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Une nouvelle affaire Recife, mais au Chili cette fois?

Sur le site du journal La Presse du 6 juillet 2013:

 

(Le Chili est sous observation mondiale : les médias internationaux attendent que l'on tue un enfant par avortement, sans se poser de questions sur les solutions humaines qui existent...)

 

 

 

Le cas d'une fille de 11 ans tombée enceinte après avoir été violée par le conjoint de sa mère a relancé le débat sur l'avortement au Chili, l'un des pays les plus conservateurs d'Amérique du Sud.
 
La télévision d'État chilienne a rapporté que l'élève de cinquième année en était à sa 14e semaine de grossesse. La police a arrêté son beau-père, qui a admis l'avoir agressée. Les médecins affirment que la vie de la victime et du foetus sont en danger, mais il est hors de question qu'elle se fasse avorter puisque cette intervention n'est pas autorisée au Chili.
 
Il faut se souvenir que dans tous les cas où une fillette est tombée enceinte, les médias internationaux ont annoncé que sa vie était en danger, ce qui s'est toujours avéré faux...
 
Dans ce cas-ci, la petite fille en est déjà à sa 14e semaine de grossesse. S'il y a des complications, il serait possible de procéder à une césarienne comme cela s'est déjà fait dans le passé, pour soigner la mère et sauver l'enfant si possible.
 
Mais les médias ne proposent qu'un «choix». Tuer l'enfant par avortement. Une obsession morbide difficillement explicable humainement parlant...
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Les parents espagnols refusent un cours obligatoire d'éducation pour la citoyenneté pour leurs enfants

Un dur combat pour faire respecter la responsabilité première des parents dans l'éducation de leurs enfants. Sur le site de objectiondelaconscience.org du 29 juin 2013  (via le Salon Beige):

(Leonor  Tamayo, à l'origine du mouvement)

 

Le gouvernement de José Luis Zapatero avait créé un ensemble de matières réunies sous le nom de Educación por la ciudadanía, à l’école primaire et dans le secondaire. Obligatoire et notée, cette nouvelle discipline était entre autres choses axée sur « l’éducation émotionnelle et affective » des enfants et cherchait à propager l’idéologie du « genre ». En vertu d’une loi organique de l’éducation (LOE), l’EpC devait être appliquée dans l’enseignement public et dans les écoles privées.
 
Les parents espagnols se sont alors levés.
(...)
Comment votre résistance est-elle née, comment s’est-elle maintenue dans le temps et pendant combien de temps ? Qui vous a soutenu ?
 
Notre combat contre les enseignements idéologiques de l’ Education pour la Citoyenneté (EpC), que Zapatero a imposé avec sa réforme des programmes scolaires, a commencé il y a déjà sept ans. Dès le début, nous avons clairement vu que la meilleure arme dont nous disposions pour défendre le droit des parents à éduquer leurs enfants était l’objection de conscience, et que les parents eux-mêmes devaient être les acteurs de ce mouvement. Le rôle des grandes associations nationales, des partis politiques ou de l’Eglise devait être de les soutenir mais en aucune façon de se substituer à eux dans leur responsabilité de premiers éducateurs.
 
La première étape de l’engagement fut l’édition d’un Guide pour parents, sous forme de questions réponses, permettant de percevoir la gravité du danger, la nécessité de se soulever contre celui-ci, la façon de le faire, tout en incluant quelques notions juridiques élémentaires.
 
Nous nous sommes mis en relation avec toutes les associations nationales parentales, familiales et de la liberté de conscience, en leur demandant de soutenir l’initiative et de collaborer à la diffusion de ce guide. Le soutien a été unanime et il englobait les principales associations familiales, les associations officielles de parents des écoles catholiques (qui en Espagne ont un poids très important dans le système éducatif), la direction des centres de l’enseignement privé (le CECE). L’unique et douloureuse exception fut celle de la puissante Fédération des Religieux de l’Enseignement (FERE), c’est-à-dire la direction des écoles catholiques qui a décidé de pactiser pour son compte avec le gouvernement socialiste, ce qui supposa une fracture importante dans notre mouvement. La position de la hiérarchie catholique a été de refuser l’EpC et de soutenir les parents objecteurs. On peut imaginer aisément les tensions que les parents objecteurs ont eu à gérer dans les écoles catholiques, qui par l’intermédiaire de la FERE avaient pactisé avec le gouvernement socialiste. (...)
 
à lire sur le site d'objection, la suite de ce passionnant combat.
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À voir, le généticien Jérôme Lejeune parlant du pesticide anti-humain, la pilule abortive ru-486

Sur le site de Gloria.TV, cette intervention du plus grand généticien français du vingtième siècle:

 

http://gloria.tv/?embed=frame&media=469746&width=256&height=144

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Un directeur d'école catholique exclu parce que la doctrine catholique sur l'homosexualité y est enseignée

Sur le site de Radio-Canada du 19 juin 2013:

 

(Le ministre de l'éducation du Yukon, Scott Kent)

 

 

 

Le directeur de l'école secondaire catholique Vanier de Whitehorse qui a été au coeur d'une controverse sur l'orientation sexuelle l'hiver dernier ne réintégrera pas son poste en septembre.
 
Des élèves gais et lesbiennes se sont plaints de la politique  de l'école qui, tel que le veut la doctrine catholique, affirmait que l'homosexualité était un « désordre grave », « immoral » et un « désordre dans son essence ».
 
Entre autres, une élève lesbienne avait dénoncé l'inaction du directeur de l'école après que son casier eut été peint avec un graffiti homophobe.
 
Le ministre de l'Éducation du Yukon, Scott Kent, avait réagi immédiatement en annonçant l'abolition de la politique sur l'orientation sexuelle de l'école, car elle ne se conformait pas aux exigences du ministère. Le ministère avait également demandé des consultations pour formuler une nouvelle politique sur l'orientation sexuelle.
 
L'évêque catholique de Whitehorse, Gary Gordon, a refusé de commenter le départ du directeur de l'école en expliquant que des pourparlers étaient toujours en cours entre le diocèse et le ministre de l'Éducation Scott Kent au sujet de la nouvelle politique.(...)
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Le pape François rappelle la définition du mariage : union stable d'un homme et d'une femme

Sur le site de Yahoo.fr du 5 juillet 2013:

 

 

 

Le pape François répète que le mariage est "l'union stable de l'homme et de la femme", dans l'encyclique Lumen Fidei (Lumière de la Foi) publiée vendredi.
 
Cette union "naît de leur amour (...), de la reconnaissance et de l'acceptation de ce bien qu'est la différence sexuelle, par laquelle les conjoints peuvent s'unir en une seule chair et sont capables d'engendrer une nouvelle vie", écrit le pape (...)
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L'OMS n'a aucun problème de conscience avec des avortements à 28 semaines de grossesse... et l'implication de Care Canada

Sur le site de l'OMS, on retrouve des explications sur cette pratique qui n'est pour elle qu'un service de santé génésique ou santé reproductive... L'organisme décrit sans état d'âme les procédures pour faire des avortements au premier et deuxième trimestre, jusqu'à la 28e semaine, ce qui est plutôt un avortement de troisième trimestre... Aucun analgésique pour le foetus n'est prescrit dans la procédure. Aucun débat sur le sujet alors que la plupart des pays occidentaux ont des restrictions plus sévères.

L'Organisation Mondiale de la Santé est au-dessus des lois et ne se pose aucune question... Sur le site de l'OMS :

Le deuxième trimestre est la période comprise entre la treizième et la vingt-huitième semaine d'âge gestationnel. Il est divisé en deux périodes : la première période « précoce » (entre 13 et 20 semaines) et la seconde période « tardive » (entre 20 et 28 semaines). Entre 10 et 15 % des avortements provoqués dans le monde ont lieu au cours du deuxième trimestre
(...)
Des efforts permanents ont été engagés ces 30 dernières années afin d'améliorer l'efficacité, l'innocuité (en réduisant le risque de complication), la facilité technique de l'acte et l'acceptabilité des méthodes d'avortement. Cependant, la méthode optimale d'avortement au cours du deuxième trimestre fait toujours débat (4). Il est important de déterminer la meilleure méthode à utiliser car les avortements pratiqués au cours du deuxième trimestre sont responsables d'un pourcentage démesuré de la morbidité et de la mortalité liées aux avortements (3). Le risque global de décès est 10 fois plus élevé en cas d'avortement par dilatation et évacuation qu'en cas de curetage par aspiration au cours du premier trimestre (5), et le risque de mortalité augmente progressivement avec l'âge gestationnel (6)

Ah bon? Il y a des risques de mortalité liés aux avortements? Il serait bon d'en informer les médias québécois pour qui l'avortement est une procédure sécuritaire...

L'OMS évite autant que possible, tout comme le fait l'organisme Care, de parler d'avortement. On parle de santé reproductive et de soins après avortement.

Pour une offre d'emploi de Care, ce dernier organisme définit ainsi une partie de sa mission :

Dans le cadre de son portefeuille de programmes, CARE Tchad met en œuvre une série de projets dans le secteur de la santé, particulièrement en ce qui concerne la santé sexuelle et génésique. À l’heure actuelle, le portefeuille de projets sur la santé inclut un projet SAF PAC (Supporting Access to Family Planning and Post-Abortion Care) (Appuyer l’accès à la planification familiale et aux soins après avortement) et un projet financé par le FNUAP.

L'avortement n'est qu'un service de planification familiale.

On doit se souvenir de l'implication de Care Canada dans ce service :

Care Canada est entre autre responsable de la coordination des efforts communs du réseau Care international au Tchad...

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Le philosophe Peter Singer aurait préféré un avortement...

Sur le site de libre.be du 3 juillet 2013, cet article du père Stéphane Seminckx, docteur en médecine et en théologie :

(Peter Singer, promoteur des «personnes» non humaines, défenseur de l'avortement des humains «non personnel»...)

 

 

Dans l’article "La question de Beatriz" (LLB du 18-6-13), Peter Singer pose la question : "est-il toujours mal d’ôter la vie à une personne innocente ?" L’Eglise catholique répond oui, Singer prétend que non. Qu’en est-il ?
Peter Singer évoque le cas récent d’une jeune femme salvadorienne, souffrant de lupus érythémateux, enceinte d’un fœtus anencéphale, et dont la vie aurait été menacée par cette grossesse. Une particularité du cas est le fait que l’anencéphalie provoque souvent la mort du fœtus avant la naissance; s’il vient à naître, l’enfant meurt rapidement.
 
Pour Peter Singer, il est évident que, dans ce cas, on peut et on doit pratiquer l’avortement pour sauver la mère. Il signale que les tribunaux salvadoriens et la Cour Suprême en ont jugé autrement, s’appuyant sur l’interdit absolu de l’avortement. Finalement Beatriz a été autorisée à subir une césarienne avant terme, qui a été présentée, non comme un avortement, mais comme une "naissance provoquée". Le nouveau-né est mort cinq heures plus tard. Pour Singer, tout cela est profondément absurde.
 
Ce qu’il ne dit pas, c’est que l’on avait conseillé l’avortement à Beatriz, déjà malade, lors de sa première grossesse, que celle-ci a refusé, et que tout s’est bien passé. Ce qu’il ne dit pas, c’est que la Cour constitutionnelle a interdit l’avortement mais a recommandé de tenter de sauver la vie tant de la mère que de l’enfant. Ce qu’il ne dit pas non plus, c’est qu’un collège d’experts a signalé au Tribunal que la pathologie de la mère n’était pas grave au point de craindre sa mort imminente. Ce qu’il omet de signaler aussi, c’est que la solution adoptée, à savoir la naissance provoquée par césarienne, à la 27ème semaine de grossesse, était conforme à la sentence de la Cour Constitutionnelle.
 
Dans l’affaire "Beatriz", Singer croit avoir découvert une faille dans l’absolu moral, exprimé par le cinquième commandement : "Tu ne tueras pas". En fait, le professeur de bioéthique ne voit pas la différence entre "avortement" et "accouchement induit avant terme ayant entraîné involontairement la mort du fœtus". La distinction semble, certes, subtile mais en tout cas, pour la dignité de la personne humaine, elle est d’une portée immense.
 
L’un des fondements de la dignité humaine est le sens moral, c’est-à-dire la capacité de discerner dans un agir concret sa raison de bien ou de mal. Le théologien C. Caffarra décrit ce sens moral à partir de l’exemple de Thomas More : ce que ce dernier a perçu, "quand il a senti qu’il ne pouvait pas signer [l’acte de suprématie], a été la beauté intime, la vérité, la splendeur, non de son être ou ne pas être Chancelier du Royaume, de son être époux ou père, de son être citoyen anglais, mais simplement de son être-personne". On nous rétorquera que, dans le cas de Beatriz, l’avortement et l’accouchement induit avant terme ont mené au même résultat : la mort du fœtus.
 
Certes, le résultat est le même. Cependant, la moralité d’un acte ne se mesure pas en première instance à son résultat, mais à ce qu’on appelle son "objet". L’objet, en morale fondamentale, est l’acte lui-même, en tant qu’il est perçu par son auteur sous l’angle de ce qu’il "veut faire" à travers cet acte.
 
C’est pourquoi il y a une différence essentielle entre le fait de tuer le fœtus anencéphale et le fait d’anticiper sa naissance, pour le bien de sa mère, tout en assumant qu’il n’est pas viable (cette non-viabilité du fœtus est un simple constat et non la conséquence du vouloir du médecin).
 
(...)
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La Résistance en France plus active que jamais

Les Veilleurs, pour la défense des enfants et de la famille contre le «mariage» gai, sont debout partout à travers la France. Aucun reporter québécois ou canadien ne parle de cette résistance «inévitable»...:

(Photo, lors du Tour de France de l'accueil des cyclistes par des fans du cyclisme et ... de la famille!)

Informations toutes tirées du site Le Salon Beige  du 4 juillet 2013 : 

Les prochaines veillées (prévisionnel, des modifications sont possibles en commentaires) :

JEUDI 4 JUILLET 
  • Annecy : 21h30 pl. de la Mairie
  • Avignon : 21h30 pl. du Palais des Papes
  • Blois : 21h pl. de la République
  • Caen : 19h30 Conseil Régional (après picnic)
  • Cergy : 21h30 au port
  • Chalon-sur-Saône : 20h30 pl. de la Mairie
  • Compiègne : 21h pl. de l'Hôtel de Ville
  • Fontenay-le-Comte : 21h15
  • Montélimar : 21h sur les Allées Provençales
  • Nancy : 21h (lieu : MP/mail)
  • Pau : 21h pl. Georges Clémenceau
  • Romans-sur-Isère : 21h Kiosque, pl. Jules Nadi
  • Sées : 20h30 devant la Cathédrale 
  • Toulon : 21h pl. de la Liberté
  • Vannes : 21h au pied des Remparts
  • Versailles : 21h30 pl. du Marché"

 VENDREDI 5 JUILLET

  • Bordeaux : 21h30 pl. Pey-Berland
  • Boulogne-sur-Mer : 21h devant Nausicaa
  • Caen : 21h30 pl. Saint-Pierre
  • Chantilly : 21h pl. Omer Vallon
  • Chartres : 21h portail sud Cathédrale
  • Colmar : 21h Koïfhus
  • Fréjus : 21h en bord de mer (bd d'Alger/Libération)
  • Le Havre : 21h30 pl. Perret
  • Londres : 21h30 Hyde Park près de l'Ambassade
  • Lons-le-Saunier : 21h30 pl. de la Liberté
  • Nîmes : 21h30 face à la Maison Carrée
  • Saint-Brieuc : 21h devant centre commercial des Champs
  • Saint-Dizier : 21h pl. de l'Hôtel de Ville
  • Troyes : 21h pl. de l'Hôtel de Ville

DIMANCHE 7 JUILLET 

  • Ancenis : 21h près du pont/statue Joachim du Bellay
  • Dijon : 20h30 pl. de la Liberté
  • Dreux : 20h30 devant la Sous-Préfecture
  • Paray-le-Monial : 21h devant la Mairie
  • Vernon : 21h devant le Tribunal d'Evreux
LUNDI 8 JUILLET 
  • Caen : 21h30 place Saint-Pierre
  • La Roche sur Yon : 21h30 place du 8 mai 1945
  • Luxembourg : 21h devant la Bibliothèque nationale
  • Mazamet : 18h15 Maison Fuziès, sq. Tournier (Première Veillée !)
  • Rouen : 21h30 devant l’Hôtel de Ville
  • Villefranche-sur-Saône : 21h place des Arts
MARDI 9 JUILLET
  • "Anneyron : 20h45 salle des fêtes de Chateauneuf de Galaure
  • Beauvais : 21h30 devant la Mairie
  • Bourg-en-Bresse : 21h30 devant la Grenette
  • Carpentras : 21h devant Saint-Siffrein
  • Chambéry : 20h30 sur les marches du Château 
  • Gap : 21h pl. Alsace-Lorraine
  • Jérusalem : 19h30 devant le Consulat
  • Le Teil : 21h pl. Jean Macé
  • Lille : 21h pl. de l'Opéra
  • Limoges : 21h pl. d'Aine
  • Luçon : 21h15 pl. Sochet des Touches
  • Mâcon : 20h45 quai Lamartine
  • Metz : 21h place d'Armes
  • Moulins-sur-Allier : 21h pl. d'Allier
  • Orléans : 21h30 devant la Mairie
  • Périgueux : 20h30 bd Montaigne sur la place entre BNP et LCL
  • Reims : 21h30 pl. Royale
  • Saumur : 20h30 pl. Bilange
MERCREDI 10 JUILLET
  • Aix-en-Provence : 21h30 devant Sciences Po
  • Arras : 21h pl. des Héros
  • Autun : 18h kiosque pl. de l'Hôtel de Ville
  • Cognac : 21h pl. François Ier
  • Grenoble : 21h pl. de Verdun
  • Marseille : 21h devant l'Hôtel de Ville (Vieux Port)
  • Paris : 21h30 (lieu annoncé en début de semaine)
  • Saint-Raphaël : 20h30 espace Delayen en bord de mer
  • Toulouse : 21h30 derrière le Capitole
  • Valence : 21h près de la Mairie / Halles si pluie
JEUDI 11 JUILLET
  • Alpilles : 21h pl. de l'Eglise
  • Annecy : 21h30 pl. de la Mairie
  • Avignon : 21h30 pl. du Palais des Papes
  • Cergy : 21h30 au port
  • Montélimar : 21h sur les Allées Provençales
  • Nice : 21h pl. du Palais de Justice
  • Pau : 21h pl. Georges Clémenceau
  • Toulon : 21h pl. de la Liberté
  • Vannes : 21h au pied des Remparts
  • VENDREDI 12 JUILLET
  • Bordeaux : 21h30 pl. Pey-Berland
  • Boulogne-sur-Mer : 21h devant Nausicaa
  • Caen : 21h30 pl. Saint-Pierre
  • Chartres : 21h portail sud Cathédrale
  • Colmar : 21h Koïfhus
  • Fréjus : 21h plage ou autre
  • La Réunion : 19h30 pl. de Labourdonnais (Saint-Denis)
  • Le Havre : 21h30 pl. Perret
  • Londres : 21h30 Hyde Park près de l'Ambassade
  • Lons-le-Saunier : 21h30 pl. de la Liberté
  • Nîmes : 21h30 face à la Maison Carrée
  • Saint-Brieuc : 21h devant centre commercial des Champs
  • Saint-Dizier : 21h pl. de l'Hôtel de Ville
  • Troyes : 21h pl. de l'Hôtel de Ville

Partout, des groupes ou des personnes travaillent à la résistance, tel ces mots écrits sur le bitume pour le passage du Tour de France dans les Pyrénées, ces manifestants aux drapeaux de la famille à l'arrivée des courseurs. La France est en résistance et les médias internationaux ne veulent pas les voir :

 

 

//www.youtube.com/embed/n9cklqwwojg

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Le combat pour la liberté de conscience aux États-Unis se poursuit

Sur le site de genethique.org du 4 juillet 2013:

 

(Un aigle de la liberté, ou de la surveillance?)

 

 

 

Le 2 juillet dernier, près de 70 groupes religieux, menés par la conférence des évêques catholiques, ont publié une lettre ouverte pour s’insurger contre la réforme de santé du président Obama qui impose de cotiser pour la contraception. 
 
Le texte, (...) demande à "étendre une clause de conscience à toute organisation ou individu qui a des objections religieuses ou morales’ à devoir cotiser pour la contraception". Dans le même temps, il s'adresse au Congrès, afin qu'il prenne "des mesures pour prévenir de telles attaques à l’avenir".
 
Les signataires de la lettre expriment leur inquiétude : "si le gouvernement fédéral peut obliger des personnes qui y sont moralement opposées à payer la contraception ou la pilule abortive (…) qui l’empêchera de forcer d’autres Américains à enfreindre leur conviction ?". 
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L'incinération pour cacher la mort?

Une réflexion de Mathieu Bock-Côté paru sur son blog du 11 juin 2013:

 

(Que veut-on brûler exactement avec l'incinération?)

 

(...) 
Mais c’est une autre information, qui m’a fait sursauter: le choix massif des Québécois pour la crémation. Elle s’impose désormais à 90% d’entre eux. Parce qu’elle coute moins cher, évidemment, surtout au prix des terrains dans les cimetières. Et on veut épargner à ses proches une dépense de trop. À quoi bon se ruiner pour un mort?
 
Mais est-ce que cette préférence pour la crémation ne nous dit pas autre chose? La question des rituels funéraires traverse l’histoire des civilisations. En toute époque, en tous lieux, on a cherché à donner aux morts une dernière demeure. On cherchait aussi à ritualiser le «grand départ», comme si le fait de quitter ce monde n’était pas qu’un détail biologique à traiter comme un problème technique.
 
À travers les rituels funéraires, on apprivoise évidemment la mort, mais on joue aussi la fondamentale question de la mémoire. Les rituels funéraires sont indispensables à la mémoire collective. N’est-ce pas une manière de visiter un village, d’ailleurs, que de visiter son cimetière? En y marchant, on comprend immédiatement quelle représentation du sacré habitait les générations qui y ont vécu.
 
Une nation comme une civilisation doivent faire une place à leurs morts et de leurs sépultures. Il y avait quelque chose de sacré dans un cimetière. L’homme qui se recueillait devant la tombe de ses parents et qui allait la fleurir pratiquait ainsi un rite venant du fond des âges: honorer ses ancêtres, marquer sa piété devant ses aïeux.
 
Dans une société éclatée, il est probablement inévitable que les rituels funéraires s’individualisent. L’homme ne vient plus de nulle part. L’idée de se faire enterrer avec les siens suppose que nous nous sentons encore unis par des liens intimes. Sans famille, pourquoi l’homme tiendrait-il à les retrouver pour sa dernière demeure?
 
Il y avait dans l’enterrement chrétien l’idéal paradoxal d’un retour à l’origine. Mais ceux qui naissent dans l’anonymat des grandes villes, et qui migrent au fil de leur vie d’un quartier à l’autre, sans disposer d’un point de repère véritable, d’où viennent-ils vraiment? L’origine n’étant plus identifiable, ni même valorisée, comment serait-il possible d’y revenir? Le moderne ne se voit plus comme un héritier.
 
Faut-il s’en surprendre? Les liens sociaux sont distendus, aujourd’hui, au point souvent de se rompre. L’éclatement de la famille n’a-t-il pas correspondu, dans les faits, à un déracinement de l’homme qui ne dispose plus d’une structure d’accueil anthropologiquement confirmée pour entrer dans l’existence, la traverser et la quitter?
 
N’est-ce pas ce que l’on constate avec l’entassement morbide des vieillards dans des centres qui leur sont destinés, comme si la société voulait se débarrasser de ceux qui ne peuvent ou ne veulent plus jouer le jeu de l’extrême-jeunesse? Certains âges de l’existence, ceux qui ne cadrent pas avec l’idéal de l’autonomie des modernes, ne trouvent plus grâce dans notre société.
 
Derrière la généralisation de la crémation, ne peut-on voir un révélateur de l’anomie qui prédomine dans la société hypermoderne? Et n’y a-t-il pas aussi une étrange agressivité devant la mort, qui vient remplacer la sérénité que nous apprenait péniblement le christianisme? Je ne suis plus vivant donc je veux disparaître intégralement, ne pas laisser de trace, partir en fumée.
 
L’individualisme radical qui caractérise notre temps donne à l’individu la responsabilité ultime du sens de l’existence. De là, l’épuisement des grands rituels qui dans la société traditionnelle, permettaient à l’homme de traverser la vie avec quelques repères. De là le fait qu’il appartient même à l’homme de choisir sa manière de mourir, à la manière d’un dernier caprice, évidemment désacralisé.
 
L’effondrement culturel du catholicisme est indéniable. Et on assiste, sans grande surprise, à une étrange réapparition du paganisme, non pas dans ses croyances, mais bien dans ses rites. Mais cette déchristianisation des rites funéraires n’est pas sans nous ramener à une certaine barbarie, qui fait peur et qui fait pleurer.
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