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Monsieur Jean Béliveau, « un homme juste et bon »

Jean_Beliveau.jpg(Photo : Archives de la Ville de Montréal sur flickr.com, licence creative commons)

C’est ce qu’on pouvait lire dans un des livres où on laisse un mot, une salutation, pour la personne décédée.

Dans le concert d’éloges, certains ont parlé de la philanthropie, d’autres, plus exactement, de sa charité.

Parce que personne n’a parlé de la foi profonde qui animait Jean Béliveau. Toujours, il se faisait un devoir de remercier Dieu, tous les soirs disait-il, des talents qu’Il lui avait donnés et qu’il tentait de développer. Ce catholique pratiquant, présent à la messe tous les dimanches, ancien servant de messe, qui témoignait avoir comme l’un de ses plus impressionnants souvenirs, sa rencontre avec le pape Pie XII, sera censuré dans cette foi. En parler aurait été le diminuer dans l’esprit des médias…

Un homme humble, authentique, et cela certifié par les milliers de témoignages de personnes qui l’ont rencontré une fois dans leur vie, mais qui se sont senties quelqu’un parce l’homme de hockey ne semblait pas avoir d’autre préoccupation que de leur être présent, à leur écoute, parce qu’elles étaient réellement importantes pour lui.

Dans les dernières années, Jean Béliveau témoignait de son inquiétude pour le sort des personnes âgées moins nanties… Certainement qu’un projet de loi sur l’euthanasie ne devait pas lui plaire…

Comme plusieurs personnes de sa génération, il devait prendre conscience tranquillement des atteintes à la vie dans notre société, atteintes inconcevables pour un homme qui voyait le bien en chacun.

Nous tenons à saluer Monsieur Béliveau et à offrir nos condoléances à sa famille.

Merci M. Béliveau d’avoir su tenir votre place d’humble travailleur, reconnaissant de l’admiration des spectateurs, tout en conservant une attitude qui rappelait implicitement et aimablement que vous étiez un homme, pas une idole…

Pour cela même, vous avez su vous faire aimer. Parce que vous étiez un homme qui aimait les gens, et remerciait Dieu des talents qu'Il vous avait donnés, pour Sa plus grande gloire.

 

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