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Amnistie Internationale appuie la pression de pays européens sur le Salvador pour que ce pays permette le génocide de l'avortement

salvador.jpgSur le site de Amnistie Internationale du 28 octobre 2014 :

(Photo : musicasalingus sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Parmi les pays qui ont exprimé une demande de changement figurait l’Espagne, qui avait renoncé récemment à son propre projet de loi restreignant le droit à l’avortement.  (...)

L’Allemagne, l’Australie, l’Islande, le Luxembourg, la République tchèque, le Royaume-Uni, la Slovénie et la Suède ont également engagé ce pays d’Amérique centrale à réformer sa législation en matière d’avortement. (...)

Le Salvador va maintenant bénéficier d’un laps de temps pour réfléchir aux recommandations qui lui ont été adressées et annoncera en mars 2015 celles qu’il compte adopter.

Le néo-colonialisme en pleine action...

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Pétition pour la Journée nationale de la coparentalité

parents.jpgSur le site de l'Assemblée Nationale du Québec, vous pouvez signer cette pétition :

(Photo : Nabeel H sur flickr.com, licence creative commons

CONSIDÉRANT QUE nous fêtons cette année le 20e anniversaire de l'Année internationale de la famille qui fut en 1994 l'occasion de se rappeler que la famille constitue la cellule de base de la société et mérite donc une attention particulière;

CONSIDÉRANT la résolution adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies intitulée « Un monde digne des enfants » (S-27/2, 6 mai 2002) qui reconnaît la responsabilité partagée des parents pour ce qui est d'éduquer et d'élever les enfants, et l'importance de mettre tout en œuvre pour veiller à ce que chacun des parents ait la possibilité de participer à la vie de ses enfants;

CONSIDÉRANT la transformation des modèles familiaux depuis quelques décennies caractérisée entre autres par une augmentation du nombre de familles qui se séparent et dès lors le risque de désengagement d'un des parents;

CONSIDÉRANT QU'il est avantageux pour l'enfant de conserver le maximum de contacts avec ses deux parents;

Nous, soussignés, demandons à l'Assemblée nationale du Québec de déclarer que le 12 novembre de chaque année sera la « Journée nationale de la coparentalité - collaboration parentale » pour :

souligner et reconnaitre l'importance des rôles des deux parents qu'ils soient ensemble, séparés ou divorcés;
célébrer l'engagement de chaque parent auprès de ses enfants;
valoriser toutes initiatives qui visent à améliorer la collaboration et la coopération parentale ainsi que l’échange de bonnes pratiques.

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Huit Marocains sur 10 rejettent l'avortement et l'homosexualité

casablanca.jpgSur le site de TVA du 20 novembre 2014 :

(Photo :  Alkan de Beaumont Chaglar, licence creative commons)

ils sont 83% à se dire «pas du tout favorables à la tolérance envers l'homosexualité» (11% «favorables»), relève Tel Quel. (...)

L'avortement est aussi rejeté par les sondés, qui sont 82% à s'y dire opposés. (...)

Il est possible de n'avoir aucune tolérance envers l'homosexualité tout en offrant son amitié aux personnes attirées par les personnes de même sexe.

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Le gouvernement du Québec doit résister aux pressions et cesser le financement de la fécondation in vitro.

feconatio.JPG(Photo : wikimedia sans copyright)

Le Québec vit actuellement une période très difficile sur le plan financier. Depuis des décennies, les groupes de pression (syndicats, groupuscules de gauche, artistes, etc.) ont terrorisé les différents gouvernements. Nous sommes maintenant au bord de la faillite.

Devant le chaos social qui s'annonce, le nouveau gouvernement du Québec a décidé enfin de mettre ses culottes : terminé l'époque du bar ouvert gratuit à volonté, des subventions tous azimuts, des crédits d'impôts à n'importe qui, et des dépenses inconsidérées comme si l'argent poussait dans les arbres. L'heure de l'austérité a sonné. Des programmes dits intouchables seront révisés et même abandonnés.

Dans la foulée des compressions budgétaires, le ministre de la Santé du Québec a annoncé que «la procréation assistée ne fait plus partie du plan clinique du Centre universitaire de santé McGill». (La Presse, 3 novembre 2014). Les autres hôpitaux du Québec pourraient bien passer sous le couperet à ce chapitre très bientôt.

Il faut bien se rappeler que les cliniques de reproduction et de procréation assistée (manipulations génétiques, congélation d'embryons humains, fertilisation des femmes, fécondation in vitro, in vivo, etc.) étaient depuis des décennies sous la responsabilité du privé et que les femmes intéressées par ces techniques reproductives postmodernes qui ne respectent pas la vie devaient payer pour en bénéficier. Même à l'hôpital, ce n'était pas gratuit. L'entrée en scène de façon bruyante et lacrymale de grandes vedettes du monde artistique, il y a quelques années, a fait très peur au gouvernement de l'époque ; cédant sous la pression, il a décrété la politique du bar ouvert et de la gratuité sans aucune balise. Aujourd'hui, cette folie reproductive tous azimuts coûte à l'état québécois entre 70 et 80 millions de dollars par année.

Maintenant, le gouvernement du Québec se prépare donc à mettre la hache dans ce ridicule programme. Les mouvements féministes sont horrifiés. La gauche déchire sa chemise sur la place publique. C'est une véritable déclaration de guerre sous prétexte que la femme a le droit fondamental de procréer gratuitement de n'importe quelle manière selon ses désirs. Son corps lui appartient et au diable l'éthique et la morale reproductrices.

Mais attention ! Pour mieux intimider le gouvernement une étude vient de sortir. Incroyable ! Et quelle étude ! Une étude biaisée et tordue pour mettre beaucoup de pression. Une étude financée par «l'Association des couples infertiles du Québec» qui passe à l'attaque (La Presse, 17 novembre 2014). Cette étude n'a aucune crédibilité ; en effet, aussi incroyable que cela puisse paraître, c'est surtout ses conclusions qui font extrêmement peur.

En effet, on a étudié toute cette problématique de la procréation assistée uniquement sous l'angle économique : concevoir artificiellement un enfant dans les cliniques de fertilité, c'est «un investissement» pour l'état ; le «rapport coût-bénéfice aurait un impact budgétaire positif pour les finances publiques», mais seulement «à partir de 2033 au moment où les enfants atteindront leur majorité». D'après cette étude diabolique, il faut évaluer «combien coûte en moyenne un enfant issu de la procréation assistée et surtout combien il va rapporter plus tard», nous disent froidement les auteurs du rapport. L'étude a tout comptabilisé : «l'enfant n'est pas rentable de 0 à 19 ans. Mais de 19 à 65 ans, il va contribuer positivement au trésor québécois». Il faut donc stimuler au maximum le nombre de naissances dans les cliniques de procréation assistée. Alors, tout doit demeurer gratuit !

Quel cynisme ! C'est effrayant d'entendre de telles sottises. Une véritable honte nationale !

Le Québec, paraît-il, est une société hyper distincte et très avancée. Mais, l'enfant à naître dans de telles conditions inhumaines est maintenant considéré comme de la vulgaire marchandise budgétable dans un cadre purement économique. On n'a plus aucun respect pour la vie humaine, pour l'être humain, pour l'acte de procréer avec amour, pour l'union d'un homme et d'une femme, pour l'amour humain dans le don de soi, etc. Désormais, la science et la technologie fabriqueront sur mesure des enfants qui vont aider les finances publiques du gouvernement et qui vont permettre à certaines femmes d'alimenter leur ego et leurs phantasmes aux frais des contribuables.

Assez, c'est assez ! Souhaitons que le gouvernement se tienne debout devant toutes ces sornettes reproductives qui nous font de plus en plus penser aux techniques de reproductions animales à l'école vétérinaire de l'Université de Montréal de St-Hyacinthe.

Paul-André Deschesnes

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Le coût des places en garderies (en dollars constants) a presque doublé depuis 15 ans

ga.jpgSur le site de Pour une école libre du 19 novembre 2014 :

(Photo : Claude Robillard sur flickr.com, licence creative commons)

Lors de la création du programme, il en coûtait 5 685 $ au gouvernement par place dans les garderies subventionnées ; 15 ans plus tard, la même place coûte désormais 10 510 $ (en dollars constants), presque le double ! Depuis la fin des années 90, le nombre de places dans les CPE a augmenté de 130 %, mais les coûts du système ont augmenté de 326 % ! (...)

La meilleure solution consisterait à abolir le système de garderie et à redonner aux parents, sous forme de crédits d'impôts, l'argent gaspillé dans ce système trop coûteux.

 

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The Humanum Series. À voir. Sur la famille

famille.jpgSur le site de Famille Chrétienne du 19 novembre 2014 :

(Photo : Catherine Scott sur flickr.com, licence creative commons)

Réalisée à l’occasion du colloque interreligieux sur la complémentarité homme-femme, The Humanum series raconte en six épisodes la force du mariage dans la destinée de l’humanité. Famille, sexualité, transmission aux jeunes générations, débats de société… Cette série-événement n’élude aucun sujet. (...)

 

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Le Conseil de l'Europe refuse de protéger les nouveaux nés de l'infanticide


nouveaune3.jpgSur le blog de Jeanne Smits du 19 novembre 2014, un article à lire, dont voici un extrait :

(Photo : a4gpa sur flickr.com, licence creative commons)

(...)« Dans nombre de pays européens autorisant l’avortement tardif, il arrive que des fœtus humains naissent vivants, en survivant à leur avortement. Des infomations et des articles relatant des entretiens avec des travailleurs de santé révèlent qu’il n’est pas rare de trouver un fœtus avorté dont le cœur bat et qui se lutte pour respirer. Au Royaume-Uni, par exemple, il est rapporté qu’en une seule année on a laissé mourir 66 bébés dont l’avortement n’avait pas réussi. En Suède, un tel enfant a vécu de manière autonome pendant 90 minutes après l’avortement, et n’a reçu aucun soin jusqu’à sa mort. En Norvège, il existe des éléments de preuve montrant que certains de ces nouveau-nés auraient été viables s’ils avaient reçu les soins médicaux appropriés.
Quels actions spécifiques entend entreprendre le Comité des ministres pour garantir que les fœtus survivant à l’avortement ne soient pas privé des traitements médicaux auxquels ils ont droit – en tant que personnes humaines nés vivantes – aux termes de la Convention européenne des droits de l’homme ? »
Aucune. Aucune action en ce sens parce que les pays membres concernés ne veulent pas attirer l’attention du public sur le fait que des bébés nés vivants sont laissés à leur agonie, sans le moindre soin, ou qu’ils sont illégalement euthanasiés, parce que cela soulèverait la question des avortements tardifs au-delà du seuil de viabilité. (...)

Une pétition a été lancée pour exiger du Conseil de l'Europe qu'il fasse cesser ces infanticides :

pétition à l’attention du Conseil de l'Europe

A l’attention de la Présidente et des membres du Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Chaque année en Europe, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements tardifs. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.

Suite au refus du Commissaire aux droits de l’homme et à l’incapacité du Comité des Ministres d’affirmer que tous les nouveau-nés ont le droit à la vie et aux soins de santé, nous vous demandons d’inscrire ce sujet à l’ordre du jour de l’Assemblée, conformément à l’article 65 du règlement. 

Nous vous demandons d’enquêter sur la pratique des infanticides néonataux et de la condamner clairement.

Nous vous demandons en particulier de rappeler que tous les êtres humains nés vivants ont le même droit à la vie, à l’intégrité physique et aux soins de santé, sans discrimination fondée sur les circonstances de leur naissance, conformément à la Convention européenne des droits de l’homme et à la Convention relative aux droits de l’enfant.

Le Conseil de l'Europe ne peut pas renoncer à son devoir de garantir les droits fondamentaux à tous les êtres humains.

Un bébé prématuré est un être humain et mérite d’être protégé !

Salutations,
[Votre Nom]
 Prenons le temps de signer la pétition.

 

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Des étudiants d'Oxford censurent un débat sur l'avortement

oxford.jpgSur le site de Riposte Catholique du 19 novembre 2014 :

(photo : babasteve sur flickr.com, licence creative commons)

Dans la pure tradition anglaise du débat, Oxford avait invité deux journalistes à discuter de la proposition « This House believes Britain’s abortion culture hurts us all » (« Cette chambre considère que la culture de l’avortement en Grande-Bretagne nous est tous dommageable ») : opposé à Bryan O’Neill, journaliste athée libéral mais réputé favorable à la liberté d’expression, le journaliste catholique américain Timothée Stanley devait défendre l’affirmative de cette question dans le cadre somptueux du Christ Church College, un des plus vieux établissements d’Oxford.

Devant l'opposition d'associations étudiantes qui ne supportaient pas que le « droit » de vie ou de mort sur l'enfant à naître soit remis en question, le débat a été annulé. Certainement de futurs dirigeants occidentaux, ces étudiants...

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Un projet de loi du Parti libéral du Québec sur la neutralité religieuse

niqab.jpgSur le site du journal Le Soleil du 19 novembre 2014 :

(Photo : fveronesi1 sur flickr.com, licence creative commons)

Le projet de loi sur la neutralité religieuse de l'État que parrainera sa ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, énoncera que le «modèle québécois d'accueil et de vie commune» est fondé sur l'«interculturalisme».

Il établira que les services publics doivent être donnés et reçus à «visage découvert», ce qui exclura donc le niqab et la burqa.

À lire sur le sujet également, l'article « L'État ne peut être neutre : réflexion de Campagne Québec-Vie sur l'euthanasie et la " charte des valeurs québécoises " »

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Première opération in utero d'un enfant à naître atteint de la spina bifida

HOPITAL_TROUSSEAU.JPGSur le site de genethique.org du 18 novembre 2014 :

(photo de l'hôpital Armand Trousseau où a eu lieu l'opération, par LPLT / Wikimedia Commons, licence creative commons)

(...)« Dans les dix jours suivant l'opération, les anomalies cérébrales dues à la malformation se sont totalement corrigées. C'est énorme d'avoir pu protéger le cerveau de cette petite fille pour permettre ses apprentissages futurs », raconte le Pr Jouannic, le gynéco-obstétricien qui a conduit cette opération. Il explique que cette « première » a pour but de « réduire les handicaps possibles de l'enfant, mais ne le guérit pas totalement ». (...)

À lire.

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