40 Jours pour la Vie : la campagne s'ouvre le 13 février sur 261 emplacements à travers le monde
Les 40 jours pour la vie débutent mercredi prochain (le 13 février) à Montréal et dans des centaines de villes partout au monde.
Tout sur les 40 jours pour la vie à Montréal >>
Sur le site de 40daysforlife.com (traduction CQV):
C'est officiel! Les 40 premiers jours de la campagne de la vie de 2013 auront lieu dans 261 endroits d’un océan à l’autre aux États-Unis et au Canada... en plus de villes en Angleterre, Australie, Pologne et Espagne — et pour la première fois au Nigeria, en Afrique du Sud, au Pays de Galles... et en Russie!
Il devait y avoir un 262e endroit — mais le centre d'avortement a fermé ses portes!
Une clinique d’avortement ferme deux semaines avant que la campagne commence
Nous étions sur le point d'annoncer le lancement de campagnes dans 262 emplacements... mais nous avons perdu un.
Cela ne ressemble pas à une bonne nouvelle? Eh bien, la raison pour laquelle il n’y aura pas de vigile dans cette 262e ville — Lima, Ohio — est que le centre d'avortement local a cessé ses activités cette semaine... et fermé ses portes de façon PERMANENTE. Louez soit Dieu!
« Nous avons appelé le centre d'avortement «Capital Care», a déclaré l'un des volontaires », et ils ont dit qu'ils étaient « complets à Lima “et de ne pas prendre rendez-vous. “ «Nous étions un peu sceptiques, mais nous sommes allés prier», dit-elle. «À la fin de la journée, l'un des travailleurs de la clinique d’avortement a commencé à jeter des meubles du centre d'avortement dans la benne! Ils sortaient des boîtes hors du bâtiment pour les mettre dans leur voiture. C'était un spectacle merveilleux! »
Les fidèles chrétiens ont tenu QUATRE vigiles des 40 jours pour la vie en face de cette clinique d’avortement à Lima, en Ohio. «Dieu a entendu les prières de tous ceux qui ont prié et témoigné de la vie», a déclaré le bénévole.
Cela fait maintenant 27 centres d'avortement qui ont cessé leurs activités à la suite des vigiles pacifiques des 40 jours pour la vie à l'extérieur de leurs portes. Gloire à Dieu!
Si vous n'avez pas pris part aux 40 jours pour la vie avant, nous espérons que cela vous montre ce qui peut arriver quand vous mettez votre confiance en Dieu et avancez dans la foi. VOTRE communauté pourrait-elle être la prochaine participante?
Résultats des 40 Jours pour la Vie des années passées jusqu'en 2012
Il y a maintenant eu 11 campagnes coordonnées des 40 jours pour la vie depuis 2007, la mobilisant des gens de foi et de conscience dans 481 villes à travers les États-Unis et au Canada, ainsi qu’en Argentine, Arménie, Australie, Belize, le Danemark, l'Angleterre, la Géorgie, l'Allemagne, l'Irlande, Irlande du Nord, Pologne, Porto Rico, l'Espagne et l'Ouganda.
Au cours de ces efforts communs, les participants ont assisté à d'innombrables bénédictions de Dieu :
• 2210 campagnes individuelles ont eu lieu dans 481 villes
• Plus de 550 000 personnes ont uni leurs efforts dans une démonstration historique de communion de prière et de jeûne pour la fin de l'avortement
• Plus de 15.500 congrégations religieuses ont participé aux campagnes pour les 40 jours pour la vie
• Les documents rapportent 6.749 vies ont été épargnés de l'avortement — et ce ne sont que celles dont nous avons connaissance
• 76 travailleurs de l’avortement ont quitté leur emploi et se sont éloignés de l'industrie de l'avortement
• 27 services d'avortement furent complètement fermés à la suite des campagnes locales des 40 jours pour la vie
• Des centaines de femmes et d'hommes ont été épargnés par les conséquences tragiques de l'avortement, comprenant toute une vie de regrets
• Plus de 2 600 nouvelles ont été publiées dans les journaux, les magazines, émissions de radio et des émissions de télévision, d'un océan à l'autre... et à l'étranger
• Beaucoup de personnes ayant vécu des expériences d’avortement dans le passé se sont portées volontaires pour commencer des thérapies post-avortement pour leur guérison et rétablissement.
Après tant d'années de légalisation de l'avortement, de nombreuses personnes de foi connaissent un regain d'espoir!
Faire le saut de la foi et s'impliquer dans les 40 Jours pour la Vie
Avez-vous déjà été prier à une veillée de 40 jours pour la vie? Vous pouvez vous demander, ‘Que dois-je faire? » Ou «Que dois-je apporter?’ La réponse est simple : ce dont vous aurez vraiment besoin, c'est de vous-même, car vous représentez l'amour de Dieu.
Tout sur les 40 jours pour la vie à Montréal >>
Laissez un commentaireL'initiative européenne «un de nous» pour la protection de l'embryon humain
Sur le site de genethique.org du 7 février 2013:
(Carlo Casini, député européen, président du Mouvement italien pour la Vie)
A l'origine de cette pétition, un député européen, Carlo Casini, président du Mouvement italien pour la Vie, soutenu et rejoint par "des représentants de diverses associations européennes actives dans la défense de la vie".
Concrètement, l'initiative européenne demande aux institutions communautaires de garantir "la protection juridique de la dignité, du droit à la vie et à l'intégrité physique de tout être humain depuis sa conception dans les domaines de compétence de l'UE où cette protection s'avère d'une importance particulière". Pour cela, est proposé deux objectifs:
- Le premier objectif est "d'interdire et de mettre fin au financement des activités qui impliquent la destruction d'embryons humains, en particulier dans les domaines de la recherche". Actuellement, "l'Union européenne négocie [...] sa politique de recherche scientifique pour la période 2014-2020". Or, "les propositions présentées par la Commission européenne dans le cadre du programme 'Horizon 2020' ne mentionne plus l'engagement que celle-ci avait pris en 2006, dans le cadre du programme cadre de recherche (2007-2013) actuellement en vigueur, de ne soumettre au comité de règlementation 'aucune proposition de projet comportant des activités de recherche qui impliquent de détruire des embryons humains, y compris l'approvisionnement en cellules souches". Ainsi, l'initiative "Un de nous" propose la modification du règlement du prochain programme-cadre de recherche "Horizon 2020" "afin d'ajouter à son article 16 relatif aux 'principes éthiques' un nouveau critère excluant du financement européen les recherches qui impliquent la destruction d'embryons humains".
- Le deuxième objectif est "d'interdire tout financement public européen de l'avortement, en particulier via la politique d'aide au développement et de santé publique". En effet, entre 2005 et 2011, plusieurs associations "prom[ouvant] et pratiqu[ant] des avortements à grande échelle, au sein d'établissements dont elles assurent elles-mêmes la gestion" ont reconnu avoir reçu des subventions communautaires. "Depuis 2011 seulement, le budget général de l'Union prohibe formellement de financer des organisations qui soutiennent ou qui sont impliquées dans des programmes d'avortement ou de stérilisation forcée (pratiqués notamment en Chine ou en Inde)". Par conséquent, "l'initiative 'Un de nous' vise à étendre cette interdiction formelle au financement de tout type d'avortement, forcé ou non, en obtenant de l'Union européenne qu'elle institue un mécanisme de contrôle des fonds qu'elle verse aux organisations non gouvernementales afin d'éviter de financer toute organisation impliquée dans la réalisation d'avortement".
Rappelons que, selon l'agence de Presse Zenit.org du 7 février 2013:
Laissez un commentaireBien que la « santé génésique et sexuelle des populations » est censée ne pas inclure l’avortement, la Commission européenne subventionne massivement des organisations telles que la Fédération Internationale du Planning Familial (IPPF) et Marie Stopes International (MSI). Ces organisations promeuvent et pratiquent des avortements à grande échelle, au sein d’établissements dont elles assurent elles-mêmes la gestion.
Entre 2005 et 2009, l’organisation MSI reconnaît avoir reçu 15,8 millions de livres sterling de subventions publiques communautaires, dans ses rapports financiers (soit plus de 18 millions d’euros). La Fédération Internationale du Planning Familial reconnaît avoir reçu, entre 2007 et 2011, près de 6 millions d’euros de subventions directement de la Commission européenne.
Une jeune femme en danger de mort suite à un avortement dans un hôpital d'Argentine
Sur le blog de Jeanne Smits du 7 février 2013:
Laissez un commentaireUne jeune fille de 15 ans est hospitalisée dans l'unité de réanimation de l'hôpital Federico Abete de Buenos Aires, victime d'une septicémie à la suite d'un avortement autorisé dans le cadre de la jurisprudence argentine. On ne sait pas si elle survivra.
Voilà donc un avortement « sûr et légal », comme ils disent, pratiqué dans un hôpital public avec toutes les garanties requises, qui tourne mal et qui risque de coûter la vie à sa « bénéficiaire ».
La jeune mineure était venue à l'hôpital des urgences Federico Abete de Pablo Nogués, dans la quartier des Malvinas Argentinas, le 26 janvier dernier, accompagnée d'une amie âgée de 20 ans. Elle était enceinte de 4 mois. Les informations disponibles à l'heure actuelle ne permettent pas de savoir quel justificatif a été avancé pour l'intervention, mais il est certain qu'elle a été pratiquée dans le cadre des procédures fixées par le ministère de la Santé de Buenos Aires en juillet dernier pour les avortements dépénalisés.
On lui a administré des médicaments utilisés pour le traitement des ulcères (misoprostol) qui ont effectivement tué le bébé qu'elle portait mais sans provoquer son expulsion. Il a fallu pratiquer une césarienne d'urgence. L'intervention a provoqué un choc septique d'une telle gravité qu'il a fallu transférer la jeune fille en réanimation et lui prodiguer des soins qui sont susceptibles d'avoir endommagé l'utérus et les trompes : si elle survit, elle risque néanmoins de rester stérile.
(...)
Parmi les questions que pose l'affaire se trouve notamment le secret dont elle a été entourée : pendant plusieurs jours après l'entrée de la jeune fille à l'hôpital, sa propre mère ignorait où elle se trouvait et elle était désespérée. Elle n'a donc été mise au courant ni de l'hospitalisation, ni de l'avortement, ni de la gravité de l'état de santé de sa fille. Pro-Vida recherche actuellement à ce rapprocher de cette famille pour lui proposer aide et assistance juridique.
On a là une sorte d'affaire Savita à l'envers. Le monde entier s'est indigné en affirmant, sans preuve d'ailleurs, que cette jeune femme indienne ne serait pas morte de septicémie si elle avait pu bénéficier d'un avortement alors qu'elle était en train de faire une fausse couche. On accusé la loi pro-vie irlandaise d'être à l'origine de son décès et dans la foulée, l'Irlande s'apprête à créer des exceptions où l'avortement sera dépénalisé, sous la pression des organisations internationales et des grands médias.
A Buenos Aires, une jeune fille qui aurait pu garder la santé si sa grossesse avait été correctement suivie, et qui aurait pu garder son enfant ou le confier à l'adoption, est gravement malade à cause d'une loi autorisant l'avortement. Elle est victime d'une septicémie – comme Savita – que l'avortement n'a ni soignée ni empêché de progresser, mais a au contraire semble-t-il causée. Si elle survit, ce sera avec des séquelles irréversibles. Et comble d'inhumanité, au nom sans doute de la confidentialité de l'avortement, ses proches n'ont pas été mis au courant. Y a-t-il une mobilisation médiatique mondiale pour dénoncer ces lois et ces pratiques de mort ? Evidemment non.
C'est silence radio.
Euthanasie : une augmentation de 25% des cas en Belgique en 2011
Sur le blog de Jeanne Smits du 7 février 2013:
(Les jumeaux euthanasiés en raison d'une crainte de souffrir d'une prochaine cécité.)
Laissez un commentaireLe nombre d'euthanasies déclarées en Belgique est en forte augmentation sur 2012. Les données officielles qui commencent à être publiées font état de 1.430 cas, soit 25 % de plus qu'en 2011 et ses 1.133 cas répertoriés. Selon De Redactie le chiffre réel pourrait être encore plus élevé vu que nombre d'euthanasies ne sont pas signalées à la commission de contrôle et d'évaluation.
Celle-ci a mis en exergue le cas de jumeaux de 45 ans qui ont été tués en même temps parce qu'ils ne supportaient pas l'idée de devenir aveugles.
(...)
En ce jour de publication de ces statistiques, le Sénat belge entame une série d'auditions sur l'euthanasie dans le cadre d'une série de propositions de lois visant à faciliter l'accès à l'euthanasie et à la rendre accessible aux mineurs et aux personnes en voie de devenir démentes.
Une petite mexicaine de neuf ans donne naissance à un enfant
Sur le site du Journal de Montréal du 7 février 2013:
(Guadalajara au Mexique)
Laissez un commentaireGUADALAJARA (Mexique) - Une fillette âgée de neuf ans a accouché d'un bébé de quasiment trois kilos, dans l'État de Jalisco, à l'ouest du Mexique, ont annoncé sa famille et les autorités locales.
«La fillette avait huit ans et quelques mois quand elle est tombée enceinte. Le père est un jeune âgé de 17 ans, mais nous ne l'avons pas trouvé parce qu'il a fui», a expliqué mardi la mère de la jeune fille, qui a indiqué que les autorités avaient été informées afin de retrouver le géniteur.
(...)
L'accouchement a eu lieu le 27 janvier, à l'hôpital Zoquipan de Guadalajara. Dafne, comme a été identifiée la jeune mère, a donné le jour à une petite fille de 2,7 kg et 50 cm.La mère et la fille sont apparemment en bonne santé, mais les services de santé ont annoncé qu'il faudrait surveiller attentivement le développement du bébé en raison du jeune âge de sa mère.
Le chroniqueur Normand Lester résume l'affaire des 491 enfants nés vivants, morts des blessures de l'avortement
Sur le site de yahoo du 6 février 2013:
(L'un des derniers livres de chroniques du journaliste d'enquête Normand Lester)
Laissez un commentaireQue faire lorsqu’un enfant avorté naît vivant? Des informations mises en ligne par Statistiques Canada semblent dire que dans des centaines de cas on l’a tout simplement tué après sa naissance.
À partir des données de Statcan, le blog pro-vie Run With Life a calculé qu’entre 2000 et 2009, 491 avortements de 20 semaines de gestation et plus ont abouti à des naissances vivantes. L'enfant avorté serait donc mort après sa naissance. Les statisticiens fédéraux attribuent le code P96.4 à ces avortements post-partum et les classent sous la rubrique «Interruption volontaire de grossesse, affectant le fœtus et le nouveau-né».
C’est ce qui a convaincu trois députés conservateurs d’écrire une lettre au Commissaire de la GRC, Bob Paulson, pour lui demander de faire enquête. L’article 223 (2) du Code criminel considère comme une personne humaine, un enfant qui est sorti vivant du ventre de sa mère. Les députés demandent donc à la police fédérale d’ouvrir 491 enquêtes pour homicides et d’engager des poursuites criminelles contre les auteurs de ces homicides et leurs complices.
La plainte des députés et des groupes pro-vie aurait eu plus d’impact s’ils avaient pu l’accompagner d’un affidavit d’une personne - mère, infirmière, médecin, auxiliaire de santé - qui a participé ou assisté à un tel homicide, et qui est disposée à témoigner.
(...)L'Institut canadien d'information sur la santé rapporte 119 «avortements-naissances vivantes» pour l'année 2010/201, un chiffre qui représenterait un accroissement significatif par rapport aux années précédentes.
La question qui se pose dans ces cas est la suivante: si l'enfant survit à son avortement, c’est-à-dire, s’il est vivant après avoir été retiré de l’utérus de sa mère, est-ce un homicide de le tuer où est-ce qu’il est normal de mettre fin à sa vie comme le voulait sa mère? Si vous répondez à cette question qu’on doit s’en débarrasser, je vous en pose une seconde qui découle de la première. Pendant combien de temps après sa sortie vivant de l’utérus de sa mère, elle ou le médecin avorteur, ont-ils le droit de le tuer comme s’il s’agissait d’un fœtus? Deux minutes, vingt minutes, une heure?
Le Parlement fédéral doit-il légiférer sur les «avortés après naissance» ou doit-il laisser la décision à la mère et son avorteur professionnel? Doit-on amender le Code criminel canadien pour permettre expressément d’avorter les bébés que la mère ne veut pas après leur naissance? Doit-on plutôt détourner la tête devant le phénomène et faire comme si ça n’existait pas?
Un jour ou l’autre un participant, par remords de conscience, va dénoncer publiquement un cas. Et il y la terrible possibilité qu’un cas aboutisse sur You Tube.
Comme je l’ai déjà dit, les politiciens sont beaucoup trop lâches pour adopter une loi en bonne et due forme loi sur l’avortement. Il va falloir qu’un cas particulièrement odieux soit hypermédiatisé pour que le Parlement s’en mêle. Et encore.
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En France comme au Québec, le gouvernement trouve toujours les fonds pour l'avortement et l'euthanasie...
Sur le site du Salon Beige du 5 février 2013, ce communiqué de Choisis la Vie:
(Une passion franco-québécoise : gaspiller l'argent des contribuables)
Laissez un commentaireLe gouvernement ne cesse de mettre en avant, pour justifier les dysfonctionnements des services hospitaliers, le manque de moyens. Et pourtant, il convient de rappeler et souligner que, ce même gouvernement, depuis son arrivée au pouvoir, parvient malgré tout à libérer des fonds pour développer la culture de mort. Des mesures extrêmement coûteuses sont au programme de ce gouvernement
financement à 100% de l’avortement (17 Millions d’euros)volonté de créer un site de promotion de l’IVG.Remboursement des pilules malgré le récent scandale de Diane 35Volonté de libéraliser la recherche sur l’embryonvolonté de légaliser l’euthanasie
Un pâtissier mis à l'amende pour avoir refusé de faire un gâteau surmonté d'un «couple» homosexuel
Sur le site du Salon Beige du 6 février 2013:
Laissez un commentaireLe bureau du procureur général de l'État de l'Oregon aux Etats-Unis a ouvert une enquête sur un boulanger chrétien qui a osé refuser de faire un gâteau de mariage pour deux personnes de même sexe. Aaron Klein, propriétaire de cette boulangerie, a déclaré avoir choisi de ne pas faire ce gâteau parce qu'il croit que le mariage est «une institution religieuse entre un homme et une femme comme indiqué dans la Bible."
«Quand quelqu'un me dit que leur définition est quelque chose de différent, je m'oppose fortement. Je ne pense pas que je devrais être pénalisé pour cela."Et bien si : le lobby LGBT s'oppose à la liberté de conscience (nous l'avons vu en France), mais aussi à la liberté religieuse. Aussi, son entreprise, dont il est copropriétaire avec son épouse, pourrait être condamnée à 50.000$ d'amende, si elle est reconnue coupable d'avoir enfreint la loi sur l'égalité de l'Oregon. La loi interdit en effet aux entreprises de refuser un égal accès aux clients sur la base de l'orientation sexuelle.Le boulanger ne comprend pas cet acharnement délirant :"Je me suis excusé pour avoir gaspillé leur temps et je leur ai dit que nous ne faisons pas les mariages homosexuels". "Honnêtement, je n'ai pas eu l'intention de blesser qui que ce soit".
Les raisons des boys scouts américains de refuser les personnes homosexuelles dans leur organisation
On peut trouver une entrevue télévisée (en anglais) sur le site du journal La Presse du 6 février 2013, sur les raisons expliquant le refus d'intégrer des personnes homosexuelles dans les rangs des boys scouts.
Laissez un commentaireRéuni aujourd’hui à Irving, au Texas, le conseil d’administration des scouts américains a décidé de repousser au mois de mai sa décision de lever ou non l’interdiction des homosexuels dans leurs rangs.
Le Collège Loyola veut aller en Cours Suprême pour défendre son droit d'enseigner le cours ECR dans une perspective catholique
Sur le site du Journal de Montréal du 5 février 2013:
(La cour supérieure du Québec avait eu un autre jugement sur l'imposition du cours ECR, obligatoire pour les écoles privées et publiques.)
Laissez un commentaireL’école secondaire catholique anglophone Loyola, qui souhaite être exemptée de l’obligation d’enseigner le cours Éthique et culture religieuses (ÉCR), demande d’être entendue par la Cour suprême du Canada.
Le 4 décembre dernier, dans un jugement unanime, la Cour d’appel du Québec avait cassé une décision de la Cour supérieure rendue en 2010 qui permettait à l’école Loyola de substituer son propre programme d’enseignement au cours ÉCR.
S’estimant «déçue» par l’arrêt de la Cour d’appel, la direction de l’établissement montréalais a fait savoir lundi qu’elle avait décidé, «après mûre réflexion», de solliciter l’autorisation d’en appeler devant le plus haut tribunal du pays.
Le juge Jacques Fournier de la Cour d’appel avait infirmé cette décision parce qu’il estimait que l’atteinte à la croyance religieuse de Loyola, s’il y en a une, est «négligeable, car il ne s’agit que d’un cours parmi plusieurs. Il n’est pas demandé à l’enseignant de réfuter les préceptes de la religion catholique, mais de s’abstenir d’exprimer son opinion ou ses convictions».
Le juge avait ajouté qu’il «n’y a rien dans la décision de la ministre qui constitue un obstacle à l’enseignement de la foi et de la doctrine catholique à l’occasion d’un tel cours».
Cette décision du juge Fournier avait infirmé un jugement de 2010 de la Cour supérieur qui estimait que la décision de la ministre portait atteinte à la liberté de religion de l’école Loyola et de ses membres.
(...)