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Le cardinal Burke aborde le sujet des « Dubia » un an après leur publication

Burke-march.jpgLe cardinal Léo Burke.

Par dieuetmoilenulsanslui

Sommaire

En souhaitant honorer deux Cardinaux récemment décédés, le Cardinal Américain présente un dernier plaidoyer au Saint-Père pour obtenir de la clarté, affirmant que la « grave » situation s'aggrave continuellement et qu'il est « urgent » que le Pape « confirme ses frères dans la Foi ».

Mise en contexte

Un an jour pour jour depuis que les dubia ont été rendus publics, le Cardinal Raymond Burke a fait un dernier plaidoyer au Saint-Père pour clarifier les principaux aspects de son enseignement moral en parlant de la gravité de la situation qui « s’aggrave sans cesse ».

Dans une interview le 14 novembre avec le National Catholic Register, le Cardinal Burke dit qu'il se tournait à nouveau vers « le Saint-Père et toute l'Église » pour souligner « combien il est urgent que, dans l'exercice du ministère, qu'il a reçu du Seigneur, le Pape devrait confirmer ses frères dans la Foi avec une expression claire de l'enseignement concernant à la fois la morale Chrétienne et le sens de la pratique sacramentelle de l'Église ».

Le 19 septembre l'année dernière, le Cardinal Burke ainsi que le Cardinal Walter Brandmüller, et les Cardinaux Joachim Meisner et Carlo Caffarra, ces deux derniers étant récemment décédés, ont signé les dubia au Pape. Ils ont rendu cette initiative publique le 14 novembre 2016, quand il est devenu clair que le Saint-Père ne répondrait pas.

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Comment la photo d’un enfant à naître a aidé les générations futures à devenir pro-vie

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Par Carole Novielli (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Plusieurs d’entre nous l’ont portée, d’autres l’ont sûrement déjà vue : l’épinglette emblématique pro-vie, les « Pieds précieux » (Precious Feet). Mais quelle est l’histoire derrière ce symbole ?

Au début des années 1970, le Dr. Russell Sacco, un urologue d’Oregon à cette époque, était au courant de la pratique de l’avortement avant l’arrêt Roe v. Wade, à cause de ceux qui parlaient ouvertement de ce sujet. « En tant que médecin, je savais que l’avortement tue des enfants, qu’il tue des êtres humains », a-t-il déclaré dans une entrevue publiée sur Vimeo.

Dr. Sacco a dit qu’il avait commencé à lire des « livres d’anatomie », et quand la Cour Suprême a statué que tuer les enfants à naître était « légal », il est devenu « furieux », selon ses propres mots.

Peu après, Sacco a rencontré un pathologiste qui était lui aussi anti-avortement. Ce pathologiste « … était supposé prendre les enfants qui avaient été tués et détruire leur corps. Mais il m’a dit qu’il ne faisait pas cela ; il n’aimait simplement pas faire cela. »

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Un professeur menacé de perdre son emploi pour avoir « mal genré » une fille trans qui se dit garçon

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Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)

Joshua Sutcliffe, 27 ans, a été convoqué par la direction de son école publique secondaire dans l’Oxfordshire, en Angleterre, et suspendu, pour avoir lancé « Beau travail, les filles » à une adolescente et son amie en voyant qu’elles travaillaient d’arrache-pied sur des exercices de mathématiques. L’adolescente en question, une transgenre qui se dit garçon, avait rectifié – et le professeur de mathématiques s’était excusé sur-le-champ de l’avoir « mal genré ». Mais la mère de l’enfant s’étant plainte aux responsables de l’école, Sutcliffe a été appelé à s’expliquer six semaines plus tard, une enquête est en cours et il risque désormais l’exclusion pure et simple, et donc de perdre son emploi (et à la clef, son salaire de 33.750 euros par an).

Il se trouve que Joshua Sutcliffe ne se cache pas d’être chrétien ni d’avoir quelques difficultés à utiliser des pronoms masculins à l’égard de l’élève. Cependant, aucune instruction officielle n’avait été donnée sur la manière de s’adresser à l’élève, et dans un esprit de « respect et de tolérance », il avait décidé avec d’autres membres du corps enseignant de s’adresser à lui au moyen de son prénom masculin choisi.

Joshua Sutcliffe, un professeur qui pourrait être licencié pour avoir mal genré un élève transgenre

Sutcliffe a décidé de parler de l’affaire dans la presse pour annoncer notamment qu’il doit se rendre à une convocation disciplinaire formelle cette semaine où il devra répondre d’une accusation de faute professionnelle pour avoir « mal genré » son élève. Selon le Mail on Sunday une accusation supplémentaire porte sur le fait qu’il s’est adressé à l’élève par son prénom plutôt qu’en se référant à lui par le pronom « il » ou « lui ».

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Les prêtres de Madison pourraient refuser les funérailles chrétiennes aux catholiques LGBT revendiqués

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Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)

C’est pour éviter le scandale public que de nouvelles directives du diocèse de Madison dans le Wisconsin aux Etats-Unis ont établi des règles de prudence pouvant aller jusqu’au refus pur et simple des funérailles chrétiennes aux catholiques LGBT revendiqués. Le diocèse rejoint ainsi l’exemple donné par Mgr Thomas Paprocki à Springfield, Illinois, qui cet été a interdit les funérailles religieuses ainsi que l’accès à l’Eucharistie aux catholiques de trouvant au sein d’un « mariage » homosexuel. Dans le Wisconsin, il s’agit des catholiques engagés dans une union homosexuelle civile ou « notoire ».

Les directives du diocèse de Wisconsin n’étaient pas destinés à devenir publiques : elles avaient été diffusées par courriel par le vicaire général, le P. James Bartylla, à l’ensemble des prêtres du diocèse mais ont été publiées sur un blog. Dans un premier temps attribuées à l’évêque, Mgr Robert Morlino, elles ne portent pas sa signature, a précisé un communiqué du diocèse par la suite ; celui-ci a souligné cependant qu’elles correspondent à ce que pense l’évêque même si elles ne constituent pas une politique diocésaine officielle.

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Les parents d’un bébé ayant une anencéphalie rejettent l’avortement proposé par un médecin

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Par Micaiah Bilger (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Pour Brandi et Michael Rogers, la vie de leur fille Emersyn n’a pas moins de valeur que celle de leurs autres enfants simplement parce qu’elle est encore dans le ventre de sa mère.

La famille qui est d’Effingham en Caroline du sud a récemment repoussé la proposition du médecin, qui consistait en l’avortement d’Emersyn, après que des tests aient révélé qu’elle était atteinte d’une condition fatale, soit une anencéphalie, raconte le Daily Mail.

Le couple Rogers affirme que Emersyn vivra et sera aimée jusqu’à sa mort naturelle...

Au départ, les médecins ont détecté du liquide dans le cerveau de bébé Emersyn, et selon le rapport médical, elle avait de bonnes probabilités de survie. Ensuite, les médecins ont découvert que le bébé à naître était atteint d'anencéphalie, une condition habituellement mortelle.

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La chrétienté est la solution - Retour sur un colloque mémorable

Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie

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Georges Buscemi.

Le colloque du 4 novembre fut grandement apprécié des participants de cette journée mémorable. Tenu au centre-ville de Montréal à l’Hôtel Europa, il a rassemblé la famille Campagne Québec-Vie par des conférences sur la famille, la religion, la politique et les moyens de protéger l’enfant à naître. J’ai débuté la session sur le thème « Partir d’Omelas : savons-nous où nous allons ? »

Omelas, c’est une cité utopique décrite dans un récit de science-fiction d’Ursula K. Le Guin intitulé « Ceux qui partent d’Omelas ». Mais cette cité des délices cache un terrible secret : son bon fonctionnement, le bonheur de ses citoyens, dépend directement des atroces peines qu’on inflige à un seul enfant de cette ville, enfant que l’on garde enfermé dans un cachot humide. Les parallèles entre cette ville fictive et notre situation contemporaine sont évidents lorsque nous constatons que la soi-disant « liberté » des Québécoises et des Québécois existe aux dépens des vies broyées de plus de 30 000 enfants à naître par année. Cependant, si nous voulons « partir d’Omelas », c’est-à-dire laisser derrière nous cette situation d’injustice et de meurtre, où devons-nous aller, quelle sorte de cité meilleure cherchons-nous? Et ma réponse, qui est venue au terme d’un argumentaire que je ne peux reproduire ici : au sacrifice sanglant qui fonde notre cité injuste, nous devons substituer le sacrifice suprême du Christ. En d’autres mots, seule une cité chrétienne peut durablement et convenablement remplacer la cité injuste d’aujourd’hui.

Le second conférencier, l’historien Jean-Claude Dupuis, a abordé la question très controversée d’une supposée politique nataliste chez le clergé d’avant la Révolution tranquille. Intitulée « La légende noire du clérico-natalisme », sa présentation a effectivement réfuté, avec maintes preuves, le mythe selon lequel le clergé québécois refusait aux femmes l’absolution comme conséquence de ne pas avoir fait assez d’enfants.

Cette présentation est maintenant en ligne:

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Anne-Marie Genest.

Pour sa part, notre dernière conférencière, Anne-Marie Genest, a souligné l’importance de la chasteté et de la pudeur, arguant que l’avortement n’est qu’un symptôme tragique d’un dérèglement au niveau des mœurs sexuelles qui a frappé l’Occident au courant des années 60, et même bien avant.

Finalement, certains d’entre nous sommes restés pour discuter, lors d’une réunion en soirée, des moyens de tirer profit des élections provinciales de 2018 et fédérales de 2019 pour faire avancer notre projet d’un Québec de nouveau chrétien et pro-vie.

Toutes les conférences seront publiées prochainement sur YouTube, à l’adresse : www.youtube.com/campagnequebecvieMerci de votre soutien !

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Une clinique d’avortement « bénite » par des dirigeants religieux

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Par Reinformation.tv

La clinique Whole Woman’s Health de Fort Worth a été le théâtre d’une cérémonie religieuse où les avorteurs, les donateurs, le personnel de la clinique et les patientes ont chanté « Hallelujah » et prié avec des prêtresses et des révérendes.

Celles-ci voulaient mettre l’accent sur la présence de « gens de foi progressistes, même au Texas » et contrer le discours d’« extrême droite » sur le refus religieux de l’avortement. « Les femmes ont un droit donné par Dieu de prendre des décisions par rapport à leur propre vie », a indiqué une responsable de la « justice reproductive » au Religious Institute.

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Trump blâme les avortements et les infanticides de la Corée du Nord

kim-jong-un.jpgKim Jong Un.

Par Claire Chretien — traduit par Campagne Québec-Vie

Corée du Sud, 8 novembre 2017 (LifeSiteNews) — Le président Trump blâme les avortements forcés et les infanticides qui sont régulièrement pratiqués en Corée du Nord, demandant pourquoi la Chine devrait se « sentir obligée » d’aider un pays qui tue les bébés chinois parce qu’ils considérés comme étant « inférieurs ».

« Les femmes nord-coréennes sont forcées d'avorter les bébés considérés comme ethniquement inférieurs », a déclaré Trump à l'Assemblée nationale sud-coréenne. « Et si ces bébés sont nés, les nouveau-nés sont assassinés ».

« Le bébé d'une femme, ayant un père chinois a été emporté dans un seau », a rappelé Trump. « Le gardien a dit qu'il ne méritait pas de vivre parce qu'il était impur ».

« Aussi pourquoi est-ce que la Chine devrait-elle se sentir obligée d’aider la Corée du Nord ? » questionna-t-il.

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Ces jumelles siamoises, qui partagent une unique paire de jambes, auraient pu être avortées si leur mère avait cédé

Jumelles-siamoises-Callie-Carter-Torres-2.JPGCallie et Carter Torres.

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Les jumelles siamoises Callie et Carter Torres, de l’État de l’Utah, sont en train d’apprendre à marcher, un peu plus d’un an après que les médecins aient recommandé à leur mère de les avorter.

Le Daily Mail rapporte que les jumelles de 9 mois ont récemment reçu un trotteur fait sur mesure, pour les aider dans l’apprentissage des jambes et des pieds qu’elles partagent.

Callie et Carter sont des jumelles omphalo-ischiopages, ce qui signifie qu’elles sont reliées par l’estomac et qu’elles partagent le même bassin et la même paire de jambes. Dans les parties supérieures de leur corps elles sont tournées l’une vers l’autre.

Les jumelles ont leurs propres organes vitaux, de tel sorte qu’il serait possible de les séparer un jour. Cependant, leurs parents Chelsea and Nick Torres, originaires de l’Idaho mais vivant en ce moment dans l’Utah, ont affirmé que les possibilités n’étaient pas pour tout de suite.

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Sous la pression de l’ONU, l’Irlande a indemnisé une femme « contrainte » d’aller se faire avorter en Angleterre

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Par Reinformation.tv

Siobhan Whelan a obtenu des dommages de 30.000 euros de la part de l’Etat irlandais pour n’avoir pas obtenu un avortement médical à la suite du diagnostic d’une anomalie fatale affectant son enfant à naître.

C’est le résultat d’une négociation entamée après que le Comité des droits de l’homme de l’ONU eut affirmé que les droits de Mme Whelan avaient été violés par ce refus. La négociation, comme le souhaitait le comité, a également prévu le financement de séances de conseils psychologiques pour la jeune femme.

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