France : l'avortement pour raisons « psychosociales » jusqu'à la naissance, facilité
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info) — Photo (modifiée) : PxHere
La loi de bioéthique : communiqué de l’Association catholique des Infirmières et Médecins
Voici les principales lignes des nouvelles lois d’éthique proposée à l’origine :
1) Abolition de la clause de conscience des médecins et soignants ; laquelle leur permet de refuser de pratiquer un avortement ou l’euthanasie.
C’est certainement pour les services médicaux la clause la plus sensible. Il s’agit d’obliger notamment les médecins, les sages-femmes et infirmières à faire des actes contre leur conscience. C’est ce que Hitler avait exigé notamment dans les camps de concentration où il y avait des femmes prisonnières enceintes, sans parler des éliminations physiques notamment des malades. Le tout se situant dans le cadre de l’eugénisme afin de purifier la race.
Veil art. 8, le code de la Santé publique, le code de déontologie. Le Conseil de l’Europe a finalement adopté une résolution n° 1763 intitulée « Le droit à l’objection de conscience dans le cadre des soins médicaux légaux ». De plus, par la loi du 9 décembre 1905 et l’article 1er de sa Constitution (1958 et 2008), la France reconnaît de la même manière la liberté de conscience et de culte et la neutralité de l’État et des personnes publiques en matière religieuse*.
Le droit à la liberté de conscience a été rejeté par pragmatisme à l’Assemblée nationale. En effet, il manque en France de gynécologues, de sages-femmes et ces professions sont désertées. Obliger à faire des avortements aboutirait à vider ces spécialités médicales de ses praticiens et praticiennes.
2) Allongement du délai pour avorter de 12 à 14 semaines. Après la loi Veil limitée à 8 puis 12 semaines, il fallait aller plus loin. En Amérique les États de New York et de Virginie autorisent l’avortement jusqu’à la fin de la grossesse : c’est alors l’infanticide. L’Assemblée nationale a reconnu cette boucherie infâme qui s’exerce sur les humains dans des conditions horribles. Ainsi, 2 000 ans de christianisme sont abolis avec le retour barbare du droit de vie et de mort sur les enfants que l’on retrouve aussi chez le marquis de Sade. La République a besoin de sacrifices humains… ce seront alors les plus petits sans défense qui seront exécutés à la fin de la grossesse dans d’atroces circonstances.
3) Autorisation de la pratique des « IVG » chirurgicales dans les centres de planification familiale. C’est fort difficile de monter une structure en matériel et en hommes qu’il n’est pas facile de trouver. Dans un avortement il est tout à fait possible de perforer l’utérus. Ceci demande une immédiate réparation par voie abdominale ; il faut donc avoir un bloc opératoire à disposition. Une complication de ce type peut bien arriver aux sages-femmes qui elles-mêmes ne sont plus assez nombreuses et ne sont pas chaudes pour pratiquer des actes de cette nature. Elles sont là pour donner la vie et non pour la tuer.
Lire la suiteHomos et lesbiennes courraient un risque plus grand d'agression de leur « partenaire » que les hétéros
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Ake/Rawpixel
D’après le National Intimate Partner and Sexual Violence Survey du CDC, sur l’ensemble de leur vie, les femmes homosexuelles ont une probabilité plus importante d’être victime de violences de la part de leur partenaire que les femmes hétérosexuelles.
Dans le cas des viols, la comparaison entre lesbiennes et hétérosexuelles était impossible, car l’erreur type était trop importante, mais notez que les femmes bisexuelles ont une probabilité plus de 2 fois plus importante d’être violées par leur partenaire que les hétéros.
Une étude de Statistique Canada indique par exemple qu’au cours de l’année 2004, 15 % des homosexuels et des lesbiennes ont été victimes de violences conjugales contre 7 % des hétéros.
Selon le site rezosante.org, certains chercheurs américains considèrent même que la violence conjugale est le 3e problème de santé chez les homosexuels, après le VIH et la consommation de drogue.
Une méta-analyse italienne qui souligne que la violence chez les homosexuels est probablement sous-déclarée, de peur que celle-ci serve à stigmatiser les homosexuels, conclut :
Malgré le mythe selon lequel la violence envers les partenaires intimes (VPI) n’est un problème que dans les relations hétérosexuelles, son apparition parmi les couples LGB s’est avérée comparable ou supérieure aux cas hétérosexuels (Messinger, 2011 ; Kelley et al., 2012 ; Barrett et St.Pierre, 2013 ; Breiding et al., 2013). [...]
Même s'il existe quelques études sur la violence entre partenaires intimes de même sexe (SSIPV), elles soulignent que le phénomène se produit à un taux comparable (Turell, 2000) voire plus élevé que le VPI hétérosexuel (Messinger, 2011; Kelley et al. , 2012; Barrett et Saint-Pierre, 2013).
[...]
Cependant, selon l’un des rapports d’étude les plus récents et les plus représentatifs, près d’un tiers des hommes des minorités sexuelles et de la moitié des femmes des minorités sexuelles aux États-Unis ont affirmé avoir été victimes d’abus physiques ou psychologiques dans une relation amoureuse. De plus, plus de 50 % des hommes gais et près de 75 % des femmes lesbiennes ont déclaré avoir été victimes de VPI psychologique (Breiding et al., 2013). Breiding et coll. (2013) ont identifié que 4,1 millions de personnes de la communauté LGB ont subi la VPI au cours de leur vie aux États-Unis.
La prévalence du VPI au cours de la vie dans les couples LGB semble être similaire ou supérieure à celle des couples hétérosexuels : 61,1 % des femmes bisexuelles, 43,8 % des femmes lesbiennes, 37,3 % des hommes bisexuels et 26,0 % des hommes homosexuels ont subi la VPI au cours de leur vie, tandis que 35,0 % des femmes hétérosexuelles et 29,0 % des hommes hétérosexuels ont subi le VPI. Lorsque les épisodes de violence grave étaient pris en compte, la prévalence était similaire ou plus élevée chez les adultes LGB (femmes bisexuelles : 49,3 % ; femmes lesbiennes : 29,4 % ; hommes homosexuels : 16,4 %) par rapport aux adultes hétérosexuels (femmes hétérosexuelles : 23,6 % ; hommes hétérosexuels : 13,9 %). (Breiding et al., 2013).
Ces faits n’ont pas empêché Alice Coffin, élue « écologiste » française d’affirmer à la télévision : « Ne pas avoir un mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée. »
Une grand-mère au cœur brisé de voir son petit-fils «transitionner» en «fille»
Par Lianne Laurence ― traduit par Campagne Québec-Vie
10 avril 2019 (LifeSiteNews) — Une grand-mère du Massachusetts dit qu’elle s'endort épuisée d'avoir pleuré chaque soir parce que sa fille lesbienne est déterminée à faire « transitionner »* son petit-fils de 10 ans en « fille », disait-elle au Christian Post le mois dernier.
Cette grand-mère de 57 ans, qui a raconté son histoire sous le couvert de l’anonymat, s'était brouillée avec sa fille pendant deux ans après que celle-ci ait insisté pour qu’elle accepte la « transition »* et de traiter son petit-fils Jack en tant que Jacquelyn.
« Je n'accepterai jamais cette idée », a dit la grand-mère au Christian Post.
« Rien ne me fera changer d’avis… Et cela ne m’empêche pas de les aimer. J’aime ma fille. J’aime mon petit-fils. Mais le mal est mal. Je ne peux pas et je n’essaierai pas de me convaincre de quelque chose qui n’est pas vrai. »
La situation a provoqué la résurgence du traumatisme de l'agression sexuelle qu'elle a subie elle-même étant enfant, racontait cette grand-mère, parce que ce qui arrive à son petit-fils, qui devait subir un régime de bloqueurs de puberté à l’âge de neuf ans, est similaire.
Elle croit également que son petit-fils ne serait pas aussi perturbé s’il n’avait pas « passé ses années formatrices » à voir l’« épouse » lesbienne de sa mère faire sa « transition »* en « homme »*.
Lire la suiteUne PMA lesbienne sans père mais avec deux mères porteuses
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
… Une couple de femmes a décidé non seulement de donner le jour à un enfant sans père à travers une procréation médicalement assistée, mais de simuler une double maternité en portant toutes deux le bébé [...] la PMA dissocie l’enfant de l’acte sexuel entre un homme et une femme qui est le cadre de conception conforme à la dignité de la nature humaine et au plan de Dieu pour la procréation [...] tout en niant le besoin naturel d’un enfant d’avoir un père en allant jusqu’à l’en priver artificiellement et délibérément, ces deux femmes n’en ont pas moins affirmé comme une sorte de droit leur volonté d’avoir chacune un lien biologique et maternel avec ce bébé. C’est donc que le lien biologique est primordial dans la procréation ! On pourrait appeler ce processus une PMA lesbienne sans père mais avec deux mères porteuses.
Qu’il se soit trouvé des médecins pour accéder à la réalisation de leur fantasme en dit long sur notre culture du désir « créateur ».
Les femmes en question, Ashleigh et Bliss Coulter du Texas, semblent être les premières lesbiennes au monde à avoir participé à une telle aventure médicale. La procédure s’appelle « fécondation in vitro réciproque sans effort », déjà théorisée avant que les deux femmes n’en découvrent la possibilité. En cherchant un moyen d’avoir un enfant qui ait un lien biologique avec chacune, elles ont rencontré le Dr Kathy Doody, spécialiste des questions de fertilité : elle s’est enthousiasmée.
Lire la suiteLa fille d’un célèbre auteur de science-fiction révèle des horreurs sexuelles qu’elle a subies en grandissant dans un foyer LGBT
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Secrets de famille… Il en est qu’on préfère étouffer et ensevelir sous des années de silence. Il en est d’autres qu’il faut savoir extirper et brandir aux yeux d’un monde qui aurait pourtant préféré les ignorer… ! Moira Greyland a eu ce courage. Fille d’un homosexuel et d’une lesbienne pédophiles, elle raconte aujourd’hui, dans un livre, à quarante ans passés, les horreurs subies en famille.
A l’entendre et à la lire, la pédophilie découle bel et bien naturellement de l’homosexualité, telle une tare originelle, inscrite au cœur de la pensée pédéraste. Une bombe pour le lobby LGBT.
« Des mains qui déchirent mon âme » (Moira Greyland)
« Je suis née dans une famille d’auteurs païens célèbres à la fin des années soixante. Ma mère était Marion Zimmer Bradley, et mon père était Walter Breen. A eux deux, ils ont écrit plus de cent livres : ma mère a écrit de la science-fiction et de la fantasy (Mists of Avalon), et mon père a écrit des livres sur la numismatique ».
Lire la suiteAugmentation du nombre de femmes « bisexuelles » : la faute aux célébrités ?
Cara Delevigne
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Selon l’Office national des statistiques du Royaume-Uni – l’ONS – le nombre de femmes s’affichant comme bisexuelles a presque doublé en cinq ans. Leur nombre est passé de 142.000 en 2012 à 236.000 en 2016, une augmentation importante à laquelle correspond une augmentation moins rapide, mais néanmoins réelle, chez les hommes. Parmi toutes les catégories étudiées dans cette étude, c’est même la catégorie des femmes bisexuelles qui a connu la hausse la plus rapide en terme de pourcentage. Si celui-ci reste modeste, puisqu’il est passé de 0,5 à 0,9 % de la population féminine, la hausse n’en est pas moins fortement significative car il s’agit d’une minorité… très minoritaire. Mais qui est en voie de l’être moins. Et selon l’ONS, c’est en raison de l’image positive de la bisexualité favorisée par le nombre croissant de célébrités qui affichent la leur.
Que ce soit l’actrice britannique Cara Delevigne, ou Kristen Stewart qui incarne l’héroïne de la série très appréciée des adolescents, Twilight, ou encore la chanteuse Miley Cyrus, il ne manque pas de figures de référence, notamment pour les jeunes, qui se sont révélées lesbiennes ou bi. Et le simple fait suffit. Elles n’ont pas besoin d’aller convaincre : elles servent de modèles parce qu’elles sont jeunes, jolies, connues. Des exemples à imiter…
Lire la suiteUn couple de lesbiennes essaie d’obliger leur fils à devenir intersexuel
Par Ashley Rae Goldenberg de MRCTV - traduit par Campagne Québec-Vie
21 juin 2016: une vidéo sur BuzzFeed traitant de la parenté transsexuelle montre un couple de lesbiennes qui essaie de contraindre leur fils à devenir intersexuel malgré son refus.
Dans la vidéo de BuzzFeed intitulée “Je suis un parent transsexuel”, Dashiell et Michelle, couple de lesbiennes dont une transexuelle, expliquent comment elles éduquent leur fils Atticus.
“C’est vraiment curieux, puisqu’il est excellent en matière sportive,” déclare Michelle. “Peut-être était-il un athlète olympique dans sa vie passée. Il est né avec ces talents sportifs qui sont manifestes à 17 mois. C’est cela que Dashiell aimait dans sa jeunesse. Elle lui ressemble sur ce point-là.”
Lire la suiteUne fulgurante sortie du placard
Je ne suis plus, depuis plusieurs années, un téléspectateur de nos insignifiants et ridicules téléromans québécois toujours très populaires auprès de notre bon peuple décadent. Je ne supporte plus et refuse de regarder ces téléséries de plus en plus abrutissantes qui mettent au premier plan les nouvelles valeurs de notre Québec postmoderne.
Dans le cahier Arts et Culture (on est très cultivé au Québec !) du journal La Presse du 21 janvier 2014, le journaliste spécialiste de la question, Hugo Dumas, nous annonce avec tambours et trompettes que notre télévision québécoise en 2014 vit et carbure maintenant au bienfait du lesbianisme.
«Les lesbiennes sortent enfin du placard à la télévision. Plusieurs séries et téléromans mettent en scène des couples de femmes. Il était temps, affirme M. Dumas, que nos réseaux de télé se déniaisent».
Il paraît que c'est du jamais vu au Québec de voir autant de personnages lesbiens. Ils pullulent au petit écran. Ce serait un très grand pas en avant au niveau de notre culture collective. Même les chaînes de télé spécialisées pour les ados regorgent cette année de lesbiennes.
Évidemment, après la très grande visibilité des gais à la télévision et au cinéma québécois depuis quelques années, il fallait bien qu'au nom de l'égalité, les femmes lesbiennes finissent par envahir elles aussi le petit écran.
Comme ce sont les cotes d'écoute qui font la loi, nous savons très bien que les producteurs, affamés de fric, vont pousser de plus en plus loin les limites du «montrable» et de l'acceptable, même si beaucoup de ces émissions dites familiales passent à des heures de très grande écoute. De toute façon, TOUT est devenu normal, banal et acceptable au Québec. Les scènes explicites de sexualité et de nudité dans nos téléromans, téléséries et cinéma québécois sont toujours au rendez- vous et font le délice du bon peuple qui en redemande encore plus.
Ah oui ! Je dois avouer que je suis une personne quétaine et arriérée! Mais, il y a un prix à payer pour avoir accepté de se vautrer collectivement dans cet univers sexuel où tout est permis, tout est accepté et tout est montré et proposé comme du succulent bonbon. Que les vedettes de notre télévision et cinéma québécois soient homos ou hétéros dans leurs rôles, je m'en fous.
Mais qu'on se serve de la télé et du cinéma pour nous en mettre plein les yeux de toutes sortes de situations où la sexualité est ratatinée à une inacceptable jouissance animale, où toutes les perversions sexuelles sont présentées comme banales et normales, où la nudité fait salle comble, où les valeurs traditionnelles de la famille et de l'amour humain sont bafouées et ridiculisées, et où le mal nous est présenté comme le bien, alors là je ne marche plus dans cette machination diabolique qu'on appelle la nouvelle et belle culture du peuple québécois.
Notre société malade est profondément contaminée par cette atmosphère hyper sexualisée. Dans le journal La Presse du 21 janvier 2014, on apprend que le gouvernement du Québec tire la sonnette d'alarme. Il va bientôt se pencher sur l'hyper sexualisation de nos jeunes enfants, adolescents et adolescentes.
On considère que l'heure est grave, car tout l'espace public est actuellement truffé d'images réductrices de la femme et de messages à connotation sexuelle en quantité industrielle. Nous serions d'après le gouvernement du Québec, en face d'une société hyper sexualisée ; cela a pour conséquence de détruire jusqu'à la moelle la santé psychologique, physique et sexuelle de nos jeunes.
Cette hyper sexualisation, socialement acceptée, aurait des effets pervers à tous les niveaux de notre société. N'est-ce pas cela la décadence ?
Nous récoltons ce que nous avons semé !