M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Horreur : Féministes pro avortement agressent sexuellement des hommes en prière qui défendent une cathédrale (VIDÉO)

//www.youtube.com/embed/fOCD_T9Qqpc

par Sofia Vazquez-Mellado, traduit par Campagne Québec-Vie

Buenos Aires, 2 décembre 2013 (LifeSiteNews.com) – Des séquences vidéo extrêmement choquantes filmées, dans la ville de San Juan en Argentine, montrent une foule de féministes, lors d'une manifestation récente, attaquant et agressant sexuellement un groupe d'hommes catholiques qui prient le rosaire et qui protègent pacifiquement la cathédrale des menaces de vandalisme.
Beaucoup de ces femmes avaient les seins nus. Elles ont peint à la bombe l’entrejambe et le visage des hommes, des croix gammées sur leurs poitrines et leurs fronts, utilisant des marqueurs pour peindre des moustaches à la Hitler sur leurs visages. Elles ont également exécuté des actes obscènes devant eux et ont poussé leurs seins sur leurs visages, tout en criant « enlevez vos rosaires de nos ovaires ». (Note : Une partie du contenu le plus explicite a été retiré de la vidéo. La séquence non censurée est disponible ici. Public averti seulement.)

Selon InfoCatolica, certaines des femmes chantaient une chanson, dont voici quelques paroles : « À l'Église catholique, apostolique et romaine, qui veut se glisser entre nos draps, nous disons que nous voulons être putes, travesties et lesbiennes. L'avortement légal dans tous les hôpitaux. »

Pendant l'attaque, certains hommes pleuraient visiblement. Aucun d'entre eux n’a riposté à cette accumulation d’abus perpétrés contre eux.

 
 
Bien que la manifestation ait eu lieu en face de la cathédrale, Infobae signale que « toute la ville s’est réveillée (couverte de) graffitis en faveur de l'avortement ».

À l’intérieur de la cathédrale, 700 personnes étaient également en prière accompagnées de leur évêque Mgr Alfonso Delgado.

Après avoir vainement tenté d'entrer dans le bâtiment, les femmes ont brûlé une effigie grandeur nature du pape François. « Si le pape était une femme, l'avortement serait légal », criaient-elles.

L'attaque a eu lieu le dimanche 24 novembre lors de la Rencontre nationale des femmes, qui réunit chaque année les féministes argentines qui soutiennent « les droits des femmes ».

La police aurait déclaré aux médias qu'ils n'ont pas pu intervenir parce que « c’étaient des femmes ».

Le curé de la paroisse le Père Rómulo Campora a dit au journal Diario de Cuyo que « c’est un outrage de brûler l'image du pape François, non seulement envers l'Église, mais envers chaque Argentin parce que le pape est argentin. »
 

 
 
Faisant l’éloge des hommes qui ont défendu l’église, il a ajouté : « San Juan aime son Dieu, aime sa foi, aime sa famille. »

Il a déploré les dommages causés à la cathédrale et a conclu que « si elles ne respectent pas la vie, nous ne pouvons pas nous attendre à ce qu'elles respectent les bâtiments ».

La rencontre nationale des femmes a lieu chaque année dans différentes villes d’Argentine, subventionnée par le ministère de la Culture comme un événement d’« intérêt social ».

Selon le site pro-vie argentin ArgentinosAlerta.org, ce n'est pas la première fois que les féministes concluent dans la violence publique contre les églises et les catholiques.

Dans le passé, les cathédrales de Bariloche, Paraná et Posadas ont également subi des dommages de la part de ces groupes.

« Ces rencontres de femmes représentent la civilisation d'aujourd'hui qui cherche à imposer ses propres règles », dit le site.

« D'un côté, elles cherchent à imposer l'agenda politique que dictent les organisations internationales : contrôle de la population, avortement, contraception, homosexualité. De l'autre, elles deviennent barbares dans le sens le plus littéral. »

Publicité
Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !



Laissez un commentaire