Professeur à Oxford et conseillère du Forum économique mondial, Sarah Harper qualifie la baisse des naissances en Angleterre de « bonne chose »
Sarah Bernard.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Le monde occidental connaît aujourd’hui une dénatalité de plus en plus grave, mais aux yeux de certains, c’est une excellente nouvelle. Professeur de gérontologie dans une des plus prestigieuses universités britanniques, Sarah Harper, directrice de l’Oxford Institute of Population Ageing (Institut d’Oxford du Vieillissement de la population), a récemment fait part de sa satisfaction devant la baisse du nombre de bébés naissant en Angleterre. C’est une « bonne chose », a déclaré cette conseillère du Forum économique mondial.
Elle réagissait aux statistiques des naissances en Angleterre et au Pays de Galles, qui n’ont pas été aussi mauvaises depuis deux décennies. En 2002, le total atteignait 596.122 ; en 2023, on a compté 605 479 naissances vivantes, soit 3,1 % de moins que l’année précédente. Les chiffres de 2022 affichent également la plus forte proportion de naissances chez des femmes nées en dehors du Royaume-Uni depuis que l’on tient ce type de statistiques, soit près d’un tiers. L’Inde est en tête des pays représentés pour les mères d’origine étrangère, le Pakistan pour les pères d’origine étrangère.
Lire la suiteLa déconfiture du libéralisme
Stańczyk par Jan Matejko.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Encore récemment, le premier ministre de Hongrie Viktor Orbán prononçait un discours à la 32e Université d’été de Bálványos à Tusnádfürdő en Roumanie. Lors de cet événement, le 22 juillet 2023, il souligna l’échec du libéralisme des « Lumières » à créer une société sur des bases autres que celles du christianisme. M. Orbán affirme, selon le Visegrád Post :
L’échec des pays fonctionnant sur des bases libérales tient au fait qu’ils ont cru que de nouvelles communautés prendront la place des anciennes, alors que c’est une aliénation d’un type particulier qui est apparu partout. Bien sûr, la France, qui en souffre, est une grande nation, la gloire lui appartient, et elle y trouvera certainement une solution. Mais en considérant les bases spirituelles, en creusant un tout petit peu plus profond, l’on peut affirmer qu’une prise de conscience anthropologique se cache au fond des bases spirituelles de la nouvelle ère. Car voici deux cents et quelques années, à l’époque des Lumières, les intellectuels de gauche internationaliste et d’esprit libéral, ainsi que les dirigeants politiques ont cru qu’après le rejet de la religion et du christianisme viendrait une communauté idéale, « éclairée », basée sur la reconnaissance du bien et du bien public, qui vivrait une vie libre et d’ordre supérieur, basée sur des vérités sociales sociologiquement reconnues. C’est cela qu’ils ont espéré du rejet du christianisme et de la religion. Cette hypothèse n’était pas encore exclue il y a deux cents ans. Cela aurait très bien pu en aller ainsi. Mais deux cents ans ont passé, et l’on voit aujourd’hui que ce n’était qu’une illusion : le rejet du christianisme a fait de nous, dans les faits, des païens hédonistes. C’est cela, la réalité. Et c’est pourquoi, à mes yeux, il était évident que notre Constitution soit promulguée le jour de Pâques, devenant ainsi, en tout bien tout honneur, une « constitution pascale ».
C’est cela, Mesdames et Messieurs, qui est à la base du conflit entre l’Union européenne et la Hongrie. L’Union européenne rejette notre héritage chrétien, elle organise un changement de population au travers de la migration, elle mène une campagne LGBTQ contre les nations européennes attachées à la famille.
(J’avoue qu’il y a comme un flou dans les paroles de M. Orbán au sujet de la possibilité que le projet libéral eût pu réussir ou non, mais c’est l’un des meilleurs dirigeants occidentaux et son propos mérite qu’on l’étudie.)
L’avortement, également promu à grand bruit en Occident par ce même esprit libéral, est sans doute le meilleur exemple de cet échec, à l'aune d'une mesure très concrète, celle de la dénatalité...
Lire la suiteUn ex-homosexuel maltais est accusé de « thérapie de conversion » pour avoir prêché les valeurs bibliques
Matthew Grech et John-Henry Westen.
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
1er juin 2023 (LifeSiteNews) — Il peut être embarrassant pour certains d’entre nous de défendre le mariage et d’autres questions pro-vie lors d’une réunion de famille, parfois avec des accusations de haine et autres. Imaginez, cependant, que le simple fait de promouvoir la vision biblique du mariage vous expose à une peine de prison.
Mon invité aujourd’hui est Matthew Grech, chrétien maltais et ancien homosexuel qui fait aujourd’hui l’objet de poursuites pénales pour avoir partagé son histoire de conversion et son point de vue sur la soi-disant « thérapie de conversion » à la télévision maltaise.
En janvier dernier, Matthew Grech et les animateurs d’une émission télévisée à laquelle il participait ont été convoqués par la police maltaise pour avoir enfreint l’interdiction de promouvoir les thérapies de conversion dans le pays.
« J’ai dû me présenter au poste de police. J’étais accompagné de mon avocat et on nous a donné les noms des personnes qui nous avaient dénoncés », raconte M. Grech.
« L’un d’entre eux a retenu mon attention, car j’ai reconnu son nom et son prénom », a poursuivi M. Grech. « Après un certain temps, nous avons découvert que ces trois personnes [qui nous avaient accusés]... étaient liées au gouvernement maltais, au mouvement maltais de défense des droits des homosexuels et à l’Union européenne. Nous nous sommes donc dit que nous avions affaire à des autorités haut placées qui s’en prenaient à un citoyen, un citoyen chrétien ».
Lire la suiteL’OMS préconise l’éducation sexuelle dès la naissance et la « masturbation précoce » depuis 2010
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Guilhem Vellut/Wikimeida Commons
17 mai 2023 (LifeSiteNews) — Les directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en matière d’éducation sexuelle pour l’Europe ont provoqué un tollé au Royaume-Uni. Ces directives préconisent l’éducation sexuelle dès la naissance et conseillent aux éducateurs d’enseigner aux nourrissons et aux tout-petits la « masturbation précoce ».
Le document de 68 pages intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » indique qu’« il a été délibérément décidé de préconiser une approche dans laquelle l’éducation sexuelle commence dès la naissance ».
Le document de l’OMS comprend une « matrice d’éducation sexuelle » qui fournit des lignes directrices aux éducateurs sur la manière d’« éduquer » les enfants de différentes tranches d’âge. Voici quelques-unes des instructions qui ont suscité l’indignation :
- Les lignes directrices conseillent aux éducateurs d’informer les enfants âgés de zéro à quatre ans sur « la jouissance et le plaisir de toucher son propre corps » et « la masturbation chez les jeunes enfants ».
- Les enfants de quatre à six ans doivent « consolider leur identité sexuelle » et s’informer sur les relations entre personnes du même sexe.
- Les enfants âgés de six à neuf ans doivent recevoir un enseignement sur « la sexualité dans les médias (y compris l’internet) ».
- Pour les enfants de neuf à douze ans, l’OMS conseille aux éducateurs de permettre aux enfants de « prendre la décision consciente d’avoir ou non des expériences sexuelles », ce qui implique à tort que les enfants sont capables de consentir à des relations sexuelles à un si jeune âge.
Espoir pour l’Église en Europe : Alexander Tschugguel rassemble les catholiques lors d’une conférence pro-vie en Autriche
Alexander Tschugguel.
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie:
15 février 2023 (LifeSiteNews) — La Conférence de la résistance catholique, organisée par le St. Bonifatius Institut (fondé par l’activiste catholique Alexander Tschugguel) a abordé la question de l’avortement à plusieurs niveaux la fin de semaine dernière.
Du 9 au 11 février, plus d’une centaine de catholiques, jeunes pour la plupart, venus de toute l’Europe, se sont réunis à Vienne pour tisser des liens et écouter des exposés sur le plus grand mal de notre temps et sur les moyens de le combattre.
Parmi les orateurs figuraient : Kathi Aultman, ancienne avorteuse devenue militante pro-vie, Gabriele Kuby, auteur et conférencière internationale, Charles Coulombe, historien, le père Manfred Müller, et Tschugguel lui-même.
« Cette conférence est née l’année dernière de l’idée que la plupart des catholiques ne sont pas conscients que la résistance au mal [...] dans le monde n’est pas possible uniquement dans des domaines individuels, mais qu’elle n’est possible que si l’on comprend la situation dans son ensemble », a déclaré M. Tschugguel à LifeSiteNews. « Et la seule façon de comprendre le tableau d’ensemble est de saisir que le seul à le comprendre est Dieu, ce qui signifie que ce n’est qu’en regardant les choses à travers notre foi que nous, en tant que catholiques, pouvons être en mesure de faire quelque chose qui s’approche de ce qui est nécessaire sur terre. »
« La conférence de l’année dernière s’est concentrée sur la création de cette compréhension générale, et cette année nous nous sommes concentrés sur notre sujet principal — qui, je pense, est un sujet principal pour chaque catholique — à savoir, éclairer correctement l’avortement d’un point de vue catholique. »
« Il y a plusieurs aspects : nous avons traité l’avortement d’un point de vue théologique, philosophique, politique, historique, idéologique, idéologique moderne et, à la fin, d’un point de vue pratique, c’est-à-dire l’avortement dans son exécution physique. »
Lire la suiteLa Commission européenne entend imposer l’adoption par les homosexuels et la GPA à tous les pays de l’UE
Ursula von der Layen, présidente de la Commissio européenne.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info) — Photo : European Parliament/Flickr
Les États membres de l’Union européenne vont-ils être contraints d’accepter la maternité de substitution, ainsi que l’adoption d’enfants par des duos de même sexe, même si aucune de ces mesures n’est fondée sur leur propre législation ? C’est en tout cas l’objectif d’une initiative de la Commission européenne selon laquelle « les dispositions de droit international privé relatives à la paternité seront harmonisées au niveau de l’UE ».
La proposition a été acceptée par la Commission européenne mercredi.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait déjà annoncé en 2020 une « stratégie pour renforcer les droits LGBTQI ».
La Commission européenne voudrait maintenant imposer à tous les pays membres de l’UE un nouveau règlement qui « reconnaîtra la paternité établie dans un État membre sans procédure particulière dans tous les autres États membres ». Cela sapera toute interdiction nationale de la maternité de substitution et fera respecter le droit d’adopter pour les couples homosexuels dans toute l’UE. En effet, le règlement de la Commission européenne ne concerne que les cas qui ne sont pas encore convenus entre les États membres, à savoir la paternité dérivée de la maternité de substitution, ainsi que l’adoption d’enfants par des couples homosexuels.
Jusqu’à présent, seuls 14 des 27 États de l’UE reconnaissent l’institution légale du « mariage » pour les duos de même sexe, et sept autres une union civile enregistrée. La proposition de la Commission européenne doit être approuvée à l’unanimité par le « Conseil », c’est-à-dire les représentants des 27 États membres de l’UE, après consultation du Parlement européen. Il semble peu probable que cette unanimité soit donnée mais elle montre déjà où veulent aller les dirigeants de cette institution totalitaire qu’est l’Union européenne.
« Ce petit pays de 10 millions d’habitants qu’est la Hongrie peut faire basculer l’Europe »
Père Henri Boulad.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Thaler Tamas/Wikimedia Commons
Oui, la Hongrie est un petit pays, un nain devant le géant de l’Union européenne, mais quelles chances a un Goliath si devant lui se tient un David ?
Le Père Boulad avait une vision. Il avait une vision de la Hongrie et lui attribuait la force de terrasser un géant. En 2017, ce père jésuite visita la Hongrie pour répondre à l’invitation et recevoir une décoration du premier ministre Viktor Orbán. À cette occasion il reçut la nationalité hongroise, un honneur accordé par le vice-président hongrois.
Dans un entretien avec Philippe Pellet, il explique, « j’aime le peuple hongrois par sa profondeur, son enracinement chrétiens, sa conviction et son attachement à des valeurs humaines. »
C’est alors qu’il déclara avec espoir, « Je crois que ce petit pays de 10 millions d’habitants qu’est la Hongrie peut faire basculer l’Europe, et il est en train de la faire basculer, et j’ai l’intention de m’y investir ! »
L’élan qui poussait le Père Boulad à faire une telle déclaration était sa foi inébranlable : « la foi nous appelle à un engagement, à un combat. C’est pourquoi cela que moi, j’ai dit à Victor Orbán que je suis à sa disposition s’il a besoin de moi, car je me sens interpellé par cette crise de l’Europe. Pour moi l’Europe est essentielle. »
Si l’Europe est nommée « berceau de la chrétienté », serait-on surpris qu’un petit pays majoritairement catholique et enraciné dans une tradition chrétienne comme la Hongrie contribue à sa renaissance à la vérité ? Qui sait ce que « le petit pays qu’est la Hongrie » fera un jour au Goliath de l’Europe...
Viktor Orbán : l’État doit protéger la famille et les enfants
Par le Visegrád Post — Photo : Studio Romantic/AdobeStock
Hongrie – Le premier ministre hongrois Viktor Orbán a accueilli hier les participants du IVème Sommet démographique qui se déroule ces jeudi 23 et vendredi 24 septembre à Budapest. Dans son discours d’ouverture, le chef du gouvernement hongrois a largement évoqué la place de la famille et des enfants dans la société.
Façonner les processus démographiques et non les subir
La difficulté des questions démographiques ne tient pas seulement à la complexité des données. Il est au moins aussi difficile de traduire les idées en actions. Transformer les idées en actions gouvernementales est le plus grand défi […] tout le monde ne pense pas qu’il est nécessaire de réfléchir à ces processus. Mais nous voulons façonner les processus démographiques, et non les subir. […] Toutes les régions d’Europe ne tentent pas de résoudre la crise démographique. Certains perçoivent le problème mais veulent y répondre par l’immigration. Or, l’immigration de masse — les millions de personnes qui sont amenées ici — est en fait un programme mondial visant à faire entrer une nouvelle classe ouvrière.
En Europe centrale, nous sommes vaccinés contre le marxisme
[…] Je suis [certes] avec inquiétude les luttes du mouvement néo-marxiste « woke », mais nous, en Europe centrale, nous sommes vaccinés contre le marxisme […] L’État doit aider les familles et supprimer les obstacles auxquels [celles-ci] sont confrontées pour s’épanouir […] Dans cet esprit, avoir des enfants devrait être financièrement bénéfique et la politique familiale devrait reposer sur les mères. Le fonctionnement du pays doit être adapté aux familles, l’institution de la famille et les enfants doivent être protégés par la loi, et les familles doivent pouvoir accéder à la propriété.
La Hongrie se défend contre le lobby LGBTQ et la théorie du genre
[…] Les familles doivent être soutenues de manière à garantir une croissance durable de l’économie et la solidité de l’ensemble du système économique. […] La Hongrie se défend contre les attaques de la gauche occidentale, dont les outils sont le lobby LGBTQ et la propagande de la théorie du genre. […] La constitution hongroise protège l’institution de la famille et du mariage à bien des égards et [conformément] à la volonté du peuple hongrois […] nous aimons notre prochain, mais nous avons aussi besoin de nous aimer nous-mêmes. Et nous nous aimons bien lorsque nous soutenons nos familles.
Les mesures de confinement ont coûté plus de vies qu’elles n’en ont sauvées : étude
Kenton Biffert — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pikist
15 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Une étude réalisée en juin a révélé que les mesures de confinement augmentent le taux de mortalité.
L’étude, réalisée par des chercheurs de la RAND Corporation, organisme non partisan, et de l’Université de Californie du Sud, a comparé le nombre de décès non liés au coronavirus enregistrés avant la quarantaine COVID-19 à celui des décès non liés au coronavirus enregistrés pendant la quarantaine.
« Nous constatons qu’après la mise en œuvre des politiques de mise à l’abri en restant sur place (Shelter-in-place, SIP), la surmortalité augmente », écrivent les chercheurs. Les chercheurs ont utilisé le terme SIP comme un terme générique pour désigner les mesures de confinement, confinement à la maison et autres décrets draconiens similaires.
Les chercheurs ont analysé les statistiques de 43 pays et de la plupart des États américains. Certains de ces pays et de ces États se sont lancés immédiatement dans la quarantaine. D’autres ont attendu un certain temps avant de le faire. Dans les deux cas, le schéma était le même : on a constaté une augmentation des décès non liés au COVID ou aux décès excédentaires.
Selon l’étude, l’isolement résultant des mesures de confinement peut avoir entraîné « plusieurs conséquences involontaires importantes », telles que le chômage, l’augmentation du stress et de l’anxiété, la toxicomanie, les suicides, l’augmentation de la maltraitance des enfants et de la violence domestique, et l’impossibilité pour les personnes ayant besoin de soins médicaux (tels que les dépistages du cancer) d’y accéder en raison des restrictions imposées par les hôpitaux.
En outre, la recherche a noté que certains pays qui « ont mis en œuvre des politiques SIP ont connu une baisse de la surmortalité avant la mise en œuvre ». Ces pays avaient enregistré une baisse de la surmortalité avant la [prétendue]* pandémie. Après les mesures de confinement, la surmortalité enregistrée a augmenté. Des îles comme l’État d’Hawaï étaient la seule exception.
Lire la suite«Les rouleaux compresseurs libéraux roulent à nouveau contre la Hongrie», qui interdit l'endoctrinement LGBT des enfants
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
En réaction à l’assaut qui redouble de rage contre la Hongrie, tant mené par les médias que les personnalités ou les politiciens européens face à la nouvelle loi hongroise qui interdit la propagande LGBT auprès des enfants, notamment à l’école, Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, réplique que son pays protège les enfants et les droits parentaux, selon LifeSiteNews :
« Les rouleaux compresseurs libéraux sont une fois de plus à l’œuvre contre la Hongrie », affirme-t-il. « Ils tirent maintenant la sonnette d’alarme dans toute l’Europe au sujet des nouvelles lois hongroises visant à punir sévèrement les pédophiles et à protéger nos enfants. »
« L’éducation dans les écoles ne doit pas être en conflit avec la volonté des parents », poursuit-il. « Elle doit tout au plus être supplétive, sa forme et son contenu doivent être clairement définis, et elle doit être soumise au consentement des parents. »
« Les parents s’attendent également, à juste titre, à ce que sur les plateformes utilisées par nos enfants, la pornographie, la sexualité pour elle-même, l’homosexualité et les programmes de changement de sexe ne soient pas disponibles », déclare Orban. « Ces restrictions doivent également être définies avec une précision chirurgicale ».