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Une grand-mère au cœur brisé de voir son petit-fils «transitionner» en «fille»

Par Lianne Laurence ― traduit par Campagne Québec-Vie

10 avril 2019 (LifeSiteNews) — Une grand-mère du Massachusetts dit qu’elle s'endort épuisée d'avoir pleuré chaque soir parce que sa fille lesbienne est déterminée à faire « transitionner »* son petit-fils de 10 ans en « fille », disait-elle au Christian Post le mois dernier.

Cette grand-mère de 57 ans, qui a raconté son histoire sous le couvert de l’anonymat, s'était brouillée avec sa fille pendant deux ans après que celle-ci ait insisté pour qu’elle accepte la « transition »* et de traiter son petit-fils Jack en tant que Jacquelyn.

« Je n'accepterai jamais cette idée », a dit la grand-mère au Christian Post.

« Rien ne me fera changer d’avis… Et cela ne m’empêche pas de les aimer. J’aime ma fille. J’aime mon petit-fils. Mais le mal est mal. Je ne peux pas et je n’essaierai pas de me convaincre de quelque chose qui n’est pas vrai. »

La situation a provoqué la résurgence du traumatisme de l'agression sexuelle qu'elle a subie elle-même étant enfant, racontait cette grand-mère, parce que ce qui arrive à son petit-fils, qui devait subir un régime de bloqueurs de puberté à l’âge de neuf ans, est similaire.

Elle croit également que son petit-fils ne serait pas aussi perturbé s’il n’avait pas « passé ses années formatrices » à voir l’« épouse » lesbienne de sa mère faire sa « transition »* en « homme »*.

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Sa fille s’est « mariée » avec une lesbienne dans le Maine en 2013, alors que Jack n’avait que quatre ans, racontait cette grand-mère.

Sept mois après le « mariage », l’« épouse » de sa fille a décidé qu’elle était un homme, a changé de nom et a commencé à prendre de la testostérone. Le couple de lesbiennes s’est séparé l’année dernière et partage la garde de l’enfant.

Jack a commencé à dire à sa grand-mère qu’il était Jacquelyn à l’âge de sept ans, lorsque sa mère a entrepris de lui donner des vêtements féminins. La mère a également déclaré sur Facebook que Jack avait été mis sous bloqueurs de puberté quand il a eu neuf ans.

Même si la grand-mère ne connaissait pas bien le « transgenrisme »* et qu’elle voulait ce qui était le mieux pour son petit-fils, elle fit des recherches et les résultats obtenus l’ont rapidement « horrifiée » au regard de ce qui lui était réservé.

Les relations entre elle et sa fille étaient tendues au sujet de la situation jusqu’en février 2017, quand cette grand-mère n’habilla pas son petit-fils avec une robe d’été, que sa mère lui avait préparée, parce qu’il faisait trop froid. Depuis, la mère a tenu Jack loin de sa grand-mère.

Avant la dernière dispute, la grand-mère et son mari étaient allés voir une travailleuse sociale en mai 2016 à la demande de leur fille.

La travailleuse sociale a été gentille et courtoise lors de la première rencontre, mais catégorique lorsque les grands-parents, avec leur fille et son « épouse » lesbienne, sont venus à son bureau un mois plus tard.

« Votre petite-fille ne se prend pas pour une fille. C’est une fille », a déclaré l’assistante sociale.

« J’ai commencé à lui crier vers elle et j’ai dit « Non, ce n’est pas vrai », a dit la grand-mère, puis elle s’est retournée et a crié à l’« époux » transgenre de sa fille : « Mon petit-fils n’est pas plus une fille que vous êtes un homme. »

À la suggestion de sa fille, elle a aussi essayé de regarder l’émission TLC reality je suis Jazz de TLC, basée sur l’histoire de la « fille » transgenre Jazz Jennings, mais elle l’a trouvé tellement répugnant qu’elle n’en regarda que deux épisodes avant d’envoyer un message à sa fille : « Vous avez laissé mon petit-fils regarder cette cochonnerie? Il a 7 ans. Et vous le laissez regarder cette cochonnerie? »

La conscience croissante de la grand-mère quant aux dangers des bloqueurs de puberté l’a incitée à exprimer son indignation et son dégoût sur Facebook et à se connecter sur Twitter avec d’autres personnes vivant des circonstances similaires.

Elle a aussi perdu des amis qui ont insisté pour qu'elle accepte la « transition »*.

Son petit-fils lui manque beaucoup et elle est profondément inquiète de ce qu’il souffrira d’effets nocifs et irréversibles à long terme du traitement médical expérimental, sans parler de la détresse psychologique et émotionnelle. « Je m’endors en pleurant chaque soir en y pensant », dit-elle.

Elle a aussi commencé à boire et a des pensées suicidaires.

« Je ne pense pas que je pourrais me suicider, mais je veux simplement mourir. Cela m’a tellement détruite que je veux simplement mourir », confia-t-elle au Christian Post.

« Et puis je pense à mon mari, et je pense à mon autre petit-enfant, et je me ressaisis et je repars pour un autre jour. »

Pour ce qui est des parents qui pensent que leur enfant pourrait être perturbés par leur « genre » la grand-mère dit de ne pas prendre cela trop au sérieux.

« Laissez votre enfant être un enfant », a-t-elle dit : « Ne les emmenez pas dans une clinique pour le « genre ». Ils n’ont pas besoin de thérapie à cet âge. Ils doivent simplement avoir le droit de jouer. [Et même, personne n’a besoin de ces « thérapie]**


*Parenthèses rajoutés par A. H.

** Commentaire de A. H.



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