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Un avortement tourne à l’horreur à Montréal

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Operation Rescue

Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec

Bien sûr, tous les avortements sont horribles, mais les femmes qui se font avorter ne voient pas forcément leur bébé, par le biais d’une échographie avant l’avortement, ou après quand il est mort. Par conséquent, elles prennent encore mieux conscience de l’horreur de l’avortement quand elles en voient le résultat, leur enfant mort.

Dans le cas présent, une jeune Canadienne de l’extérieur du Québec était venue pour se faire avorter au Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, apparemment parce qu’elle n’avait pu obtenir un avortement dans sa province, selon La Presse :

Elle en était à plus de cinq mois de gestation […]

L’établissement qui a pris son dossier en charge pratique régulièrement des avortements jusqu’à la fin du second trimestre de grossesse et offre occasionnellement le service à des Canadiennes incapables de le recevoir dans leur propre province.

Remarquez que la jeune femme en était à plus de cinq mois de grossesse, donc au moins dans la 22e semaine, stade auquel l’enfant à naître peut survivre. L’article continue :

Dans le cas de la Canadienne, la procédure d’interruption de grossesse — qui s’étale sur trois jours — a débuté comme d’habitude par une intervention visant à favoriser la dilatation du col.

L'article continue ci-dessous...

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Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec

Cette femme, accompagnée de sa mère, résidait à l’hôtel pour le temps que prendrait l’avortement, elle y était quand eut lieu le pénible accouchement. La Presse poursuit :

Après l’injection d’un produit précipitant un arrêt cardiaque du fœtus, une dernière séance était prévue le lendemain en clinique pour procéder à son extraction.

Des douleurs et des saignements ont commencé en soirée à l’hôtel, suscitant de vives craintes de la part de la patiente.

[…]

Les choses se sont toutefois précipitées et les ambulanciers ont été appelés à se rendre à l’hôtel, où la jeune femme a accouché. Des massages cardiaques ont apparemment été tentés sur le bébé, qui a été transféré d’urgence vers l’Hôpital de Montréal pour enfants avec sa mère.

La jeune femme était paniquée et aurait demandé à son arrivée au personnel des urgences de « sauver son enfant ».

Sur place, d’autres manœuvres de stimulation cardiaque ont été tentées en vain avant que le décès ne soit constaté officiellement. L’arrêt cardiaque a été identifié comme la cause de la mort.

La jeune femme a bien vu que c’était son enfant, quand il est né mourant, qu’elle avait fait avorter. Que pouvait-elle penser que c’était d’autre auparavant ? L’article continue :

Profondément traumatisée

Les intervenants consultés par La Presse ont indiqué que la jeune femme avait été profondément traumatisée par l’expérience […]

Le CIUSSS, qui s'était occupé de ce tragique avortement, envoie quelques dizaines de Québécoises voulant un avortement tardif aux États-Unis pour y faire tuer leur bébé. La Presse poursuit :

Le CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal […] chapeaute le programme de transfert aux États-Unis de patientes désirant une interruption de troisième trimestre, au-delà de 24 semaines de gestation.

Précisons que l’avortement tardif offre encore plus de complications et de dangers pour la femme désireuse d’en subir un, sans compter bien sûr que l’enfant à naître n’a quasiment aucune chance de s’en sortir. Le gouvernement du Québec pense à rapatrier la pratique de l’avortement tardif dans la province, au cas (improbable à court échéancier) où l’avortement tardif ne serait plus disponible chez les Américains.

Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec


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