Un tribunal écossais juge que la définition de la « femme » ne peut inclure les hommes
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : beeboy/Adobe Stock
1er mars 2022, Édimbourg, Écosse (LifeSiteNews) — Un groupe pro-femme en Écosse a contesté avec succès la tentative du gouvernement de modifier la définition légale de « femme » pour y inclure les hommes qui s’identifient comme des femmes.
Le gouvernement écossais, dirigé par la première ministre nationaliste libérale Nicola Sturgeon, a tenté d’élargir la définition de « femme » en y incluant les soi-disant « transfemmes », dans sa Loi sur la représentation des sexes dans les conseils publics (Écosse) en 2018, ce qui a suscité la réaction du groupe écossais de campagne pour les droits des femmes, For Women Scotland.
La loi prévoyait que toute personne « vivant comme une femme » et qui au moins « propose de [devenir] une femme » par un « processus » non défini remplirait l’objectif de la loi, qui est de tenter d’avoir au moins 50 % des membres non exécutifs des conseils publics représentés par des femmes¹.
L’année dernière, For Women Scotland a contesté la loi dans le cadre d’une révision judiciaire, mais sans succès.
Toutefois, dans un arrêt du 18 février, la Cour de session a déterminé que le gouvernement avait outrepassé ses compétences législatives en redéfinissant le terme « femme » pour y inclure les hommes biologiques² dans le but d’accroître la représentation des femmes dans les conseils d’administration publics.
Le tribunal a ajouté que le gouvernement peut légiférer pour tenter d’augmenter la représentation des femmes et des personnes qui s’identifient comme étant du sexe opposé, mais séparément, étant donné que ces deux groupes bénéficient de protections spéciales en vertu de la loi sur l’égalité de 2010.
Suite à la décision, For Women Scotland a publié un article sur son site web, se réjouissant de son succès au tribunal et disant que la décision « confirme que le sexe est important en droit et que les préoccupations des femmes concernant l’affaiblissement de la caractéristique protégée [du sexe] sont valables ».
Lire la suiteConférence sur le climat : sauver la planète en multipliant les avortements…
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : AS Photo Project/AdobeStock
Planète contre enfants : le nouveau Moloch est arrivé !
Moloch, ce dieu des Cananéens lié aux sacrifices d’enfants par le feu, a repris vie. L’idole païenne s’est mise à la mode, en harmonie avec le ton de la bien-pensance, en symbiose avec la pachamama louée par François et la Terre mère des écolos-gauchos. Dans l’olympe des ayatollahs du réchauffement climatique devenu par des voies mystérieuses un dérèglement climatique, il y a la Planète, divinité mangeuse d’hommes, des bébés des hommes plus précisément… qui a ses prêtres fidèles, les ONG pseudo humanitaristes. Soixante ONG internationales promouvant l’avortement ont lancé un appel aux gouvernements en vue de la conférence sur le climat de novembre prochain qui se tiendra en Ecosse, à Glasgow : l’objectif est d’inclure les programmes de contraception et d’avortement parmi les mesures à financer contre le changement climatique. Une vieille histoire des mondialistes bobo-radical-chics qui ont une drôle de façon de montrer leur amour de l’humanité…
Après la peur covidienne, revoilà donc la peur climatique… l’une et l’autre maintenant les peuples dans la peur tout court, dans une peur messianique, en marche vers un Nouvel Ordre Mondial, un futur bâti sur les espérances planétariennes d’une clique de puissants…
Pour l’un d’eux, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, cette année sera l’année du « maintenant ou jamais » dans la lutte contre le changement climatique. Lors du Sommet des Nations Unies sur le climat nommé COP26 (26e Conférence des Parties des Nations unies sur le changement climatique), les multinationales de l’avortement demandent que « les droits reproductifs et la contraception » soient inclus dans les engagements climatiques, montrant ainsi pleinement le visage malthusien du néo-environnementalisme.
La conférence, reportée l’année dernière en raison du covid-19, sera coorganisée par le Royaume-Uni (26 COP actuelle à Glasgow du 1er au 12 novembre) et l’Italie (les sommets pré-COP à Milan du 28 septembre au 2 octobre) et les pays participants, bien au-delà de 190, devraient annoncer de nouveaux objectifs climatiques.
En toile de fond, ce sont toujours les mêmes affirmations alarmistes qui ont été pourtant démenties à plusieurs reprises et le même objectif, atteindre la neutralité carbone dans le monde d’ici 2050 (ou 2030, comme beaucoup le souhaiteraient), pour éviter, selon ces Khmers verts, une augmentation de la température supérieure à 1,5 °C par rapport à la fin du XIXe siècle. Que cela soit irréaliste et profondément injuste pour des milliards de personnes et des dizaines de pays en développement ne rentre pas en ligne de compte pour la conscience morale universelle aux manettes de la COP26.
Lire la suiteUn bébé prématuré, à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, rentre de l’hôpital
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Sofia Viktoria Birina pourrait bien être le plus jeune bébé prématuré survivant d’Écosse, puisqu’elle est née à seulement 22 semaines le 2 octobre. Selon The Mirror, les médecins ne lui donnaient que 10 % de chances de survivre à la naissance. Cependant, ce bébé d’une livre et d’une once a surmonté les obstacles et est maintenant à la maison avec sa mère Egija et son père Inars.
« Tout allait bien lors de l’examen à vingt semaines », déclare Egija. « Puis, un peu plus d’une semaine plus tard, j’ai ressenti des douleurs, alors je suis allée à l’hôpital et on m’a dit que j’étais déjà dilatée et que je devais accoucher. »
Egija fut mise au lit pendant dix jours avant la naissance de Sofia. Les médecins n’avaient guère d’espoir et ses parents ne s’attendaient pas à ce qu’elle survécût. Sofia surmonta une malformation cardiaque, une hémorragie cérébrale de stade 1, une rétinopathie de la prématurité (une maladie des yeux) et des infections. Comme ses poumons n’étaient pas assez développés, elle eut besoin d’aide pour respirer.
« Elle a été branchée à de nombreuses machines et on lui a insufflé de l’air pendant plusieurs semaines pour l’aider à respirer », relate Egija. « La première fois qu’ils ont essayé de la faire respirer toute seule, elle ne put tenir que vingt minutes, puis son rythme cardiaque chuta et j’ai eu l’impression de la perdre, mais le personnel médical et infirmier a été formidable. J’ai failli m’évanouir tellement j’avais peur ».
Lire la suiteLogique du «mon corps, mon choix»: l’euthanasie devrait servir à décharger les femmes du fardeau des personnes souffrantes…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Selon certaines féministes, l’euthanasie devrait être libéralisée afin de décharger les femmes s’occupant de personnes souffrantes, car plus de la moitié des soignants en Écosse sont des femmes et font donc plus souvent face à la souffrance d’autrui, selon LiveActionNews :
Les groupes de pression pour le suicide assisté soutiennent depuis longtemps que les médecins devraient pouvoir tuer leurs patients afin que les gens puissent éviter ce qu’ils présument être une mort longue et douloureuse. Selon les partisans de l’euthanasie, c’est une façon plus « digne » de mourir. Mais pour Dignity in Dying Scotland, il existe une autre raison de se débarrasser rapidement des personnes âgées, malades ou handicapées : pour qu’elles ne soient pas un fardeau pour les femmes.
Un nouveau rapport de ce groupe de défense du suicide assisté affirme qu’il s’agit là d’une question dite « féministe ». Ally Thomson, directrice de Dignity in Dying Scotland, s’est entretenue avec Tracey Bryce du Sunday Post à ce sujet, déclarant : « Les femmes ont fait clairement valoir leur point de vue — la loi en Écosse les oublie. Elles sont témoins de souffrances inutiles en fin de vie et sont anxieuses quant à leur propre mort étant donné le manque de choix qui leur est offert en Écosse ». Elle ajouta : « Elles sont également très majoritairement favorables à une modification de la loi sur l’aide à mourir pour les adultes en phase terminale. Nous devons écouter les femmes lorsqu’elles nous disent que les choix actuels, offerts aux personnes confrontées à une mort difficile, ne sont en aucun cas des substituts appropriés aux lois sûres et compatissantes qui permettent aux gens de mourir dans la dignité ».
Bryce elle-même fait écho aux affirmations de l’article du Dignity in Dying Scotland, qui affirme qu’il est antiféministe de permettre aux gens de mourir naturellement, plutôt que de les tuer activement. « Des chiffres récents montrent que plus de la moitié des 759 000 soignants adultes en Écosse sont des femmes », écrit Bryce. « Beaucoup ont dû soigner des proches atteints de maladies en phase terminale et ont parlé de la douleur et des souffrances dont elles ont été témoins, et de leur souhait qu’il y ait quelque chose qu’elles pussent faire pour mettre fin à la souffrance, ou assurer une mort paisible et digne. L’article souligne également que 82 % des infirmières du NHS sont des femmes, ce qui signifie que davantage de femmes sont exposées aux effets de l’absence de choix en fin de vie ».
Je ne vois pas trop en quoi le fait que les femmes fissent plus souvent face à la souffrance d’autrui devrait en faire une « question féministe », parce qu’après tout des hommes aussi doivent supporter le fait d’assister à de telles souffrances. De plus, l’euthanasie concerne principalement la personne qui pourrait la subir.
Cette tentative maladroite est en fait une suite logique au slogan « mon corps, mon choix » : si une femme peut tuer son enfant à naître ― un être humain ― pour dégager son corps, pourquoi ne pourrait-elle pas tuer un autre être humain qui demande d’elle un effort particulier, qui lui inflige le désagrément de ressentir sa détresse ? La femme se débarrasse-t-elle de l’enfant à naître pour avoir une carrière ? Pourquoi donc ne pourrait-elle pas améliorer sa carrière de soignante en éliminant de vieux malades encombrants pour s’occuper de cas moins lourds ?
La même logique du « mon corps, mon choix », où la raison du plus fort prime sur celle du plus faible, où celui qui a une charge a droit de vie ou de mort sur la personne à charge, suit son cours tranquille et turpide.
En fait, cela me rappelle avoir déjà entendu un conservateur, lors du congrès du Parti conservateur à Halifax en 2018, me dire froidement que l'euthanasie devrait être légale pour les handicapés parce que ceux-ci représentent un poids pour ceux qui s'en occupent…
Un bébé né à 25 semaines à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, plus petit que la main de son père
Kevin Cook mettant sa main à côté de son bébé Mirren.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Après un combat de 16 semaines, un bébé, plus petit à sa naissance que la main de son père, à qui les médecins ne donnaient que 10 % de chance de survie, se porte bien et a quitté l’hôpital avec ses parents, Kevin et Katie Cook.
Le bébé prématuré, nommé Mirren, né à 25 semaines dans un hôpital en Écosse, ne pesait que 467 grammes.
Sa mère, Katie, souffrait de pré-éclampsie, un problème de grossesse potentiellement fatal, caractérisé par une pression artérielle élevée. Une césarienne d’urgence fut nécessaire parce qu’elle ne sentait plus le bébé bouger.
Après transfert de Mirren à l’unité des soins intensifs néonataux, ses parents durent attendre 10 jours avant de pouvoir la tenir dans leurs bras.
Katie décrit le moment où elle tint Mirren dans ses bras pour la première fois : « C’était un sentiment indescriptible, j’aurais pu me noyer dans les larmes de joie… j’ai attendu ce jour pendant longtemps. En un sens, c’était comme si elle ne m’avait pas réellement appartenue jusqu’à ce jour. »
Je me félicite d’avoir été me faire examiner, ça nous a réellement sauvées.
La césarienne fut effectuée juste à temps, soit le 10 mai dernier. Les médecins mentionnèrent à Kevin et à Katie que s’ils avaient attendu un autre 48 heures, Mirren n’eut peut-être pas survécu ; même à ce moment, on lui accordait seulement 10 % de chance de survie.
« Les prochains quatre mois ont été en dents de scie, se rappelle Katie, mais Mirren continuait à lutter.
Lire la suiteÉcosse arc-en-ciel : leçons lgbtqi+ obligatoires
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo (modifié) : Freepik
D’ici mai 2021, dans toutes les écoles publiques écossaises deviendront obligatoires des leçons Lgbtqi+. On y parlera de la terminologie arc-en-ciel, de « l’homophobie-biphobie-transphobie », de l’histoire du mouvement Lgbt et de bien d’autres choses encore ayant trait à la culture gay.
Le projet à forte teinte idéologique avait déjà été approuvé en 2018. Le vice-premier ministre de l’époque, John Swinney, avait déclaré :
L’Ecosse est déjà considérée comme l’un des pays les plus progressistes d’Europe en matière d’égalité Lgbtqi+. Je suis heureux d’annoncer que nous serons le premier pays au monde à intégrer une éducation Lgbtqi+ inclusive dans le programme scolaire. Notre système éducatif doit aider chacun à atteindre son plein potentiel. Pour cette raison, il est essentiel que le programme soit aussi diversifié que les jeunes qui viennent apprendre dans nos écoles. Les recommandations acceptées amélioreront non seulement l’expérience d’apprentissage de nos jeunes Lgbt, mais aideront également tous les élèves à célébrer leurs différences, à promouvoir la compréhension et à encourager l’inclusion.
C’est la première fois au monde qu’un gouvernement impose des leçons de genre sur tout son territoire national [excepté au Québec*]. Nous passons ainsi de l’interdiction de discriminer à l’obligation d’embrasser l’idéologie gender, qu’on le veuille ou pas. La Gaystapo est tyrannique.
*Commentaire d’A. H.
Le prélèvement d’organes se fera en Angleterre sur consentement présumé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : peoplecreations/Freepik
L’Angleterre a décidé que le prélèvement d’organes pourra s’effectuer sur la base du consentement présumé des personnes déclarées « mortes », c’est-à-dire les gens qui n’auront pas demandé au gouvernement de ne pas les considérer comme consentants. Précisons que le prélèvement d’organe s’opère sur des personnes dites en état de « mort cérébrale », concept fumeux expressément inventé pour prélever des organes sur des personnes mourantes, ou dans un coma irréversible (encore que les médecins puissent se tromper dans ce cas) ; on ne récolte pas d’organes vivants sur un cadavre. Mais le critère de « mort cérébrale » est plus moins libéral selon les pays, et l’est de plus en plus, comme en Australie où l’arrêt « permanent » de la fonction cardiaque (qui peut être restaurée) en est un. Selon LifeSiteNews :
La loi anglaise permettra désormais à l’État de présumer le consentement à fin de prélèvement d’organes des personnes déclarées « mortes ».
La nouvelle loi qui est entrée en vigueur la semaine dernière accorde au gouvernement l’autorité de prélever les organes des personnes déclarées mortes, à moins que la personne n’ait spécifiquement déclaré qu’elle ne voulait pas que ses organes fussent utilisés. Le gouvernement affirme que la loi a été modifiée « pour aider à sauver et améliorer plus de vies ».
Une loi similaire existe au Pays de Galles depuis 2015. En Écosse, une loi supposant le consentement au don d’organes entrera en vigueur en mars 2021.
« Des cadavres au cœur battant » :
« La prétendue “mort cérébrale” permet aux médecins de prélever des organes vitaux de patients qui sont très probablement encore en vie, bien qu’ils soient peut-être inconscients et proches de la mort », a expliqué le Dr McCarthy [de SPUC].
Les cœurs des donneurs, par exemple, sont en pratique prélevés sur des « cadavres au cœur battant ». La publicité incitant les gens à faire don de leurs organes ne révèle pas que les donneurs dont le cœur bat encore peuvent bouger lors du prélèvement, à moins qu’ils ne soient paralysés par des produits », a-t-il poursuivi.
« Les chirurgiens en transplantation le savent et ils savent aussi que la pression sanguine de la personne augmente lorsqu’une incision est faite. Certains anesthésistes recommandent que ledit “cadavre” soit anesthésié lors du prélèvement de ses organes ».
Le critère australien de perte « permanente » (c.-à.-d., qui demeure pendant une période de temps longue et indéterminée) :
« Un exemple d’évolution inquiétante est le passage en Australie du prélèvement d’organes ne devant être tenté qu’après une perte “irréversible” de la fonction cardiaque, au prélèvement d’organes pouvant être tenté dès la perte “permanente” de la fonction cardiaque, ce dernier cas peut inclure des situations où il a déjà été décidé que la réanimation ne serait pas tentée. Comme l’indique un rapport, “on ne peut prétendre à juste titre que la mort est survenue si la fonction cardiaque peut être rétablie, même si une décision a été prise de ne pas le faire”.
Un juge ne se décide pas à emprisonner un transgenre violent dans une prison pour hommes ou pour femmes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
East Sussex, Angleterre, 3 mars 2020 (LifeSiteNews) — Au Royaume-Uni, un homme biologique* a plaidé coupable devant l’accusation d’agression après tentative de vol le mois dernier, mais il n’ira pas en prison, car le juge n’a pas su déterminer s’il fallait envoyer la « femme transgenre » dans un établissement pour hommes ou pour femmes.
Leila Le Fey (également connue sous les noms de Layla Le Fey, Adam Hodgson et Marcus Smith) a reconnu avoir menacé un homme avec un marteau au cours d’une tentative de vol de vin dans un magasin de Budgens, rapporte le Daily Mail. Ce n’était que le plus récent des plus de 50 délits inscrits à son dossier, dont de multiples cas de vols à l’étalage armés.
Qualifiant les actions de La Fey d’« inexcusables », le juge Stephen Mooney lui a d’abord infligé une peine de six mois, mais l’a suspendue après que les avocats du prévenu eussent fait valoir que Le Fey ne possédant pas de Certificat de reconnaissance de genre, qui ne sont octroyés qu’aux personnes ayant passé au moins deux ans à vivre comme membres de l’autre sexe, se verrait envoyé dans un établissement pour hommes. On ignore si Le Fey est passé par la transition chirurgicale.
« Nous vivons dans une société qui reconnaît et accepte la diversité et qui permet et encourage les gens à vivre la vie qu’ils veulent avoir », a déclaré M. Mooney. « Parfois, la société ne fait pas les ajustements nécessaires ou appropriés de toutes les manières possibles pour refléter les ajustements de la société dans son ensemble ».
« Après avoir réfléchi à nouveau à l’impact qu’aurait une peine d’emprisonnement immédiate, aux difficultés qu’il y réside et aux problèmes insolubles auxquels le service pénitentiaire serait confronté, j’ai réexaminé la question de l’emprisonnement immédiat », conclut-il. « À la lumière de ces informations, je suis arrivé à la conclusion que dans votre cas particulier, cela me permet d’espérer une certaine forme de réhabilitation ».
Au lieu d’une peine d’incarcération, Le Fey devra suivre 30 séances de réhabilitation, probablement liées à un problème de toxicomanie auquel son avocat a partiellement attribué son dernier crime.
« J’en ai plus qu’assez des hommes qui utilisent l’auto-identification pour abuser et s’en prendre aux femmes et aux filles et qui reçoivent une carte “sortez de prison” », écrivait Julie Bindel dans le UK Spectator. « Un nombre record de délinquants de détenus masculins s’identifient désormais comme femmes. The Daily Telegraph a rapporté qu’il y avait plus de 100 prisonniers de ce type, soit le double de ce qu’on trouvait voilà deux ans. Fair Play for Women estime que la moitié des prisonniers transgenres sont des délinquants sexuels ou des détenus dangereux de catégorie A ».
En Amérique du Nord et en Europe, on s’inquiète de plus en plus du placement d’hommes qui prétendent être des femmes dans des prisons pour femmes, ceux-ci encouragés par des cas comme celui de Stephen Wood, qui a agressé quatre détenues après avoir été placé dans un établissement pour femmes sous le nom de « Karen White ». Le Canada et l’Écosse ont également vu des cas d’hommes revendiquant le statut de « transgenre » afin d’obtenir un traitement plus léger pendant leur incarcération.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Un étudiant viré de sa classe pour avoir dit qu’il n’y a que deux sexes
Le professeur qui a mis dehors un élève parce que celui-ci disait qu'il n'y avait que deux sexes.
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Écosse, 19 juin 2019 (LifeSiteNews) — Un enseignant en Écosse a fait sortir un élève de sa classe après que celui-ci eût insisté sur le fait qu’il n’y avait que deux sexes, masculin et féminin. La vidéo, prise par l’élève sur un téléphone [in]intelligent*, montre l’enseignant qui apostrophe l’élève en dehors de la salle de classe de ce qu’il ne soit pas « inclusif ».
La brève vidéo, filmée par un étudiant du nom de Murray et fournie par le blogue de l’archevêque Cranmer, montre l’enseignant de plus en plus énervé envers Murray, qui persiste calmement à insister sur la réalité binaire de la sexualité humaine homme-femme. On ignore qui est l’enseignant ou dans quelle école cela s’est déroulé.
« Pourquoi m’avez-vous mis à la porte de la classe ? Ce n’est pas très inclusif de votre part », a déclaré Murray.
« Je suis désolé, mais ce que tu disais n’était pas très "inclusif", a déclaré l’enseignant de Murray, "et ici c’est une école inclusive". »
Lire la suiteUne loi qui criminalise la fessée progresse au Parlement écossais
Chateau d'Édimbourg, capitale de l'Écosse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : lino9999/Pixabay, waldomiguez/Pixabay
Le gouvernement d’Écosse est en train de s’ingérer dans un domaine qui n’est pas le sien, à savoir l’éducation des enfants. Les châtiments corporels peuvent être raisonnables et le gouvernement s’occupe déjà de sévir contre ce qui est manifestement une vraie violence. Si ce projet de loi n’est pas l’aboutissement ultime du pacifisme, je me demande ce que c’est… En fait, c’est plutôt la lente appropriation des enfants par l’État. Extrait de LifeSiteNews :
L’Écosse envisage d’adopter une loi qui rendrait illégale toute forme de correction physique d’un enfant.
Le « projet de Loi sur les enfants (l’Égalité de protection contre les agressions) (d’Écosse) » a été adopté hier à Holyrood, au Parlement écossais, lors de la première étape d'un processus en trois paliers.
Le projet de loi a reçu 80 voix pour et 29 voix contre. Tous les partisans du projet de loi étaient du Scottish National Party (SNP), le Labour Party et le Green Party, tandis que l’opposition venait des partis conservateurs écossais. Selon le magazine en ligne Holyrood, le projet de loi sera maintenant « examiné et amendé à l’étape du comité ».
John Finnie, membre du Parlement écossais (MSP) pour la région des Highlands et des îles, a présenté le projet de loi le 6 septembre 2018. Hier, il a dit aux autres MSP d’Holyrood qu’il voulait « envoyer un message clair » sur la correction des enfants.
« Mon intention en présentant ce projet de loi est de clarifier la loi en supprimant la protection du châtiment raisonnable, parfois appelé voies de fait justifiables, et d’envoyer un message clair que le châtiment corporel des enfants n’est pas acceptable, » disait-il.
Parlement d'Écosse, à Édimbourg.