Le système de santé écossais suspend une étudiante sage-femme pour des messages pro-vie sur les réseaux sociaux
Par l’Alliance Defending Freedom (republié sur LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mario McKinnon Photography
Mardi 4 mars 2025, Dundee, Écosse — Une étudiante sage-femme et mère de trois enfants, résidant en Écosse mais originaire des États-Unis, a été suspendue de son stage de formation auprès du NHS Fife en raison de commentaires sur un forum Facebook privé expliquant son objection de conscience à la pratique de l’avortement.
Sara Spencer, 30 ans, a été suspendue et a fait l’objet d’une enquête d’aptitude à la pratique à la suite de commentaires faits sur un groupe Facebook privé de sages-femmes dans lequel elle a répondu à une question : « Les sages-femmes ont-elles quelque chose à voir avec les avortements et peuvent-elles refuser de participer à leur réalisation en raison de leurs convictions ? »
Commentant son traitement, Sara Spencer a déclaré :
Lire la suiteIl est bien connu qu’au Royaume-Uni, les professionnels de la santé ont le droit de s’opposer en conscience à la pratique d’un avortement.
En tant qu’étudiante, je m’attendais à pouvoir discuter librement avec mes pairs des raisons de mon objection de conscience et à débattre respectueusement de questions de droit médical, d’éthique et de philosophie des soins prodigués par les sages-femmes — des questions qui sont au cœur de notre profession.
J’ai été choquée par la réponse du NHS Fife à l’expression de mes convictions légalement protégées. Il est inquiétant qu’un service de santé du NHS soit réticent à accueillir une étudiante qui a certaines convictions concernant l’importance de la vie humaine à naître.
Une Écossaise arrêtée par la police pour être restée silencieuse devant un centre d’avortement
Rose Docherty arrêtée par la police écossaise pour le crime de « vigile silencieuse ».
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
18 février 2025, Glasgow, Écosse (LifeSiteNews) — Des vidéos prises en Écosse à l’extérieur d’un centre d’avortement montrent la police importunant une femme qui se tient dans la rue, immobile et silencieuse, alors qu’ils appliquent dans le pays la nouvelle loi sur les « zones tampons » autour des centres d’avortement.
Quelques jours seulement après que le vice-président américain JD Vance ait interpellé le gouvernement écossais au sujet de la loi de censure « Safe Access » — qu’il a qualifiée de « crime contre la pensée » parce qu’elle interdit la « prière privée » — Rose Docherty a été prise pour cible par la police alors qu’elle se tenait silencieusement devant l’hôpital universitaire Queen Elizabeth à Glasgow, en Écosse, et qu’elle tenait une pancarte sur laquelle on pouvait lire : « La coercition est un crime, ici pour parler, seulement si vous voulez ».
À la suite des commentaires de M. Vance critiquant la loi, le représentant du Parti national écossais, Neil Gray, a déclaré que la déclaration du dirigeant américain était « ridicule », tandis qu’un porte-parole du gouvernement a déclaré que le peuple écossais « continue d’avoir le droit de protester et de s’exprimer librement ».
Lire la suiteDes jumeaux nés à 24 semaines de grossesse sont enfin rentrés chez eux : « Ce fut un périple plein d’émotions »
Par Laura Nicole (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michaela/Adobe Stock
Katrina Pugh, de Newmains en Écosse, âgée de 39 ans et enceinte de 24 semaines, ressentait des douleurs dorsales. Un jour de février, à la fin de son deuxième trimestre, elle s’est rendue à l’hôpital pour se faire examiner.
Elle a été immédiatement admise et on lui a dit qu’elle était en fait en train d’accoucher, que ses jumeaux étaient en route. Jennifer est née la première, avec un petit poids de 510 g, suivie de son frère George, pesant 595 g, bien avant la date prévue de la mi-juin.
Les jumeaux ont été transportés d’urgence à l’unité de soins intensifs néonatals (USIN) où ils ont été placés sous assistance respiratoire. Katrina et son compagnon Barry Fleming, 31 ans, se sont précipités pour être aux côtés de leurs bébés fragiles.
« George et Jennifer étaient formés, mais ils ne ressemblaient pas à l’apparence d’un bébé. Leur peau était translucide et leurs yeux encore fermés », a-t-elle déclaré au Daily Record. « Ils étaient si petits qu’on pouvait les tenir dans la paume de la main. Nous avons demandé s’ils allaient s’en sortir, mais personne n’a pu nous le dire. Ils nous ont dit qu’ils feraient tout ce qu’ils pouvaient. Ce n’est que lorsque nous les avons ramenés à la maison qu’ils ont admis qu’ils ne savaient pas s’ils allaient s’en sortir ».
Lire la suiteL’Écosse adopte la loi sur les zones bulles autour des avortoirs la plus extrême au monde
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le 12 juin, les députés du Parlement écossais ont massivement approuvé un projet de loi visant à instaurer des zones bulles autour des établissements pratiquant l’avortement, malgré la forte désapprobation de l’opinion publique.
La loi sur les « services d’avortement (zones d’accès sécurisé) » a été adoptée par 118 voix contre une. Selon cette loi, toute activité pro-vie dans un rayon de 200 mètres autour d’un hôpital ou d’un établissement pratiquant l’avortement est interdite, y compris les panneaux et les affiches, même si ces affiches se trouvent sur une propriété privée. Le projet de loi a été adopté en dépit d’une récente enquête publique révélant qu’une majorité écrasante de plus de 70 % des personnes interrogées s’oppose aux zones bulles.
« Le vote d’aujourd’hui signifie que plus jamais une femme ne devra être privée de sa dignité, de son intimité ou de ses émotions lorsqu’elle choisit d’avorter. Il consacre son droit à le faire, sans crainte ni intimidation », a déclaré la députée Gillian Mackay, qui a présenté le projet de loi.
En dépit de ces lois, les pro-vie qui militent devant les établissements pratiquant l’avortement sont, dans leur grande majorité, pacifiques et priants. Leur présence vise non seulement à sauver les enfants à naître de l’avortement, mais aussi à aider les mères qui pensent que l’avortement est leur seul choix, ou qui peuvent être contraintes de le faire. De nombreuses femmes se rendent dans les centres d’avortement parce qu’elles ne savent pas qu’il existe des organisations pour les aider à garder leurs enfants ; les pro-vie peuvent mettre les femmes en contact avec ces organisations.
Lire la suite77 % des Écossais s’opposent au projet de loi sur les zones bulles autour des avortoirs
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
25 avril 2024 (Right To Life UK) — Les résultats d’une consultation du Parlement écossais sur le projet de loi du député Gillian Mackay sur les zones bulles montrent que 77 % des personnes interrogées sont opposées à leur introduction en Écosse.
Publiés lundi, les résultats de la consultation publique sur le projet de loi sur les Services d’avortement (zones d’accès sécurisé) (Écosse) révèlent une forte opposition à la création de zones bulles autour des cliniques d’avortement en Écosse. Le projet de loi a été déposé en octobre 2023 et est en cours d’examen par le Parlement écossais.
Sur les 5 856 réponses à la question « Êtes-vous d’accord avec l’objectif général de ce projet de loi ? », 4 517 (77,13 %) sont en désaccord, 1 288 (21,99 %) sont d’accord, 40 (0,68 %) sont partiellement d’accord et 11 (0,19 %) ont répondu « ne sait pas ». (Les calculs complets et les sources de ces chiffres sont disponibles ici).
Le résumé des réponses à la législation proposée a également été publié. Il présente certaines des raisons particulières pour lesquelles les personnes interrogées étaient si opposées au projet de loi. Certaines personnes interrogées ont déclaré que les zones bulles empêcheraient certaines femmes de recevoir l’aide dont elles ont besoin.
Lire la suiteEn Écosse, les parents menacés de prison s’ils s’opposent au « genre » choisi de leur enfant
Par Anne Dolhein (reinformation.tv) — Photo : Jorge Franganillo/Flickr/Wikimedia Commons
Le Scottish National Party (SNP) au pouvoir en Ecosse a publié mardi des propositions en vue de criminaliser les actions des parents contraires à l’identité de genre choisie par leur enfant, avec des peines pouvant aller jusqu’à sept ans d’emprisonnement et des amendes sans limite de valeur. Plus largement, au titre de l’interdiction des « thérapies de conversion », tout acte destiné à « changer ou réprimer » l’identité de genre d’autrui et susceptible de lui causer des dommages physiques ou psychologiques sera jugé illégal si ces lois sont adoptées.
Il ne s’agit nullement de bannir des « thérapies » jugées violentes ou dégradantes mais de traquer toute les « pratiques de conversion » telles que celles-ci sont réputées être mises en œuvre le plus souvent « dans le cadre familial ». En clair : tout ce qui contrerait l’expression du genre choisi par l’enfant pourrait entraîner procédures et peines. Par exemple – le cas est cité dans les documents explicatifs – le fait d’empêcher une personne de s’habiller « de manière à refléter son orientation sexuelle ou son identité de genre »… Et ce même si les parents concernés assurent agir dans l’intérêt de leur enfant.
Lire la suiteLa reine Elizabeth II est décédée
La Reine Elisabeth II du Royaume-Uni et des Royaumes du Commonwealth.
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : portrait d'État par Ranald Mackechnie
8 septembre 2022, Balmoral Castle, Écosse — Elizabeth II, reine du Royaume-Uni et de nombreux autres pays dont le Canada, est décédée aujourd’hui dans sa résidence d’été en Écosse après une courte maladie.
Elle avait 96 ans.
La Reine fut le monarque le plus longtemps en fonction dans l’histoire britannique, son règne ayant duré 70 ans.
Née en 1926 d’Albert, duc d’York, et de Lady Elizabeth, née Bowes-Lyon, Elizabeth Alexandra Mary ne s’attendait pas à devenir reine. Elle était troisième dans l’ordre de succession au trône, derrière son oncle David, prince de Galles et futur Édouard VIII, et son père, frère cadet de David. Cependant, une nouvelle voie s’ouvre à elle en décembre 1936 lorsque son oncle, qui a succédé à son père George V mais n’avait pas encore été couronné, abdique. Le père de la princesse Elizabeth prend le nom de George VI et règne jusqu’à sa mort d’une thrombose coronaire en février 1952. Elizabeth devient ainsi reine à l’âge de 25 ans.
Elizabeth avait épousé le prince Philippe de Grèce et du Danemark à l’abbaye de Westminster en novembre 1947, et le couple eut quatre enfants : Charles (1948), Anne (1950), Andrew (1960) et Edward (1964). Le prince Philip est décédé en avril 2021, après 73 ans de mariage. Au moment de sa propre mort, la Reine avait huit petits-enfants et douze arrière-petits-enfants.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que la famille royale refuse de quitter la Grande-Bretagne pour la sécurité du Canada, la princesse Elizabeth, âgée de 14 ans, prononce un discours sur les ondes de la BBC pour remonter le moral de la population. En 1945, alors qu’elle avait 19 ans, la princesse a insisté pour rejoindre les services territoriaux auxiliaires féminins (ATS) de l’armée britannique, où elle a servi comme chauffeur de camion et mécanicien.
Le fait le plus marquant de son règne de 70 ans est peut-être qu’en 1967, elle a donné son assentiment royal à ce qui est devenu la Loi sur l’avortement (Abortion Act). Comme son nom l’indique, il s’agit de la loi qui a rendu l’avortement légal dans un grand nombre de situations jusqu’à 28 semaines de gestation.
Le premier ministre britannique du début de son règne fut Winston Churchill, celui de sa fin — et le 15e — Liz Truss, qu’Elizabeth a officiellement rencontrée en début de semaine au château de Balmoral. (Son premier premier ministre canadien était Louis St-Laurent ; Justin Trudeau était son 12e).
Son fils aîné, Charles, également connu sous le nom de prince de Galles et, en Écosse, de duc de Rothesay, lui succède en tant que monarque.
LifeSiteNews invite ses lecteurs à prier pour son âme et pour sa famille.
Un tribunal écossais juge que la définition de la « femme » ne peut inclure les hommes
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : beeboy/Adobe Stock
1er mars 2022, Édimbourg, Écosse (LifeSiteNews) — Un groupe pro-femme en Écosse a contesté avec succès la tentative du gouvernement de modifier la définition légale de « femme » pour y inclure les hommes qui s’identifient comme des femmes.
Le gouvernement écossais, dirigé par la première ministre nationaliste libérale Nicola Sturgeon, a tenté d’élargir la définition de « femme » en y incluant les soi-disant « transfemmes », dans sa Loi sur la représentation des sexes dans les conseils publics (Écosse) en 2018, ce qui a suscité la réaction du groupe écossais de campagne pour les droits des femmes, For Women Scotland.
La loi prévoyait que toute personne « vivant comme une femme » et qui au moins « propose de [devenir] une femme » par un « processus » non défini remplirait l’objectif de la loi, qui est de tenter d’avoir au moins 50 % des membres non exécutifs des conseils publics représentés par des femmes¹.
L’année dernière, For Women Scotland a contesté la loi dans le cadre d’une révision judiciaire, mais sans succès.
Toutefois, dans un arrêt du 18 février, la Cour de session a déterminé que le gouvernement avait outrepassé ses compétences législatives en redéfinissant le terme « femme » pour y inclure les hommes biologiques² dans le but d’accroître la représentation des femmes dans les conseils d’administration publics.
Le tribunal a ajouté que le gouvernement peut légiférer pour tenter d’augmenter la représentation des femmes et des personnes qui s’identifient comme étant du sexe opposé, mais séparément, étant donné que ces deux groupes bénéficient de protections spéciales en vertu de la loi sur l’égalité de 2010.
Suite à la décision, For Women Scotland a publié un article sur son site web, se réjouissant de son succès au tribunal et disant que la décision « confirme que le sexe est important en droit et que les préoccupations des femmes concernant l’affaiblissement de la caractéristique protégée [du sexe] sont valables ».
Lire la suiteConférence sur le climat : sauver la planète en multipliant les avortements…
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : AS Photo Project/AdobeStock
Planète contre enfants : le nouveau Moloch est arrivé !
Moloch, ce dieu des Cananéens lié aux sacrifices d’enfants par le feu, a repris vie. L’idole païenne s’est mise à la mode, en harmonie avec le ton de la bien-pensance, en symbiose avec la pachamama louée par François et la Terre mère des écolos-gauchos. Dans l’olympe des ayatollahs du réchauffement climatique devenu par des voies mystérieuses un dérèglement climatique, il y a la Planète, divinité mangeuse d’hommes, des bébés des hommes plus précisément… qui a ses prêtres fidèles, les ONG pseudo humanitaristes. Soixante ONG internationales promouvant l’avortement ont lancé un appel aux gouvernements en vue de la conférence sur le climat de novembre prochain qui se tiendra en Ecosse, à Glasgow : l’objectif est d’inclure les programmes de contraception et d’avortement parmi les mesures à financer contre le changement climatique. Une vieille histoire des mondialistes bobo-radical-chics qui ont une drôle de façon de montrer leur amour de l’humanité…
Après la peur covidienne, revoilà donc la peur climatique… l’une et l’autre maintenant les peuples dans la peur tout court, dans une peur messianique, en marche vers un Nouvel Ordre Mondial, un futur bâti sur les espérances planétariennes d’une clique de puissants…
Pour l’un d’eux, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, cette année sera l’année du « maintenant ou jamais » dans la lutte contre le changement climatique. Lors du Sommet des Nations Unies sur le climat nommé COP26 (26e Conférence des Parties des Nations unies sur le changement climatique), les multinationales de l’avortement demandent que « les droits reproductifs et la contraception » soient inclus dans les engagements climatiques, montrant ainsi pleinement le visage malthusien du néo-environnementalisme.
La conférence, reportée l’année dernière en raison du covid-19, sera coorganisée par le Royaume-Uni (26 COP actuelle à Glasgow du 1er au 12 novembre) et l’Italie (les sommets pré-COP à Milan du 28 septembre au 2 octobre) et les pays participants, bien au-delà de 190, devraient annoncer de nouveaux objectifs climatiques.
En toile de fond, ce sont toujours les mêmes affirmations alarmistes qui ont été pourtant démenties à plusieurs reprises et le même objectif, atteindre la neutralité carbone dans le monde d’ici 2050 (ou 2030, comme beaucoup le souhaiteraient), pour éviter, selon ces Khmers verts, une augmentation de la température supérieure à 1,5 °C par rapport à la fin du XIXe siècle. Que cela soit irréaliste et profondément injuste pour des milliards de personnes et des dizaines de pays en développement ne rentre pas en ligne de compte pour la conscience morale universelle aux manettes de la COP26.
Lire la suiteUn bébé prématuré, à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, rentre de l’hôpital
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Sofia Viktoria Birina pourrait bien être le plus jeune bébé prématuré survivant d’Écosse, puisqu’elle est née à seulement 22 semaines le 2 octobre. Selon The Mirror, les médecins ne lui donnaient que 10 % de chances de survivre à la naissance. Cependant, ce bébé d’une livre et d’une once a surmonté les obstacles et est maintenant à la maison avec sa mère Egija et son père Inars.
« Tout allait bien lors de l’examen à vingt semaines », déclare Egija. « Puis, un peu plus d’une semaine plus tard, j’ai ressenti des douleurs, alors je suis allée à l’hôpital et on m’a dit que j’étais déjà dilatée et que je devais accoucher. »
Egija fut mise au lit pendant dix jours avant la naissance de Sofia. Les médecins n’avaient guère d’espoir et ses parents ne s’attendaient pas à ce qu’elle survécût. Sofia surmonta une malformation cardiaque, une hémorragie cérébrale de stade 1, une rétinopathie de la prématurité (une maladie des yeux) et des infections. Comme ses poumons n’étaient pas assez développés, elle eut besoin d’aide pour respirer.
« Elle a été branchée à de nombreuses machines et on lui a insufflé de l’air pendant plusieurs semaines pour l’aider à respirer », relate Egija. « La première fois qu’ils ont essayé de la faire respirer toute seule, elle ne put tenir que vingt minutes, puis son rythme cardiaque chuta et j’ai eu l’impression de la perdre, mais le personnel médical et infirmier a été formidable. J’ai failli m’évanouir tellement j’avais peur ».
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