Sur le site du Journal de Montréal du 8 décembre 2013 :
(Photo : dno1967b sur flickr.com, licence creative commons)
(Les dérives sont intrinsèquement liées à l'instauration d'un programme d'euthanasie...)
Alors que le Québec se penche sur la question de l’aide médicale à mourir, le doyen de la faculté de droit de l’Université de Namur en Belgique, Étienne Montero, a dénoncé le projet de loi en soutenant qu'il est impossible de baliser et de contrôler l’euthanasie. (...)
Si le Québec légalise l’aide à mourir, on ouvre inévitablement la porte à l'euthanasie de personnes qui n’ont pas nécessairement de maladies graves et incurables, croit-il.
«Une fois l’euthanasie permise, il devient très difficile de maintenir une interprétation stricte des conditions légales», soutient-il.
(...)
|