Un État autrichien à majorité catholique ne trouve pas de médecins pour pratiquer l'avortement
Par Peter Martin — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PRASERT/Adobe Stock
22 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Un état autrichien très catholique ne trouve pas de médecins pour pratiquer des avortements dans ses hôpitaux publics.
Le site catholique allemand Kath.net rapporte que le gouvernement du Tyrol a « échoué » dans sa tentative de trouver des médecins prêts à assassiner les enfants à naître cet État de l’ouest de l’Autriche, qui compte plus de 750 000 habitants. Plus de 60 % des habitants du Tyrol sont catholiques, selon une enquête réalisée en 2021.
« Deux médecins qui avaient été envisagés pour le poste ont retiré leur consentement », a rapporté Kath.net.
« Cela signifie que tous les enfants à naître dans les hôpitaux publics de l’État du Tyrol restent protégés contre les avortements », tant que ceux-ci ne sont pas « médicalement indiqués », poursuit le communiqué. L’avortement direct est toujours gravement immoral et n’est jamais nécessaire ni justifiable d’un point de vue éthique pour sauver la vie d’une mère.
Lire la suiteLa Cour européenne des droits de l’homme confirme l’interdiction de l’euthanasie en Hongrie
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : depositphotos
18 juin 2024, Strasbourg, France (Alliance Defending Freedom) — La Cour européenne des droits de l’homme a défendu le droit à la vie en rejetant un recours visant à autoriser le suicide assisté en Hongrie.
Le ressortissant hongrois Dániel Karsai, atteint d’une maladie neurodégénérative progressive, avait tenté de saper les protections juridiques de la vie en Hongrie en contestant l’interdiction du suicide assisté.
Dans sa décision, la Cour a affirmé que l’interdiction du suicide assisté est conforme aux obligations du pays en vertu du droit international de protéger la vie. En outre, comme l’a souligné la Cour, « la majorité des États membres du Conseil de l’Europe continuent d’interdire » l’euthanasie et les pratiques connexes (§ 165).
« Nous saluons la décision prise aujourd’hui [13 juin 2024] par la Cour européenne des droits de l’homme, qui confirme les protections essentielles des droits de l’homme en Hongrie. Bien que nous compatissions profondément à l’état de M. Karsai et que nous soutenions son droit à recevoir les meilleurs soins et le meilleur soulagement possible, il est clair, d’après d’autres juridictions, qu’un droit de mourir devient rapidement un devoir de mourir. Au lieu d’abandonner nos citoyens les plus vulnérables, la société devrait faire tout ce qui est en son pouvoir pour fournir les meilleures normes de soins », a déclaré Jean-Paul Van De Walle, conseiller juridique d’ADF International.
ADF International, ainsi que l’ONG Care Not Killing basée au Royaume-Uni, sont intervenus dans l’affaire Karsai v. Hongrie, arguant que l’interdiction légale hongroise du suicide assisté doit être maintenue conformément à l’obligation de protéger le droit à la vie prévue par la Convention européenne des droits de l’homme (article 2).
Lire la suiteDissolution de l’Assemblée nationale : espoir, espérance… ou pas ?
Emmanuel Macron.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Public Sénat/YouTube
Le Rassemblement national arbore les mines réjouies des grands jours : la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron est clairement perçue par ses dirigeants comme une occasion de croissance : arrivé en tête dans la plupart des communes de la quasi-totalité des départements, il se voit massivement représenté au Palais-Bourbon le 7 juillet et pourquoi pas chargé de former un gouvernement de cohabitation. Alors… alléluia ? Le redressement intellectuel et moral de la France, son redressement spirituel même seraient-ils en vue ? L’espoir humain est-il permis ? Et l’espérance, alors, qui est d’ordre surnaturel ?
Pauline Mille nous dit par ailleurs les risques et les écueils d’une situation préparée, voire organisée par ce « maître d’échecs » autant que des horloges qu’est Emmanuel Macron. Ce promoteur inlassable de la culture de mort — qui a fait « constitutionnaliser » l’avortement, qui a participé au démantèlement de la politique familiale, qui a fait piétiner les libertés au moment de la crise du covid ; qui soutient, aussi, les « droits LGBT », pensez à la PMA pour les lesbiennes légalisée en 2021 et au bouleversement de la filiation consécutif à la révision des lois bioéthiques ; qui manque de peu la réalisation de son vœu urgent de faire légaliser l’euthanasie — n’attend sans doute pas de changement sur ce front-là.
La dissolution de l’Assemblée ne la rendra pas forcément meilleure
Emmanuel Macron n’a pas pris toutes ces décisions délétères seul : il les a encouragées, il y a présidé, il les a entérinées par sa signature. Le Parlement a participé à la funeste aventure. Et l’Assemblée nationale au premier chef, souvent grâce à l’indifférence voire à la complicité du Rassemblement national dont la « dédiabolisation » est sous ce rapport une contradiction dans les termes, puisqu’il ne s’est pas dressé contre les succès d’une politique proprement infernale, en ce qu’elle rejette frontalement la loi de Dieu.
Lire la suiteLe projet de loi légalisant l’euthanasie en France arrêté net alors que Macron convoque des élections anticipées
Emmanuel Macron.
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rémi Jouan/Wikimedia Commons
10 juin 2024 (LifeSiteNews) — Les élections européennes en France se sont transformées en un petit tremblement de terre lorsque, au vu des résultats lamentables des candidats de son parti, le président Emmanuel Macron a décidé de « dissoudre » l’Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement français.
Il a annoncé cette décision lors d’une allocution télévisée dimanche soir, une heure après que le premier sondage à la sortie des urnes eût révélé, à 20 heures, que le Rassemblement national (RN) de Marine Le Pen avait obtenu plus de deux fois plus de voix au niveau national avec son chef, Jordan Bardella, que Renaissance avec sa liste de candidats « macronistes » menée par l’insipide et pratiquement inconnue Valérie Hayer. 31,37 % et 30 sièges au Parlement européen pour le RN, contre 14,6 % et 13 sièges pour les macronistes, pour être précis, sur un total de 81 sièges pour la France.
Les socialistes, avec 13,98 % et 13 sièges, et le parti de droite Les Républicains, avec seulement 7,25 % et 6 sièges, restent insignifiants après avoir régné sur la France pendant de nombreuses années, jusqu’à ce que Macron prenne le pouvoir en 2017 et agisse comme un accélérateur pour la remise des pouvoirs souverains de la France à l’Union européenne et pour l’augmentation de la « culture de mort » dans la législation française.
Macron a notamment promu les « droits » des LGBT et de l’avortement : c’est sous son mandat que les couples lesbiens ont été autorisés à recourir à la procréation artificielle, tandis que les quelques garanties restantes contre les avortements volontaires ont été abandonnées et que l’avortement lui-même a été inscrit dans la Constitution française il y a seulement quelques mois.
La décision de Macron de dissoudre l’Assemblée nationale — avec effet immédiat — a eu un effet très positif, et certainement involontaire. Sous son impulsion, le gouvernement avait présenté un projet de loi sur la « fin de vie » visant à légaliser le « suicide assisté » et l’« aide à mourir ». Le projet de loi, qui évitait d’utiliser le terme « euthanasie », mais signifiait exactement cela, a été fortement amendé par la Commission juridique de l’Assemblée nationale ; et s’il avait été adopté tel quel, les lois françaises en matière d’euthanasie auraient été les plus libérales et les plus « progressistes » du monde.
Lire la suiteLe Parlement européen adopte une motion demandant que l’avortement soit déclaré « droit fondamental »
Par Andreas Wailzer — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sarah Kurfess/Unsplash
11 avril 2024 Bruxelles (LifeSiteNews) — Le Parlement européen a adopté une résolution radicale qui appelle à l’inclusion de l’avortement pratiquement sans restriction dans la Charte des droits fondamentaux de l’UE.
Jeudi, 336 députés ont voté en faveur du texte, 163 ont voté contre et 39 se sont abstenus. Cependant, près de 167 députés n’ont pas participé au vote, ce qui signifie que bien moins de la moitié des 705 membres du Parlement ont voté en faveur de la résolution non contraignante qui vise à déclarer « l’accès » à l’avortement « droit fondamental ».
La résolution vise à modifier l’article 3 de la Charte des droits de l’Union européenne, qui stipule que « chacun a droit à l’autonomie corporelle, à un accès libre, informé, complet et universel aux DSSR [droits à la santé sexuelle et reproductive] et à tous les services de santé connexes, sans discrimination », y compris l’avortement, qui, en tant qu’acte de destruction d’enfants innocents, n’est pas un soin de santé.
Selon un communiqué de presse du Parlement européen, les partisans du texte pro-avortement ont condamné un prétendu « recul des droits des femmes », concernant l’avortement, « et toutes les tentatives visant à restreindre ou à supprimer les protections existantes » pour l’avortement et d’autres prétendus « droits en matière de santé sexuelle et reproductive », à la fois dans les États membres de l’UE et dans le monde entier.
Lire la suiteL’Espagne pourrait être la prochaine nation européenne à inscrire l’avortement dans sa constitution
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : standret/Adobe Stock
27 mars 2024 (LifeSiteNews) — Dans le sillage du vote de la France pour inscrire l’avortement comme droit constitutionnel, nous faisons face à l’assaut paneuropéen le plus important contre le droit à la vie des enfants dans l’utérus depuis une génération.
Alors que les taux de natalité chutent et que l’Europe est confrontée à de multiples crises, il y a quelque chose de grotesquement approprié dans la croisade pour l’avortement qui se déroule en ce moment. Les progressistes qui font de l’avortement un droit de l’homme croient défendre les droits de l’homme et la démocratie libérale ; leurs déclarations ressemblent davantage à un râle d’agonie.
En Espagne, le parti de gauche Sumar, partenaire junior du gouvernement de coalition dirigé par les socialistes (PSOE) de Pedro Sánchez, a annoncé qu’il souhaitait suivre l’exemple de la France en inscrivant le fœticide dans la constitution. « La France et ses femmes ont montré que le progrès est possible et nécessaire », a récemment écrit le ministre du Travail, Yolanda Díaz, sur X. « Il est temps de garantir pleinement les droits de toutes les femmes ». La porte-parole de Sumar, Aina Vidal, a abondé dans le même sens, déclarant qu’il était temps d’« avancer » sur la question de l’avortement et qu’ils invitaient « tous les partis politiques avec lesquels nous avons déjà discuté de la question à ouvrir ce débat de société ».
L’Espagne a déjà beaucoup évolué sur cette question au cours des dernières années. Jusqu’en 2010, il était illégal d’avorter, sauf en cas de viol, de malformation du fœtus ou de « risque physique ou psychologique grave pour la mère » ; même ces cas n’ont été dépénalisés qu’en 1985. En 2010, l’avortement sur demande pendant les 14 premières semaines de grossesse a été légalisé. En 2022, le gouvernement espagnol de gauche a criminalisé les discours pro-vie sous prétexte de mettre fin au « harcèlement » des femmes cherchant à se faire avorter.
Lire la suiteMacron promet d’inscrire l’avortement dans la Charte des droits de l’UE après que la France l’ait inscrit dans sa Constitution
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : BFMTV/YouTube
11 mars 2024 (LifeSiteNews) — Lors d’une cérémonie chargée d’émotion organisée le 8 mars pour marquer l’occasion de l’inscription de l’avortement dans la constitution française, le président Emmanuel Macron — sans un soupçon d’ironie — a déclaré dans un discours de célébration que cette mesure était l’aboutissement d’un combat pour « la liberté, un combat fait de larmes, de drames et de destins brisés ». Il ne faisait pas référence aux innombrables enfants éliminés sous le régime français du fœticide, mais au fait que la France est devenue le premier pays à inscrire l’avortement dans sa Constitution.
La cérémonie s’est déroulée en grande pompe, la Constitution ayant été officiellement scellée par une presse manuelle de 300 kilos datant du XIXe siècle, installée devant le ministère de la Justice à Paris, afin que le public puisse assister à l’estampillage officiel de la Constitution aux côtés des politiciens et des célébrités rassemblés. L’inscription de l’avortement dans la Constitution, a déclaré M. Macron, devrait rappeler « le sort de générations de femmes privées du plus intime de leurs choix : celui d’avoir ou non un enfant ».
Il poursuit : « Le destin de ces femmes au visage de souffrance, d’effroi ; des adresses échangées sous le manteau, des opérations clandestines, des cris ravalés, des convalescences impossibles ; du secret, des soupçons, des sermons ; le risque de tout perdre, son bonheur et sa vie. Oui, durant de trop longues années, le destin des femmes était scellé par d’autres. Leurs vies capturées, leur liberté bafouée ».
Lire la suiteAvec l’avortement, la France plante un nouveau clou dans le cercueil démographique de l’Europe
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
6 mars 2024 (LifeSiteNews) — Alors que je travaillais sur plusieurs projets de recherche pour The European Conservative à Bruxelles récemment, j’ai fait une excursion d’une journée à Paris avec ma famille. C’est, à tout point de vue, l’une des plus grandes capitales d’Europe, avec une histoire turbulente et sanglante de régicides, de révolutions et de vengeances. Les bouquinistes le long de la Seine — libraires de livres anciens et d’occasion où l’on trouve à peu près tout — sont mes préférés ; les Champs-Élysées, qui ont accueilli les funérailles de Victor Hugo en 1885 et mènent à l’Arc de Triomphe, sont magnifiques.
La Tour Eiffel, bien sûr, est la pièce maîtresse. Nous avons quitté la ville alors qu’elle s’illuminait dans le ciel nocturne, brillant d’or à l’horizon. Le lundi 4 mars, des centaines de personnes se sont rassemblées autour de l’édifice emblématique alors que les députés de l’Assemblée nationale et les sénateurs votaient, lors d’une session conjointe historique au château de Versailles, l’inscription de l’avortement dans la Constitution. Sur les 925 législateurs habilités à voter, 780 ont soutenu l’amendement sous un tonnerre d’applaudissements et une ovation debout ; devant la Tour Eiffel, la foule a explosé, déclenchant des bombes fumigènes et agitant des drapeaux. L’atmosphère était révolutionnaire : les enfants nés avaient triomphé des enfants à naître.
Lire la suiteProfesseur à Oxford et conseillère du Forum économique mondial, Sarah Harper qualifie la baisse des naissances en Angleterre de « bonne chose »
Sarah Bernard.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Le monde occidental connaît aujourd’hui une dénatalité de plus en plus grave, mais aux yeux de certains, c’est une excellente nouvelle. Professeur de gérontologie dans une des plus prestigieuses universités britanniques, Sarah Harper, directrice de l’Oxford Institute of Population Ageing (Institut d’Oxford du Vieillissement de la population), a récemment fait part de sa satisfaction devant la baisse du nombre de bébés naissant en Angleterre. C’est une « bonne chose », a déclaré cette conseillère du Forum économique mondial.
Elle réagissait aux statistiques des naissances en Angleterre et au Pays de Galles, qui n’ont pas été aussi mauvaises depuis deux décennies. En 2002, le total atteignait 596.122 ; en 2023, on a compté 605 479 naissances vivantes, soit 3,1 % de moins que l’année précédente. Les chiffres de 2022 affichent également la plus forte proportion de naissances chez des femmes nées en dehors du Royaume-Uni depuis que l’on tient ce type de statistiques, soit près d’un tiers. L’Inde est en tête des pays représentés pour les mères d’origine étrangère, le Pakistan pour les pères d’origine étrangère.
Lire la suiteLa déconfiture du libéralisme
Stańczyk par Jan Matejko.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wikimedia Commons
Encore récemment, le premier ministre de Hongrie Viktor Orbán prononçait un discours à la 32e Université d’été de Bálványos à Tusnádfürdő en Roumanie. Lors de cet événement, le 22 juillet 2023, il souligna l’échec du libéralisme des « Lumières » à créer une société sur des bases autres que celles du christianisme. M. Orbán affirme, selon le Visegrád Post :
L’échec des pays fonctionnant sur des bases libérales tient au fait qu’ils ont cru que de nouvelles communautés prendront la place des anciennes, alors que c’est une aliénation d’un type particulier qui est apparu partout. Bien sûr, la France, qui en souffre, est une grande nation, la gloire lui appartient, et elle y trouvera certainement une solution. Mais en considérant les bases spirituelles, en creusant un tout petit peu plus profond, l’on peut affirmer qu’une prise de conscience anthropologique se cache au fond des bases spirituelles de la nouvelle ère. Car voici deux cents et quelques années, à l’époque des Lumières, les intellectuels de gauche internationaliste et d’esprit libéral, ainsi que les dirigeants politiques ont cru qu’après le rejet de la religion et du christianisme viendrait une communauté idéale, « éclairée », basée sur la reconnaissance du bien et du bien public, qui vivrait une vie libre et d’ordre supérieur, basée sur des vérités sociales sociologiquement reconnues. C’est cela qu’ils ont espéré du rejet du christianisme et de la religion. Cette hypothèse n’était pas encore exclue il y a deux cents ans. Cela aurait très bien pu en aller ainsi. Mais deux cents ans ont passé, et l’on voit aujourd’hui que ce n’était qu’une illusion : le rejet du christianisme a fait de nous, dans les faits, des païens hédonistes. C’est cela, la réalité. Et c’est pourquoi, à mes yeux, il était évident que notre Constitution soit promulguée le jour de Pâques, devenant ainsi, en tout bien tout honneur, une « constitution pascale ».
C’est cela, Mesdames et Messieurs, qui est à la base du conflit entre l’Union européenne et la Hongrie. L’Union européenne rejette notre héritage chrétien, elle organise un changement de population au travers de la migration, elle mène une campagne LGBTQ contre les nations européennes attachées à la famille.
(J’avoue qu’il y a comme un flou dans les paroles de M. Orbán au sujet de la possibilité que le projet libéral eût pu réussir ou non, mais c’est l’un des meilleurs dirigeants occidentaux et son propos mérite qu’on l’étudie.)
L’avortement, également promu à grand bruit en Occident par ce même esprit libéral, est sans doute le meilleur exemple de cet échec, à l'aune d'une mesure très concrète, celle de la dénatalité...
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