Sur le site du journal Le Devoir du 31 octobre 2014 :

(Photo : wikimédia sans copyright)

Les urgentologues confirment que la congestion dans les urgences se traduit par une hausse des décès et des événements graves pour la santé des patients (...)

L’Association des médecins d’urgence du Québec (AMUQ) a vivement réagi jeudi à l’étude rapportée par Le Devoir faisant état d’une hausse de 3 % des décès, quand le nombre de patients sur civières aux urgences excède de 10 % la capacité moyenne d’accueil.

Ah oui, et le gouvernement a promis l'instauration de soins palliatifs de qualité pour tous, en tenant compte de la situation financière du Québec, bien sûr!

Sur le site de Riposte Catholique du 27 octobre 2014 :

Nous sommes entrés, hier dimanche, dans la dernière semaine de la campagne d’automne des 40 Days for Life (elle s’achèvera ce dimanche 2 novembre), et c’est dans la nuit que nous avons reçu cette formidable en enthousiasmante nouvelle : 409 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement depuis le lancement de cette campagne.

Vous pouvez nous rejoindre jusqu'au 2 novembre au Parc Lahaie (métro Laurier), en face du 30 boulevard St-Joseph, à Montréal, de 7 h à 19 h.

Sur le blogue de Jeanne Smits du 29 octobre 2014 :

Co-financé par l’Union européenne et l’ambassade des Pays-Bas, l’album pour enfants Nicolas tiene 2 Papas (« Nicolas a deux papas ») vient d’être lancé au Chili et sera distribué dans 500 classes de maternelle avec le soutien du Collège d’éducateurs des tout-petits et de l’Université du Chili. C’est également la première fois qu’une administration publique latino-américaine participe au financement d’une telle initiative qui a déclenché une avalanche de critiques ainsi qu’une pétition pour dire la colère des pères et mères de familles qui n’ont – évidemment – pas été consultés.La pétition est en ligne ici. Elle s’adresse à l’ambassade des Pays-Bas et au représentant de l’UE au Chili et s’accompagne d’analyses, notamment d’élus de la Démocratie chrétienne qui dénoncent une atteinte à « l’innocence » des enfants passant par l’imposition d’« idéologies dans le plus pur style totalitaire ». « C’est d’autant plus grave lorsqu’il s’agit de familles vulnérables qui n’ont pas l’option de choisir un jardin d’enfants conforme à leurs croyances et de mineurs dont la sexualité n’est pas développée. » (...)

Une initiative qui rappelle celle de la Centrale des Syndicats du Québec.

Sur le site de Radio-Canada du 30 octobre 2014 :

(Photo : Roberto Stuckert Filho sur wikipédia.org, licence creative commons)

Le premier ministre Stephen Harper devrait annoncer aujourd'hui que les parents qui vivent sous le même toit avec un enfant de moins de 18 ans pourront bientôt fractionner leurs revenus, comme c'est déjà le cas pour les retraités.

Une bonne nouvelle pour la classe moyenne.

Je vous écris avec fierté pour vous annoncer, entre autres, le lancement de la dernière mouture de notre site Web. Je vous invite à le visiter et aussi de nous faire part de vos commentaires ! En cette 25e année de notre existence, nous avons voulu refonder ce site qui nous a permis de transmettre plus que jamais le message que toute vie humaine doit être protégée et choyée, de la conception à la mort naturelle.

Dès mon arrivée à la fin de 2008, une de mes principales préoccupations a été l’annonce de la bonne nouvelle de la vie et de la famille par l’outil de communication qu’est Internet. Certains se questionnent peut-être sur l’utilité de tels sites Web. Laissez-moi vous montrer ce qu’Internet est capable de faire : depuis 2009, année où le nouveau site Web de CQV fut lancé, nous avons récolté 397 869 visiteurs, dont 3 046 ont été, ou sont encore, des visiteurs réguliers (en temps normal, près de 400 personnes nous lisent une fois par semaine).

Pour nous aider avec un don mensuel >> / Pour nous aider avec un don ponctuel >>

En cinq ans, près de 400 000 personnes, en grande majorité des Québécois, ont été touchées par des témoignages, des nouvelles significatives sur la vie et la famille, des annonces d’événements pro-vie, et plus encore. Et 3 046 d’entre elles ont visité le site plus de 7 fois. Imaginez être propriétaire d’un magasin où, dans l’espace de 5 ans, vous aviez au moins 3 046 clients qui sont revenus plus de 7 fois – ce serait impressionnant. Avec Internet, c’est devenu possible.

Si on regarde du côté de Facebook, nous avons à ce jour plus de 8000 adhérents à notre page, et, dans les derniers 28 jours, près de 1000 personnes ont interagi avec des nouvelles pro-vie que nous avons publiées, dont 71% de femmes, la moitié d’entre elles étant des femmes de 34 ans et moins. Nous semons énormément pour une Culture de Vie au Québec !

Par contre, je dois vous dire qu’en ce moment nous en sommes à un moment critique de notre apostolat sur Internet. Nous avons dernièrement engagé une personne pour nous aider à rédiger des articles et repêcher des nouvelles. Ce qui engendre pour nous de nouvelles dépenses.

C'est pourquoi nous lançons dès aujourd'hui notre campagne de financement de fin d'année, qui se terminera à Noël.

Nous cherchons 200 personnes pour faire un don mensuel de 10$ -- serez-vous de la partie ? >>
/ Ou bien aidez-nous répandre une Culture de Vie avec un don ponctuel >>

Nous cherchons à présent 200 personnes qui, au-delà de leurs dons ponctuels fort appréciés, seraient prêtes à donner à peu près 2,50$ par semaine, soit 10$ par mois, pour assurer la pérennité de notre service de nouvelles unique au Québec. Si vous êtes déjà donateur mensuel, nous vous en remercions du fond du cœur ! Mais si vous ne l’êtes pas : c’est sécuritaire, très facile, et très utile pour nous, car avec des dons réguliers, nous pouvons planifier nos actions et le développement de notre apostolat avec plus de sérénité, sachant que les fonds nécessaires seront à notre disposition.

Notre site Web est essentiel pour rejoindre la prochaine génération d’artisans d’une culture de Vie : La lecture des témoignages suivants, récoltés par voie électronique, vous le prouveront !

C’est entre autres en lisant des nouvelles sur Internet que j’ai été sensibilisé au combat pour la Vie. Aidez Campagne Québec-Vie à en réveiller d’autres comme moi !

Cette campagne de recrutement de 200 personnes n'est pas une affaire de quelques jours, nous en sommes bien conscient ! Or, nous avons établi ce chiffre de 200 comme cible nous permettant de pérenniser le poste de notre journaliste. C'est à vous maintenant de jouer !

Pour la Vie,

 

Georges Buscemi, Président

 P.S. Pour ceux qui préfèrent ne pas s’engager mensuellement, tout don ponctuel à la mesure de votre reconnaissance de l’importance de notre ministère sera fort apprécié.

Sur le site de aleteia.fr du 28 octobre 2014 (via le Salon Beige) :

Le Daily Mail révèle que des parents souhaitant adopter ont fait appel à une mère porteuse indienne. Celle-ci a donné naissance à des jumeaux, mais le couple est reparti en Australie avec un seul des deux enfants.

Pour le moment, les informations sur ce cas sont peu nombreuses. On sait que l’enfant aurait été abandonné en raison de son sexe, les parents ayant déjà un enfant du même sexe. Mais on ne sait pas encore s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille. L’enfant "de trop" a été donné à un autre couple... Mais les autorités australiennes craignent qu’il y ait eu à cette occasion un transfert d’argent, ce qui pourrait déboucher sur une accusation de trafic d’enfants.

Ce n'est pas le premier cas. Au Québec, alors que les contrats de mère porteuses sont illégales, il existe même des associations pour contourner la loi et aller acheter un bébé en toute impunité.

Sur le site de genethique.org du 29 octobre 2014 :

Pour illustrer cet important trafic d'organes, le site d'information Lepoint.fr relate l'histoire de Chhay, un Cambodgien de 18 ans qui, pour 3000 dollars, a vendu un de ses reins. Ce rein "lui a été prélevé il y a deux ans, en toute illégalité, dans un hôpital ultra-moderne de Bangkok, plaque tournante du tourisme médical en Asie", précise le journaliste. Aujourd'hui, Chhay a porté plaine et il "tente de se remettre de ce qu'il décrit comme une terrible erreur", car précise-t-il, "je ne peux plus travailler dur, même marcher m'épuise".

Sur le blog de Jeanne Smits du 25 octobre 2014 :

(Photo : Enluminure médiévale, extraite du «De Speculo Caritatis» (le miroir de la charité) d'Ælred de Rievaulx, wikimédia sans copyright)

(...) Les personnes qui expérimentent des attirances homosexuelles se trouvent face à un défi particulier à cet égard, puisque ni Dieu ni son Eglise ne peuvent moralement admettre des relations de même sexe. Comme l’explique le Catéchisme les actes homosexuels « sont contraires à la loi naturelle » et « ferment l'acte sexuel au don de la vie ».

De même l'Église enseigne que les actes sexuels sont exclusivement réservés au mariage, qui est entre un homme et une femme, et que le premier but du mariage est la procréation des enfants.

Ainsi la sexualité vécue selon le plan de Dieu interdirait le sexe gay – mais aussi la pornographie, l’acte sexuel en dehors du mariage, l'adultère et de nombreux autres péchés sexuels. Cependant, comme l'a montré le pape François l’an dernier, l'Eglise ne considère pas l'inclinaison homosexuelle comme peccamineuse, de même qu’elle ne considère pas les tentations sexuelles hétérosexuelles en dehors du mariage comme peccamineuses. (...)

Il y aura de grands saints reconnus qui auront vécu l'épreuve de l'inclinaison homosexuelle et qui auront donné le témoignage de leur vie de chasteté, tels Aelred de Rielvaux.

Sur le site de medias-presse.info du 27 octobre 2014 :

Depuis la Colombie, Amada Rosa Perez, a aussi confessé qu’elle avait subi un avortement suivi du syndrome post-avortement. Dans son témoignage, le modèle raconte: « A cette époque où j’étais enceinte, j’aurais souhaité trouver l’aide de quelqu’un, quelqu’un qui m’aurait dit quelque chose de positif et de beau, comme qu’être maman ce n’est pas mal. »

(...)

Le mannequin explique qu’elle a avorté parce que dans son entourage elle ne rencontrait que des réactions lui disant qu’il fallait privilégier sa carrière. Elle avoue qu’elle a eu peur, qu’elle ne l’a pas dit à ses parents et a décidé de se débarrasser de son bébé

Elle soutiendra la manifestation « Chaque vie est importante » qui aura lieu le 22 novembre 2014 en Espagne et l'on peut entendre son court témoignage, en espagnol, ici.

Sur le site du Salon Beige du 24 octobre 2014 :

(Photo d'un coffret d'amputations du 19e siècle : VCU libraries sur flickr.com, licence creative commons)

Quelques semaines après avoir fait éliminer son bébé à la maternité du CHU de Bordeaux, une commerçante bordelaise de 36 ans, a dû être amputée des deux pieds, de l'avant-bras droit et de la main gauche.

Sous le coup d'une forte fièvre et prise de douleurs, elle était revenue à la maternité. Après avoir procédé au retrait du stérilet posé après l'avortement et pratiqué des prélèvements, l'interne l'avait renvoyée à son domicile où son état avait empiré.

Pour plus d'informations, voir également aufeminin.com