Le Prince Harry insinue que la « pandémie » de coronavirus serait une punition de « Mère Nature »
Par Emily Mangiaracina ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Pxfuel
Évidemment, de tels propos n’ont rien de rationnel, du vrai panthéisme, ce qui les rend encore plus inquiétants dans la bouche d’une personne d’une certaine notoriété comme le prince Harry… ― A. H.
7 décembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans une entrevue visant à promouvoir le WaterBear Network, un nouveau service de diffusion vidéo dédié au soutien des objectifs de développement durable des Nations Unies, le prince Harry a parlé du covid-19 comme d’une punition de « Mère Nature ».
« Quelqu’un m’a dit au début de la pandémie, c’est presque comme si Mère Nature nous avait envoyés dans nos chambres à cause de notre mauvais comportement, afin que nous prenions vraiment un moment pour réfléchir à ce que nous avons fait », déclarait-il à Ellen Windemuth, PDG de WaterBear, et à Sam Sataria, responsable de la stratégie.
Le 24 mars, la duchesse Sarah Ferguson, ex-femme du prince Andrew, écrivait dans un tweet : « Mère Nature nous a envoyés dans nos chambres, comme les enfants gâtés que nous sommes. Elle nous a donné du temps et elle nous a donné des avertissements. Elle a été si patiente avec nous. Elle nous a donné du feu et des inondations, elle a essayé de nous avertir mais à la fin elle a repris le contrôle ».
10 jours seulement avant le tweet de la duchesse Ferguson, un prêtre défroqué, largement crédité comme « théologien de référence » pour le synode de l’Amazonie de 2019, a soutenu que le coronavirus était le résultat des mauvais traitements que la terre a subis de la part de l’humanité, dans son article « The Origins of the Coronavirus ».
Lire la suiteLes vœux de Macron pour 2021
Emmanuel Macron.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo (rognée) : president.gov.ua/Wikimedia Commons
Non, je n’ai pas regardé, le 31 décembre, les vœux d’Emmanuel Macron. Il y a de meilleures façons de passer la dernière soirée de l’année, et de toute façon, il ne s’agissait que d’un exercice de communication. Nous sortons d’une année désastreuse, marquée par des choix politiques qui s’en sont simultanément pris à nos libertés, à notre santé, à l’économie réelle. Qu’allait faire Macron, sinon que la crise a été gérée de main de maître et que sous sa bienveillante conduite, tout irait mieux en 2021 ?
Ça n’a pas loupé. Un rapide coup d’œil à la version écrite des vœux du Président confirme que son rédacteur n’a pas innové — mais à l’autocongratulation convenue s’ajoutent des perspectives qui devraient nous alerter.
On s’attendait à ce qu’il dise : « Je suis sincèrement convaincu que nous avons fait les bons choix aux bons moments et je veux vous remercier de votre civisme. De cet esprit de responsabilité collective par lequel nous avons sauvé tant de vies et qui nous permet aujourd’hui de tenir mieux que beaucoup face à l’épidémie. »
C’est ça. Traitements interdits, soignants muselés, grands spécialistes poursuivis, masques idiots, confinements destructeurs… Et pourtant « la » COVID-19 a peiné à tuer, même si la France est dans le peloton de tête des pays affichant la plus forte mortalité attribuée au SARS-COV-2 par million d’habitants. Sur l’ensemble de l’année 2020, on n’enregistre néanmoins aucune surmortalité globale par rapport à l’année précédente. Comme si le virus avait surtout fauché des personnes malades ou fragiles qui seraient mortes de toute façon au cours de l’année…
Lire la suiteLe Canada a approuvé le « vaccin » Covid-19 à ARNm de Pfizer, testé sur une lignée cellulaire issue d’un bébé avorté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
L’agence gouvernementale Santé Canada a récemment approuvé le vaccin Covid-19 à ARNm BNT162b2 de Pfizer-BioNTech, le même que celui qu’on a commencé à employer en Grande-Bretagne, il a été notamment testé sur la lignée cellulaire HEK293 issue d’un bébé avorté, rapporte LifeSiteNews :
Le Canada a approuvé le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, qui a été testé sur des cellules provenant d’un bébé avorté, a annoncé mercredi Santé Canada.
Children of God for Life rapporte que, bien que le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 n’ait pas été développé à partir d’une lignée cellulaire provenant d’un bébé avorté, il a été testé — c’est-à-dire testé lors de la phase laboratoire sur des tissus cellulaires pour en vérifier la qualité — à l’aide de la lignée cellulaire HEK-293, qui provient d’un bébé avorté.
« Les données fournies confirment favorablement l’efficacité du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 ainsi que son innocuité », a déclaré l’agence gouvernementale dans son rapport autorisant son utilisation au Canada.
« Le vaccin est approuvé pour les personnes âgées de 16 ans et plus. Son innocuité et son efficacité chez les personnes de moins de 16 ans n’ont pas encore été établies », indique le rapport.
Le Premier ministre Justin Trudeau a déclaré lundi que jusqu’à 249 000 doses de ce vaccin administré en deux doses seront disponibles d’ici la fin de l’année, rapporte CBC. Il a déclaré que les vaccins sont principalement destinés aux résidents des maisons de soins de longue durée et au personnel.
Le Canada est prêt à recevoir jusqu’à 249 000 doses ce mois-ci, et 4 millions de doses du vaccin d’ici mars, selon l’Associated Press. Le gouvernement canadien a acheté 20 millions de doses de vaccin, et il a la possibilité d’en acheter 56 millions de plus.
Le fait que ce vaccin ait été testé avec la lignée HEK293 représente un obstacle à la réception dudit vaccin, puisqu’il emploie un moyen découlant d’un acte intrinsèquement immoral ― l’avortement ― dans le processus de fabrication du vaccin, ce qui relève de toute obligation morale d’accepter un tel produit, dût-il vous sauver la vie.
D’autre part, Santé Canada indiquent déjà des restrictions à l’administration du vaccin de Pfizer, deux réactions allergiques sévères ayant été constatées en Grande-Bretagne où l’on a commencé à utiliser le vaccin en question, selon un autre article de LifeSiteNews :
Santé Canada avertit les Canadiens d’éviter le vaccin COVID-19 nouvellement approuvé, créé par Pfizer-BioNTech, s’ils sont allergiques à l’un de ses ingrédients après que des réactions allergiques aient été signalées au Royaume-Uni.
« Les personnes ayant des allergies à l’un des ingrédients du vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech ne devraient pas le recevoir », avertit le ministère de la Santé du gouvernement du Canada dans un communiqué le 12 décembre.
« Parlez à votre professionnel de la santé de toute allergie grave ou de tout autre problème de santé que vous pourriez avoir avant de recevoir ce vaccin », ajoute-t-il.
Santé Canada rapporte que deux personnes au Royaume-Uni ont déclaré « des réactions allergiques graves au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech le 8 décembre 2020 ».
« Santé Canada a fait un suivi des deux signalements de réactions anaphylactoïdes au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer‑BioNTech au Royaume-Uni. Ces réactions sont survenues le 8 décembre 2020. Les deux personnes au Royaume-Uni avaient des antécédents de réactions allergiques graves et avaient sur elles un auto-injecteur d’adrénaline. Elles ont toutes deux reçu des soins et sont maintenant rétablies », déclare le ministère de la Santé.
Lire la suiteMgr Carlo Maria Viganò : Vatican II et le Nouvel ordre mondial
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Mgr Carlo Maria Viganò (LifeSiteNews) — Traduit par le Site de M. l’Abbé Pivert
Voici un texte de Mgr Carlo Maria Viganò, qu'il a prononcé lors d'une conférence tenue le 24 octobre 2020, portant sur les liens que l'on peut voir entre le concile Vatican II et le désordre régnant actuellement dans l'Église, ainsi que l'avancée du mondialisme aujourd'hui.
Campagne Québec-Vie reproduit ce texte dans le cadre de notre objectif premier : « promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun » — la « réalisation pleine et entière du bien commun » comprend la défense de l'enfant à naître. Remplir ce premier objectif nécessite de défendre la pureté de la foi catholique. — A. H.
Catholic Identity Conference
24 octobre 2020
La stigmatisation de François
Voici comment la révolution de Vatican II sert le Nouvel ordre mondial
Archevêque Carlo Maria Viganò, Nonce apostolique
« Suivez-moi, et laissez les morts enterrer leurs propres morts. »
Mt 8, 22
1. Nous vivons des temps extraordinaires
Comme chacun d’entre nous l’a probablement compris, nous nous trouvons à un moment historique dans le temps ; les événements du passé, qui semblaient autrefois déconnectés, se révèlent aujourd’hui sans équivoque liés, tant dans les principes qui les inspirent que dans la fin qu’ils cherchent à accomplir. Un regard juste et objectif sur la situation actuelle ne peut s’empêcher de saisir la parfaite cohérence entre l’évolution du cadre politique mondial et le rôle que l’Église catholique a assumé dans l’établissement du Nouvel ordre mondial. Pour être plus précis, il convient de parler du rôle de cette majorité apparente dans l’Église, qui est en fait peu nombreuse mais extrêmement puissante, et que, par souci de concision, je résumerai comme l’Église profonde.
Il est évident qu’il n’y a pas deux Églises, ce qui serait impossible, blasphématoire et hérétique. La seule véritable Église du Christ aujourd’hui n’a pas non plus échoué dans sa mission, en se pervertissant en une secte. L’Église du Christ n’a rien à voir avec ceux qui, depuis soixante ans, ont exécuté un plan pour l’occuper. Le chevauchement entre la Hiérarchie catholique et les membres de l’Église profonde n’est pas un fait théologique, mais plutôt une réalité historique qui défie les catégories habituelles et, en tant que telle, doit être analysée.
Nous savons que le projet du Nouvel ordre mondial consiste en l’établissement de la tyrannie par la Franc-maçonnerie : un projet qui remonte à la Révolution française, au Siècle des Lumières, à la fin des monarchies catholiques, et à la déclaration de guerre à l’Église. Nous pouvons dire que le Nouvel ordre mondial est l’antithèse de la société chrétienne, il serait la réalisation de la diabolique Civitas Diaboli — Cité du Diable — opposée à la Civitas Dei — Cité de Dieu — [St Augustin] dans la lutte éternelle entre la Lumière et les Ténèbres, le Bien et le Mal, Dieu et Satan.
Lire la suiteTucker Carlson corrobore Mgr Viganò au sujet du Great Reset : Trudeau voit une opportunité dans le confinement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Presidentia de la República Mexicana/Attribution 2.0 Generique (CC BY 2.0)-Wikimedia Commons
Tucker Carslon, dans son émission Tucker Carlson tonight sur Fox News le 16 novembre, soulignant le manque de fondements scientifiques pour la mise en place d’une nouvelle phase de confinement dur aux États-Unis, attire l’attention de ses auditeurs sur l’opinion que Mgr Carlo Maria Viganò exprimait dans une lettre adressée à Donald Trump, président des États-Unis : le confinement, instauré sous prétexte de « pandémie », est destiné à établir une dictature universelle. Tucker Carlson, citant Mgr Viganò, dit :
« Personne, jusqu’en février de cette année », écrit Viganò, « n’aurait jamais pu imaginer que dans toutes nos villes, les citoyens pourraient être arrêtés simplement parce qu’ils avaient envie de se promener, de respirer, de garder leur commerce ouvert, d’aller à la Messe le dimanche. Et pourtant, c’est ce qui se passe actuellement partout dans le monde… les droits fondamentaux des citoyens et des fidèles sont bafoués au nom d’une urgence sanitaire qui s’avère de plus en plus instrumentalisée dans le but d’ériger une tyrannie inhumaine et sans visage. »
L’un des moments cruciaux de l’établissement de cette tyrannie serait, d’après Mgr Viganò, le Great Reset promu par le Forum économique mondial, qui se tient chaque année à Davos en Suisse, réunissant les plus grosses légumes de la finance, des politiciens et des idéologues divers. Le Great Reset, dois-je expliquer, est un plan pour l’avenir du monde dans la perspective d’un effondrement économique sur fond de l’inévitable coronavirus. Entre autres, il s’agit de mettre en place un fonds mondial — ce qui répond aux souhait d’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU et ancien président de l’International socialiste, qui voudrait qu’un tel fonds s’élevât à 10 % du PIB planétaire — ainsi que la mise en place d’un revenu de base universel, utopie à saveur communiste.
Lire la suitePublicités dans les rues de Vancouver : n’avoir qu’un seul enfant ce serait les « aimer »
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Des affiches publicitaires faisant la promotion de l’enfant unique, voire des familles sans enfant, ont fait leur apparition à Vancouver, en Colombie-Britannique, et ses environs. Prenons un exemple — la photographie d’un bébé souriant sous laquelle on peut lire : « Le plus beau cadeau que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre » ; sur une autre : « Nous avons choisi d’en avoir un ! » ; ou encore : « Nous avons choisi de ne pas avoir d’enfant ! ».
Explicitement, l’objet de cette campagne est de convaincre les jeunes gens de ne pas avoir d’enfant. Raison invoquée ? Sauver la planète. Ces publicités ont en effet été payées par un organisme nommé Une planète, un enfant (One Planet One Child). Le but avoué de ce groupe est de changer la mentalité de la société afin que celle-ci adopte une « norme de petite famille ». En effet, ce groupe croit que l’humanité est bien trop nombreuse. Les membres de ce groupe s’activent afin de diviser par plus de deux la population mondiale en un siècle : d’un total de 7,8 milliards d'hommes aujourd’hui, ce groupe malthusien contemple le chiffre de moins de 3 milliards dans 100 ans. Sur le site internet de ce groupe, celui-ci annonce qu’il a payé des campagnes promotionnelles similaires dans le Minnesota et le Colorado, et qu’il planifie de faire de même prochainement dans d’autres villes américaines et canadiennes.
Le taux de fécondité de remplacement sain est de 2,1 [minimum plutôt, en dessous de ça, c’est le dépeuplement*]. Le taux de fécondité mondial se situe actuellement à 2,4. Cependant, des chercheurs pensent que le taux de fécondité mondial est en baisse, et estiment que celui-ci passera sous la barre des 1,7 d’ici 2100. Toujours selon ces chercheurs, vingt-trois pays devraient connaître une baisse de plus de 50 % de leur population. Selon ces mêmes chercheurs, cette baisse drastique de leur population entraînerait une crise économique, ces pays devenant incapables de soutenir leurs programmes de sécurité sociale. De plus, selon ces mêmes chercheurs, la population active deviendrait insuffisante par rapport à la population retraitée, nécessitant de repousser l’âge de la retraite — de 8,4 ans d’ici 2050 selon les prévisions de ces chercheurs. D’après ces chercheurs, le désastre économique serait si imminent dans certains pays, comme la Hongrie, le Danemark, l’Italie, et Singapour, que ces pays ont mis en place des mesures pour encourager les couples à avoir plus d’enfants, et non moins.
Lire la suitePromotion du « non-contact » et déshumanisation, les rêves post-covid du Forum économique mondial
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo (rognée) : RobotCup2013/Flickr
Le WEF (World Economic Forum) a bien des choses à dire sur l’ère « post-COVID » qu’il souhaite d’ailleurs infléchir dans un sens bien précis à la faveur de sa promotion du Great Reset (la Grande Réinitialisation) prévue pour janvier prochain. Tout récemment, le site weforum.org a publié une présentation flatteuse du « non-contact » qui a toutes les faveurs de la Corée du Sud, ainsi que de cinq livres à lire absolument, écologistes évidemment, dont le dernier met en scène une héroïne qui se suicide en pleine conférence pour montrer que seule la disparition de l’humanité pourrait sauver les arbres et notre planète…
Le site du Forum économique mondial a beau préciser — comme d’habitude — que les opinions exprimées dans ces tribunes n’expriment pas celles de l’organisation elle-même, il reste que lesdits articles ont été choisis et sont diffusés sous sa bannière. Et qu’ils vont tous dans le même sens.
Le Forum économique mondial, vous le connaissez : c’est lui qui, sous l’impulsion de son fondateur Klaus Schwab, a depuis 1971 organisé des rencontres annuelles très discrètes à Davos où se côtoient les grands de ce monde tenants du mondialisme. A mesure que les réunions sont devenues moins discrètes et plus médiatisées, le WEF a montré de plus en plus clairement la couleur en matière de prospective sociétale et économique. Son site, weforum.org, dessine assez clairement l’avenir rêvé du mondialisme en distribuant blâmes et bons points aux puissants du jour.
C’est en l’occurrence un bon point qui a été décerné à la Corée du Sud. Celle-ci affiche des résultats remarquables en matière de lutte contre la diffusion du coronavirus de Wuhan, avec moins de 15 000 contaminations et seulement 305 morts malgré sa population de plus de 50 millions d’habitants, et ce sans confinement. Mais à la faveur de cette non-crise, le gouvernement de Moon Jae-in veut promouvoir la « distanciation sociale » à tout prix, par la mise en place croissante d’une société « sans contact ».
On a même inventé un mot pour décrire l’idéal sud-coréen : le « untact » par opposition à « contact » — le néologisme est digne de la Novlangue de 1984. Jadis, les contacts, les rencontres, l’absence d’isolement, les échanges avec famille, amis, connaissances, collègues, voisins et commerçants de tout poil faisaient partie de la richesse de la vie. Et même aujourd’hui, les personnes âgées vous diront que la solitude est la pire des souffrances de la vieillesse. Mais le coronavirus semble avoir pour fonction de balayer les multiples libertés et bonheurs de la vie. Il faut du « untact » !
Lire la suiteTrudeau voulait donner 900 millions de dollars à un organisme promouvant l’avortement et l’homosexualité
Justin Trudeau, (hélas) premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Shutterstock
Le gouvernement canadien avait formé le projet de confier la gestion d’un programme destiné aux étudiants et nouveaux diplômés, ainsi que son coquet budget de 900 millions de dollars, et ce sans appel d’offre, à l’organisme WE Charity aussi appelé UNIS. Cependant, pour une raison que le gouvernement Trudeau n’a pas donnée, le contrat n’ira finalement pas à l’organisme, selon Le Journal de Montréal :
Le gouvernement et l’organisme WE Charity ou UNIS, qui avait obtenu le contrat sans appel d’offre, indiquent avoir convenu « mutuellement » que l’organisation proche de la famille Trudeau ne gérerait finalement pas le programme.
Destiné aux étudiants, d’après Le Journal de Montréal :
Le programme de 900 millions $ prévoit un versement de 1000 à 5000 $ aux étudiants qui feront du bénévolat au cours des quatre prochains mois.
Apparemment UNIS ferait l’objet d’accusations de racisme, rapporte Le Journal de Montréal :
WE Charity fait face à des allégations de racisme et de malversation qui ont visiblement résonné au sein du gouvernement.
Je ne sais trop quoi penser de ces accusations, vu qu’à notre époque on applique pour tout et rien cette étiquette. D’un autre côté, je ne serais pas surpris d’apprendre qu’un organisme gauchiste fût la proie à ce problème, tant il est vrai que ceux parmi les plus intolérants se trouvent parmi les promoteurs de la « tolérance », et qu’il y a souvent des racistes chez les « antiracistes ». Mais passons…
La méthode de recrutement qu’aurait suivi UNIS consistait à passer par les professeurs afin que ceux-ci recrutassent chacun 75 à 100 étudiants, 55 dans les régions rurales, pour la modique somme de 12 000 dollars ! Selon Radio-Canada :
Selon l’annonce du poste de « gestionnaire de volontaires » sur le site internet d’UNIS, les éducateurs devront recruter et gérer un nombre différent d’étudiants, selon qu’ils sont situés en zones rurales ou urbaines.
« Nous avons besoin d’éducateurs engagés comme vous pour recruter, diriger et encadrer un groupe de 75 à 100 étudiants admissibles de votre communauté dans le cadre de ce programme. En tant que responsable de groupe, vous recevrez une rémunération de 12 000 dollars », précise l’annonce.
Argent pour le recrutement
Les éducateurs en régions rurales doivent recruter et encadrer au moins 55 étudiants pour recevoir la même rémunération.
Ils doivent notamment être disponibles pour « recruter activement » des étudiants et aider à superviser la participation bénévole au programme pendant les mois de juillet et août.
Les étudiants eux-mêmes ont la possibilité de gagner entre 1 000 et 5 000 dollars, selon le nombre d’heures qu’ils effectuent auprès d’un organisme à but non lucratif.
D’après ce que je peux comprendre, des professeurs devaient être payés 12 000 dollars pour recruter 55 à 100 élèves afin de les envoyer travailler bénévolement dans des organismes à but non lucratif. Combien pariez-vous qu’UNIS aurait fait le tri parmi les organisations auxquelles les étudiants eussent été aller pour remplir leur tâche bénévole et recevoir le subside promis ? Certes, un certain tri est toujours nécessaire, mais UNIS est un organisme international qui propage l’idéologie pro-avortement et LGBT. Cela serait un peu revenu à envoyer de la main-d’œuvre à toutes sortes d’alliés de Trudeau.
Lire la suiteInitiative « The Great Reset » : le Forum de Davos, le prince Charles et autres mondialistes veulent réinitialiser l’économie « post-COVID »
Par Jeanne Smits (Reinformation.TV) — Photo : Flickr
« Rien ne sera plus jamais comme avant » : combien de fois n’a-t-on pas entendu cela au plus fort de la pandémie du COVID-19 ? Le monde « post-COVID », répétait l’establishment politico-médiatique, devrait trouver une « nouvelle normalité ». Et c’est en effet ce qui se met en place : les voyages faciles, les relations interpersonnelles chaleureuses, les grands rassemblements, les libertés individuelles, et même les simples poignées de main doivent paraît-il céder la place à une distanciation sociale à long terme, à des règles tatillonnes et à une surveillance potentiellement drastique. Mais ce n’est là qu’une partie du tableau. Le Forum économique mondial — celui des célèbres réunions mondialistes de Davos — en collaboration avec le prince Charles d’Angleterre et le Fonds monétaire international, a lancé une initiative révélatrice qui dévoile déjà certains objectifs dont la réalisation est facilitée par la grande peur du coronavirus chinois. Baptisée « The Great Reset » (la grande réinitialisation), elle cherche à « reconstruire » le système économique et social mondial afin de le rendre plus « durable ».
Ce bouleversement de fond en comble est présenté comme nécessaire à cause de l’effondrement de l’économie mondiale, lui-même consécutif au confinement généralisé.
Une courte vidéo présente l’initiative sur YouTube, ici, par ses promoteurs eux-mêmes.
L’idée a reçu le soutien total du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, ancien président de l’Internationale socialiste de 1999 à 2005.
« The Great Reset » : une entreprise fondamentalement révolutionnaire
Techniquement, un reset est une réinitialisation : dans le langage informatique, le mot désigne l’action d’effacer tous les logiciels et les données d’un disque dur pour le reformater en vue d’un nouveau départ. Transposée à l’activité humaine, le reset, la réinitialisation, signifie très précisément une révolution : un retour à l’origine, une transformation profonde frappant tout ce qui jusque-là se faisait, se pensait communément. « Du passé, faisons table rase ! »
Cela fait des décennies que le Forum économique mondial fondé par le professeur Klaus Schwab en 1971 réunit chaque année des chefs d’État, des milliardaires et des grands chefs d’entreprise afin de réfléchir aux questions économiques et de « gouvernance », comme on dit. Il s’agit d’œuvrer à la réalisation d’un objectif commun : l’extension du libre-échange mondial, la mise en place de règles mondiales communes de manière à remplacer les prises de décisions souveraines au niveau des nations, ou encore la promotion de la non-discrimination, « pour transformer les économies et les sociétés » comme le disent les organisateurs des réunions de Davos eux-mêmes.
Le Forum économique mondial organise le mondialisme à Davos
Pendant longtemps, les réunions annuelles de Davos se sont déroulées de manière très discrète, voire secrète. Cela a lentement changé, à mesure que les objectifs du Forum économique mondial sont entrés dans les mœurs politico-médiatiques : les principales réunions — dont certaines régionales qui se tiennent à d’autres moments de l’année, en Chine en particulier —, l’agenda et la liste des participants sont désormais disponibles en ligne, même s’il se dit que de nombreux débats et prises de décisions ont lieu en dehors des conférences et rencontres diffusées sur internet.
L’édition 2021, consacrée à la « grande réinitialisation », promet d’être bien différente. Alors qu’une réunion physique se tiendra comme d’habitude dans la station de ski suisse de Davos (personne n’entre à Davos au moment du Forum sans une invitation officielle) cette fois, on organisera une participation en ligne mondiale en vue d’un forum virtuel réunissant de nombreuses « parties prenantes » internationales (les fameux stakeholders que nous évoquerons plus loin) et surtout des jeunes. On dit d’ores et déjà que ceux-ci auront une voix déterminante pour le monde à venir. Cela sent la dynamique de groupe à plein nez.
Lire la suiteLe Forum économique de Davos utilise le coronavirus pour promouvoir l’homosexualité et la théorie du genre
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
Un article publié par le Forum économique mondial, organisation non gouvernementale basée à Davos, en Suisse, qui comprend des centaines de grandes entreprises, a fait valoir qu’une meilleure inclusion des personnes transgenres et homosexuelles « est le secret du succès post-pandémique des villes ».
« Il existe de plus en plus de preuves que les villes LGBT + inclusives ont des “écosystèmes d’innovation” plus forts, des niveaux plus élevés d’entrepreneuriat, et qu’elles sont mieux en mesure d’attirer des talents et de fournir une qualité de vie élevée — ce qui les rend bien placées pour la reprise économique », affirme cet article du Forum économique mondial. « Une nouvelle analyse de la résilience économique offre un indice potentiel sur lequel les économies pourraient être en mesure de récupérer plus rapidement : l’inclusion LGBT + est corrélée à la résilience de l’économie d’un pays. »
« L’analyse d’Open For Business, une coalition d’entreprises faisant progresser l’égalité LGBT +, montre une forte corrélation positive (0,67) entre la résilience d’une économie et l’acceptation des personnes LGBT + », a écrit Jon Miller, qui se trouve être le fondateur d’Open For Business.
Un examen plus approfondi de l’analyse donne une image différente.
Les villes répertoriées comme ni « inclusives » ni compétitives sont, entre autres, situées en Iran, au Maroc, au Qatar, en Indonésie et en Biélorussie. Aucun de ces États n’est aussi développé sur le plan économique ou aussi stable sur le plan politique que les États-Unis et une grande partie de l’Europe, où les villes ont obtenu les meilleures notes.
L’analyse n’a en fait pas démontré de lien de causalité entre « l’inclusion LGBT + » et la « résilience économique ». Les pays ayant la meilleure « résilience économique » selon le classement du Forum de Davos sont ceux qui ont un système économique capitaliste fort comme l’aime le Forum économique mondial.
Ce que nous dit le Forum économique mondial, c’est donc qu’ultra-capitalisme et promotion LGBT font bon ménage.
« La Banque mondiale décrit les “communautés inclusives” comme une dimension clé des villes durables et résilientes », a écrit Miller. « L’OCDE [Organisation de coopération et de développement économiques] identifie la “société inclusive” comme un moteur de résilience dans une ville. Le FMI [Fonds monétaire international] soutient qu’une économie est “plus fragile et moins résiliente lorsqu’elle n’est pas inclusive”. Un rapport de l’ONU [Nations Unies] Habitat constate que l’inclusion est nécessaire pour un “programme de résilience urbaine réussi”. »
Le Forum économique mondial a par ailleurs consacré une section entière de son site Web au « Mois de la fierté 2020 », entendez par là le mois des défilés LGBT à travers l’Occident décadent.
En janvier 2019, plusieurs sociétés, dont MasterCard et Microsoft, avaient lancé un « Partenariat pour l’égalité LGBTI » lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial, visant à recruter au moins 100 autres sociétés d’ici 2020. Au moment d’écrire ces lignes, 17 sociétés ont suivi, dont Coca-Cola, PepsiCo et Procter & Gamble.
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