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Le Conseil central des syndicats nationaux de l'Outaouais se mêle d'avortement...

Sur le site Le Web de la Gatineau du 30 avril 2013:

 

(Michel Quijada, président du Conseil central des syndicats nationaux de l'Outaouais)

 

 

MANIWAKI – Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais (CCSNO) tenait son 67e congrès, du 23 au 26 avril. C’est la première fois que cet évènement était organisé à Maniwaki.
 
Une centaine de délégué(es) de syndicats, venant de toute la région, étaient rassemblés au Château Logue durant ces quatre jours.
(...)
En plus des délégués, plusieurs invités étaient attendus, dont les membres du comité exécutif de la Confédération des syndicats nationaux (CSN). Le président de la CSN, Jacques Létourneau, a partagé le lancement du congrès avec le chef de Kitigan Zibi, Gilbert Whiteduck.
(...)
Michel Quijada ajoute que «de par sa mission première, la CSN défend les droits des travailleuses et des travailleurs. Toutefois, puisque le travail ne constitue qu’une partie de la vie de nos membres, nous œuvrons également pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. En ce sens, le CCSNO s'engage dans plusieurs débats politiques et sociaux et c’est pourquoi nous désirons jeter les bases d’une réflexion qui nous mènera sur de nouvelles pistes d’actions concrètes».
(...)
Plusieurs résolutions ont été soumises aux délégué(es) lors du congrès, dont une abordant la lutte contre la réforme de l’assurance-emploi. Le comité exécutif du CCSNO a recommandé également deux résolutions portant sur les droits des femmes, une appuyant le droit à l’avortement et une autre contre la violence faite aux femmes.(...)
Le rôle d'un syndicat n'est pas de devenir un pouvoir politique tentant de gérer une société comme s'il avait été élu par l'ensemble de la population, mais de protéger les droits des travailleurs. En voulant donner un rôle au monde syndical dont les travailleurs ne veulent pas, le président Michel Quijada gaspille l'argent des membres de son syndicat. Le soutien du syndicat à l'avortement est la meilleure raison du monde de chercher à se désafilier.
 
Si M. Michel Quijada, président du CCSNO, ne sait pas quoi faire de son temps et a de l'argent de trop de ses syndiqués, qu'il se préoccuppe des droits des travailleurs de pays en développement, il fera alors oeuvre utile.

 

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Témoignages recherchés sur l'avortement tardif

Nous sommes à la recherche de témoignages sur des avortements après la 20e semaine de grossesse au Québec, et sur les bébés nés vivants, morts de leurs blessures à la suite d'un avortement raté.

Ces témoignages donneront un impact, celui de la réalité, d’histoires vécues qui toucheront les gens. Si vous êtes témoin ou avez vous-même subi l’un de ces avortements, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Avec votre permission, nous pourrons publier votre histoire, de façon anonyme si vous le désirez, ou si vous ne voulez pas être publié, les informations que vous nous apporterez nous seront précieuses et nous donneront peut-être des pistes nouvelles pour investiguer.

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L'euthanasie, ne pas attendre que la loi soit promulguée pour agir...

L’EUTHANASIE EST À NOS PORTES!

 
Le Gouvernement Marois a annoncé son intention de déposer, d’ici le mois de juin, un projet de loi qui fera de « l’aide médicale à mourir » un soin de santé et un droit. 
 
QU’EST-CE AU JUSTE QUE « L’AIDE MÉDICALE À MOURIR »?
 
Cessons de jouer avec les mots et de déguiser la réalité. «Appelons un chat un chat. De l’aide médicale à mourir, c’est de l’euthanasie» ( Dr Yves Robert, secrétaire du Collège des médecins du Québec, cité par l’Actualité médicale, 29 janvier 2013).
 
ET QU’EST-CE QUE L’EUTHANASIE?
 
L’euthanasie consiste à tuer volontairement et directement une personne, avec ou sans son consentement, pour des motifs de compassion. Le Code criminel du Canada considère cela comme un homicide. Il n’y a rien d’humain à tuer une autre personne.
 
L’EUTHANASIE, ÇA TUE.
L’EUTHANASIE, C’EST DANGEREUX.
L’EUTHANASIE, CE N’EST PAS NÉCESSAIRE.
 
Nous avons déjà le droit de refuser ou de faire interrompre un traitement.
Nous avons déjà le droit de dire « non » à l’acharnement thérapeutique.
Nous avons déjà le droit de bénéficier d’une sédation palliative qui vise uniquement à atténuer la douleur.
 
TUER N’EST PAS UN SOIN
 (Collectif des médecins du Refus médical de l’euthanasie, La Presse, 19 février 2013)
ÉLIMINONS LA DOULEUR, PAS LES MALADES.
Gardons nos hôpitaux sécuritaires.
 
EXIGEONS PLUTÔT DES SOINS PALLIATIFS DE QUALITÉ.
Protégeons les plus faibles et les plus vulnérables.
 
« À cette dernière étape de la vie, le temps qu’il reste à vivre est immensément précieux. Même comptés en termes d’heures, ces derniers instants peuvent faire vivre des partages importants avec l’entourage, comme dire ses adieux, et font une différence dans la vie des autres. (…) Sa mission étant de prévenir le suicide, Suicide Action Montréal prône l’assistance à la vie des personnes qui souffrent au point de songer à la mort. Le comité est donc d’avis que SAM ne peut pas être favorable à l’assistance au suicide ou à l’euthanasie » (« Suicide assisté et euthanasie – Position de Suicide Action Montréal », juin 2012).
 
«  Une fin de vie dans la dignité passe par des soins palliatifs accessibles à tous, et non par l’euthanasie » (Assemblée des évêques catholiques du Québec (AECQ), 18 janvier 2013).
 
NE DONNONS À PERSONNE 
– SURTOUT PAS À NOS MÉDECINS –
 LE POUVOIR DE TUER.
Nous pourrons alors garder confiance en eux.
ON NOUS PROMET DES BALISES…
 
On nous dit qu’il faudra répondre à certains critères pour obtenir le « droit » d’être euthanasié. Mais que s’est-il passé en Belgique, où l’euthanasie est légale depuis 10 ans?
 
Dans un rapport intitulé « Dix ans d’application de la loi en Belgique » (avril 2012), l’Institut Européen de Bioéthique rapporte un « glissement indéniable » et l’inefficacité de la Commission de contrôle. Ainsi, le chiffre annuel des euthanasies déclarées « est en constante augmentation » : il est passé de 235 en 2003 à 1133 en 2011. Le rapport insiste : « Alors que le texte de la loi dépénalisant l’euthanasie prévoit le respect de conditions qui se voulaient extrêmement strictes (…), on remarque aujourd’hui un glissement indéniable (…). L’euthanasie devient petit à petit un acte normal et banal auquel les patients auraient « droit ». » Le lobby pro-euthanasie réclame maintenant l’euthanasie pour les mineurs et pour les citoyens atteints de démence.
 
QU’EN PENSE L’ÉGLISE CATHOLIQUE?
 
« Quels qu’en soient les motifs et les moyens, l’euthanasie directe consiste à mettre fin à la vie de personnes handicapées, malades ou mourantes. Elle est moralement irrecevable » (Catéchisme de l’Église catholique, no 2277).
 
« Je confirme que l’euthanasie est une grave violation de la Loi de Dieu, en tant que meurtre délibéré moralement inacceptable d’une personne humaine » (Jean-Paul II, L’Évangile de la vie, no 65).
 
 
IL FAUT NOUS LEVER ET PARLER!
 « Nous apprécions grandement l’engagement et la contribution des citoyens et citoyennes (…)qui sont solidaires des plus vulnérables et qui tentent de bâtir une culture de la vie et de la compassion » (AECQ, janvier 2013).
 
1. Renseignons-nous.
2. Mobilisons-nous et participons à la Marche printanière, le 18 mai à Québec, pour dire « L’euthanasie, chez nous, NON MERCI! » (www.lamarcheprintaniere.org)
3. Joignons-nous au réseau citoyen Vivre dans la Dignité (www.vivredignite.com et www.vivredignite.blogspot.ca)
4. Signons le manifeste du Collectif des médecins du Refus médical de l’euthanasie. Ils veulent « soigner toujours, donner la mort jamais » ((www.refusmedical.blogspot.ca)
5. Consultons la « Euthanasia Prevention Coalition » (www.epcc.ca).
6. Contactons nos députés (écrivons-leur ou rendons-leur visite) 
7. Intervenons dans les médias traditionnels et sociaux
8. Sensibilisons nos familles, nos amis, nos collègues de travail à la menace qui pèse sur les citoyens et citoyennes du Québec
9. Pour plus d’information, consultons l’Organisme catholique pour la vie et la famille (OCVF) qui propose une série de documents susceptibles de guider notre réflexion sur ce thème (www.ocvf.ca)
10. Et sans cesse, prions.
 
REJETONS L’ACHARNEMENT THÉRAPEUTIQUE.
REFUSONS L’EUTHANASIE.
EXIGEONS DES SOINS PALLIATIFS JUSQU’À LA MORT NATURELLE.
 
C’est une question de sécurité publique et de justice sociale.
C’est une question de dignité, de réelle compassion et de solidarité.
 
Information : Organisme catholique pour la vie et la famille (www.ocvf.ca)
 
 
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Le gouvernement socialiste français accusé de répression inacceptable devant le Conseil de l'Europe

Sur le site christianophobie du 29 avril 2013 :

(Les Femen attaquant un conférencier, Mgr Léonard, participant à un colloque sur le blasphème à l'Université Libre de Bruxelles)

 

Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe a été saisi jeudi 25 avril 2013 d’une question écrite mettant en cause la gestion par le gouvernement français des manifestations en faveur de la famille, ainsi que l’impunité dont bénéficient les Femen.
 
Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe regroupe les ambassadeurs des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe. Il exerce notamment un rôle de surveillance du respect par ces Etats de la démocratie, des droits de l’homme et de l’Etat de droit.
 
L’auteur de cette question est M. Luca Volontè, député italien, Président du groupe PPE à l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE). Le PPE, Parti populaire européen, est le principal groupe politique de l’APCE, c’est un parti de centre-droit dont l’UMP est adhérant.
 
Le Comité des Ministres devra apporter une réponse écrite et circonstanciée à cette question dans les prochaines semaines. A cette fin, il demandera au gouvernement français de s’expliquer sur sa gestion des événements. La réponse adoptée par le Comité des Ministres est dotée d’une autorité politique : elle peut exprimer une préoccupation, formuler des recommandations, etc. L’intérêt de cette procédure est d’évoquer au niveau européen des situations problématiques qui peinent à trouver une solution au niveau national pour des motifs de politique interne, et si nécessaire, de faire ainsi pression sur le gouvernement en cause.
(...)
Question écrite au Comité des Ministres
 
De M. Luca VOLONTÈ, Italie, PPE/DC
 
Le mouvement social de défense de la famille et des droits des enfants qui anime actuellement la France, à l’occasion notamment de très grandes manifestations, fait l’objet d’une répression croissante et inquiétante, inacceptable de la part d’un Etat membre du Conseil de l’Europe. Cette répression est attestée par de nombreuses vidéos, photographies et témoignages.
 
Ainsi, par exemple, lors de la manifestation du 24 mars 2013, de nombreuses personnes dont de très jeunes enfants, des femmes et des personnes âgées ont été violentées et gazées sans nécessité par les forces de l’ordre. Régulièrement, des passants dans la rue sont arrêtés et verbalisés seulement en raison du port d’un vêtement ou d’un insigne marqué à l’effigie du mouvement. Les témoignages affluent de personnes frappées par la police. Le 19 avril, un prêtre qui tentait de protéger un jeune a été jeté à terre, frappé, et mis en garde à vue. Le 14 avril, 67 jeunes gens qui participaient à une veillée pacifique (bougies, silence et chants) ont été arrêtés et placés en garde à vue.
 
A l’inverse, des mouvements violents, tels que les « Femen », multiplient leurs agressions contre les manifestants et contre des lieux de culte dans une totale impunité.
 
M. Volontè
 
Demande au Comité des Ministres :
 
Face à ces évènements, quelles mesures le Comité des Ministres  entend prendre pour engager le Gouvernement français à mettre un terme à cette violence, pour enquêter sur les agressions réalisées par les « Femen » et pour empêcher qu’elles se renouvellent à l’avenir.

Les Femen continuent leurs agressions en totale impunité en France et en Belgique. Un exemple tiré du site gloria.tv, relate la violence des Femen lors de l'agression contre Mgr André Léonard, lors d'un colloque sur le blasphème à l'Université Libre de Bruxelles:

(...)

« Ayant déjà été entarté, je peux vous dire que ce genre de choses apparaissent très violentes », continue-t-il.« Heureusement que ce n’était que de l’eau, mais cela aurait pu être de l’acide ou autre chose… » explique Guy Haarscher qui dénonce « un événement concocté entre les Femen et les photographes pour vendre leurs images ». « Ils sont partis avec elles, donc le débat ne les intéressait pas du tout. Ils étaient au courant, ne nous ont pas prévenus… Du point de vue de la déontologie de ces photographes, ce n’est pas acceptable ! »

 

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Richard Hétu de La Presse parle de Kermit Gossnell. Et les centaines d'enfants morts APRÈS la naissance suite à un avortement?

Richard Hétu raconte sous forme d'anecdotes l'histoire monstrueuse de Kermit Gosnell. Comme si son cas était l'exception. Le journaliste vivant aux États-Unis laisse croire que le cas Kermit rappelle l'époque des avortements clandestins. Malheureusement pour notre journaliste à oeillères, les avortements tardifs sont fréquents et aux États-Unis, et au Canada. De plus, sans qu'aucun journaliste ne fasse d'enquête poussée et ne plonge dans le dossier, plusieurs centaines d'enfants ont été laissés sur des plaques de métal dans les dernières années, au Canada, en attendant qu'ils meurent puisqu'on n'a pas réussi à leur enlever la vie par un avortement, avec pour instructions aux infirmières de ne pas leur toucher. Cela pourrait leur apporter une chaleur humaine qui pourrait prolonger leur vie et, qui sait, peut-être même les sauver. (Nous remercions tout de même M. Hétu d'avoir pris la peine de parler du cas Kermit.)

Nous attendons qu'un journaliste professionnel s'indigne de cette situation et que la nouvelle soit placée dans son journal là où elle doit être : en première page. Nous avons aussi un médecin sans compétence particulière en obstétrique qui a effectué une centaine de milliers d'avortements. Derrière ces nombreuses cliniques à travers le Canada, qui passe à l'heure du ramassage des ordures peut constater un important liquide visqueux s'échappant des sacs de poubelles biomédicaux, broyés dans les camions à ordures. Ce sont les restes d'enfants torturés et mis à mort. Les cliniques Morgentaler ne sont pas des «maisons des horreurs» parce que la cueillette des «ordures» se fait régulièrement? Voici le reportage anecdotique de Richard Hétu, paru dans le journal La Presse du 1er mai 2013:

 (New York) Depuis plusieurs années, le Dr Kermit Gosnell pratiquait des avortements tardifs dans une clinique de Philadelphie baptisée «la maison des horreurs» par des procureurs et comparée aux «toilettes sales d'une station-service» par un enquêteur.

 
Entouré d'un personnel non qualifié, dont une adolescente de 15 ans, ce médecin généraliste sans compétences particulières en obstétrique avait l'habitude de plonger des ciseaux dans la moelle épinière des foetus montrant des signes de vie à la sortie de l'utérus. Accusé des meurtres d'une femme et de quatre bébés (trois de moins que l'inculpation originale), il attend depuis hier le verdict du jury dans son procès, qui a commencé le 18 mars dernier.
 
Le cas du Dr Gosnell, 72 ans, est devenu une cause célèbre pour les opposants à l'avortement, qui y voient une illustration particulièrement affligeante du dilemme moral soulevé par l'interruption des grossesses.
 
«Ce qui est arrivé dans la clinique de Philadelphie aide à refocaliser le débat sur l'humanité de l'enfant à naître», a dit Michael Geer, président d'un groupe antiavortement de la Pennsylvanie, lors d'un entretien téléphonique. «Il ne devrait y avoir aucune distinction entre le fait de tuer un bébé viable dans l'utérus, ce que le Dr Gosnell a fait très souvent, et le fait de le tuer à sa sortie. Ce sont des meurtres.»
 
(...) 
Le Dr Gosnell est également accusé du meurtre d'une femme de 41 ans, Karnamaya Mongar, morte après avoir reçu une surdose de Demerol. Il doit en outre répondre à 23 chefs d'accusation pour avoir exécuté des avortements au-delà de la limite légale de 24 semaines. Il risque la peine de mort.
 
Des sacs renfermant des foetus morts dans ses locaux
 
(...) 
Le Dr Gosnell a survécu à plusieurs plaintes et empoché des millions de dollars en exécutant des avortements tardifs. Les militants pro-choix le dénoncent, tout en accusant leurs adversaires de récupérer un cas horrible, mais isolé.
 
«Les actions de Kermit Gosnell étaient répréhensibles, illégales et évocatrices de l'époque des avortements clandestins d'avant Roe contre Wade», a dit Tarek Rizk, directeur des communications de NARAL, un groupe pro-choix. «Nous ne pouvons jamais retourner à cette époque.»
 
Les médias américains ont également été mis sur la sellette dans cette affaire. Des militants et commentateurs conservateurs les ont accusés d'ignorer le procès du Dr Gosnell pour ne pas nuire à une cause - le droit à l'avortement - qui est chère à leurs membres.
 
(...) 

Le Dr Gosnell n'a rien fait de différent de ce qui se fait dans n'importe quel hôpital ou CLSC canadiens d'avortements tardifs, où les avorteurs sont millionnaires. 491 enfants sont morts après la naissance des suites d'avortements ratés au Canada, entre 2000 et 2009. Des centaines d'autres se sont ajoutés depuis.

 

Où sont les journalistes canadiens? André Pratte, Jean-Jacques Samson, Bernard Descôteaux, et tous les autres, jusqu'à quand détournerez-vous la tête pour ne pas voir ce qui vous obligerait à vous engager dans une cause qui nuirait à votre image auprès du Conseil du statut de la femme et de la fédération des femmes du Québec, celle des enfants abandonnés à la mort, après leur naissance? Jusqu'à quand, jouerez-vous au Ponce Pilate? Vous avez le poids nécessaire pour vous faire ouvrir toutes les portes et obtenir l'information sur les hôpitaux et cliniques qui ont permis ces horreurs, ainsi que sur les noms des médecins qui devront subir des procès pour leurs crimes. Ne soyez pas, par votre silence, des complices... Vos noms sont déjà inscrits dans l'histoire du Québec. Qu'un jour nos enfants ne disent pas que vous vous êtes tus...

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Messe pour la Vie à la cathédrale Marie-Reine-du-Monde, par Mgr Christian Lépine

 

Messe pour la Vie le 3 mai 2013:
 
DÉTAILS Messe présidée par Mgr Christian Lépine
 
LIEU Cathédrale Marie-Reine-du-Monde
1085 Rue de la Cathédrale  Montreal, QC H3B 2V3
métro Bonaventure 
 
                                              HEURE 19h30
 
                                              INFO [email protected]

 

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La Franc-Maçonnerie au pouvoir en France : la raison d'un acharnement contre la famille française?

Ceci explique cela... un gouvernement sourd au bien-être des familles françaises... Pour consulter une description de francs-maçons actuellement au pouvoir en France, sur le site du Nouvel Observateur du 6 janvier 2013, cliquez ici.

(Sur la photo, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, qui s'est montré impitoyable avec les familles venues manifester contre le « mariage » gai en France, initié au Grand Orient de France dans les années 1980)

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Semaine canadienne des soins palliatifs et soins palliatifs pour enfants

Sur le site de acsp.net :

 

 

(Une maison de soins palliatifs pédiatriques à Montréal)

 

 

 La Semaine nationale des soins palliatifs se déroulera du 5 au 11 mai 2013 sous le thème «Les Canadiens vieillissent. Chiffres à l’appui. Voyez vous-mêmes. Cette année, nous voudrons encourager les professionnels, les soignants et le public en général de plaider pour l’amélioration des services de fin de vie au Canada ... surtout avec le vieillissement rapide de notre population.

Ensemble, nous pouvons encourager le gouvernement à améliorer l'accès aux soins palliatifs au Canada. Avez-vous fait votre part?
 
La Semaine nationale des soins palliatifs (SNSP) est une campagne d’une semaine qui vise à accroître la sensibilisation aux soins palliatifs. C’est aussi une occasion de célébrer, de reconnaître et de partager les réalisations en matière de soins palliatifs à travers le pays.

Le journal La Presse du 30 avril 2013 fait paraître cet article de l'avocate Mélanie Dugré sur les soins palliatifs pour les enfants :

 

Tenir la Semaine nationale des soins palliatifs en plein coeur du printemps, alors que la nature est en pleine renaissance, est un vibrant rappel que les soins palliatifs sont indissociables de la vie; une vie qui s'achève, certes, mais qui n'en mérite pas moins d'être célébrée.
 
Parce qu'il évoque la mort, cette redoutable indésirable, le débat sur les soins palliatifs provoque souvent inconfort et malaise, ou encore une fin de non-recevoir lorsqu'on parle de soins palliatifs pédiatriques. L'idée de la souffrance infantile étant insupportable, on préfère fermer les yeux sur son existence. Mais aussi injuste et cruelle que soit cette réalité, elle est au coeur de la vie de famille dont un enfant souffre d'une maladie au cours de laquelle la mort interviendra probablement avant qu'il n'atteigne l'âge adulte.
 
En cette Semaine nationale des soins palliatifs, une attention toute particulière devrait donc être accordée aux soins palliatifs pédiatriques puisqu'ils se distinguent des soins palliatifs destinés aux adultes à plusieurs égards. Entre autres, les maladies en cause sont souvent rares et leur durée prolongée entraîne un chevauchement de la phase palliative entre l'enfance et l'âge adulte.
 
(...) 
 
Au Québec, les quatre hôpitaux pédiatriques offrent des soins palliatifs de grande qualité. Montréal compte par ailleurs l'unique maison de soins palliatifs pédiatriques de la province, Le Phare Enfants et Familles, un endroit qui accueille des enfants de partout et qui offre à la fois un service de répit pour les familles et un lieu de fin de vie à mi-chemin entre la maison et l'hôpital.
 
La maison André-Gratton, opérée par Le Phare, est animée, gaie et colorée, remplie de la joie des enfants qui y séjournent. Elle compte aussi une chambre familiale, là où parfois la vie largue ses amarres. Pourtant loin d'évoquer la douleur et la tristesse, cette pièce est pleine de la vie de ceux qui y sont passés, qui y ont vécu leurs derniers moments entourés des êtres aimés.
 
Si ses murs pouvaient parler, ils répéteraient les confidences qui y ont été échangées, les étreintes dont les familles se sont enveloppées, les «je t'aime» qui y ont été murmurés et ils raconteraient que les derniers soupirs, tellement, tellement redoutés, qui s'y sont poussés se sont envolés dans l'amour et l'humanité dont toute fin de vie mérite d'être empreinte, que l'on soit adulte ou enfant.

 

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Oui c'est une pratique courante: Une femme avorte un enfant en santé de 26 semaines dans un CLSC de Montréal

(Article inspiré de celui paru sur le site Big Blue Wave du 26 avril 2013)

En prélude à cette histoire : le député libéral et proavortement Carolyn Bennett affirme faussement sur son site internet du 2 février 2013 :

 

 

Je suis totalement marre des assertions qui dénaturent totalement les faits. Au Canada, nous n'avons pas de loi, nous avons des lignes directrices professionnelles très strictes. Aucun médecin au Canada ne peut mettre fin à une grossesse de plus de 24 semaines sans de sérieuses indications comme si la vie de la mère en danger ou si le fœtus a de très graves malformations. (…) L'affirmation de M. [Jonathan] Kay que des avortements de trimestre tardifs peuvent être effectués « pour une raison quelconque, ou sans aucune raison » n'est tout simplement pas vraie. Je mets au défi de trouver un avortement tardif effectué au Canada d'une mère en bonne santé avec un fœtus sain.

Voici l'interview à la radio avec une femme qui a eu un avortement à 26 semaines. Nous avons gardé les expressions pour mieux rendre le contexte de l'entrevue. C'est avec Isabelle Maréchal sur les ondes du 98,5 FM à Montréal diffusion le 9 avril 2013. :

 

— Vous Karel, vous avez eu 5 avortements.

— Oui.

— Expliquez-moi un peu comment cela se fait.

— Ben moi, premièrement, je suis un peu nerveuse. Bon c’est arrivé la première fois j’avais 19 ans. C’était avec une personne, lui, il avait déjà un enfant, là, je suis tombée enceinte, lui n’en voulait pas d’autres parce que sa fille elle avait deux ans. Fait que dans un sens j’ai un peu respecté ce fait là parce que j’ai un peu le concept de Cendrillon où est-ce que l’on veut rencontrer l’homme de sa vie avant d’avoir une famille et de vivre heureux pour le restant de ses jours. Mais là, bon, ça fait que là, j’ai respecté ça. Je le sais pas si, bon, on connaît pas son corps, on est pas régulière, c’est arrivé une deuxième fois.

— Vous aviez 21 ans, je pense?

— Oui. Fait que là, rendu là, on était déjà sur le bord de se laisser. Pis ça n’allait pas ben, pis ma mère m’a toujours dit, nous on est trois enfants, « fais pas des enfants pour régler ton couple, parce que c’est pas vrai, ça va juste rempirer.

— Elle a pas tort votre mère.

— Moi, par exemple j’allais au privé, j’allais chez Morgentaler. Parce que je voulais avoir ça privé justement pour ne pas avoir le jugement des infirmières, des médecins. Pis je me disais là- bas, tu payes pour, et eux autres ne sont pas là pour te juger. Même au contraire je pense qu’ils ont beaucoup d’empathie.

— Mais donc cinq fois, au bout du troisième ou du quatrième, vous avez dû commencer à vous dire ben là peut-être que…

— C’est sûr que là vous parliez au niveau spirituel (…) envers soi-même on s’en veut beaucoup pis quand cela arrive une troisième fois tu dis oh my god, pas une meurtrière, tsé il y en a qui paie pour avoir des enfants, puis là ils sont en train de penser, oui mais moi je paye pis moi je ferais attention à cet enfant-là. Oui, moi aussi j’aurais le goût d’y faire attention, mais je le sais que je ne suis pas avec le bon conjoint, je le sais que présentement, j’étais trop jeune, je voulais pas ça, c’était pas cela que j’avais comme concept spirituel d’harmonie avec moi-même. Je me disais j’vas juste le mettre dans le trouble, la DPJ va s’en mêler

— Mais Karel, preniez-vous des moyens de contraception?

-Non, j’ai toujours eu peur de la pilule anticonceptionnelle, puis dans un sens…

— Mais vous aviez plus peur de la pilule que de l’avortement?

— La pensée magique je dirais un peu, cela ne peut pas m’arriver à moi. Ça ne peut pas m’arriver à moi. Mais la dernière fois que cela m’est arrivé, la 5e fois, je me suis rappelé, j’étais rendu assez loin dans la grossesse où des fois t’as des dilemmes aussi…

— Jusqu’à quelle semaine?

— J’avais 26 semaines

— Ou yoye! Pis on vous a avorté quand même?

— Au CLSC Sanguinet sur la rue Sanguinet, il s’occupe des grossesses de plus de 24 semaines…

— Aviez-vous un problème, est-ce que c’était une grossesse à risque qui mettait votre vie en danger?

— Non, j’avais pas de problèmes, j’étais A négatif, mais cela il n’y avait pas de problème, parce qu’aujourd’hui j’ai un enfant, mais là tsé, je veux dire, cela a vraiment été quelque chose avec moi-même, où justement quand j’ai senti mon fils, je me suis dit oh my God, tsé, il était vivant là cet enfant-là. Mais j’ai fait un gros cheminement spirituel aussi en allant…

— Moi je comprends pas que l’on vous ait avorté à 26 semaines s’il était pas à risque par exemple.

— C’est parce que la personne avec qui ça s’était passé, c’était quelqu’un qui avait beaucoup d’argent, j’aurais pu profiter de ça…

— Non mais c’est pas de cela dont on débat là, je veux dire que, vous me dites que c’est dans un CLSC, on a accepté de vous avorter à 26 semaines, normalement là, c’est 20 semaines et moins.

— Ben moi je vous dis renseignez-vous comme il faut parce qu’au CLSC sur la rue Sanguinet c’est bien là que ça s’est passé.

— À 26 semaines, ça là c’est le 2/3 d’une grossesse de fait, là on peut plus dire que c’est un embryon, là c’est c’est

— Faudrait que je regarde

— On peut toujours débattre de l’état du foetus, mais cela ressemble plus à un bébé qu’à un embryon là, à 26 semaines.

— Oui, je le sais, il a même bougé, je pensais que c’était des gaz, mais ce n’était pas des gaz. C’était des coups de pied.

— ayoyoie

— La culpabilité que j’ai vécue avec cela. Me sentir comme cela, je sais qu’il y a plein de monde qui juge, mais cela va beaucoup plus loin que ça si aujourd’hui je suis rendue où est-ce que je suis rendue, pis je vas vous dire je suis très heureuse pis je le regrette pas pour être ben honnête avec vous. Je regrette envers moi-même dans le sens où est-ce mais en même temps je regrette pas ce que je vis aujourd’hui, le bien-être et j’ai fait la paix avec cela, j’ai fait partie de ces esprits-là, parce que je crois qu’ils avaient une âme aussi puis je crois que l’on a tous un cheminement spirituel à faire dans cette vie-ci. Moi il a fallu que je passe par là pour justement apprécier ce que j’ai puis je suis bien contente de l’avoir fait. C’est plate à dire pour ceux-là qui l’entendent mais je le regrette pas parce que je suis heureuse aujourd’hui, j’ai 33 ans, puis, je suis avec l’homme de ma vie, j’ai un enfant, je vis mon esprit de famille, je vais voir une dame qui s’occupe du côté spirituel(…) puis je crois entièrement et fermement à cela.

-Ben Merci beaucoup Karel de votre honnêteté, de votre témoignage, merci bien.

— Merci, au revoir

Certains affirmeront que la source n'était pas fiable. Pas fiable? Que ces sceptiques réécoutent l'entrevue du Dr Jean-François Chicoine avec le journaliste Normand Lester qui affirme sans équivoque que l'on fait des avortements d'enfants au neuvième mois de grossesse, à Montréal, d'enfants qui pourraient être adoptés par des parents en attente d'un enfant.

Cliquez  sur le téléchargement MP3 sur ce site sur l'avortement tardif.

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Il y aura toujours ce petit vide au fin fond de mon coeur, qui réservait sa place pour l'amour d'un enfant

Sur le site du journal La Presse du 30 avril 2013, ce témoignage :

 

(Coeur vide)

 

 

(...) Au début de ma jeune vie d'adulte, j'ai un conjoint. Mais, je sais pertinemment bien, que je n'aurai jamais d'enfant avec lui. Alors, à la suite de problèmes de contraceptifs, j'ai dû, pendant une certaine période, utiliser des condoms. J'ai d'ailleurs découvert au cours de ma vie que je suis condamnée à des mésaventures avec lesdits condoms.

Ce qui devait arriver, arriva : le condom, explosa. Et, en plein dans ma période d'ovulation. Je panique.
 
Mon conjoint de l'époque me dit : « Ce n'est pas grave! Si tu es enceinte, on va le garder le bébé! » Ma réponse fut vive et, méchante. Vraiment méchante. « Il est hors de question que je tombe enceinte de toi, je ne veux pas d'enfant avec toi et de toute façon, tu n'as pas un mot à dire, c'est mon corps et JE décide! »
 
J'ai donc entrepris les démarches pour éviter qu'un bébé soit bel et bien conçu.
 
Je suis allée à l'urgence pour savoir ce que je devais faire. C'était un dimanche matin.
 
La préposée à l'accueil me demande âprement, sans un bonjour : « Accident ou maladie? »
 
Je réfléchis une fraction de seconde à ma réponse. « Pour l'instant, c'est un accident, mais dans neuf mois, ce sera une maladie à vie.» Sur le coup, je me trouvais drôle. Pas elle.
 
Je lui explique la situation et elle me répond vivement et sèchement que je devais me présenter au planning et non à l'urgence, tout en me regardant comme si j'étais une demeurée.
 
Je dois attendre au lendemain, le planning est fermé le dimanche. Je rencontre une infirmière empathique qui écoute mon histoire. Elle me pose plusieurs questions afin de s'assurer que je veux bel et bien empêcher cette hypothétique grossesse. Elle me donne alors, des pilules à prendre et m'avertit que je serai peut-être malade. J'ai vomi ma vie cette journée-là. Malgré tout, j'ai dû attendre deux semaines avant de savoir. Une attente stressante et je dois avouer que, c'était la première fois que j'étais aussi heureuse de voir des menstruations.
 
(...) Quand j'ai eu un nouveau conjoint, j'espérais bien que nous puissions avoir des enfants. Mais, la vie apportant son lot de douleurs et de maladie, nous n'avons pas pu réaliser ce souhait.
 
Après ma séparation, j'avais 42 ans. Seule. Trop vieille. Donc, ligaturée.
 
J'ai eu de grandes réflexions avant l'opération. J'ai pesé les pour et les contre. Vous comprendrez que les pour ont gagné. Pour la ligature. Une génétique affectée, une nouvelle maladie imposée à mes gênes par une compagnie pharmaceutique, mon célibat, historique médical peu reluisant; j'ai eu peur de transmettre cette génétique à un enfant innocent. Pendant ces observations, j'ai omis le côté émotionnel.
 
Pendant au moins un an, j'ai vécu des crises concernant la maternité. Je me consolais avec mes explications cartésiennes mais, au fond de moi, une émotion vive explosait. J'aurais voulu avoir un enfant. J'aurais aimé être enceinte, j'ai même mis un oreiller dans un grand chandail pour voir ô combien j'aurais été belle. J'avoue que je sauterais l'étape de l'accouchement, je suis faite en mousse de combine. Mais sérieusement, j'aurais aimé avoir un bébé, moi aussi.
 
(...) 
J'ai beaucoup travaillé les émotions en rapport avec la maternité. Je me croyais guérie. Mais, non! Pas à 100 %.
 
Parfois, les gens me disent : « Tu es chanceuse de ne pas avoir d'enfant, tu peux faire ce que tu veux! » Oui, ils ont raison, mais pas sur toute la ligne.
 
Parfois, je me sens seule. Vide. Mes yeux se remplissent de larmes, ma gorge se serre si fort que j'ai peine à respirer.
 
Je peux être maman par procuration, je sais. Mais, il y aura toujours ce petit vide à l'intérieur de ma poitrine, au fin fond de mon coeur, qui réservait sa place pour l'amour d'un enfant.
 
Ce petit vide qui saigne quand je vois de si belles choses écrites pour les mamans.
 
Comme si, il attendait encore, d'être comblé

Aucun être humain ne peut combler vraiment un coeur, mais des enfants peuvent donner sens à une vie... 

L'une  des principales causes de dépression des Québécois, c'est qu'il n'y a plus de grandes tablées d'enfants....

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