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L'événement « Étudiants pour la vie » présentera Maeve Roche de Campaign Life Coalition

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joanne D'Arc

Ce samedi le 14 janvier 2023, Campagne Québec-Vie organise un événement « Étudiants pour la vie » à Montréal, Québec.  

Le but de cet événement est d’encourager tous les étudiants pro-vie à se réunir pour un après-midi de discussion, de formation et de réseautage.  

Parmi les différents conférenciers qui seront présents à l’événement, nous avons invité la coordinatrice jeunesse de Campaign Life Coalition, Maeve Roche, pour nous parler de son implication dans la culture de la vie.  

Maeve a accepté de s’entretenir avec nous avant l’événement, afin que vous puissiez mieux la connaître et en apprendre davantage sur ce que signifie être « pro-vie ».   

Joanna pour CQV:  Merci beaucoup d'avoir pris le temps de nous parler. Pouvez-vous, vous présenter, votre âge et votre poste actuel ? 

Maeve pour CLC: Je m’appelle Maeve Roche. J’ai 20 ans et j’occupe le poste de coordinatrice des jeunes à Campaign Life Coalition (CLC). L’élément central de mon rôle est d’engager et de mobiliser les jeunes pour qu’ils deviennent des responsables pro-vie dans leurs propres communautés. En tant que coordonnatrice des jeunes, je gère nos pages de médias sociaux pour les jeunes (@clcyouthprolife sur toutes les plateformes), j’organise des événements et des voyages pour les jeunes, notamment le banquet et le sommet des jeunes de la Marche nationale pour la vie à Ottawa, je gère notre programme de stages d’été, je fais des présentations « Pro-Life 101 » dans les écoles et les groupes de jeunes, j’amène une délégation de jeunes à la Commission de la condition de la femme des Nations Unies et bien plus encore !  

Joanna pour CQV: Depuis combien de temps travaillez-vous pour CLC ?  

Maeve pour CLC: Je travaille pour CLC depuis presque trois ans. J’ai été stagiaire d’été en 2020 et 2021 et j’ai travaillé à temps partiel pendant l’année scolaire. J’ai commencé à travailler officiellement à temps plein pour CLC en novembre 2021.  

Joanna pour CQV: Quelle est votre formation (travail/éducation scolaire) ? 

Maeve pour CLC: J’ai étudié la philosophie à l’Université de Toronto pendant un peu plus d’un an avant de décider de me consacrer à plein temps au travail en faveur de la vie.  

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2023 serait déclarée l’année du « suicide assisté » par les médias québécois

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash.com

QUÉBEC — 2023 a été déclarée l’année du « suicide assisté » par les médias québécois.   

« Sommes-nous sur le point de franchir le pas de l’aide médicale à mourir au suicide assisté comme si c’était dans l’ordre normal des choses ? », s’interroge Le journal de Québec dans un article d’Emmanuelle Latraverse intitulé « Place à l’année du suicide assisté ».   

À partir de mars 2023, les patients atteints de maladie mentale pourront faire une demande d’« AMM » dans tout le Canada et les changements apportés au projet de loi  38 qui devraient avoir lieu cette année permettraient peut-être aux patients atteints d’Alzheimer de faire une demande d’« AMM » anticipée dans la province de Québec.   

« En 2023, nous vivrons au pays du suicide assisté », rapporte Latraverse.   

Même si « le Collège des médecins promet qu’il saura ériger des guides de pratiques qui éviteront les dérives » selon Le Journal de Québec, cette « nouvelle normale » n’est pas acceptée par tous au Québec. 

Le Collectif des Médecins contre l’euthanasie a fait part au Collège de ses préoccupations dans une lettre ouverte, mais n’a toujours pas reçu de réponse selon les dernières nouvelles annoncées en décembre 2022 sur leur blogue.   

Un autre groupe de médecins a manifesté sa résistance en Ontario : 

Physicians Together with Vulnerable Canadians (« Médecins ensemble avec les Canadiens vulnérables ») milite en Ontario pour améliorer les mesures de protection des patients et promouvoir les droits de conscience des médecins », rapporte le bulletin d’information du Collectif des médecins contre l’euthanasie.   

Selon le Collectif des médecins contre l’euthanasie, les demandes d’euthanasie révèlent de plus en plus souvent des raisons qui, auparavant, n’étaient pas admissibles, comme la pauvreté ou le manque de soutien médical et social.  

Au lieu de guérir les maladies, le système de santé apprend à dévaloriser la vie des personnes handicapées et encourage les médecins et le personnel soignant à proposer cette procédure à des personnes qui ne l’auraient pas envisagée autrement.  

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L'euthanasie pourrait être étendue pour les Québécois souffrant d’Alzheimer

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash.com

QUÉBEC — L’euthanasie pourrait à nouveau être élargie pour les Québécois, cette fois pour ceux qui souffrent de la maladie d’Alzheimer.  

« La ministre de la Santé et des Aînés du Québec, Sonia Bélanger, déposera une nouvelle version du projet de loi visant à élargir l’aide médicale à mourir (AMM) en 2023 », rapporte CTV News. 

Mme  Bélanger reprend le projet de loi de Christian Dubé, ministre de la Santé, qui n’a pas réussi l’an dernier à faire adopter le projet de loi  38 qui aurait permis aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer de faire une demande anticipée d’« Aide médicale à mourir » si elles souhaitent en faire la demande avant d’en être incapables.  

Les patients atteints d’une forme grave de la maladie d’Alzheimer sont généralement incapables de donner un consentement clair et éclairé et la loi leur interdit donc d’avoir accès à l’« AMM ». 

La loi québécoise sur l’« AMM » exige que les patients donnent leur consentement écrit à l’euthanasie dans les 90 jours précédant la procédure d’euthanasie ; ce projet de loi leur permettrait de faire une demande plus tôt. 

Le document PDF officiel de 2022 de l’Assemblée nationale du Québec sur le projet de loi explique :  

« L’objet de ce projet de loi est principalement de modifier la Loi sur les soins de fin de vie en ce qui concerne l’admissibilité à l’aide médicale à mourir. 

Le projet de loi rend admissibles à cette aide les personnes atteintes d’une incapacité neuromotrice grave et incurable qui répondent aux autres critères prévus par cette loi. Le projet de loi permet également aux personnes atteintes d’une maladie grave et incurable entraînant l’inaptitude à consentir aux soins de faire une demande anticipée d’aide médicale à mourir afin de pouvoir bénéficier de cette aide lorsqu’elles seront devenues inaptes. Le projet de loi prescrit les règles applicables quant au contenu et à la forme de ces demandes anticipées et établit les responsabilités des différentes ressources qui participent à l’élaboration ou à la mise en œuvre de ces demandes. De plus, il détermine les critères à respecter pour que l’aide médicale à mourir soit administrée à une personne devenue inapte à consentir aux soins, notamment les critères relatifs à l’observation des souffrances qu’elle éprouve. La Commission sur les soins de fin de vie est également chargée de veiller à l’application des exigences propres aux demandes anticipées d’aide médicale à mourir. [...] » 

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La police de Montréal reçoit l’ordre de retirer l'insigne de Saint-Michel de leur uniforme

Des agents de la police de Montréal près de la conférence COP15 rassemblés après une manifestation plus tôt dans la matinée.

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joanne D’Arc

MONTRÉAL — Le gouvernement du Québec interdit aux policiers de porter des insignes catholiques sur leurs uniformes.

Radio-Canada a obtenu des informations qui confirment que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a demandé à ses agents de ne plus porter l’insigne de Saint-Michel sur leur uniforme dans le cadre de leur travail.

« Après analyse, il a été convenu que l’insigne de Saint-Michel porté par les policiers du SPVM (Service de Police de la Ville de Montréal) sur leur uniforme est un signe religieux au sens de la loi », indique la note de service envoyée aux agents, telle que rapportée par Radio-Canada.

«  Par conséquent, nous vous demandons dès maintenant de bien vouloir retirer de vos uniformes tout insigne symbolisant ou faisant référence à l’archange Saint-Michel, afin de vous conformer à la loi », inclut la note de service. 

C’est en surveillant les manifestations liées du forum international COP15 que des policiers de Montréal ont été vus portant sur leur uniforme un insigne de saint Michel sur lequel on pouvait lire « Saint Michel Protégez-Nous ».

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La Maison Simons retire sa publicité télévisée sur l'euthanasie

La publicité de Simons « Tout est beauté » pour l'euthanasie qui a été lancée en octobre 2022.

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d’écran Youtube

L'entreprise de mode Simons, dont le siège social est à Québec, et qui a lancé fin octobre 2022 une publicité controversée faisant la promotion de l'euthanasie, l'a maintenant retirée, après un important retour de bâton de la part des médias, selon The Message.

La Maison Simons, qui fait autorité en matière de style au Canada depuis 1840, diffusait un message publicitaire dont le titre était « All is Beauty (Tout est beauté) » à la télévision. La campagne a duré environ un mois avant d'être interrompue. Elle faisait la promotion du suicide assisté à travers l'histoire de Jennyfer Hatch, qui a choisi de mettre fin à sa vie à l’âge de 37 ans au moyen de l’« Aide médicale à mourir  (AMM) » après qu’on lui ait diagnostiqué le syndrome d'Ehlers Danlos.

« De grands médias - dont Fox News, le National Post, le Daily Mail et le New York Post - ont suggéré que la campagne "glorifie" ou "promeut" le suicide. La rhétorique s'est rapidement enflammée sur les médias sociaux, ce qui a conduit Simons à écourter sa campagne, à la retirer des canaux numériques et à orienter sa publicité vers les Fêtes de fin d’année », selon un article de The Message publié en décembre 2022.

Dans une interview publiée avant le lancement de la campagne, le PDG de Simons, Peter Simons, a déclaré avoir peur de la façon dont ce projet serait reçu. (Malheureusement, la vidéo originale de cette entrevue n'est plus disponible, mais une partie de celle-ci peut encore être regardée dans l'émission d'Ezra Levant de Rebel News).

La publicité de Simons commence par une scène sombre de chambre d'hôpital vide et la narration de Jennyfer qui déclare que « mourir dans un hôpital n'est pas naturel », suivie d'un sous-titre disant « Simons presents : The Most Beautiful Exit  (Simons présente : La plus belle sortie) » tandis que la scène de la chambre d'hôpital s'éloigne du public pour laisser place à une scène « paisible » d’un océan.

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L’euthanasie des Canadiens serait une « priorité majeure » selon le ministre de la Justice

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d’écran Youtube/Conférence de presse 

OTTAWA — Le gouvernement canadien retarde l’expansion de l’euthanasie pour les personnes atteintes de troubles mentaux pour une durée indéterminée, mais déclare que le projet de loi demeure une « priorité majeure ».

Le projet de loi C-7, Loi qui modifie le Code criminel sur « l’aide médicale à mourir », a été déposé à la Chambre des communes le 24 février en 2020 par le ministre de la Justice. Ce projet a été adopté en première lecture le même jour. Depuis, la loi C-7 a subi de nombreuses modifications l’étendant pour inclure davantage de personnes y ayant accès. La prochaine modification porterait sur l’expansion de « l’aide médicale à mourir » pour les personnes atteintes de troubles mentaux.

Malgré l’annonce du délai de l’expansion de l’« aide médicale à mourir » pour les personnes souffrantes de troubles mentaux, l’euthanasie des Canadiens demeure une « priorité majeure pour notre gouvernement » selon le ministre de la Justice, David Lametti, lors sa conférence de presse.

« Le gouvernement avait entendu les experts qui s’inquiètent du fait que le système de santé pourrait ne pas être prêt à gérer ces cas complexes », a déclaré David Lametti, le ministre de la Justice le 15 décembre en conférence de presse à Ottawa, selon Le Devoir. Par contre, le ministre de la Justice rassure le public que ceci ne changera pas le déroulement du projet d’expansion de la loi C-7 pour les Canadiens atteints de troubles mentaux, mais assurera plutôt son bon déroulement.

« Mon collègue, le ministre Duclot et Santé Canada ont collaboré étroitement avec les provinces, les territoires, et leur communauté médicale afin de préparer l’évolution de l’aide médicale à mourir. Les progrès sont significatifs. Nous sommes en bonne voie de finaliser les standards nationaux sur l’aide médicale à mourir pour les personnes qui souffrent d’un désordre mental comme seul critère. Ils seront prêts avant la limite de mars », a déclaré David Lametti.

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L’euthanasie : « soin » pour lequel le Québec serait au premier rang dans le monde

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels.com

QUÉBEC — L’euthanasie est désormais un « soin » pour lequel le Québec est classé au premier rang dans le monde.

La province du Québec au Canada est au premier rang parmi tous les pays dans le monde cette année pour son « soin » d’euthanasie, battant ainsi les Pays-Bas et la Belgique, selon Radio-Canada qui publie à ce sujet le 9 décembre.

« Le nombre de personnes ayant eu recours à l’aide médicale à mourir explose depuis le début de la pandémie : il est passé de 1774 en 2019-2020 à 3663 en 2021-2022 » rapporte Radio-Canada.

Selon le président de la Commission des soins de fin de vie, le Dr Michel Bureau, les données qui placent le Québec au premier rang dans le monde sont les suivantes : « “Au Québec, c’est 5,1 % des décès qui [résultent de] l’aide médicale à mourir. Aux Pays-Bas, c’est 4,8 % des décès, et en Belgique, c’est 2,3 %” », indique l’article de R.-C.

Le Devoir rapporte que « La commission a déposé son rapport annuel à l’Assemblée nationale, vendredi, en plus de diffuser un communiqué de presse dans lequel son président, le Dr Michel Bureau, affirme que “le Québec continue de bien faire les choses” en matière de “respect des critères d’application de la Loi” et “du caractère de dernier recours de ce soin” ».

Selon le communiqué de presse « de plus en plus de médecins intègrent ce soin à leur pratique. Les données 2021-2022 démontrent qu’il y a eu une augmentation de 26 % des médecins qui ont participé à ce soin dans le continuum offert aux patients, comparativement à 2020-2021. »

« Le Dr Bureau se dit étonné par l’augmentation rapide du nombre de demandes d’AMM au Québec. Selon lui, cette croissance pourrait s’expliquer par le fait que l’aide médicale à mourir est présentée aux patients comme un soin, et non comme une euthanasie », selon Radio-Canada.

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La Presse encouragerait l’euthanasie pour les Québécois souffrant de troubles mentaux

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash

QUÉBEC - La Presse encouragerait l’euthanasie pour les Québécois souffrant de troubles mentaux en vue du projet de la loi C-7. 

« On ne peut pas ignorer les personnes qui souffrent psychiquement et qui nous demandent de les traiter à égalité avec celles qui souffrent physiquement », écrit l'éditorialiste de La Presse.

À partir de mars 2023, le projet de loi C-7 permettra aux Québecois souffrant de troubles mentaux de recourir à « l’aide médicale à mourir » pour leur offrir ce « soin de la santé » selon le site du gouvernement du Canada. En vue de ce projet « Des médecins partout au pays se préparent à l’éventualité qu’on élargisse les critères d’admissibilité de l’AMM aux personnes souffrant de troubles mentaux », rapporte Nathalie Collard pour La Presse, le 11 décembre 2022.

Dans son article intitulé « Le Québec est-il prêt à élargir l’aide médicale à mourir (AMM) aux personnes souffrant de troubles de santé mentale ? », madame Collard informe que cette question « se posera dans trois mois, quand l’exclusion temporaire prévue par la loi fédérale arrivera à échéance. » Alors que présentement, « un comité se penche actuellement sur la question à Ottawa », dit Nathalie Collard.

Elle poursuit « Comment savoir si le désir de mourir est propre à la maladie ou à la volonté du patient ? Et comment déterminer le caractère irréversible d’un état ? Les zones grises sont nombreuses en santé mentale, c’est vrai. Mais des médecins nous assurent qu’il existe aussi des zones grises dans des cas de souffrance physique et on n’exclut pas l’AMM pour autant, alors pourquoi en faire un critère d’exclusion dans les cas de troubles de santé mentale ? Leur question est légitime ».

Le Dr Paul Saba, médecin de famille à Montréal et auteur du livre « Fait pour vivre », maintient une opinion contraire. Il écrit un mémoire dont le nom dit tout : « Les personnes atteintes de troubles mentaux ou de troubles cognitifs ne doivent pas être euthanasiées ».

Dans ce mémoire, Dr Saba écrit « Mon code médical de l’éthique me limite à agir pour protéger et améliorer la santé de mes patients individuellement et collectivement, de ne pas nuire à mes patients, de prescrire uniquement ce qui est médicalement nécessaire et d’agir avec les meilleures pratiques médicales à l’aide de principes scientifiques. L’AMM pour les patients souffrant de santé mentale ou de déclin cognitif est contraire à ces principes d’éthique. Ces derniers sont énoncés dans le code de déontologie du Collège des médecins du Québec. »

Par contre, selon La Presse la majorité des médecins du Québec et psychiatres seraient favorables au projet de la loi C-7:

« Le Collège des médecins du Québec et l’Association des médecins psychiatres du Québec sont tous deux favorables à l’élargissement des critères. Des organismes de défense des droits des personnes atteintes de troubles de santé mentale aussi. Ils militent pour qu’on reconnaisse leur souffrance et qu’on cesse de les infantiliser ».

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Une paroisse de Montréal organise des conférences pour les "catholiques LGBTQ" afin de "construire un pont"

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Affiche de promotion sur Facebook (nous avons retiré les coordonnées de communication)

*Cet article n'est pas une promotion, mais un article de nouvelles.


Des conférences pour les « catholiques LGBTQ » ont eu lieu pendant 6 semaines dans une paroisse catholique de l’ouest de l’île de Montréal.

Une paroisse de la région de Montréal située dans l’arrondissement de Pierrefonds a tenu une conférence pour les « catholiques LGBTQ » pendant 6 lundis soirs consécutifs du 24 octobre au 28 novembre. Les conférences ont été annoncées par leur bulletin d’information et organisées par Cathie Macaulay, paroissienne et une responsable du Service d’accompagnement spirituel des personnes malades ou âgées à domicile (SASMAD).

D’après un échange avec Madame Macaulay, le programme est basé sur le livre « Building A Bridge : How the Catholic Church and the LGBT Community Can Enter into a Relationship of Respect, Compassion, and Sensitivity » du père James Martin, prêtre jésuite.

Dans sa vidéo de promotion des conférences, que l’on peut trouver sur la chaîne YouTube de St-Luc, Cathie Macaulay qualifie les conférences de « programme de formation à la foi pour adultes » et affirme que « l’objectif de ce programme est de construire un pont entre la communauté LGBTQ et l’Église catholique ».

Elle a ajouté : « Le groupe de discussion explorera comment nous pouvons vivre les relations avec les catholiques LGBTQ avec les personnes de notre famille, de notre lieu de travail, de notre communauté et les personnes de notre paroisse avec respect, compassion et sensibilité comme il nous est demandé de le faire dans le Catéchisme de l’Église catholique ».

Elle a conclu en disant que : « Les questions sur l’identité sexuelle et l’identité de genre abondent dans notre culture » et « Nous pouvons tous apprendre davantage les uns des autres et en écoutant davantage nos frères et sœurs LGBTQ ».

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Maxime Bernier fondateur du PPC dit avoir « besoin de leaders pro-vie »

Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikipédia

Le 2 décembre 2022, les abonnés du PPC (People’s Party of Canada) ont reçu un courriel de Maxime Bernier, fondateur du parti, qui exprime clairement que le Canada a besoin de dirigeants qui se tiennent debout pour les valeurs pro-vie ! Il exprime aussi sa frustration contre la légalisation de l’euthanasie pour ceux qui ont des maladies chroniques et des maladies mentales.

Monsieur Bernier commence son courriel en parlant de la dysfonction du service de la santé au Canada, bien que beaucoup des services soient « gratuits » dans le pays par rapport aux États-Unis.

Voici comment il exprime que le plus inquiétant est sans doute la montée en puissance du programme d’euthanasie radical au Canada, soit l’Aide Médicale à Mourir (AMAM) :

« L’évolution la plus inquiétante [du système de santé], et de loin, a été la montée en puissance du programme d’euthanasie radical du Canada, ou aide médicale à mourir (AMAM) comme ils l’appellent.

Lorsque l’euthanasie a été initialement légalisée en 2016, elle n’était accessible qu’aux patients adultes en phase terminale souhaitant mourir dans la dignité.

Mais en mars 2021, les libéraux de Trudeau ont modifié le projet de loi pour étendre son accès aux personnes souffrant de douleurs chroniques et de problèmes de santé mentale.

Le Canada est rapidement devenu un chef de file mondial pour ce qui est d’étendre cette pratique inquiétante et d’en faciliter l’accès, devançant des pays comme la Belgique et les Pays-Bas où elle est légale depuis 20 ans.

Au cours des derniers mois, des histoires virales ont fait état de recommandations d’euthanasie à des vétérans souffrant de SSPT et à des sans-abri.

Le mois dernier, le détaillant québécois Simons a publié, puis retiré, une campagne publicitaire inquiétante glorifiant l’euthanasie, après que moi-même et d’autres personnes ayons exprimé leur indignation.

[Nom de l’abonné], qu’arrive-t-il à notre pays ?

Quel genre de société encourage les personnes vulnérables à mettre fin à leur vie au lieu de les protéger ? En particulier nos vétérans qui ont tout risqué pour nous garder en sécurité.

Avons-nous des soins de santé ou des soins pour la mort dans ce pays ?

J’ai peur pour l’avenir de notre société. Une société qui privilégie la mort à la vie est une société qui tend à sa propre perte.

Nous avons besoin de leaders forts dans ce pays pour défendre les valeurs pro-vie.

Pour défendre notre peuple, en particulier les plus vulnérables. »

Courriel envoyé le 2 décembre 2022, par Maxime Bernier aux membres du PPC.

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