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Un juge ne se décide pas à emprisonner un transgenre violent dans une prison pour hommes ou pour femmes

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie

East Sussex, Angleterre, 3 mars 2020 (LifeSiteNews) — Au Royaume-Uni, un homme biologique* a plaidé coupable devant l’accusation d’agression après tentative de vol le mois dernier, mais il n’ira pas en prison, car le juge n’a pas su déterminer s’il fallait envoyer la « femme transgenre » dans un établissement pour hommes ou pour femmes.

Leila Le Fey (également connue sous les noms de Layla Le Fey, Adam Hodgson et Marcus Smith) a reconnu avoir menacé un homme avec un marteau au cours d’une tentative de vol de vin dans un magasin de Budgens, rapporte le Daily Mail. Ce n’était que le plus récent des plus de 50 délits inscrits à son dossier, dont de multiples cas de vols à l’étalage armés.

Qualifiant les actions de La Fey d’« inexcusables », le juge Stephen Mooney lui a d’abord infligé une peine de six mois, mais l’a suspendue après que les avocats du prévenu eussent fait valoir que Le Fey ne possédant pas de Certificat de reconnaissance de genre, qui ne sont octroyés qu’aux personnes ayant passé au moins deux ans à vivre comme membres de l’autre sexe, se verrait envoyé dans un établissement pour hommes. On ignore si Le Fey est passé par la transition chirurgicale.

« Nous vivons dans une société qui reconnaît et accepte la diversité et qui permet et encourage les gens à vivre la vie qu’ils veulent avoir », a déclaré M. Mooney. « Parfois, la société ne fait pas les ajustements nécessaires ou appropriés de toutes les manières possibles pour refléter les ajustements de la société dans son ensemble ».

« Après avoir réfléchi à nouveau à l’impact qu’aurait une peine d’emprisonnement immédiate, aux difficultés qu’il y réside et aux problèmes insolubles auxquels le service pénitentiaire serait confronté, j’ai réexaminé la question de l’emprisonnement immédiat », conclut-il. « À la lumière de ces informations, je suis arrivé à la conclusion que dans votre cas particulier, cela me permet d’espérer une certaine forme de réhabilitation ».

Au lieu d’une peine d’incarcération, Le Fey devra suivre 30 séances de réhabilitation, probablement liées à un problème de toxicomanie auquel son avocat a partiellement attribué son dernier crime.

« J’en ai plus qu’assez des hommes qui utilisent l’auto-identification pour abuser et s’en prendre aux femmes et aux filles et qui reçoivent une carte “sortez de prison” », écrivait Julie Bindel dans le UK Spectator. « Un nombre record de délinquants de détenus masculins s’identifient désormais comme femmes. The Daily Telegraph a rapporté qu’il y avait plus de 100 prisonniers de ce type, soit le double de ce qu’on trouvait voilà deux ans. Fair Play for Women estime que la moitié des prisonniers transgenres sont des délinquants sexuels ou des détenus dangereux de catégorie A ».

En Amérique du Nord et en Europe, on s’inquiète de plus en plus du placement d’hommes qui prétendent être des femmes dans des prisons pour femmes, ceux-ci encouragés par des cas comme celui de Stephen Wood, qui a agressé quatre détenues après avoir été placé dans un établissement pour femmes sous le nom de « Karen White ». Le Canada et l’Écosse ont également vu des cas d’hommes revendiquant le statut de « transgenre » afin d’obtenir un traitement plus léger pendant leur incarcération.


*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.

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