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Le Marxisme, racine du féminisme québécois, désire détruire l'institution familiale

Sur le site d'Itinerarium.fr du 20 mars 2013:

(Le Marxisme-Léninisme a compté nombre d'adeptes au Québec, dont l'ancien chef du Bloc Québécois, Gilles Duceppe. Comment est-il possible qu'un tel manque de jugement, que la jeunesse n'excuse pas, n'ait pas empêché cet homme de faire de la politique, alors qu'un Jean-Louis  Roux s'est vu refusé le poste de gouverneur général pour avoir porté la croix gammée? L'imbécilité est-elle acceptable lorsqu'elle est de gauche?)

La logique globale de société ou d’a-civilisation dans laquelle nous enferme le « progressisme » trouve en fait en Marx, une fois de plus, ses racines philosophiques les plus profondes. Dans éditorial de The Guardian du 23 juin 2012, le Parti communiste australien entend peser sur le débat concernant le mariage des homosexuels. Il rappelle ces phrases de Marx dans le manifeste du parti communiste (1847) :
 

« Il faut abolir la famille…Et remplacer l’éducation à la maison par celle de la société ».
 
« Les marxistes doivent partir à l’assaut de cette institution ».
 
« Il faut légaliser ouvertement les communautés de femmes ».
 

 Le Dr Paul Kengor écrit aussi dans ce journal communiste

« La priorité des communistes n’est pas le mariage des gays en lui-même, mais l’utilité qu’il a pour détruire la famille ».
 

« Il faut abolir la famille…Et remplacer l’éducation à la maison par celle de la société ». Pauline Marois a bien compris le message...
 

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La loi C-279 sur la protection de « l'expression sexuelle » est adoptée à 149 voix contre 137

Comme prévu, le Bloc Québécois, le Parti Libéral du Canada, le NPD, le Parti Vert ont massivement appuyé cette nouvelle folie. Le projet de loi doit maintenant être accepté au sénat. Voici ce que dit ce projet de loi:

(Photo d'une drag queen prise à la Seattle Pride)

 

1. L’article 2 de la Loi canadienne sur les droits de la personne est remplacé par ce qui suit :

2. La présente loi a pour objet de compléter la législation canadienne en donnant effet, dans le champ de compétence du Parlement du Canada, au principe suivant : le droit de tous les individus, dans la mesure compatible avec leurs devoirs et obligations au sein de la société, à l’égalité des chances d’épanouissement et à la prise de mesures visant à la satisfaction de leurs besoins, indépendamment des considérations fondées sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, l’âge, le sexe, l'identité, l'expression ou l'orientation sexuelles, l’état matrimonial, la situation de famille, la déficience ou l’état de personne graciée.
 

Objet

2. Le paragraphe 3(1) de la même loi est remplacé par ce qui suit :
 
3. (1) Pour l’application de la présente loi, les motifs de distinction illicite sont ceux qui sont fondés sur la race, l’origine nationale ou ethnique, la couleur, la religion, l’âge, le sexe, l'identité, l'expression ou l’orientation sexuelles, l’état matrimonial, la situation de famille, l’état de personne graciée ou la déficience.
 

Motifs de distinction illicite

R.S., c. C-46

CODE CRIMINEL
 
L.R., ch. C-46

3. Le paragraphe 318(4) du Code criminel est remplacé par ce qui suit :
 

(4) Au présent article, « groupe identifiable » désigne toute section du public qui se différencie des autres par la couleur, la race, la religion, l'origine ethnique, l'identité, l'expression ou l'orientation sexuelles.

Définition de « groupe identifiable »

4. Le sous-alinéa 718.2a)(i) de la même loi est remplacé par ce qui suit :

(i) que l'infraction est motivée par des préjugés ou de la haine fondés sur des facteurs tels que la race, l'origine nationale ou ethnique, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l'âge, la déficience mentale ou physique, l'identité, l'expression ou l'orientation sexuelles

Maintenant, pour ce qui est de définir ce qu'est l'identité, l'expression ou l'orientation sexuelles, il vous suffit d'avoir un peu ou beaucoup d'imagination et vous verrez juste...

Le journal Le Devoir du 20 mars 2013 rapporte cet événement:

Ce projet de loi d'initiative parlementaire, déposé par l'opposition, a reçu 149 votes favorables contre 137, le tout avec l'appui essentiel de 16 députés conservateurs, dont quatre ministres.

Il s'agissait de l'un des premiers tests de la solidité de la position conservatrice sur la question des droits des gays, lesbiennes, bisexuels et transgenres (LGBT) au pays, alors que le ministre des Affaires étrangères John Baird a livré un plaidoyer en faveur de tels droits à l'étranger.

M. Baird, le ministre des Finances Jim Flaherty, la ministre du Travail, Lisa Raitt, et le ministre du Patrimoine, James Moore, font partie des conservateurs qui ont appuyé le projet de loi. Le premier ministre Stephen Harper, la majorité des ministres et la plupart des simples députés s'y sont opposés.

Les partis d'opposition se sont unis dans leur appui au projet de loi, déposé par le néo-démocrate Randall Garrison.
(...)
Le projet de loi a entraîné de vifs débats parfois émotifs aux Communes.

Certains députés conservateurs se sont opposés au projet de loi, affirmant qu'en vertu de celui-ci, les pédophiles seraient protégés s'ils s'introduisaient dans des salles de bain publiques.

Peu de temps avant le vote de mercredi, le député conservateur de Calgary-Ouest, Rob Anders, a déposé une pétition «au nom des milliers» de Canadiens opposés à ce qu'il appelle «le projet de loi salle de bain».
 

Projet de loi salle de bain parce qu'il permet, par exemple, à un homme de 45 ans affirmant être un transgenre femelle de se promener nu dans une piscine publique, dans le vestiaire des filles... ce qui est arrivé à Washington. Cet homme serait protégé ici au Canada par le projet de loi C-279 et personne ne pourrait même penser qu'il serait inapproprié, c'est le moins que l'on puisse dire que cet homme «transgenre» puisse agir ainsi...

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Les avortements à répétition au Québec

Sur le site de fm93.com du 13 mars 2013 :

 

 (Le Dr Jean Drouin)

 

Selon des chiffres obtenus de la Régie de l'assurance-maladie du Québec, il s'est pratiqué en moyenne 1625 avortements de plus qu'il n'y a de femmes qui en ont subi à chacune des cinq dernières années au Québec.

Selon le Dr Jean Drouin, chef du Service de planification des naissances du CHUL, à Québec, c'est parce que certaines en ont subi deux, voire trois.

Le Dr Drouin soutient que certaines femmes ont plus de difficulté avec la contraception en raison du rythme effrené de la vie d'aujourd'hui.

De préférence aux anovulants, le Service de planification des naissances du CHUL préconise ainsi la pose d'un stérilet ou le recours aux timbres contraceptifs.

 
En 2011, plus récente année disponible, 25 107 Québécoises ont subi un avortement, mais la RAMQ a défrayé 26 766 interventions. Le coût global a été de 3 796 143 $, soit 151 $ par avortement.
 

Le stérilet produit une multitude d'avortements non répertoriés...

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Marie Plourde, Louise Latraverse, Paule Baillargeon, Claudia Larochelle : quatre femmes qui ont subi un avortement

Sur le site du Journal de Montréal du 20 mars 2013, un article de Sophie Durocher:

 

(Marie Plourde)

 

Qu’est-ce que Marie Plourde, Paule Baillargeon, Louise Latraverse et Claudia Larochelle ont en commun ?
 
Ces quatre femmes se sont déjà fait avorter. Un jour. Il y a longtemps. Mais elles ne l’ont pas oublié.
 
Elles ont accepté de poser pour une photo de groupe et de témoigner de leur expérience dans un reportage coup de poing, mis en ligne hier soir, sur le site du magazine Châtelaine.
(...)
 
Pour Marie Plourde, avorter fut une décision difficile à prendre. Et elle a souffert de l’indifférence du personnel médical : «Il n’y a pas eu de paroles réconfortantes. Seulement un acte chirurgical distant. Quand ç’a été terminé, le médecin est sorti et a dit à l’infirmière que ç’avait été pénible, que j’avais pleuré tout le long. Il m’a trouvée fatigante, c’était une évidence.»
 
Pour Paule Baillargeon, «on n’oublie jamais qu’on s’est fait avorter. La présence de cet enfant hypothétique demeure. On se demande quel âge il aurait, à quoi il ressemblerait, si c’était une fille ou un garçon.»
 
Louise Latraverse, elle, se souvient avec émotion du Dr Morgentaler : «Il y avait une bonté indescriptible dans les yeux de cet homme-là. On sentait qu’il luttait pour une cause. Il ne pratiquait pas ce genre d’intervention pour l’argent. Il voulait vraiment que les femmes soient libres de faire ce qu’elles veulent de leur vie et de leur corps. Et c’est pour cette raison que j’ai milité en sa faveur lorsqu’il a été arrêté, peu de temps après.»
 
GOLDWATER ET SENÉCAL PAS D’ACCORD
 
Mais ce dossier n’est pas fait que de témoignages de femmes ayant subi l’interruption de grossesse. On y trouve aussi l’opinion de Guy A. Lepage, ma position sur le sujet, et deux opinions diamétralement opposées : celles de l’avocate Anne-France Goldwater et de l’écrivain Patrick Senécal, La bouillante Anne France Goldwater affirme : «L’avortement doit demeurer le choix de la femme. L’État n’a rien à dire là-dessus, les hommes non plus.»
 
Alors que Patrick Senécal a une tout autre opinion. «Moi, quand j’entends des histoires de femmes qui en sont à leur troisième ou à leur quatrième IVG, je trouve ça irresponsable.» Il affirme qu’il est pour l’avortement, mais il précise : «Comme société, il faut poser nos limites et se poser les bonnes questions, comme : jusqu’à quand peut-on avoir recours à un avortement? À partir de quand un fœtus peut-il être considéré comme un être humain?»
 

Si Patrick Sénécal avait une formation scientifique, il poserait plutôt la question « À partir de quand un être humain au stade de foetus peut-il être considéré comme une personne? » Et la réponse va de soi. À part pour les nostalgiques d'une classe supérieure définissant qui peut être accepté comme « personne » et qui ne reçoit pas ce label, tout être humain, dès lors qu'un ovule fécondé devient une nouvelle entité de 46 chromosomes, est une personne, unique au monde.

 

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Brebis parmi les loups : le rôle des défenseurs de la vie selon le pape François

Une homélie parue sur le blog de Jeanne Smits du 19 mars 2013:

(Le Cardinal Bergoglio rencontrant la présidente d'Argentine, Christina Fernandez de Kirkner)

 

 

Lorsque l'on écoute ce que dit Jésus, regardez, « Je vous envoie, je vous envoie comme des brebis parmi les loups », on a envie de demander : « Seigneur, c'est une blague, ou tu n'as pas de meilleur endroit où nous envoyer ? » Parce que ce que dit Jésus a de quoi nous refroidir un peu : « Si vous proclamez mon message, on va vous persécuter, on va vous calomnier, on va vous dresser des pièges pour vous livrer aux tribunaux et pour vous faire tuer. Mais vous devez aller de l'avant, et pour cette raison vous devez faire attention, dit Jésus, et être habiles, vifs comme le serpent mais très simples, comme les colombes » : les deux choses à la fois.
 
Le chrétien ne peut pas s'offrir le luxe d'être une andouille, c'est clair, d'être idiot : nous ne pouvons nous accorder ce luxe, parce que nous portons un très beau message de vie et qu'il ne nous est pas permis d'être idiots, et c'est pourquoi Jésus dit : « Soyez habiles, faites attention à vous. » En quoi consiste l'habileté du chrétien ? A savoir distinguer qui est loup et qui est brebis. Et lorsque dans ce carnaval de la vie un loup vient à nous déguisé en brebis, il faut aussi savoir le flairer : « Regarde, tu as une peau de brebis mais cette odeur que tu dégages est celle d'un loup. » Et cette mission que Jésus nous donne est en vue de quelque chose de très important, de très grand. Jésus dit quelque chose qui attire notre attention lorsque quelqu'un lui demande : « Bien ; pourquoi êtes-vous venu, vous, dans le monde ? » « Regardez, je suis venu apporter la vie, pour que la vie soit en abondance, et je vous envoie, vous, pour que vous fassiez avancer cette vie, et qu'elle soit abondante. »
 
Jésus n'est pas venu apporter la mort, mais plutôt la mort de la haine, la mort des affrontements, la mort de la calomnie – cette manière de tuer avec la langue. Jésus n'a pas apporté la mort, la mort, c'est lui qui l'a soufferte pour défendre la vie, Jésus est venu apporter la vie, et cette vie abondante ; et il nous envoie pour que nous la portions plus loin, mais il nous dit : « Attention ! », car il y a des gens qui ont ce dont nous parlons aujourd'hui, qui n'est pas dans l'Evangile : la culture de mort. C'est-à-dire que la vie les intéresse tant qu'elle sert, tant qu'elle peut leur être utile, et sinon, elle ne les intéresse pas. Et dans le monde entier, cette mauvaise herbe de la culture de mort a déjà pris racine.
 
(...)
Prendre soin de la vie ! Quelle belle chose lorsqu'on voit – que sais-je – un grand-père, une grand-mère qui peut-être ne peut déjà plus parler, qui est paralytique, et que le petit-enfant ou le fils va tenir par la main, et caresser en silence, rien de plus. C'est cela prendre soin de la vie. Quand on voit quelqu'un se préoccuper de ce que tel enfant puisse aller à l'école, pour qu'à tel autre la nourriture ne manque pas, c'est cela prendre soin de la vie.
 
Ouvrir son cœur à la vie ! Parce que l'égoïsme de la mort, la culture de la mort égoïste est comme la mauvaise herbe des champs, cette mauvaise herbe, ces herbes sauvages, ce senna ou cette ciguë qui grandissent et envahissent en tuant les arbres, les fruits, les fleurs, qui tuent la vie elle-même. La broussaille… Rappelez-vous qu'une fois Jésus en a parlé, disant : « Quand la semence qu'est la vie tombe parmi les broussailles, les épines l'étouffent » – les épines de l'égoïsme, des passions, du vouloir tout pour soi. La vie, c'est toujours donner, se donner, et cela coûte de donner la vie – oui ça coûte vraiment, cela coûte des larmes.
 
Que c'est beau de prendre soin de la vie, de laisser croître la vie, de donner la vie comme Jésus et la donner en abondance, de ne pas permettre que même un seul des plus petits se perde. C'est ce que Jésus a demandé au Père : « Qu'aucun de ce que Vous m'avez donnés ne se perde, que toute la vie que Vous m'avez donnée pour en prendre soin soit gardée, qu'elle ne se perde pas ». Et nous, nous prenons soin de la vie parce qu'Il prend soin de notre vie dès le sein maternel. C'était notre devise cette année : « Dès le sein maternel, tu as été notre protecteur. » Il prend soin de nous et nous enseigne cela.
 
Nous autres, nous ne prenons pas soin de la vie. Parce qu'il y a un ordre éthique qui nous dit de prendre soin de la vie, nous prenons simplement soin de la vie. Jésus nous enseigne à prendre soin de la vie parce qu'elle est l'image de Dieu qui est tout vie. Nous ne pouvons annoncer autre chose que la vie, depuis le commencement jusqu'à la fin. Tous nous devons prendre soin de la vie, choyer la vie, tendresse et chaleur. Voilà à quoi nous sommes appelés, et comme c'est beau.
 
Mais c'est un chemin qui est plein de loups, et peut-être nous emmènera-t-on devant les tribunaux pour cela ; peut-être pour ceci : pour avoir pris soin de la vie, peut-être nous tueront-ils. Pensons aux martyrs chrétiens. Ils les tuaient pour avoir prêché cet Evangile de la vie, cet Evangile que Jésus nous a apporté. Mais Jésus nous donne la force. En avant ! Ne soyez pas idiots, rappelez-vous, un chrétien ne peut s'offrir le luxe d'être idiot, je ne vais pas redire andouille, idiot, on ne peut pas s'offrir ce luxe, il faut être vif et il faut être astucieux, et aller de l'avant.
 
Quand on parle de ces choses de la culture de vie, à laquelle nous sommes appelés, on ressent de la peine de ce qu'en tant de cœurs, et même chez des enfants, l'on soit en train de semer la culture de la mort. On y sème l'égoïsme, on y sème ceci : « Bien, qu'est-ce que cela peut me faire à moi, ce qui arrive à l'autre », qui suis-je pour prendre soin de l'autre. Cette phrase, vous rappelez-vous qui l'a dite en premier ? Caïn. « Est-ce que par hasard je suis le gardien de mon frère ? » Cette phrase criminelle, cette phrase de mort, par malheur il y a parfois des enfants qui grandissent avec cette conception, par malheur on leur inculque cette conception égoïste et on configure l'homme ou la femme qu'ils seront ; je l'ai dit ici une fois et je le répète : on peut leur donner le surnom de « je, me, moi, avec moi, pour moi », tout pour l'un, ne rien donner à l'autre, parce que donner la vie c'est ouvrir le cœur, prendre soin de la vie c'est se « découdre » à travers la tendresse et la chaleur à l'égard des autres, occuper mon cœur pour les autres.
 
Aujourd'hui nous allons bénir les messagers de la vie. Ce sont eux qui vont porter les images de saint Raymond Nonnat dans les maisons. Ils iront d'une maison à l'autre, et chaque fois qu'une image arrive dans une maison,  ce n'est pas pour s'exclamer, ah, que c'est beau, elle est pour moi !, si ce n'est pas aussi pour me rappeler que je dois lutter pour la vie, prendre soin de la vie, qu'il ne doit plus y avoir un seul enfant qui n'ait pas le droit de naître, qu'il ne doit plus y avoir un seul enfant qui n'ait pas le droit d'être bien nourri, qu'il ne doit plus y avoir un seul enfant qui n'ait pas le droit d'aller à l'école. Combien d'enfants travaillent pour récupérer du vieux carton, je les vois, moi, dans le centre de Buenos Aires, ils ne vont pas à l'école, ce sont leurs parents qui les exploitent. Et qu'est-ce qui fait que les parents exploitent les enfants ? La culture de la mort. Il ne faut plus qu'il y ait un seul enfant qui ne grandisse pas, qui ne vive pas son adolescence dans l'ouverture à la vie, il ne faut plus qu'il y ait un seul adulte qui ne se préoccupe pas de ce qui manque à l'autre, ce dont l'autre a besoin pour avoir plus de vie, et il ne faut pas qu'il y ait un seul ancien envoyé à la remise, seul, jeté.
 
Prendre soin de la vie depuis son début jusqu'à la fin, c'est une chose si simple, c'est une chose si belle. Père, c'est pour cela qu'il y a tant de loups qui veulent nous dévorer ? Pour cela, dites moi : Jésus, qui a-t-Il donc tué ? Personne ; Il a fait le bien. Et comment a-t-Il fini ? Si nous prenons nous aussi le chemin de la vie, il peut nous arriver des choses affreuses, mais cela n'a pas d'importance, cela vaut la peine, c'est Lui qui a pris ce chemin le premier.
 
Ainsi donc, en avant, et ne vous découragez pas, prenez soin de la vie, cela vaut la peine !
 

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Des évêques français appellent à manifester de nouveau contre le « mariage » gai...

Sur le site de Familles Chrétiennes du 19 mars 2013:

(Un appel à une seconde manifestation monstre contre le « mariage » gai, ce 24 mars 2013 à Paris)

 

 

« Aujourd’hui, chrétiens et non-chrétiens se trouvent confrontés, dans notre pays, au projet de loi instaurant un “mariage homosexuel”. Celui-ci viendrait bouleverser profondément les fondements naturels qui structurent, avec un juste équilibre, les sociétés humaines, en privant de surcroît, les enfants du droit à être naturellement élevés par leur père et leur mère.

Un document de la Congrégation pour la doctrine de la foi, daté de 2003 et signé de la main du cardinal Ratzinger, appelait déjà les catholiques et les hommes de bonne volonté à s’opposer avec courage, à la légalisation du “mariage homosexuel”. 

• L’opposition légitimement exprimée par les représentants des différentes religions auditionnés à l’Assemblée nationale a été ignorée.

• Mgr Vingt-Trois, président de la Conférence épiscopale française, a été scandaleusement attaqué pour sa juste prise de position.

• Le rassemblement de plus d’un million de personnes le 13 janvier dernier pour exprimer leur opposition à ce projet de loi a été indécemment méprisé.

• Enfin, les 700 000 pétitions envoyées au Conseil économique, social et environnemental n’ont même pas provoqué un débat au sein de cette assemblée. 

Faire entendre ces voix qu’on refuse d’écouter

En conséquence, face à la possible promulgation d’un tel projet de loi qui ne peut que nuire à l’harmonie sociale, nous appelons les catholiques de nos diocèses à se retrouver le 24 mars prochain sur les Champs-Élysées pour faire entendre leur voix à ceux qui, jusque-là, refusent d’écouter. Une foule immense est attendue.

Pour permettre au maximum de fidèles de se rendre à Paris, de nombreuses paroisses se sont déjà adaptées pour ajuster les horaires des messes de ce dimanche des Rameaux.

Notre montée vers Pâques de cette année prend un aspect bien particulier.
La providence nous guide et nous accompagne vers la lumière de la résurrection. »

Mgr Jean-Pierre Cattenoz, archevêque d’Avignon

Mgr Marc Aillet, évêque de Bayonne, Lescar et Oloron

Mgr Dominique Rey évêque de Fréjus et Toulon

Mgr Raymond Centène, évêque de Vannes
 

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La Cour d'appel de Colombie-Britannique se penche sur le suicide assisté

Des débats qui peuvent avoir des conséquences pour tout le Canada. Sur le site de Radio-Canada du 19 mars 2013:

(Russel Ogden, porte parole de la fondation Farewell, travaillant au suicide d'une population canadienne dépressive)

 

La lutte pour le droit au suicide assisté a repris lundi en Cour d'appel de la Colombie-Britannique. Le gouvernement fédéral conteste une décision d'un juge de première instance qui a annulé un article du Code criminel interdisant le suicide médical assisté, puis a confié au gouvernement la tâche de réécrire la loi.

La décision rendue l'an dernier par la juge Lynne Smith, qui suspendait néanmoins son jugement pendant un an pour laisser le temps à la Chambre des communes de rédiger une nouvelle loi, avait du même coup accordé une exemption à Gloria Taylor, la plaignante principale dans l'affaire.

Mme Taylor est décédée d'une infection l'an dernier.
(...)
La fondation Farewell, une association provinciale qui veut proposer des services liés au suicide assisté, prendra également part à l'audience et plaidera pour la cause. La fondation a cependant choisi de ne pas attendre un jugement et a déjà mis au point un protocole pour que ses membres puissent assister le suicide d'un autre membre.

Le porte-parole de la fondation, Russell Ogden, affirme que certains des membres ne veulent pas mourir seuls et veulent s'assurer que leurs décès soient signalés de manière appropriée aux coroners et à la police.
 

Il importe que l'interdiction du suicide assisté soit rapidement réinscrite dans la loi.

 

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Le député François Bonnardel demande de l'aide pour les aidants naturels

Sur le site de La Voix de l'Est du 19 mars 2013:

 

(Le député François Bonnardel, de la Coalition Avenir Québec, de Granby)

 

(Granby) Pouvoir rester à la maison pour s'occuper de leur enfant handicapé non autonome à temps plein, même après l'âge de 21 ans, est le souhait de plusieurs aidants naturels. Dans bien des cas, le soutien financier octroyé à ces parents ne permet pas d'y arriver. C'est pourquoi le député de la Coalition Avenir Québec de Granby, François Bonnardel, a annoncé hier qu'il déposera le 15 mai à l'Assemblée nationale une pétition demandant au gouvernement Marois de réformer l'aide offerte à ces familles.

Les parents qui doivent s'occuper de leur enfant lourdement handicapé sont souvent à bout de souffle. Cette situation devient encore plus problématique lorsque ces adolescents atteignent l'âge de 21 ans. «Ces jeunes handicapés n'ont pas un parcours régulier à l'école, mais durant cette période, les parents ont au moins un peu de répit pendant un certain nombre d'heures par jour. Mais quand ils quittent le milieu scolaire, qu'est-ce qui arrive? La problématique devient souvent très complexe et la plupart des familles prennent 100 % de leur temps pour trouver de l'aide à gauche et à droite auprès d'autres aidants naturels. C'est un fardeau très lourd à porter», a fait valoir François Bonnardel lors d'un point de presse.

«Ce n'est pas juste une problématique qui touche les familles de Granby, mais bien celles de tout le Québec.
 

 

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Visionnement du film : It's a girl

Il y aura un visionnement du film "It's a girl" sur le phénomène mondial de l'avortement sélectif selon le sexe le lundi, 25 mars à 20h40 dans l'édifice SSMU de l'université McGill (dans la salle de bal "Ballroom"). Tous sont invités.

Voici le message que j'ai reçu de la présidente du groupe pro-vie à McGill, Choose Life:

*******
Hey Everyone!

It's finally here!

Choose Life is hosting a massive screening of the movie It's A Girl: The Three Deadliest Words in the World, in just 10 DAYS!

It's A Girl is a documentary about sex-selective abortion in India, China, and other parts of the world. It tells about the 200 million girls missing from the world today, because they were aborted, for being girls. It also follows the hardships of girls living in these countries as they grow, live, and marry, and are at risk of continued violence, trafficking, and abandonment by the cultures and government policies that would have aborted them.

It's A Girl also looks at the paths towards change, what's being done now, and what can be done, to save women from the injustice of abortion and abortion-minded cultures.

Watch the trailer here: http://www.itsagirlmovie.com/

This is Choose Life's biggest event of the year and is part of our Life Week this semester, of which the theme is sex-selective abortion.

It will be held on Monday, March 25, at 8:40 pm in the McGill University SSMU building Ballroom at 3600 McTavish Street. Everyone is welcome! Please invite your friends too! Snacks and beverages will be served.

There is a Facebook page for this event: http://www.facebook.com/events/321374744651542/

For more information, contact Lizzy Carnogursky at 514-258-4100 or at [email protected]

See you there!

For LIFE!

Lizzy Carnogursky
President, Choose Life

Choose Life sincerely thanks Shadowline Films for giving us the permission to screen It's A Girl, and the National Campus Life Network for their help in obtaining this film.

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La Marche printanière : L'euthanasie, chez nous, c'est NON !

Ce sera bientôt Pâques ! Comment mieux annoncer la Victoire du Christ sur la mort que par une Marche québécoise contre l’euthanasie ?

Je vous ai dit dans le dernier bulletin (« L’euthanasie est à nos portes ») qu’il y aurait sous peu une grande mobilisation contre l’euthanasie au Québec.

Et bien voilà, c’est fait : préparez-vous à participer le samedi 18 mai, à Québec, à la Marche printanière, une marche québécoise contre l’euthanasie.

Organisée par le Rassemblement québécois contre l’euthanasie, cette grande marche rassemblera des milliers de québécois qui ont à cœur la défense des personnes faibles et vulnérables visées par l’euthanasie et le suicide assisté.

Nous allons d’une voix forte dire « NON » au projet de loi du gouvernement du Parti Québécois pour permettre dans nos hôpitaux et autres lieux de soins de santé un geste qualifié d’« homicide » par le code criminel canadien.

Je vous demande donc d’inscrire dès maintenant la date du 18 mai à votre calendrier et d’inviter vos amis et connaissances à faire de même !

Voici les détails tels que nous les avons présentement :

Nom de la marche: La Marche printanière – L’euthanasie chez nous, c’est NON MERCI !

Date: 18 mai 2013

Rassemblement: 12h00 sur les Plaines d’Abraham à Québec

Départ vers le Parlement: 14h00

Se termine vers: 16h30

Je vous invite donc à vous joindre à des milliers de québécois pour cette marche historique !

******

Il ne faut pas cependant oublier notre annuelle Marche pour la vie à Ottawa qui se tiendra le jeudi 9 mai. Elle est tout aussi importante. Cette année, par notre thème « Cessons le fœticide féminin ! », nous dénonçons la pratique infâme de l’avortement sélectif selon le sexe, pratique maintenant répandue dans certaines de nos communautés culturelles ici au Canada. 

******

Finalement, je voulais vous partager quelques photos des 40 jours pour la vie à Montréal qui se terminent le 24 mars. Comme à chaque carême, nous sommes à l’extérieur de l’avortoir Morgentaler à Montréal à prier pour la fin de l’avortement pour une durée de 40 jours, 12 heures par jour.

 

Ce carême, 261 villes partout au monde, y compris Moscou et deux villes d’Afrique ont participé. En date du 12 mars 2013 (la 28e journée de la vigile), 346 bébés ont été sauvés de l’avortement !

Ce mois-ci, vous pouvez être solidaire des priants à la vigile des 40 jours pour la vie en vous procurant, pour tout don de 35$ et plus, une tasse 40 jours pour la vie. Vous n’avez qu’à écrire, avec tout don de 35$ et plus, "tasse svp" dans la boîte de commentaires sur PayPal, ou si par la poste, nous le demander par écrit !

Pour la Vie !

Georges Buscemi , président

P.S. Vos dons sont spécialement appréciés ce mois-ci, étant donné que nous engageons davantage de dépenses pour promouvoir deux marches, une à Québec et l’autre à Ottawa. Merci de nous aider !

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