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Le témoignage de l'ancien ministre de la justice espagnol sur le retrait du projet de loi protégeant les enfants à naître

gallard.JPGSur le site de chretiente.info du 18 novembre 2014 :

(Photo : wikimédia sans copyright)

L’ancien ministre de la Justice, Alberto Ruiz Gallardon affirme que le retrait de la réforme de la loi sur l’avortement pour laquelle il démissionna le dégoûte :

« Peu m’importe que ce soit arrivé parce qu’un lobby économique a fait pression ou parce que quelqu’un aurait pu penser que c’est un bénéfice électoral, cela m’est égal. Que ce soit pour une raison ou pour une autre, la seule chose que je ressens est du dégoût ».

Des « Ponce Pilate » il y en aura toujours...

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Avortement et viol sont deux traumatismes : le premier ne peut résoudre le second...

viol_et_avortement.jpgSur le blog de Jeanne Smits du 17 novembre 2014

(Photo : Steve-©-foto sur flickr.com, licence creative commons)

 

(...)Dans le viol suivi d'une fécondation, c'est-à-dire là où est conçue une nouvelle vie humaine, il y a deux victimes : la mère (la femme violée) et l'enfant.
« Le fruit de cet acte violent est un “enfant innocent” qui a droit à la vie et qui ne porte pas la culpabilité de cette action si brutale. Ce n'est pas “l'enfant innocent” qu'il faut punir en le tuant : il faut poursuivre et châtier le violeur avec tout le poids de la loi. » (...)
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Très bonne lettre sur l'éducation sexuelle à l'école

ecole.jpgÉducation sexuelle : buts et résultats ?

(Photo : Claude Robillard sur flickr.com, licence creative commons)

Les enfants font l’objet d’une hypersexualisation dénoncée de toutes parts. Le rôle des éducateurs serait-il d’agresser de plus belle les enfants, surtout dans leur période de latence sexuelle naturelle jusqu’à douze ans, ou ne serait-il pas plutôt de de tenter de renverser cette vapeur si destructrice de leur personne ? Si éducation sexuelle signifie ce qui suit, alors c’est parfait : Chérir et renforcer la pudeur chez nos enfants, qualité essentielle à une relation de couple saine ; Informer qu’une grossesse trop difficile à assumer sur deux résulte de l’échec de la contraception et mène à plus de 100 000 avortements chaque année au Canada ; informer que bon nombre d’infections transmises sexuellement se transmettent par des régions du corps non couvertes par le condom ; informer que le vaccin contre le VPH n’est pas efficace contre toutes les souches de la maladie, laquelle mène à 90 % des cas de cancer du col de l’utérus ; freiner les pressions de la société vers la promiscuité, vers le désengagement (déresponsabilisation), vers le traitement de l’autre comme un objet dont on se sert pour notre propre plaisir personnel. Dans de tels buts, la responsabilité d’éducateur est bien assumée.

Isabelle O’Connor

Gatineau (Québec)

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L'avortement et l'euthanasie sont « des péchés contre Dieu créateur » affirme le pape François


pape_francois2.jpgSur le site de Radio-vaticana du 15 novembre 2014

(Photo : Catholic Church (England and Wales) sur flickr.com, licence creative commons)

Le Souverain Pontife a souligné que l’avortement n’est pas problème religieux ni même philosophique. C’est un problème « scientifique » parce qu’il est « illicite » de détruire une vie humaine pour résoudre un problème. Et ce principe, a-t-il assuré, ne pourra pas changer avec le temps. « Tuer a la même signification aujourd’hui que dans le passé. Cela vaut aussi pour l’euthanasie, y compris l’euthanasie cachée dont sont victimes les personnes âgées ».

Le Saint-Père s’en est pris à la pensée dominante qui propage une fausse compassion sur l’avortement, l’euthanasie et la fécondation in vitro. On veut faire croire que l’avortement est une aide apportée aux femmes, que l’euthanasie est un acte de dignité, que le fait de fabriquer un enfant est une conquête scientifique. L’enfant n’est pas est un droit, a-t-il martelé, mais un don à accueillir. 

Un article à lire.

 

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Un produit dangereux pour les prématurés

perfusion.jpgSur le site du journal La Presse du 14 novembre 2014 :

Le DEHP n'est pas lié chimiquement au PVC et peut se propager aux tissus humains avec lesquels il entre en contact. Les chercheurs ont mesuré que l'exposition des prématurés au DEHP est de 4000 à 160 000 fois supérieure au seuil jugé sécuritaire.

Le DEHP est utilisé dans la composition des « tubes à perfusion intraveineuse, les cathéters, les tubes endotrachéaux et les sacs utilisés pour recueillir des fluides. »

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La génétique jouerait un rôle mineur dans l'homosexualité

genetique.jpgSur le site du Nouvel Observateur du 3 mars 2014

(Photo :  greyloch sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Chercheur affilié, à l'époque, aux Instituts nationaux de la santé américains (NIH), Hamer (et son équipe) avait trouvé que ce marqueur s'observait un peu plus fréquemment chez les homosexuels mâles que dans le reste de la population. Et, bien qu'un marqueur ne soit pas à proprement parler un gène, mais plutôt une petite variation d’écriture au sein d’un gène, la découverte avait fait le tour du monde (...)

De fait, en l'état actuel de nos connaissances, l'homosexualité masculine se fonde entre 30 à 40% sur des facteurs strictement héréditaires et les "déterminants" de l'orientation sexuelle relèvent d'un mélange complexe et inextricable d'éléments génétiques, hormonaux, environnementaux ou encore sociaux. (...)

Le Dr Alan Sanders, docteur en psychiatrie, qui a participé à l'étude, affirme (mali-web.org du 16 février 2014) :

« Quand on parle de gènes de l’homosexualité, c’est une simplification excessive. Quel que soit le gène qui contribue à l’orientation sexuelle, il va jouer un rôle de variation du trait en question et se pencher plutôt vers l’hétérosexualité ou l’homosexualité. » 

Les recherches sont loin d'être terminées.

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Entrevue-débat à Radio-Canada sur le mythe de la surpopulation, l'obsession de Bill Gates et de sa fondation

gates_fondation.JPGSur le site de Radio-Canada du 12 novembre 2014, à l'émission de Catherine Perrin, écouter à partir de la 8e minute :

(Photo : Kjetil Ree sur wikimédia.org, licence creative commons)

Ça vient de gens plutôt aisés, qui vivent dans une certaine abondance, qui ont besoin de beaucoup de place pour leur mode de vie, qui ont peu d'enfants, qui se disent, eux, civilisés, éduqués, émancipés, conscients, responsables. Ils s'inquiètent de l'autre partie de l'humanité qui, elle, est primitive, barbare, pas civilisée, dominée, inconsciente, irresponsable et qui fait donc trop d'enfants. »

Le discours sur la surpopulation est toujours le discours d'un riche qui craint de devoir partager... Sur le site de genethique.org du 14 novembre 2014 :

Un accord a été trouvé entre le laboratoire américain Pfizer, la fondation Gate et la Children’s Investment Fund Foundation, pour étendre un nouveau contraceptif dans 69 pays pauvres. La mise à disposition à grande échelle de ce contraceptif se fera à partir d’un programme pilote, déjà été expérimenté dans les pays les plus pauvres, tels que le Burkina Faso, le Niger et le Bangladesh.

On peut clairement parler de racisme ici, alors que les pollueurs de la planète, sont les pays riches...

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La Congrégation de la doctrine de la foi a répété avec clarté la doctrine intangible sur les divorcés remariés

couple.jpgSur le site de l'Homme Nouveau du  12 novembre 2014, un article à lire en entier, dont voici un extrait :

(Photo : be creator sur flickr.com, licence creative commons)

« On ne peut exclure a priori les fidèles divorcés remariés d’une démarche pénitentielle qui déboucherait sur la réconciliation sacramentelle avec Dieu et donc aussi à la communion eucharistique. Le Pape Jean-Paul II dans l’Exhortation apostolique Familiaris consortio (n. 84) a envisagé une telle possibilité et en a précisé les conditions : “La réconciliation par le sacrement de pénitence – qui ouvrirait la voie au sacrement de l’Eucharistie – ne peut être accordée qu’à ceux qui se sont repentis d’avoir violé le signe de l’Alliance et de la fidélité au Christ, et sont sincèrement disposés à une forme de vie qui ne soit plus en contradiction avec l’indissolubilité du mariage. Cela implique concrètement que, lorsque l’homme et la femme ne peuvent pas, pour de graves motifs – par exemple l’éducation des enfants –, remplir l’obligation de la séparation, ils prennent l’engagement de vivre en complète continence, c’est-à-dire en s’abstenant des actes réservés aux époux” (cf. aussi Benoît XVI, Sacramentum caritatis, n. 29).

La démarche pénitentielle à entreprendre devrait prendre en compte les éléments suivants :

1 – Vérifier la validité du mariage religieux dans le respect de la vérité, tout en évitant de donner l’impression d’une forme de “divorce catholique”.

2 – Voir éventuellement si les personnes, avec l’aide de la grâce, peuvent se séparer de leur nouveau partenaire et se réconcilier avec celles dont elles se sont séparées.

3 – Inviter les personnes divorcées remariées, qui pour de sérieux motifs (par exemple les enfants), ne peuvent se séparer de leur conjoint, à vivre comme “frère et sœur”.

En tout état de cause, l’absolution ne peut être accordée qu’à condition d’être assurée d’une véritable contrition, c’est-à-dire “de la douleur intérieure et de la détestation du péché que l’on a commis, avec la résolution ne peut plus pécher à l’avenir” (Concile de Trente, Doctrine sur le Sacrement de Pénitence, c. 4). Dans cette ligne, on ne peut absoudre validement un divorcé remarié qui ne prend pas la ferme résolution de ne plus “pécher à l’avenir” et donc de s’abstenir des actes propres aux conjoints, et en faisant dans ce sens tout ce qui est en son pouvoir ».

Luis F. Ladaria, sj, archevêque titulaire de Thibica, Secrétaire.

Les explications que donne l'abbé Claude Barthe sur le sujet sont judicieuses.

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La maîtrise sexuelle n’est pas innée : elle est à conquérir tant par la femme que par l’homme

solange_lefebvre_pageau.jpgPar Solange Lefebvre-Pageau

Ce qui m’a particulièrement remué le cœur, suite aux allégations de harcèlement faites par deux députées néo-démocrates sur la colline de notre Parlement, c’est de constater qu’une authentique égalité homme-femme ne va pas de soi. Constat étonnant ? Pas vraiment pour moi, infirmière de profession, maman et grand-maman qui, depuis plus de quatre décennies, lutte pour le bien de nos enfants et de nos jeunes dans le monde de l’éducation à l’amour et à la sexualité intégrés.

Pour devenir des êtres affectivement et sexuellement harmonieux, capables de vivre d’honnêtes relations interpersonnelles homme-femme dans le monde du travail ou ailleurs, cela exige, au départ et avant tout, une famille ! Oui, une famille saine, aimante et disponible où, dans le cadre de l’éducation familiale, l’enfant, de sa naissance à sa maturité, apprend graduellement à intérioriser puis à intégrer deux éléments d’humanité essentiels et indissociables : l’amour et la sexualité.

Mais, dans notre société de droits, y compris sexuels, qu’est devenue l’estime et le respect de la noble institution de la famille, qui est appelée à favoriser pour l’enfant une enfance véritable, accompagnée d’une solide éducation à la vie familiale ? À mon avis, la famille a été oubliée, négligée. On a fait fi de son statut, de sa mission et de ses droits. La famille, première école d’humanisation et de socialisation, est l’école la plus essentielle à tout être humain. Jean Vanier, prophète de notre temps, l’a déjà bien souligné. Il semble qu’on en soit arrivé à ignorer cette vérité : qui sait vivre en famille, sait vivre en société.

Alors, est-il surprenant qu’aujourd’hui un grand nombre de personnes, victimes d’une carence dans l’éducation à une vraie vie familiale, ne puissent avoir des rapports respectueux entre hommes et femmes ? Pour parler clairement, a-t-on à nous surprendre qu’aujourd’hui trop d’hommes (leur nature étant plus génitale que celle de la femme) sous l’influence de leurs pulsions sexuelles non maîtrisées, osent des paroles et même des touchers licencieux sur des compagnes en vue de les amener progressivement à l’acte sexuel ? Il arrive même que les « séducteurs » se fassent agresseurs en usant de force et de violence pour obtenir ce qu’ils désirent.

Je ne peux passer sous silence l’envers de la médaille : la femme (de nature plutôt affective) souhaite plaire à l’homme, aux hommes. Aussi, lui arrive-t-il parfois, par légèreté et imprudence, d’être provocatrice pour certains collègues, de se prêter à un début d’un jeu sexuel et, inconsciemment ou pas, de se situer avec l’homme sur la pente très glissante conduisant à l’acte sexuel. Souvent l’attitude équivoque de la femme peut laisser entendre à l’homme une invitation implicite, une acceptation à poursuivre.

Allons encore plus loin. Nous savons que l’homme aime toucher la femme et que la femme aime être touchée par l’homme, comme en témoignent ces paroles d’une grande amie : « J’ai tellement aimé le toucher à mes seins par cet homme que j’arrive difficilement à le regretter. C’était si bon ! Mais, je ne voudrais pas recommencer. » Cette confidence ne nous démontre-t-elle pas la faiblesse de la chair pour tous et pour toutes et aussi le défi pour chacun d’acquérir une grande force d’âme qui nous achemine vers la difficile conquête de la maîtrise sexuelle ?

Pour assumer de saines relations interpersonnelles entre hommes et femmes, en milieu de travail et ailleurs, tant chez les jeunes que chez les adultes, il ne nous suffit pas d’avoir été correctement éduqués en milieu familial. Nous avons aussi besoin d’un environnement qui soutienne et fortifie notre être intérieur afin de vivre dans la dignité, le respect et la fidélité de l’amour. Nous avons besoin d’un climat social sain et responsable.

Malheureusement, ce climat social si nécessaire pour nous aider à maîtriser notre instinct sexuel n’existe plus dans nos sociétés contemporaines engagées sur la voie du relativisme et du libéralisme sexuel ou encore sur la voie d’une laïcité fermée à Dieu, lui, qui dans sa sagesse, nous invite à situer l’œuvre de la chair dans le mariage.

Constatons deux moteurs de ce changement social :

1. La modification répétée du Code criminel pour l’adapter au mode de vie sexuelle de certains groupes de pression, sans référence à Dieu. Cela débuta avec le bill fédéral omnibus, le 14 mai 1969.

2. Le complot mondial d’une pseudo éducation à la sexualité dissociée de l’amour, dépourvue d’un cadre anthropologique pertinent, soutenue par une Charte des droits et libertés et des lois déshumanisantes. Cette « éducation » contribue à développer chez les jeunes une attitude irresponsable face à leurs forces affectives et sexuelles.

En ce moment précis de notre histoire, je réaffirme mon indignation et ma tristesse de voir tant d’hommes et de femmes victimes de la pseudo éducation sexuelle imposée dans nos écoles du Québec, tant privées que publiques et tant primaires que secondaires, depuis le 1er juillet 1988. À la lumière de la pédagogie de la démarche d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité, que j’ai développée, j’y vois le plus grand des viols : viol du corps, du cœur et de l’âme de nos jeunes !

On a oublié que les intervenants auprès des enfants, des adolescents et des jeunes adultes, à commencer par leurs parents, avaient la cruciale responsabilité de les aider à découvrir le sens et la finalité de l’amour et de la sexualité, à acquérir la force intérieure pour se vaincre soi-même et à développer leur volonté pour résister à ce qui ne leur convient pas.

Face à la grave problématique de la non-éducation à la maîtrise de l’instinct sexuel, cause de dommages profonds et longs à guérir, tant chez les victimes de viol que chez leurs agresseurs, je souhaite qu’on ait rapidement le courage de proposer le débat de société qui s’impose. Et qu’ensuite nous unissions nos forces pour favoriser chez chaque nouvelle génération une saine éducation où amour et sexualité sont intégrés.

C’est le défi que je nous propose comme société en quête d’un monde plus beau, meilleur et en santé.

Solange Lefebvre-Pageau, M. Sc., infirmière à la retraite

Fondatrice et directrice
Centre international de recherche et d’éducation familiale
209-3500, av. Benny, Montréal, QC H4B 2R8
514.342.0695 [email protected] www.ciref.ca

 

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45 minutes après un arrêt cardiaque, elle revient à la vie!

lit_hopital.jpgSur le zenit.org du 11 novembre 2014 :

(Photo : jackhynes sur flickr.com, licence creative commons)

« C’est un miracle, Dieu a écouté nos prières » estime la sœur de Ruby Graupera-Cassimiro, 40 ans, de Deerfield Beach (Etats-Unis) : elle n’hésite pas à parler d’une intervention céleste.

Le cœur de cette maman de deux enfants a en effet cessé de battre pendant 45 minutes après la naissance de sa petite fille, par césarienne, à l’hôpital régional Boca Raton de Floride, le 23 septembre dernier, rapporte The Sun Sentinel.

L’équipe d’une douzaine de médecins et infirmières n’a pas réussi à la réanimer pendant plus de deux heures et a annoncé à la famille qu’il n’y avait plus rien à faire.

(...)

À lire.

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