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Les féministes extrémistes de la Fédération des Femmes du Québec ne comptent que 800 membres...

Et pourtant, les médias leur donnent un pouvoir exorbitant et relaient leurs moindres éructations, comme si elles avaient quelque chose à voir avec l'opinion des femmes du Québec... Sur le site de newswire.ca du 8 mars 2013:

(Alexa Conradi, présidente de la «Fédération des femmes du Québec»)

Née en 1966, la Fédération des femmes du Québec est un lieu de militantisme et d'action, d'analyse et de réflexion, de débat, de formation et de concertation féministe ouvert à toutes les femmes. Elle travaille à la construction d'une société juste, solidaire, véritablement démocratique, égalitaire et pacifique. La FFQ compte 800 membres individuelles et 180 membres associatives dans toutes les régions du Québec.

Comme toutes les révolutionnaires, elles savent gueuler et prendre la place de la majorité silencieuse et raisonnable...

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Ce qui arrive à un député québécois que l'on soupçonne d'être pro-vie...

Sur le site de Radio-Canada du 8 mars 2013:

 

(Le député Serge Cardin, maintenant au Parti Québécois)

 

Dans la nuit de jeudi à vendredi, un ou des suspects ont aspergé des couleurs du drapeau de la fierté gaie et d'un symbole anti pro-vie les murs extérieurs du bureau du député péquiste de Sherbrooke Serge Cardin.

Les auteurs du méfait ont diffusé un communiqué anonyme dans lequel ils affirment avoir vandalisé les bureaux dans l'objectif de dénoncer les positions pro-vie et contre le mariage homosexuel du député.

Ils ajoutent que le député a voté contre le mariage des personnes homosexuelles lors du vote fédéral de mai 2005 et qu'il s'est toujours absenté par la suite lors des délibérations au sujet de l'avortement à la Chambre des communes alors qu'il était député fédéral pour le Bloc québécois.

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La cathophobie : un article de Jacques Brassard dans le Journal de Montréal

Sur le site du Journal de Montréal du 8 mars 2013:

 

(L'ancien ministre et chroniqueur Jacques Brassard)

 

La mise en branle du processus visant à choisir un nouveau pape est toujours une belle occasion pour les athées, les laïcistes de tout poil et les catophobes de tout acabit de se déchaîner contre l’Église et la papauté. Et on en profite du même coup pour écharper au passage le cardinal Ouellet, cet «abominable prélat réactionnaire».

C’est ainsi que les experts improvisés et les plumitifs hargneux entonnent la ritournelle du changement inéluctable et de la nécessaire modernisation de l’Église. Et, avec autorité, ils mettent en demeure le nouveau pape d’enclencher tout de go des réformes «progressistes».
 
L’Église existe depuis deux mille ans. Ce n’est pas la première fois dans son histoire que les suppôts du progressisme et du modernisme lui ordonnent de changer, sinon…Sinon quoi? Ils vont quitter l’Église? Ben voyons! Ils l’ont déjà quittée depuis belle lurette!
(...)
Mais surtout, ce que les athées et les agnostiques militants (et même les catholiques qui s’affichent de gauche) reprochent à l’Église (et ils sont à cet égard d’une véhémence venimeuse), c’est de ne pas avoir cédé au relativisme moral qui imprègne l’Occident déchristianisé.
 
«Le relativisme moral, écrit Richard Bastien, est une doctrine philosophique qui prétend que la véracité ou la fausseté d’un jugement moral est impossible à établir objectivement. Ses tenants affirment qu’il n’y a pas de vérité morale et que tout énoncé sur ce qui est bien ou mal relève de la subjectivité. La morale ne serait qu’une affaire d’opinion.
 
«Si toutes les positions morales se valent, disait Léo Strauss, alors le cannibalisme n’est qu’affaire de goût!»
 
Morale judéo-chrétienne
 
Il est donc évident que la «dictature du relativisme» est aux antipodes de la morale judéo-chrétienne fondée sur la loi naturelle (d’origine divine) et sur la nature objective du Bien et du Mal.
 
Pourquoi pensez-vous que les relativistes modernistes ont le pape en horreur et exècrent l’Église catholique? Pourquoi, à l’égard du pape et de l’Église, à tout propos, cette pluie d’injures, de moqueries, de sarcasmes, méprisants et haineux?
 
C’est qu’ils trouvent carrément insupportable et d’une insolence éhontée que l’Église, sur des sujets d’une extrême gravité, comme l’avortement, le mariage gai, l’euthanasie, se dresse et énonce des règles morales qui sont des prescriptions de la loi naturelle revêtant un caractère absolu.
 
Si l’Église faisait autrement, croyez-vous que les athées modernistes retrouveraient soudainement la foi? Tout de même!
 
Je vous l’annonce, le prochain pape ne sera ni moderniste ni conservateur, il sera tout bonnement judéo-chrétien catholique. N’en déplaise aux chrétiens gauchistes.
 

L'Église qui défend les enfants à naître et les vieillards en fin de vie sera toujours attaquée par ceux qui aimeraient instituer une classe de biens portants établissant les règles d'une société où les plus faibles sont poussés vers... le cercueil.

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Histoire d'une mère porteuse qui a refusé l'avortement...

Sur le blogue de Jeanne Smits du 7 mars 2013:

(Des contrats de mères porteuses? Des contrats qui pour l'enfant, ont toujours des conséquences tragiques...)

 

 

Voici une histoire qui montre où peuvent mener la gestation pour autrui, le don de gamètes et l'eugénisme. Elle se termine de manière étonnante…

Tout commence avec un couple du Connecticut désespéré à l'idée de ne pas pouvoir avoir un quatrième enfant après trois fécondations in vitro réussies. Trois petites filles, donc, mais aussi la conscience d'avoir quelque part dans l'« enceinte concentrationnaire » des embryons surgelés « surnuméraires ». Ils cherchaient une mère porteuse, la femme ne pouvant plus mener une grossesse à bien. 

La mère porteuse, c'est Crystal Kelley, qui avait déjà deux filles mais aussi deux fausses couches à son actif, et le désir, à cause de ces dernières, d'« aider » un couple en détresse, moyennant finances bien sûr : c'était aussi une entreprise commerciale. Pour 22.000 $, elle était prête à porter deux embryons congelés.
 

L'un des embryons devait mourir après l'implantation, mais l'autre se développait bien… jusqu'au jour où, lors de l'échographie du 5e mois, on décela un bec-de-lièvre, un kyste au cerveau et une anomalie cardiaque complexe. Elle avait de bonnes chances de survivre après la naissance mais aurait environ 25 % de chances de mener une vie « normale », selon les médecins.
 

Les parents biologiques tentèrent alors de convaincre Crystal d'avorter, alors que celle-ci disait haut et fort vouloir « donner une chance au bébé » : une petite fille.
 

On proposa de faire une amniocentèse pour confirmer le diagnostic. Crystal était prête à l'accepter mais pour les parents du bébé, le résultat n'allait de toute façon rien changer : que Crystal avorte – « Qu'elle tente d'être comme Dieu, miséricordieuse pour l'enfant, et qu'elle la laisse partir. »
 

La jeune mère porteuse refusa : ils l'avaient choisie pour porter et protéger cette enfant, et c'était cela qu'elle entendait faire. Elle leur répondit qu'il ne leur appartenait pas de jouer à être Dieu. Pour autant elle ne voulait pas être la mère de l'enfant : elle portait bien le bébé pour une autre famille, non pour avoir un enfant à elle… Une représentante de Surrogacy International (une agence de mères porteuses), rRita Kron, venait de l'avertir : si elle choisissait de mener la grossesse à terme, les parents biologiques n'accepteraient pas d'être les parents légaux du bébé.
 

C'est alors que les parents biologiques lui proposèrent 10.000 $ supplémentaires si elle avortait. De quoi tenter cette jeune femme qui s'était toujours dite pro-vie mais qui avait besoin d'argent… D'autant que Rita Kron emmena Crystal déjeuner pour lui expliquer par le menu toutes les difficultés qu'elle rencontrerait avec un enfant handicapé et malade, sans compter le gouffre financier, et combien ses propres enfants allaient en souffrir.
 

« Dans un moment de faiblesse, raconte Crystal, je lui ai dit que j'avorterais pour 15.000 $. » Elle le regretta aussitôt remontée dans sa voiture… Mais les parents biologiques refusèrent le marché, et Crystal resta décidée à ne choisir l'avortement en aucun cas.
 

C'est alors que commença une nouvelle pression. Six jours s'étaient écoulés depuis l'échographie : le 22  février 2012, Crystal fut contactée par l'avocat de ses clients qui annonça qu'en refusant d'avorter, elle se rendait coupable d'une violation de ses obligations contractuelles, puisqu'elle s'était engagée à le faire  en cas de « grave anomalie fœtale ». On la menaça de procès pour récupérer les sommes déjà versées plus 8.000 $, sans compter les frais médicaux et légaux.
 

Crystal obtint alors l'assistance bénévole d'un avocat qui soutint l'impossibilité de la forcer à avorter, quels que soient les termes du contrat. Contre-offensive des parents : qu'elle poursuive la grossesse, ils accepteraient de prendre la responsabilité légale de l'enfant et l'abandonneraient aussitôt, faisant de la fillette une pupille de l'Etat. L'avocat de Crystal lui expliqua que malgré sa répugnance à voir l'enfant abandonné à une famille d'accueil elle devrait accepter cette solution faute de pouvoir obtenir autre chose d'un tribunal.
 

Mais Crystal choisit une autre option. Avec ses deux filles, enceinte de 6 mois, elle quitta le Connecticut pour l'Etat le plus proche où elle, en donnant le jour à l'enfant, serait considérée comme sa mère, et non les parents biologiques, mais aussi où les soins médicaux seraient les plus à même de venir au secours de l'enfant. Le meilleur service pédiatrique du pays se trouvait justement, d'après ses recherches, à l'université du Michigan. C'est là qu'elle s'installa, profitant d'une sous-location proposée par un étudiant ; MediAid allait lui donner la possibilité d'accéder à un suivi médical pour les grossesses à hauts risques.
 

Restait à savoir si elle garderait l'enfant alors que, mère célibataire de deux enfants, sans travail et sans domicile permanent, elle n'en avait pas les moyens. Mais elle s'était « attachée émotionnellement » à l'enfant qu'elle portait, et elle n'arrivait pas à se décider. Elle finit néanmoins par trouver un couple désirant adopter le bébé.
 

C'est alors, à un mois du terme prévu, que les parents biologiques intentèrent une action pour faire reconnaître leurs droits parentaux dans le Connecticut… Et c'est là qu'ils avouèrent que la « mère biologique » n'avait en réalité pas de lien génétique avec l'enfant, puisque les embryons avaient été fabriqués avec des ovules donnés par une femme restée anonyme.
 

A la naissance de l'enfant, le 25 juin, on ne savait toujours pas comment l'affaire allait être résolue. Trois semaines plus tard, on négocia un accord : le père acceptait d'abandonner ses droits parentaux contre l'assurance de pouvoir obtenir des nouvelles de la santé de l'enfant auprès de la famille adoptante. Depuis, le père biologique a pu rendre visite à la fillette et la tenir dans ses bras.
 

L'état de santé du bébé s'est révélé bien plus grave que ce que les échographies avaient laissé supposé. Un gros problème cérébral – les deux hémisphères mal séparés – des organes comme le foie et l'estomac mal placés, deux rates, un bec-de-lièvre et des défauts cardiaques importants ont conduit « Baby S » à subir plusieurs opérations et il lui en faudra d'autres. Ses parents adoptifs savent qu'elle mourra peut-être bientôt, et que si elle vit, elle ne marchera ni parlera normalement, mais ils voient en elle, avant tout, un bébé plein de joie de vivre, qui rit avec ses frères et sœurs, joue et se méfie des gens qu'elle ne connaît pas.
 

Le dernier mot à Crystal Kelley :
 

« Je ne peux vous dire combien de gens m'ont dit que j'étais mauvaise, que j'avais tort, que j'aurais dû me faire avorter, que je serais damnée en enfer. (…) Mais personne ne ressentait cette grossesse comme moi je le faisais. Personne d'autre ne la sentait bouger et donner des coups de pieds de l'intérieur. Je savais depuis le début que cette petite fille avait un esprit combatif étonnant, et que tous les défis qui lui étaient lancés seraient relevés par elle avec chaque once de courage dont elle dispose. Peu importe ce qu'on m'a dit, je suis devenue sa mère. »

En attendant, on pourrait s'économiser beaucoup d'imbroglios procréatifs en reconnaissant qu'un enfant devrait naître de l'acte d'amour de son père et de sa mère !

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Le journal La Presse du 6 mars 2013 verse dans le journalisme poubelle...

Sur le site du Journal La Presse du 6 mars 2013, deux «articles» désolants :

 

(Patrick Lagacé, le petit baveux inculte de la cour d'école, que l'on aime bien...)

-Le premier est de Patrick Lagacé. Ce dernier tenait à prouver à ceux qui ne le savaient pas 1- qu'il ne connaît rien à la religion.

2-Qu'il éprouve énormément de difficulté à cacher son manque de classe et de professionalisme.

-Le second article est de Ariane Krol et exprime son souhait de censurer la réflexion sur l'homosexualité, l'acte de réfléchir sur ce sujet étant en soi, pour elle, de l'homophobie comparable au racisme et au sexisme.

Deux articles haïneux pour La Presse aujourd'hui. Le journal a connu de meilleurs jours...

(Ariane Krol, qui aimerait que personne ne comprenne les enjeux de la question homosexuelle, comme elle sait si bien en donner l'exemple)

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Déclaration de la Marche mondiale des femmes (8 mars 2013): une usurpation de la parole des femmes

Sur le site de pressetoiagauche.ca du 5 mars 2013, cette déclaration qui respecte la folle tradition québécoise de déclarations aux propos délirants, à l'occasion de la journée de la marche des femmes:

 

 

Nous, femmes de tous les peuples, âges, classes et sexualités, résistons à la criminalisation croissante qui pèse sur nous, sur nos mobilisations et nos propositions. Les rues et les espaces publics sont à nous ! Nous sommes organisées en mouvements sociaux, malgré les pressions auxquelles nous devons faire face dans l’espace public. Nous persistons dans notre lutte pour des lois progressistes qui renforcent nos droits formels, malgré la répression et la violence des gouvernements et des institutions religieuses. Nous sommes toutes des femmes en résistance en célébrant les victoires que nous avons atteintes ! Nous sommes toutes des femmes des Philippines célébrant le passage de la loi sur la santé reproductive !

Face à la violence contre nous, nous disons « Stop » ! Une fois de plus, nous prenons les devants et prenons la rue dans la lutte contre toutes les formes de violence et de sa naturalisation dans nos sociétés. Nous dénonçons la violence comme élément structurel du système capitaliste, néocolonialiste et patriarcal et un outil pour contrôler nos vies, nos corps et nos sexualités

(...)
Nous, féministes, nous sommes toujours en lutte pour l’autonomie de nos corps, notre sexualité et notre fertilité. Nous exigeons la légalisation de l’avortement dans les pays où nous sommes criminalisées pour avoir exercé notre droit de ne pas être mère. Nous résistons aux attaques à nos droits reproductifs et notre accès à l’avortement que nous avons obtenus à travers des décennies de luttes. Nous sommes toutes des milliers de femmes de la Turquie qui se lèvent contre les accusations d’assassinat proclamées par notre gouvernement ! Nous sommes toutes des jeunes femmes européennes luttant contre les attaques contre le droit à l’avortement à travers le continent ! Nous sommes toutes des femmes d’Uruguay commémorant la légalisation de l’avortement, tout en restant alertes aux potentielles restrictions et au contrôle des femmes qui choisissent d’exercer ce droit !

Au Québec, ce sont les mêmes qui ne veulent surtout pas que l'on apporte des restrictions à l'avortement pour empêcher l'avortement sélectif des filles... Ces féministes extrémistes font passer les femmes pour des folles inhumaines. Elles volent aux femmes le droit d'avoir une représentation intelligente de leurs revendications légitimes et discréditent les combats féministes à travers le monde.

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40 jours pour la vie: 3 semaines et 245 vies de sauvées

Dimanche, 3 mars 2013

La 3e semaine de la vigile «40 Jours pour la Vie» pour la fin de l'avortement fut caractérisée par la présence de plusieurs groupes. Lundi, quatre membres de la communauté polonaise Notre-Dame de Czestochowa, y compris l’abbé Josef, étaient présents; dans la photo à droite, nous retrouvons Asha et Elena. Le jour suivant, six membres de l'association lavalloise Agape sont venus pour 90 minutes prier pour la fin de l’avortement, y compris la présidente Mme Betty McLeod. Enfin, le vendredi trois membres du Centre Newman de l'Université McGill sont venus réciter un chapelet.

Ceci est de bon augure. D’autres groupes m’ont exprimé leur désir de venir nous joindre. Parmi ceux-ci nous retrouvons les Conseil 6497 et 14315 des Chevaliers de Colomb, la Ligue des femmes catholiques de NDG et la Légion de Marie praesidium à Notre-Dame de la Mission des Philippines de Montréal.

Attention! Tempus fugit! Le temps fuit; il ne reste que trois semaines avant la fin de la vigile, soit dimanche, le 24 mars 2013.

Bien que moins turbulente que la semaine précédente, la météo demeure un défi. La tempête de neige mouillée de mercredi testa le courage de ceux et celles présents, tandis que l’humidité des deux jours précédents, celle d’autres. A gauche nous voyons deux de nos fidèles - Charlotte L'Heureux (à gauche) et Claire Letarte. 

Suivi - Un grand merci à ceux qui ont répondu à mon appel de la semaine dernière pour combler les heures du milieu du jour. Robin a modifié son horaire pour tenir compte de la nécessité, Michael est venu à plusieurs reprises pour des intervalles de deux heures, et Jean-Léon, maintenant en congé de paternité en raison de son deuxième enfant, s'est rendu disponible aussi. Grand merci ! SVP Continuez à vous impliquer car le problème demeure pour les prochaines semaines.

Nombre de bébés enregistrés? A la fin de la 19ième journée de la vigile (soit le 3 mars), 245 bébés ont été sauvés de l'avortement. Et ce nombre représente seulement ceux dont les parents se sont manifestés. Que Dieu soit loué!

(Église Saint-Enfant-Jésus, sise en bordure du parc Lahaie)

Résumé de la semaine dernière:

  • Chemin de croix - Vendredi dernier, quelques personnes se sont réunies pour la performance des stations de la Croix dans le parc. Il s'agit d'une activité hebdomadaire et nous espérons vous voir en plus grand nombre la semaine prochaine.
  • Le vendredi, 1er mars 19:30, une vingtaine de personnes se sont réunies à l'église Saint-Sylvain (Laval) pour une soirée d'adoration suivie d’une eucharistie et d’un partage.

Regard sur l'avenir:

  • Mardi, 5 mars, 19h30 : messe de la mi-vigile - église Saint-Enfant-Jésus
  • Jeudi, 7 mars, 19h30 : heure d’adoration – église Saint-Enfant-Jésus
  • Vendredi, 8 mars, 15h00 : Chemin de Croix
  • Samedi, 9 mars, 15h30 : sacrement de pénitence
  • Dimanche, 10 mars, 18h00 : Vêpres

En espérant vous voir nombreux lors de ces événements

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Campagne d'intidimidation du Parti Québécois visant à censurer la réflexion critique sur l'homosexualité

Sur le site du journal Métro du 4 mars 2013:

(La mentalité du ministre St-Arnaud pourra-t-elle évoluer vers un apprentissage du respect de la liberté de pensée sur la question de l'homosexualité, vers une écoute des différentes explications scientifiques des causes de l'homosexualité, ainsi que l'ouverture à un débat sur l'apport bénéfique ou négatif d'une redéfinition du mariage et d'une réingénierie sociale? Le  ministre St-Arnaud est-il ouvert au débat philosophique et scientifique sur la question, tel que nous le voyons actuellement en France? Oui, il reste encore beaucoup de travail pour faire évoluer sa mentalité...)

 

Bien que plusieurs lois protègent maintenant les lesbiennes, gais, bisexuels et transexuels (LGBT) contre l’homophobie, beaucoup de chemin reste à faire pour que l’égalité sociale rattrape l’égalité judiciaire au Québec, croit le ministre de la Justice, Bertrand St-Arnaud.
 
C’est dans cet esprit que le ministre responsable de la lutte contre l’homophobie a lancé dimanche une première campagne de sensibilisation pour combattre le phénomène.
 
C’est une campagne sobre et audacieuse à la fois, qui vise à démontrer que les mentalités doivent évoluer. –Bertrand St-Arnaud, ministre responsable de la lutte contre l’homophobie
(...)
«Ce qu’on souhaite, c’est qu’à la suite de cette réflexion, on arrive à des changements réels d’attitude, de comportement», ajoute M. St-Arnaud.
 
Car même si l’ampleur du phénomène de l’homophobie est difficile à cerner et à quantifier, encore 80 % des adultes homosexuels disent assister à des comportements homophobes, a-t-il rappelé.
 
Cette campagne de sensibilisation gouvernementale, une première au Québec, au Canada, et en Amérique du Nord, a tenu à souligner le ministre, s’inscrit dans le Plan d’action gouvernemental de lutte contre l’homophobie 2011-2016.
 
Le président de Gai écoute, Laurent McCutcheon, a accueilli cette nouvelle campagne avec satisfaction, puisque c’est le fruit de plus de dix années de travail, affirme-t-il.
 
«C’est très important, car c’est comme un sceau d’approbation du gouvernement, ajoute-t-il. C’est donc très différent des campagnes qu’on mène en tant que militants.»
(...)
Le plan prévoit une deuxième phase à cette campagne de sensibilisation en 2014-2015. Le ministre St-Arnaud compte aborder le sujet de l’homoparentalité, notamment.
 
«Le prochain défi sera de rassurer la population sur le développement des enfants, de démontrer que les enfants sont capables de s’épanouir pleinement en ayant des parents de même sexe», croit M. McCutcheon.
 

Un rouleau compresseur totalitaire, l'imposition des croyances de McCutcheon a toute la population québécoise, sans débat, sans liberté d'émettre aucune réflexion négative sans que celle-ci ne soit automatiquement étiquetée «homophobe». Une très belle police de la pensée.

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Petite histoire expliquant ce qu'est l'homophobie pour le lobby gai...

Sur le blog de Jeanne Smits du 1er mars 2013:

 

(Les Parisiens devront-ils eux aussi financer des jeux olympiques gais sans spectateurs, comme à Montréal?)

 

 

Carlos Leon Moya est un homme de gauche, sympathisant du marxisme-léninisme, favorable à la cause gay. Il est aussi politologue à l'ex-Université pontificale catholique du Pérou (qui entre-temps a perdu son label catholique). Et il vient de s'offrir, dans les colonnes du quotidien péruvien Diario 16, une tribune qui accuse le Mouvement homosexuel de Lima (MHOL) de traiter « tout ce qui est critique à son égard d'homophobe ».
 
(...)
Le MHOL avait organisé samedi une manifestation près de la cathédrale, cette « Eglise catholique qui nie les droits » des homosexuels : ils n'avaient pu accéder à la place protégée par des barrières tandis que, regrette Moya, des catholiques conservateurs purent manifester librement sur la place.

En fait : échaudé par des débordements l'an dernier, des catholiques s'étaient retrouvés sur le parvis de la cathédrale pour prier pacifiquement et empêcher toute attaque contre l'édifice. Quant à la manif du MHOL, C'était un « kiss-in » avec des militantes déguisées en religieuses.
 

Moya regrette la répression qui a accueilli la manifestation du MHOL – mais il s'insurge. Leur manifestation était-elle opportune ? Politiquement payante ? De nature à les rendre sympathiques ? Et de souligner que certains sympathisants avaient demandé que l'événement fût remis à plus tard dans un contexte électoral où certaines actions des pro-gay pouvaient causer du tort à la mairesse de gauche de Lima.
 

Le MHOL sort alors la grosse artillerie. La gauche l'avait trahi. Le cynisme l'avait emporté au nom des intérêts électoralistes. Homophobie ! Les droits des homosexuels n'attendent pas, ne se remettent pas à plus tard : homophobie ! « Si quelqu'un souligne le prix que pourront coûter leurs actions, comme l'isolement ou l'éloignement d'une base qui peut être scandalisée par leur comportement, on les accuse encore d'homophobie. (…) Comme s'il fallait toujours les soutenir parce qu'ils ne se trompent jamais. Ils  traitent tous ceux qui les critiquent d'homophobes. C'est un évident et vulgaire abus du concept d'homophobie : tu me demandes de retarder un événement, c'est homophobe ; tu critiques ceux qui font scandale : homophobe ; les élections d'intéressent davantage, c'est homophobe ; tu es gay mais tu te caches : tu es encore homophobe. »

Nous n'allons pas nous intéresser davantage à cette querelle interne. Elle aura du moins le mérite de montrer que pour le lobby gay, le mot « homophobie » est une arme de destruction de l'adversaire, qu'il soit proche ou lointain, et quelles que soient ses motivations. « On tombe ainsi dans une victimisation excessive, quasi pathologique », assure Carlos Leon Moya.

 

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Des parents encouragent leur fils de 6 ans à être transgenre...

Sur le site yahoo du 28 février 2013:

 

(Le petit et sa mère)

En effet, Coy est née dans le corps d’un garçon. Ses parents se souviennent qu’elle a, dès un très jeune âge, été naturellement attirée vers les jouets et les vêtements de fillette, ainsi que tout ce qui était rose, démontrant une attirance innée pour la féminité. S’ils ont cru qu’il s’agissait d’une phase, Coy est devenue de plus en plus fille avec le temps, et à l’âge de quatre ans, elle commençait à leur poser des questions telles que  « Quand allez-vous m’emmener chez le docteur pour qu’on me répare et que je devienne vraiment une fille? ».

Les Mathis ont donc débuté des consultations avec un psychologue, qui détermina éventuellement qu’elle était effectivement transgenre, soit née dans un corps de garçon mais s’identifiant en tous points comme une fille.
(...)
Tout se déroulait bien pour la petite, ses camarades de classe et ses quatre frères et sœurs, jusqu’à ce que l’école téléphone à ses parents pour leur dire que Coy n’aurait désormais plus la permission d’utiliser la salle de bains des filles, mais devrait plutôt utiliser celles réservées aux handicapés ou aux professeurs, situées à l’autre extrémité du bâtiment.
(...)
forcer leur fille à utiliser une salle de bains à part la gardera à l’écart des autres enfants et mettra trop d’emphase sur sa différence, la mettant ainsi à risque de souffrir d’intimidation et d’isolement. De plus, ils désirent partager leur expérience car Coy n’est pas la seule fillette dont les droits civils sont brimés dans ce genre de contexte, bien que le Colorado, ainsi que 15 autres états américains, aient décrété des lois interdisant la discrimination contre les étudiants transgenres dans les établissements publics. « Il est déjà stipulé qu’ils ou elles doivent avoir le droit d’utiliser la salle de bains qui correspond au sexe auquel ils ou elles s’identifient », explique leur avocat, Michael Silverman, directeur exécutif du Transgender Legal Defense and Education Fund.

Les avocats de l’école Eagleside Elementary, pour leur part, affirment qu’ils ont agi « raisonnablement et de manière juste, dans le respect » face à cette situation, tel qu’écrit dans un communiqué officiel envoyé à Yahoo! Shine.  Les Mathis disent toutefois n’avoir obtenu que très peu d’explications quant à la décision de l’école de retirer à Coy un droit fondamental qu’ils lui accordaient pourtant sans problème.

Ils espèrent, en partageant leur histoire dans les médias, mettre en lumière l’importance du respect des droits civils des enfants transgenres et encourager d’autres parents à supporter leurs enfants à travers leur transition dans le respect de leur identité sexuelle.

« De plus en plus, nous voyons des parents accepter et supporter leurs enfants transgenres, explique Maitre Silverman, parce qu’ils souhaitent véritablement faire ce qui est le mieux pour eux. Et le support de la famille est tellement important dans un cas comme celui-ci. Coy est trop jeune pour défendre elle-même ses droits, et elle a donc besoin que ses parents le fassent pour elle.

Jusqu’à ce que les deux parties soient arrivées à une entente, Coy reçoit l’école à la maison par ses parents. 
 

N'hésitez pas à faire une prière pour ce malheureux garçon, pour les psychologues incompétents, et pour les parents sans informations justes devant des modes totalitaires sur la sexualité.

Cette histoire n'est pas un conte extrême. Il est légal en Ontario, aux garçons se prenant pour des filles d'aller aux toilettes des filles, et ce, à tout âge... et inversement.

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