La méthode de la capsule-suicide Sarco constitue une torture
La capsule Sarco.
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ratel/Wikimedia Commons
La capsule de suicide Sarco est vendue au public comme une méthode de mort facile et sans douleur. Le Sarco(phage) est également conçu de manière élégante pour donner l’impression qu’il est à la mode de mourir de cette manière. Mais comment fonctionne réellement la mort par azote gazeux ?
La capsule Sarco tue la personne qui s’y enferme en libérant de l’azote gazeux dans l’enceinte, ce qui provoque la mort par asphyxie. The Guardian a rapporté que Nitschke, l’inventeur de la capsule suicide, a décrit de cette manière le premier décès survenu dans la capsule suicide Sarco :
Lire la suiteIl (Nitschke) a dit qu’il pensait qu’elle avait perdu conscience « dans les deux minutes » et qu’elle était morte au bout de cinq minutes. « Nous avons vu de petites contractions saccadées des muscles de ses bras, mais elle était probablement déjà inconsciente à ce moment-là. C’est exactement ce à quoi nous nous attendions ».
Nouvelle étude : les personnes qui subissent une opération de transition ont 12 fois plus de risques de se suicider
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Martin Barraud/Caia Image/Adobe Stock
23 mai 2024 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude complète fournit les preuves sans équivoque que ceux qui subissent une chirurgie dite de « réassignation de genre » s’exposent à un risque de suicide considérablement accru — un risque stupéfiant 12 fois supérieur à celui de la population générale.
L’étud de grande envergure, « impliquant 56 organismes de santé américains et plus de 90 millions de patients », a analysé les données recueillies sur une période de 20 ans, de février 2003 à février 2023, en examinant « les tentatives de suicide, les décès, les automutilations et les troubles de stress post-traumatique (TSPT) dans les cinq ans suivant l’événement index ».
Les chercheurs ont comparé les expériences des personnes âgées de 18 à 60 ans qui se sont rendues aux urgences d’un hôpital et qui avaient subi une opération de « transition » à celles des personnes qui s’étaient rendues aux urgences sans avoir subi d’opération de transition : un pourcentage impressionnant de 3,47 % des personnes ayant subi une opération de « transition » ont été traité pour des tentatives de suicide, contre 0,29 % pour les patients n’ayant pas subi d’opération de « transition ».
Principale conclusion de l’étude : « Les personnes ayant subi une chirurgie d’affirmation du genre [sic] présentaient un risque de tentative de suicide 12,12 fois plus élevé que celles qui n’en avaient pas subi ».
Lire la suiteElon Musk : « Les contraceptifs hormonaux font grossir, doublent le risque de dépression et triplent le risque de suicide »
Elon Musk.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
19 février 2024 (LifeSiteNews) — Elon Musk, milliardaire propriétaire de la plateforme de médias sociaux X, a fait connaître les graves dangers des contraceptifs abortifs vendredi, générant une réponse virale d’affirmation, y compris de femmes témoignant de la façon dont ces produits chimiques leur ont fait du mal.
Depuis la révolution sexuelle des années 1960, le contrôle des naissances est un élément essentiel de la culture occidentale, avec la promesse initiale de « libérer les femmes », en leur permettant d’éviter d’avoir des enfants tout en menant un style de vie sexuellement actif. Pendant des décennies, des programmes gouvernementaux de grande envergure ont servi à promouvoir ces produits chimiques abortifs dans le cadre de l’enseignement et dans d’autres contextes, de sorte qu’ils sont utilisés très couramment par les femmes et les jeunes filles dans une grande partie du monde.
« Les contraceptifs hormonaux font grossir, doublent le risque de dépression et triplent le risque de suicide », écrit Elon Musk sur X. « Le consensus scientifique est clair, mais très peu de gens semblent le savoir ».
Lire la suiteLa transition du genre ne règle aucun problème chez les mineurs, selon une méta-étude
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Photo : Freepik
Quoi qu’en dise la gauche, les interventions hormonales et chirurgicales sur les transgenres ne règlent pas les problèmes de santé mentale des enfants souffrant de dysphorie de genre, révèle une nouvelle évaluation de la littérature scientifique disponible sur le sujet. L’analyse d’une soixantaine d’études par l’American College of Pediatricians l’affirme carrément : « Il n’existe pas d’études à long terme démontrant les avantages ni d’études évaluant les risques associés aux interventions médicales et chirurgicales pratiquées sur ces adolescents. Il n’existe aucune preuve à long terme que les problèmes de santé mentale diminuent ou s’atténuent après une thérapie d’affirmation du genre. » Avant comme après la thérapie, les jeunes concernés, dont l’« identité de genre » ne correspondrait pas au sexe dit « biologique », présentent un risque plus élevé de psychopathologie que ceux ne souffrant pas de cette discordance. Le traitement ne change rien à leur mal-être, en somme…
L’étude note une véritable explosion du nombre de jeunes qui se disent eux-mêmes « bisexuels, gays ou en questionnement », en se fondant sur les statistiques des Centers for Disease Control : le pourcentage est passé de 11 % en 2015 à plus du double (25 %) en 2021. Parmi ceux-ci, les mineurs diagnostiqués comme souffrant de « dysphorie de genre » sont ceux qui présentent des taux plus élevés de problèmes de santé mentale, allant jusqu’aux tendances suicidaires. L’étude Adolescent Brain Cognitive Development Study a étudié les cas de plus de 11 000 enfants de 9 et 10 ans…
Lire la suiteUn hôpital condamné à verser 261 millions de dollars à une famille, après avoir retiré son enfant à une mère qui s’est ensuite suicidée
Maya Kowalski.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
15 et 16 novembre 2023, Sarasota, Floride (LifeSiteNews) — La semaine dernière, un jury de Floride a accordé à une famille catholique polonaise plus de 250 millions de dollars de dommages et intérêts après avoir conclu qu’un grand hôpital pour enfants avait retenu à tort leur fille de 10 ans et leur avait causé une détresse émotionnelle intense, qui a abouti au suicide de la mère.
La décision du jury est le dernier développement en date d’une affaire déchirante qui a attiré l’attention de la communauté internationale et a remis l’accent sur la protection des droits parentaux.
Jeudi, le jury de Sarasota s’est prononcé en faveur de la famille de Maya Kowalski contre l’hôpital Johns Hopkins All Children’s Hospital (JHACH), lui accordant plus de 250 millions de dollars de dommages et intérêts. La décision a été prise après que Maya Kowalski ait allégué dans une action civile que l’hôpital portait la responsabilité du suicide de sa mère en 2017 lorsque le personnel a pris sa garde, a refusé de laisser sa famille la ramener chez elle, l’a négligée et qu’un travailleur social l’a même forcée à être photographiée alors qu’elle n’était pas habillée, sans avoir obtenu l’autorisation de ses parents.
Lire la suiteSoutenez le projet de loi C-314 contre l’extension de l’euthanasie aux personnes atteintes de maladies mentales
Conférence de presse de la Coalition pour la prévention de l'euthanasie en soutien à C-314, le 3 octobre 2023.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le projet de loi C-314, présenté en première lecture à la Chambre des communes du Canada par le député conservateur Ed Fast le 10 février 2023, sera débattu en deuxième lecture demain, le 5 octobre 2023. C—314 a pour but d’empêcher l’extension de l’euthanasie aux personnes atteintes uniquement de maladies mentales, qui autrement entrera en vigueur en mars 2024. Le sommaire de C-314 indique :
« Le texte modifie le Code criminel afin de prévoir qu’un trouble mental n’est pas un problème de santé grave et irrémédiable à l’égard duquel une personne pourrait recevoir l’aide médicale à mourir. »
La Coalition pour la prévention de l’euthanasie (Euthanasia Prevention Coalition — EPC) a tenu une conférence de presse le 3 octobre dans la Salle de conférence 135-B du Parlement, durant laquelle le président d’EPC, Gordon Friesen, le Dr Paul Saba, Anike Morrison et Lia Milousis, deux jeunes femmes qui ont un historique de problèmes mentaux, ont exprimé leur soutien à C-314.
Gordon Friesen, présentant les conférenciers, souligne, entre autres, que la majorité de la population ne soutient pas l’extension de l’euthanasie.
Lire la suiteCette Canadienne a demandé de l’aide pour des pensées suicidaires — on lui a proposé l’euthanasie à la place
Kathrin Mentler.
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michelle Gamage
Kathrin Mentler (37 ans), une Canadienne qui vit avec des pensées suicidaires chroniques, a récemment raconté à Michelle Gamage, dans un article paru dans The Tyee le 9 août dernier, qu’on lui avait proposé l’euthanasie alors qu’elle cherchait de l’aide au cours d’une crise de santé mentale.
Il s’agit de la première histoire claire d’un conseiller proposant l’euthanasie comme option de traitement d’une maladie mentale et d’une illustration de la raison pour laquelle il y a eu une augmentation de 24 % des décès par euthanasie en Colombie-Britannique en 2022.
Mme Mentler souffre de dépression, d’anxiété et de pensées suicidaires chroniques depuis de nombreuses années, mais le centre d’évaluation de l’hôpital général de Vancouver lui a récemment proposé l’euthanasie. Gamage rapporte :
« Ce jour-là, mon objectif était de me mettre en sécurité. Je pensais peut-être essayer de me faire admettre à l’hôpital parce que j’étais en crise », dit-elle.
Mentler raconte qu’elle a dit à la conseillère qu’elle avait peur de « ne plus jamais se sentir horrible ». Elle a également révélé ses antécédents de maladie mentale et d’automutilation.
La conseillère lui a alors dit que le système de santé mentale était « complètement débordé », qu’il n’y avait pas de lits ni de médecin disponibles et que le plus tôt qu’elle pourrait parler à un psychiatre était le mois de novembre.
Lire la suiteUn Néerlandais condamné à une peine de prison avec sursis pour avoir aidé sa petite amie à se suicider
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ake/Rawpixel
Un Néerlandais a été condamné à trois mois de prison avec sursis pour avoir aidé sa compagne à se suicider, après avoir reconnu son crime.
L’homme, Michel, 45 ans, a été condamné mardi pour avoir aidé Evelien, 39 ans, à mettre fin à ses jours. Selon CNE News, elle était gravement malade et avait dit qu’elle voulait mourir. En tant que principal soignant, Michel a admis l’avoir aidée à se suicider dans un prétendu acte d’amour et a déclaré qu’il restait fidèle à sa décision.
« Elle avait toujours des vertiges et ne pouvait plus marcher », a-t-il déclaré. « Elle ne pouvait pas se lever, aller aux toilettes, ni même bouger ».
Malgré la détérioration de son état de santé, RTL Nieuws rapporte que les médecins n’ont pas trouvé la cause de ses problèmes médicaux, bien qu’un médecin allemand ait pensé qu’il s’agissait de la maladie de Lyme. Ce diagnostic n’a cependant pas semblé apporter de traitement, car il n’a pas pu être transféré au système de santé néerlandais, selon les rapports.
Sans diagnostic officiel, Evelien n’a pas reçu de traitement et n’était pas admissible à l’euthanasie. Elle et Michel ont donc planifié sa mort ensemble, et Michel l’a filmée pour tenter de montrer qu’il n’avait pas tué Evelien. Une fois morte, il a appelé un médecin et la police.
Lire la suiteUn Ontarien arrêté pour vente de produits pour se suicider
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Daniel/Adobe Stock
Un homme de la province d’Ontario (Canada), Kenneth Law, a été arrêté et inculpé de deux chefs d’accusation d’aide au suicide. Il est connu pour avoir aidé au suicide d’au moins sept personnes aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Lucas Casaletto rapporte sur City News que :
Lire la suiteLa police régionale de Peel a annoncé l’arrestation d’un Ontarien de 57 ans à la suite de la distribution en ligne de nitrite de sodium dans la région du Grand Toronto, qui a entraîné deux décès.
Les autorités de la région de Peel ont ouvert une enquête à la suite d’un rapport du Times of London au Royaume-Uni. Ce rapport mentionnait qu’un résident de la région du Grand Toronto, Kenneth Law, avait vendu du nitrite de sodium, un produit légal mais mortel, à des personnes au Royaume-Uni et aux États-Unis, ce qui a entraîné sept suicides.
Le 31 mars, des agents de la région de Peel ont commencé à enquêter sur les circonstances d’une mort subite survenue en Ontario. On pense que Law a distribué et commercialisé la substance en ligne en ciblant les personnes susceptibles de se faire du mal.
Law a été arrêté par la police de Peel mardi et inculpé de deux chefs d’accusation de conseil ou d’aide au suicide. Il a comparu brièvement devant un tribunal de Brampton mercredi, où son affaire a été renvoyée à la semaine prochaine.
Une femme souffrant d’anorexie souhaite que l’euthanasie lui soit accessible
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Laurie Gagnon pour Campagne Québec-Vie — Photo : Maksim Shmeljov/Adobe Stock
Une Canadienne souffrant depuis 30 ans de dépression et d’anorexie a déclaré qu’elle était heureuse lorsque le gouvernement a promulgué l’aide médicale à mourir (AMM). Lorsqu’il a été annoncé que l’aide médicale à mourir pourrait être offerte aux personnes atteintes de maladies mentales, elle a eu l’impression d’avoir enfin le contrôle de sa vie. Pour elle, demander au gouvernement la permission de mourir est un acte de pouvoir.
« C’était la première fois de ma vie que je sentais que la plupart de mes douleurs et de mes souffrances pouvaient prendre fin — que je pouvais reprendre le contrôle parce que je ne veux plus continuer », a déclaré Agata Gawron. « Je ne veux pas prendre la place de quelqu’un qui peut être aidé. J’en suis au point où je ne veux pas être réparée. Je ressens de la force, car c’est moi qui fais enfin preuve de compassion envers moi même. »
Diagnostiquée pour la première fois à l’âge de 13 ans, Gawron a maintenant 43 ans et s’est battue contre la dépression et l’anorexie en essayant d’obtenir de l’aide de différents psychiatres. Elle affirme qu’aucun d’entre eux ne l’a aidée. « Je pense que mon état diffère un peu de la norme », dit-elle. « Certaines personnes développent des troubles alimentaires et beaucoup s’en remettent. Mais pour l’amour du ciel, ça fait plus de 30 ans que ça dure pour moi. »
Elle poursuit : « La plupart des psychiatres que j’ai consultés ne communiquent pas entre eux. Ainsi, chaque fois que je vois quelqu’un de nouveau, je dois répéter mon histoire et mes antécédents. Je ne vois aucune qualité de vie à passer d’un médecin à l’autre pour essayer de me guérir. »
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