autres manipulations sociales qui, à leur tour, augmentent notre dépendance à la consommation de masse ce qui augmente encore le pouvoir du cartel de façonner la société en fonction de ses objectifs. Cette réutilisation des flux de devises de la consommation de masse pour manipuler les comportements sociaux génère un Effet de Serre Financier. Ce processus a corrompu les élites du monde occidental, empoisonné notre culture et menace maintenant de nous enfermer dans un esclavage technocratique. Ce danger dépasse, de loin, la menace climatique. Cet effet a permis au Cartel d’amplifier et d’orienter les narratifs médiatiques concernant le climat pour justifier une prise de contrôle totalitaire de nos sociétés alors qu’une humanité bien gouvernée pourrait sans doute s’adapter aux changements climatiques et même en tirer profit.
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