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Une nouvelle affaire Recife, mais au Chili cette fois?

Sur le site du journal La Presse du 6 juillet 2013:

 

(Le Chili est sous observation mondiale : les médias internationaux attendent que l'on tue un enfant par avortement, sans se poser de questions sur les solutions humaines qui existent...)

 

 

 

Le cas d'une fille de 11 ans tombée enceinte après avoir été violée par le conjoint de sa mère a relancé le débat sur l'avortement au Chili, l'un des pays les plus conservateurs d'Amérique du Sud.
 
La télévision d'État chilienne a rapporté que l'élève de cinquième année en était à sa 14e semaine de grossesse. La police a arrêté son beau-père, qui a admis l'avoir agressée. Les médecins affirment que la vie de la victime et du foetus sont en danger, mais il est hors de question qu'elle se fasse avorter puisque cette intervention n'est pas autorisée au Chili.
 
Il faut se souvenir que dans tous les cas où une fillette est tombée enceinte, les médias internationaux ont annoncé que sa vie était en danger, ce qui s'est toujours avéré faux...
 
Dans ce cas-ci, la petite fille en est déjà à sa 14e semaine de grossesse. S'il y a des complications, il serait possible de procéder à une césarienne comme cela s'est déjà fait dans le passé, pour soigner la mère et sauver l'enfant si possible.
 
Mais les médias ne proposent qu'un «choix». Tuer l'enfant par avortement. Une obsession morbide difficillement explicable humainement parlant...
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