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Attachée à un arbre sur la place du village jusqu'à ce qu'elle consente à son avortement


survivants2.jpgSur le site de pop.org du 4 décembre 2014 (traduction libre) :

(Photo : survivants de la politique de l'enfant unique en Chine par ROSS HONG KONG sur flickr.com, licence creative commons)

Lorsque Yang Pingan a été découverte enceinte d'un deuxième enfant « illégal », la police de contrôle de la population chinoise lui a donné un choix : payer une amende énorme (ce qu’elle ne pouvait pas se permettre) ou se soumettre à un avortement (ce qu'elle a refusé de faire).

Donc, la police de la population a transporté Yang Pingan à la place du village. . . l’a attachée à un arbre. . . et l’a laissée ainsi jusqu'à ce qu'elle « consente » à l'avortement. Mais cette histoire s’aggrave, alors que c’était la propre mère de Yang – une « médecin » avorteuse — qui a tué le bébé!

Mais les cauchemars d'avortement de Yang Pingan n’étaient pas terminés. . .

Deux ans plus tard, elle portait un autre petit. Ayant déjà subi un avortement forcé, Yang Pingan était maintenant contrainte de subir un second avortement forcé, également aux mains de sa propre mère!

La main de Dieu était–elle à l'œuvre ici?

Lorsque Yang Pingan est devenue enceinte encore une fois, sa mère – la « médecin » avorteuse — a administré une dose massive de RU 486, le médicament abortif qui a tué secrètement des millions de bébés. Miraculeusement, cette attaque d'avortement forcé a échoué et le bébé garçon de Yang Pingan est né en aussi bonne santé que n’importe quel bébé pourrait l’être! Nous aimons à penser que la main de Dieu était à l'œuvre!

Ce qui s’est passé alors

Peu de temps après la tentative d'avortement échoué, Yang Pingan a été baptisée dans l'Église catholique. . . elle a eu deux autres enfants. . . et se cache maintenant avec son mari et les enfants, de la police de la population chinoise.

Cela devrait être gravé dans nos mémoires

La prochaine fois que vous lisez des statistiques sur l'avortement forcé en Chine, rappelez-vous que les chiffres représentent de vraies femmes et de vrais bébés — comme Yang Pingan et le bébé qu'elle a perdu sous la loi chinoise d’« un enfant par famille ».

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Une école du Maine condamnée à payer une amende de 75 000 $ pour avoir refusé qu'un garçon « transgenre » utilise les toilettes des filles

ecole_primaire.jpgSur le blog de Jeanne Smits du 5 décembre 2014 :

(Photo : Claude Robillard sur flickr.com, licence creative commons)

(...) Nicole Maines, 17 ans, vient d’obtenir la condamnation du Département scolaire d’Orono, dans le Maine, qui lui avait interdit d’accéder aux toilettes des filles à l’école primaire et au collège. Au terme de sept ans de conflit judiciaire, la Penonscot County Superior Court vient d’enjoindre aux autorités scolaires de ne plus se livrer à de telles pratiques « discriminatoires » à l’égard d’élèves transgenres, comme l’est Nicole Maines.

La même décision condamne le Département scolaire d’Orono à verser 75.000 $ à l’association de défense LGBT Gay & Lesbian Advocates & Defenders (GLAD) qui représentait l’élève et ses parents.

Que les autres élèves et leurs parents se plaignent et ne veulent pas qu'il accède aux toilettes des filles, sans résultats, cela ne serait pas « discriminatoire »...

« Nicole » pourra-t-elle s'inscrire dans un collège réservé aux filles?

Plutôt que de prendre en charge une seule personne, on préfère scandaliser toute une école... 

 

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Noël approche


Des prêtres refusent de collaborer à un téléthon favorisant les expérimentations sur l'embryon humain

baiser_de_judas.jpgSur le site du journal Le Figaro du 4 décembre 2014 :

(Photo : wikimédia sans copyright)

(...)Pour les mêmes raisons, les Associations Familiales Catholiques (AFC) demandent que les donateurs du Téléthon aient la possibilité de choisir les programmes de recherche qu'ils désirent soutenir. «En particulier, elles tiennent à souligner que les enfants indemnes présentés aux familles comme un «un espoir» et comme «la vie qui reprend le dessus» sont issus d'un processus de sélection embryonnaire, leurs embryons frères et sœurs handicapés ayant, eux, été éliminés, indique un communiqué des AFC. (...)

Un chrétien ne peut collaborer à des oeuvres de « charité » qui détruisent la vie des enfants à naître, où exploitent leurs dépouillles. On ne peut pas prétexter sous prétexte qu'un organisme fait également beaucoup de bien, collaborer à sa promotion et au financement de ses activités. Mais il y aura toujours des Ponce Pilate et des Judas, dans l'Église comme parmi les apôtres du Christ...

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La chanteuse Nicki Minaj regrette l'avortement de son enfant

nicki_minaj.jpgDans sa vidéo Autobiography, elle traite de cette question, et elle revient sur ce souvenir douloureux dans sa nouvelle chanson, All Things go. Voici un extrait des paroles de la chanson Autobiography (2009)

(Photo : Eva Rinaldi sur wikimédia.org, licence creative commons)

(...)Bébé, excuse-moi, maman était jeune

Maman était trop occupée à profiter de la vie

Je ne me félicite pas de m'avoir fait avorter

Mais Dieu sait que je valais mieux que ça

Je t'ai conçu et abandonné, rien que le concept semble diabolique, ma conscience me rattrape

J'ai été idiote car j'ai écouté les gens qui me disaient que j'étais pas prête à t'avoir

Mais qu'est-ce qu'ils en savaient ?

Et bien sûr c'était pas de ta faute, je te sens avec moi

Je t'entends dire « maman ne pleure pas, ne vois-tu pas que je suis là ? »

Tu dois savoir ce que tu représentes à mes yeux.

Quand je dors je nous vois tous les deux dans mes rêves

J'aimerais pouvoir toucher ton petit visage

Si Dieu le décide peut-être qu'on pourra se revoir

 Dans sa chanson All things go, elle mentionne que cet enfant aurait 16 ans.

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La vraie sainteté : un texte du philosophe Fabrice Hadjadj

jerome_lejeune1.jpgUn texte magnifique à lire en entier sur le site de la Fondation Jérôme Lejeune du 27 octobre 2014 (via le site de l'Église catholique de Québec) :

(Photo : Denis-Soto sur wikimédia.org, licence creative commons)

Qu’est-ce qu’un bienheureux ? Il ne faudrait pas en avoir une vision niaise, de facilité, de contentement, d’agrément – une vision béate et sans béance. Celui qui a vécu dans l’ignorance du souffrir, celui qui a méconnu l’horreur de son époque et réussi à s’épanouir, comme on dit, dans un confort sans morsure ni effraction, pareil à une courge bien arrosée dans son parterre, celui-là peut bien se sentir heureux, il n’est pas bien-heureux. Je dois le rappeler au seuil de cette réflexion : le bienheureux est très éloigné de cette aisance. Il n’a pas été épargné ni ménagé, au contraire, il a été saisi par les malheurs du temps et les a illuminés de l’intérieur – d’une présence éternelle. Il n’a pas été préservé par le drame : tout droit, il est allé tout droit sur la croix parmi les malfaiteurs, blessé, souillé – le cœur pur, cependant. C’est un tragique et c’est un simple. C’est le professeur Lejeune, et ce sont les singuliers enfants qu’il aimait et dont il voulait prendre soin.

(...)

jerome_lejeune2.pngJe vois cette photo du bienheureux : le professeur sourit près de l’instrument de sa crucifixion, il sourit, là, près de l’oculaire de son microscope, qui ressemble étrangement au canon d’un pistolet. Et puis je me souviens d’un de ces bienheureux qu’il ne voyait pas d’abord comme « atteint de trisomie », mais comme poème de l’Éternel, et dont il n’a cessé de dire la bonté de l’existence. Je me souviens d’une bienheureuse saisie par le malheur, comme n’importe lequel d’entre nous, de toute façon, mais qui, à la différence de nombre d’entre nous, y garda le cœur pur, l’illumina du jaillissement sans réserve de son sourire et de ses larmes. Je me souviens de Claire Fichefeux, qui n’eut pas besoin de suivre la voie du petit pauvre d’Assise pour se dépouiller comme Claire d’Assise, parce que c’est comme s’il n’y avait en nous autres, inscrits dès le départ, que les préceptes de la loi divine, alors qu’il y avait aussi, inscrits en elle et en tous ceux de sa race d’exception, les conseils évangéliques. Et elle reste pour moi exemplaire, autant que le professeur. La jeune toujours jeune qui était atteinte par la trisomie 21 et Lejeune qui avait découvert l’origine de son mal mais témoigné plus encore du bien de son être.

claire_fichefeux.pngEt voici ce que je pense, si nous voulons recouvrer le visible, voici ce que je vois enfin, s’il est permis à l’enfant de faire quelque recommandation à sa Mère : c’est que l’Église pourrait béatifier le professeur Lejeune, et en même temps béatifier un petit mongolien, une petite mongolienne, je ne sais, un de ces dits « trisomiques » qui serait surtout « trinitaire », qu’on aurait prié et qui ferait des miracles, tout aussi bien qu’un de nos grands saints bisomiques, pourquoi pas ? Ce serait rappeler l’évidence du plus petit contre la visée microscopique. Et les grands savants coupeurs de chromosome en quatre, les géniteurs inquiets de réussite future, les chrétiens eux-mêmes qui confondent sainteté et performance spirituelle, auraient un modèle de vie pure et simple, qui leur ouvrirait peut-être enfin les yeux.

 

On pourrait placer cette phrase de l'Évangile sur la tombe de Jérôme Lejeune, lui qui avait contemplé la sainteté chez les personnes touchées par la trisomie 21 :

« (...)toutes les fois que vous l'avez fait à l'un de ces plus petits d'entre Mes frères, c'est à Moi que vous l'avez fait.» (Mt 25, 40)

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Monsieur Jean Béliveau, « un homme juste et bon »

Jean_Beliveau.jpg(Photo : Archives de la Ville de Montréal sur flickr.com, licence creative commons)

C’est ce qu’on pouvait lire dans un des livres où on laisse un mot, une salutation, pour la personne décédée.

Dans le concert d’éloges, certains ont parlé de la philanthropie, d’autres, plus exactement, de sa charité.

Parce que personne n’a parlé de la foi profonde qui animait Jean Béliveau. Toujours, il se faisait un devoir de remercier Dieu, tous les soirs disait-il, des talents qu’Il lui avait donnés et qu’il tentait de développer. Ce catholique pratiquant, présent à la messe tous les dimanches, ancien servant de messe, qui témoignait avoir comme l’un de ses plus impressionnants souvenirs, sa rencontre avec le pape Pie XII, sera censuré dans cette foi. En parler aurait été le diminuer dans l’esprit des médias…

Un homme humble, authentique, et cela certifié par les milliers de témoignages de personnes qui l’ont rencontré une fois dans leur vie, mais qui se sont senties quelqu’un parce l’homme de hockey ne semblait pas avoir d’autre préoccupation que de leur être présent, à leur écoute, parce qu’elles étaient réellement importantes pour lui.

Dans les dernières années, Jean Béliveau témoignait de son inquiétude pour le sort des personnes âgées moins nanties… Certainement qu’un projet de loi sur l’euthanasie ne devait pas lui plaire…

Comme plusieurs personnes de sa génération, il devait prendre conscience tranquillement des atteintes à la vie dans notre société, atteintes inconcevables pour un homme qui voyait le bien en chacun.

Nous tenons à saluer Monsieur Béliveau et à offrir nos condoléances à sa famille.

Merci M. Béliveau d’avoir su tenir votre place d’humble travailleur, reconnaissant de l’admiration des spectateurs, tout en conservant une attitude qui rappelait implicitement et aimablement que vous étiez un homme, pas une idole…

Pour cela même, vous avez su vous faire aimer. Parce que vous étiez un homme qui aimait les gens, et remerciait Dieu des talents qu'Il vous avait donnés, pour Sa plus grande gloire.

 

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Meurtre d'une jeune fille aux États-Unis parce qu'elle refusait d'avorter

feu.jpgSur le blog de Jeanne Smits du 2 décembre 2014 :

(Photo : Rama sur wikimédia.org, licence creative commons)

(...)Un soir Shaniesha devait envoyer un SMS à Ferdinand annonçant qu’elle était enceinte de lui, et qu’elle entendait garder l’enfant en raison des convictions religieuses de sa mère. « Tue cette m… », avait-il répondu. Lorsqu’ils se retrouvèrent peu après dans la maison d’un cousin du jeune homme, la conversation se poursivit : l’adolescente voulait garder le bébé et refusait de se faire avorter malgré l’insistance de son « ami ».
Celui-ci se saisit d’un coussin en cuir, l’étouffa, puis brûla son corps (...)
Une martyre de la Vie.

 

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Simone Veil et le « droit » à l'avortement

jean_foyer.jpg(Photo de Jean Foyer par Ciborum sur wikimédia.org, licence creative commons)

Bien que Simone Veil ait raconté n'importe quoi pour obtenir l'adhésion des parlementaires français en 1974, l'argument du « droit à l'avortement » ne faisait pas partie de sa panoplie de sophismes. Sur le site du Huffington Post du 3 décembre 2014 :

A l'occasion de son propre discours devant l'Assemblée le 26 novembre 1974, celle qui était à l'époque ministre de la Santé avait exposé on ne peut plus clairement l'esprit de sa loi: "Si elle n'interdit plus, elle ne crée aucun droit à l'avortement."

Le Monde, Libération ou Madame Figaro ont donc tout faux: Aucun droit à l'avortement n'a jamais été proclamé en France. Pas plus qu'en Europe, puisque la Commission de Strasbourg réaffirmait à l'inverse le 10 décembre dernier que l'IVG ne saurait être un "droit".

Le journaliste du Huffington Post, Pascal Bories, a raison et tort à la fois. Raison dans le discours de Simone Veil. Tort dans les intentions des pro-avortement de l'époque. Si les pro-avortement célèbrent aujourd'hui les 40 ans de la loi Veil et du « droit » à l'avortement, c'est que le discours de l'académicienne n'était que fumisterie servant dans les faits à instaurer ce « droit » à l'avortement. En cela, ils ont parfaitement raison de célébrer les 40 ans de ce « droit ». Dans tous les combats pour le « droit à l'avortement et à l'euthanasie », le mensonge est l'arme principale des partisans de la culture de mort. À qui combat pour la mort, inconsciemment, tout est permis...

Si l'on veut se souvenir de propos intelligents prononcés il y a 40 ans lors de ce débat, il faut rappeler ceux, prophétiques, de Jean Foyer, l'un des artisans de la Constitution française de 1958 et Garde des sceaux de Charles de Gaulle :

« Vous allez amener le Parlement à porter une atteinte au respect de la vie humaine, et je crains que cette atteinte ne soit suivie de beaucoup d’autres. (...) 

Plus tard, lorsque dans une France dépeuplée, le nombre des vieillards et des handicapés sera devenu insupportable, parce que disproportionné à celui des actifs, on expliquera à nos successeurs qu’une vie diminuée ou ralentie n’est plus une vie humaine et qu’elle ne vaut plus la peine d’être vécue. »

— (Discours à l'Assemblée nationale, 26 novembre 1974) (source : wikipédia)

C'est effectivement le discours prononcé aujourd'hui où l'on qualifie d'indigne « une vie diminuée ou ralentie » et « digne » la vie qui accepte d'être supprimée parce qu'elle ne respecte plus la « règle » de l'autonomie, c'est-à-dire la règle qui consiste à ne pas être un poids pour ceux qui consentent à vous tuer, parce qu'ils consentent à vous laisser vous définir vous-même comme un poids. Toute une compassion!

Le poids du vieillissement de la population entraîne dans tous les pays occidentaux, la tentation de l'euthanasie, même si l'on comble le dépeuplement par l'immigration.

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Vous pouvez communiquer avec les sénateurs pour soutenir les opposants au projet de loi s-225

senat_canadien.jpg(Photo : Mightydrake sur wikimédia.org, licence creative commons)

Deux sénateurs viennent de déposer un projet de loi sur le suicide assisté. Si une société choisit d’institutionnaliser le suicide, qu’elle ne se surprenne pas que ce fléau se répande d’autant plus au sein de la population. On ne peut pratiquer le suicide d’un côté et tenter de convaincre que le suicide n’est pas une option de l’autre. (...) La transformer en une affaire publique et transformer les soignants en complices de suicide (ou auteurs de mort induite avec l’euthanasie) change radicalement la médecine et même l’État de droit, fondé sur l’interdiction de s’entre-tuer. La Belgique en est rendue à obliger les foyers pour aînés à avoir une « boutique d’euthanasie ». Sachant combien les personnes âgées sont influençables, c’est une honte indescriptible. Mais c’est là qu’on s’en va comme société si on ouvre la porte à la mort induite médicalement. Améliorons les soins palliatifs (soins de confort, de dignité et d’autonomie) et nous éviterons toute cette dégénérescence sociale. C’est d’ailleurs la conclusion du Sénat dans chacun des rapports qu’il a produits à ce sujet. Le Sénat n’est-il pas là pour protéger la population vulnérable ?

Ward O’Connor
Montcerf-Lytton (Québec)

Pour contacter les sénateurs, voici la liste des courriels :

[email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected] ; [email protected]

 

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