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Obama et les évêques américains s'affrontent sur la question de l'avortement

Il faut prier pour les chrétiens d'Amérique. Le gouvernement Obama attaque directement la liberté de conscience, la liberté religieuse si chère au peuple américain. Le site de Riposte Catholique nous apporte les dernieres nouvelles de ce combat.

Près des deux tiers des évêques des 195 diocèses américains – et le nombre croît chaque jour – ont déjà fait savoir leur condamnation ferme – et parfois véhémente – du récent mandat fédéral promulgué par le ministère de la Santé, et donc par la “catholique” Kathleen Sebelius, qui vise à obliger l’Église catholique et ses institutions à couvrir le remboursement des pilules abortives, des moyens contraceptifs et de la stérilisation dans ses contrats d’assurance maladie ! Une attaque sans précédent contre la liberté religieuse, contre la liberté de conscience et contre la liberté. Et un mandat qui découle des dispositions de l’ObamaCare, qu’avaient vues et dénoncées les évêques américains mais que beaucoup d’idiots utiles catholiques avaient refusé de voir : leurs yeux sont désormais dessillés et beaucoup d’entre eux se joignent désormais à la protestation de leurs pasteurs… Par une “ironie” de l’histoire, Obama, qui avait habilement et mensongèrement réussi à diviser les catholiques pour faire passer son ObamaCare, se trouve aujourd’hui être l’agent de leur réunification…

 

Le Cardinal Donald Wuerl, archevêque de Washington est l'un des nombreux évêques interpellant ces fidèles pour combattre cette injustice. Nous remercions le site riposte catholique pour cette traduction:

Le 20 janvier 2012, le ministère de la Santé des États-Unis [United States Department of Health and Human Services], avec l’approbation du Président Barack Obama, a publié un nouveau mandat fédéral rendant obligatoire la couverture des médicaments abortifs, de la stérilisation et de tous les contraceptifs agréés par la FDA [1], pour pratiquement tous les employeurs, y compris les institutions religieuses.

Qu’est-ce qui est au cœur de la préoccupation des évêques catholiques et d’autres sur cette décision du gouvernement d’Obama ? En quoi peut-il affecter l’archidiocèse de Washington ?

Ce nouveau mandat est le premier règlement fédéral dans l’histoire de notre nation exigeant de toutes les institutions religieuses qu’elles payent pour la couverture de médicaments abortifs, de la stérilisation et des contraceptifs. Les gens étaient déjà libres d’utiliser ces produits et procédures largement disponibles. Jusqu’à la publication de ce mandat, les employeurs pouvaient choisir ou ne pas choisir de les couvrir, et les particuliers pouvaient choisir ou ne pas choisir de chercher des employeurs qui les paieraient pour eux. Désormais, à peu près toutes les compagnies d’assurance devront inclure les substances abortives, la stérilisation et les contraceptifs. Pratiquement les institutions catholiques et les particuliers devront payer pour cette couverture. Être obligé de fournir ces services viole à la fois nos convictions religieuses et notre liberté.

En maintenant ce règlement du ministère de la Santé, le gouvernement a ignoré le premier amendement de la Constitutions des États-Unis et a nié aux catholiques leur droit le plus fondamental, leur droit à la liberté religieuse. Malgré la demande de l’Église d’élargir le champ de l’exemption religieuse, ce qui a été repris par beaucoup d’autres institutions religieuses, le gouvernement a refusé de modifier de champ d’exemption religieuse contenu dans ce règlement qui le limite aux groupes religieux qui emploient et servent des gens essentiellement de leur propre foi. La plupart des églises et des institutions gérées par elles, sont hors du champ de cette exemption en raison de leur grande ouverture à servir le bien commun de la société et tous les gens indépendamment de leurs croyances.

Même ceux qui peuvent être en désaccord avec l’enseignement de l’Église sur le caractère sacré de la vie, comme le conseil de rédaction du Washington Post ou du New York Daily News, ont déclaré qu’il ne revenait au gouvernement de forcer des institutions religieuses à avaliser et payer des procédures ou des médicaments qui violent leurs croyances.

Que va-t-il se passer si ce mandat est maintenu ? Nos écoles, nos hôpitaux et nos organisations charitables se trouveront dans une situation intenable : choisir entre violer la loi civile ou abandonner leurs principes religieux.

Par exemple, ce mandat autorisera une école catholique à choisir l’une de ces trois options : 1. violer ses croyances en fournissant une couverture pour des médicaments et des procédures que nous estimons immoraux ; 2. cesser de fournir une assurance à tous ses employés et supporter des amendes à répétitions et à la fin ruineuses ; ou 3. tenter de se maintenir dans le champ d’exemption en ne salariant et ne servant plus que des catholiques.

Une école catholique ne peut tout simplement pas enseigner vraiment la doctrine catholique et fournir une assurance à ses enseignants – et dans le cas des universités catholiques, également à ses étudiants – qui viole ses croyances propres. Elle ne peut pas davantage refuser à ses employés l’accès à une assurance santé abordable, un droit humain fondamental. Elle ne peut pas non plus se permettre de payer des amendes écrasantes. Elle ne peut pas non plus fermer ses portes aux non catholiques.

Il n’y a désormais plus aucun doute que la liberté religieuse dans notre pays est en péril. Voici seulement quelques semaines, le gouvernement Obama a tenté, sans succès, de faire dire à la Cour suprême que le gouvernement avait le droit d’interférer dans le choix par une église de ses ministres. Heureusement, la Cour a rejeté à l’unanimité cette position extrémiste. De manière injustifiée, le gouvernement a poussé sur un autre front.

Les catholiques dans toute l’Amérique sont déjà en train de combattre ce mandat. Des journalistes catholiques de toutes tendances ont abondamment critiqué ces dispositions comme étant injustes, et les dirigeants de grandes organisations catholiques  – Comme la Catholic Health Association, les Catholic Relief Services et Catholic Charities USA – ont également exprimé leur opposition à ces dispositions. Entretemps, la Commission Ad Hoc sur la liberté religieuse des évêques, explore activement toutes les options contentieuses et d’initiatives législatives pour remédier à cette injustice.

Le temps est venu de parler haut et fort. C’est maintenant que toutes nos voix doivent être entendues. Par conséquent, je vous demande deux choses. D’abord, comme communauté de foi nous devons nous engager à prier pour que la sagesse et la justice puissent l’emporter, et pour que la liberté religieuse puisse être sauvegardée. Ensuite, je vous demande de visiter [ces deux sites : ici et ] pour en savoir plus sur cette attaque contre la liberté religieuse et pour trouver les moyens de soutenir une législation susceptible d’abolir cette décision gouvernementale.

1. Food and Drug Administration : office fédéral de contrôle des produits pharmaceutiques et alimentaires.

 

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Le journal The Gazette encourage le soutien à l'avortement pour les pays pauvres

Un article paru le 26 janvier 2012, dans le journal The Gazette, déplore la volonté du gouvernement canadien de ne pas financer les services d'avortement dans les pays pauvres de la planète. Le gouvernement conservateur a plutôt choisi d'offrir de véritables soins de santé.

Nous avions publié un article pour répondre aux demi-vérités véhiculées par ces médias.

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Manifestez votre appui au retrait du financement de Planned Parenthood

Nous vous avons annoncé plutôt l'arrêt du financement de Planned Parenthood par la fondation Suzan G. Komen foundation. De nombreuses plaintes, plus de 2000 depuis hier, par les partisans du droit de tuer les enfants à naître, sont parvenues à l'organisme.

Nous pouvons contrecarrer cette protestation en écrivant notre appui à la fondation à l'adresse courriel suivante:

[email protected]

Un simple mot d'appréciation est un grand soutien. Nous vous suggérons le suivant:

"Thanks for defunding Planned Parenthood!"

Merci de votre effort pour soutenir cette fondation tentant d'éliminer ce qui est néfaste dans son organisme.

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Les personnes homosexuelles sont plus tentées par le suicide.

Le journal 24h du 1er février 2012 nous apprend que 90 personnes par jour au Québec tentent de se suicider.

 

"Pas moins de 90 Québécois tentent chaque jour de s'enlever la vie et, du groupe, trois réussissent. Outre la personne concernée, on estime que dix proches seront directement touchées par un suicide, d'où l'urgence de prévenir de tels gestes.

 C'est donc dire que les quelque 1100 suicides enregistrés chaque année au Québec affectent plus de 300 000 proches, qui vivent souvent leur peine dans la solitude.

La situation est encore plus alarmante chez les membres des diverses minorités sexuelles, où plusieurs hésitent à s'ouvrir aux autres, de peur d'être jugés.

Selon Steve Foster, président-directeur général du Conseil québécois des gais et lesbiennes, le taux de tentative de suicide serait dix fois plus élevé chez ceux-ci, comparativement à la population générale."

Le Québec est probablement la région du monde où les personnes avec une attirance pour les personnes de même sexe sont les mieux respectées. Ce n'est donc pas de ce côté qu'il faut chercher pour trouver les causes de ces suicides. Une hypothèse plus prometteuse serait de vérifier le pourquoi du malaise si important chez ces personnes homosexuelle, indépendemment de l'acceptation ou du rejet de la population environnante.

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Une organisation américaine de lutte contre le cancer cesse de financer Planned Parenthood.

Le New York Times du 31 janvier 2012 nous apporte cette excellente nouvelle:

Dans une décision controversée dans l'opinion publique, la plus grande organisation contre le cancer du sein, la "Suzan G. Komen for the cure", retire son financement des programmes offerts par les partenaires de Planned Parenthood.

C'est 700 000$ en moins que recevront ces groupes pro-avortements.

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Les persécutions du gouvernement Obama contre les chrétiens américains.

Les évêques américains appellent les fidèles à résister à des mesures oppressives mises de l'avant par le gouvernement Obama.

Le magazine La Vie apporte cette information:

"Plusieurs lettres pastorales ont été lues ce dimanche dans les églises américaines pour encourager les fidèles catholiques à se battre contre la décision de l'administration Obama d'obliger les établissements catholiques à fournir une couverture sociale comprenant le remboursement de la contraception et de l'avortement à leurs employés."

Un à un, les diocèses américains entrent dans une phase intensive de protestation contre l'administration américaine, qui veut contraindre les hôpitaux catholiques à se conformer à la directive dite HHS, qui prévoit de n'accorder aucune dérogation aux établissements confessionnels sur les question de couverture des frais d'avortement et de contraception. L'archidiocèse de Washington tonne contre la violation de la liberté de conscience que représente cette directive: "Avec la directive HHS, pratiquement toutes les organisations catholiques caritatives, hôpitaux, écoles, collèges et universités qui veulent subvenir aux besoins de leurs employés et  étudiants d'une manière cohérente avec les enseignements de la morale catholique seront placés dans la position intenable d'avoir à choisir entre violer la loi et violer leur conscience". Mgr Zubik, évêque de Pittsburgh, le plus virulent, invite les fidèles à protester de manière plus forte: "Vous avez demandé le retrait de cette directive. Le 20 janvier, l'administration a répondu d'une façon très simple: 'Allez au diable!' [...] Ils nous ont donné un an pour nous adapter à cette règle. Nous ne pouvons pas! Nous ne pouvons tout simplement pas! Ecrivez au président. Ecrivez à la Secrétaire d'Etat à la santé. Ecrivez aux sénateurs. Ecrivez au Congrès!" A Phoenix, Arizona, l'évêque annonce: "Nous ne pouvons pas nous soumettre, et nous ne nous soumettrons pas à cette loi injuste. Les croyants ne peuvent être faits citoyens de seconde zone". 

Le salon Beige fait le lien avec le site Benoit et moi, une analyse poussée de ce qui s'est passé aux États-Unis.

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L'ancienne présidente de Québec Solidaire a tenté de recruter les anarchistes

Différents sites anarchistes affirment qu'Alexa Conradi, présidente de FFQ,  a tenté de convaincre les anarchistes,  de rejoindre les rang de Québec Solidaire, alors qu'elle siégeait à ce parti comme présidente. Ils ont refusé, ne voulant pas encourager un parti qui veut que l'État intervienne de plus en plus dans la vie des citoyens.

La Fédération des Femmes du Québec flirte avec l'extrémisme. Pas étonnant que de plus en plus de femmes sont exaspérées de les entendre parler "en leur nom"! Et surtout, d'affirmer que les femmes réclament un "droit" à l'avortement.

La FFQ s'opposent à toutes reconnaissance des droits de l'enfant à naître. La présidente affirmait dans un communiqué du 29 septembre 2011:

Montréal, le 29 septembre 2011 – La Fédération des femmes du Québec (FFQ) et la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN) réagissent vivement à la proposition du député conservateur de la Saskatchewan, Brad Trost, à l’effet de rouvrir le débat sur l’avortement. « La Cour suprême du Canada a déjà fait le tour de tous les arguments concernant l’avortement et a décidé qu’il n’est pas question d’interdire l’avortement car cela porterait atteint aux droits inaliénable des femmes à la sécurité de la personne et à la liberté » ont affirmé Alexa Conradi, présidente de la FFQ et Ainsley Jenicek, porte-parole de la FQPN.

« La société québécoise est très claire sur ce point : il appartient aux femmes de décider de l’issue d’une grossesse non-planifiée ou désirée. L’Assemblée nationale du Québec a témoigné de cela en adoptant l’an dernier une motion unanime affirmant qu’il n’est pas question de reculer sur quoi que ce soit en matière d’avortement, » réitèrent-elles.

Contrairement à ce qu'affirme la présidente de la FFQ, la cour suprême n'a pas fermé le débat. Un vide juridique s'est installé suite au rejet d'un projet de loi par le sénat.

De même, il n'est pas étonnant qu'aucun député québécois n'ait pas remis en question ce "droit" à l'avortement puisque ni le parti québécois, ni le parti libéral n'accepte de militants pro-vie comme député, ce qui n'est pas représentatif de la population.

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Une avocate s'interroge sur les groupes de croissances personnelles

L'avocate Mélanie Dugré traite de la question des sectes qui exploitent les faiblesses des gens. Sa lettre publiée dans La Presse du 31 janvier 2012 est des plus pertinente:

 

On avait entendu et lu sur la mort de Chantal Lavigne, mais on en savait bien peu de choses jusqu'à ce que l'équipe de l'émission Enquête lève le voile sur les tragiques événements, dignes d'un scénario de film d'horreur, qui se sont déroulés dans cette maison de Durham le 29 juillet dernier.

Ce visionnement m'a secouée et bouleversée mais une fois la stupeur initiale passée, j'ai éprouvé une profonde rage à l'endroit de ces charlatans, trop souvent intelligents et charismatiques, qui abusent de gens fragiles émotionnellement dont la quête d'absolu les mène à eux. Se croyant investis d'une obscure mission confiée par des forces supérieures, leur discours est tellement senti et convaincant que leur esprit en devient complètement dénué du bon sens nécessaire à la compréhension de l'absurdité de leur comportement. 

(...)

Il  faut parfois accepter qu'une de nos responsabilités sociales et collectives consiste à protéger ceux qui se retrouvent en position de faiblesse et dont l'état de précarité pourrait attirer des vautours susceptibles d'honteusement leur infliger des supplices au nom de la croissance personnelle et d'une spiritualité épanouie.

 Ceci dit, existe-t-il un devoir commun face à ces groupes de croissance personnelle? Il faut admettre que ces communautés foisonnent et qu'il y en a pour tous les goûts, croyances et horizons. Toutefois, l'existence de pratiques et de manipulations qui touchent l'intégrité physique des personnes devrait entraîner l'application de règles et de standards ainsi que l'obligation de détenir un permis. De même, une surveillance plus étroite devrait être menée à l'égard des groupes jugés suspects et il devrait exister des protocoles de collaboration entre les autorités et les organismes communautaires, comme Info-Sectes. 

Il faut rétablir la distinction entre religions, nouvelles croyances et sectes. La France, qui interdit par exemple la présence de Raël sur son territoire, pourrait nous donner quelques conseils.

Dans les croyances nouvel-âge, bien que souvent l'avortement soit mal vu, il peut être recommandé pour des raisons nébuleuses tenant aussi bien à la réincarnation, à la complicité ou la haine des corps astral de la mère et de l'enfant, etc. Des avortements accompagnés de guides "spirituels" complètement délirants s'effectuent parfois dans ces communautés. Là encore, les gouvernement devraient intervenir pour empêcher de telles scènes dignes des cauchemars les plus sordides.

Un exemple de texte nouvel-âgeux :

L’avortement thérapeutique, prescrit dans le cadre de l’éthique et de la morale, n’entraînera pas de vibrations négatives dans l’organisation maternelle, de la part de l’esprit se réincarnant car dans ce cas il sera pris en charge et aidé par l’équipe spirituelle.
 
L’équipe spirituelle conduira l’esprit dans l’endroit approprié où il pourra se réveiller de son hibernation qui s’est développé pendant le mécanisme de réincarnation. Ce réveil se fera sans agitation ou idée de vengeance pour ne pas être accueilli dans ce foyer déterminé.

Nous devons faire ressortir aussi au sujet de l’avortement thérapeutique, que l’idéal serait que l’équipe médicale ait la connaissance de l’immortalité, de la réincarnation et de la loi de cause et effet (loi de causalité en fonction des vies antérieures). Avec cette connaissance les solutions qui leur seraient confiés seraient plus justes et appropriées.

Une aspirine avec cela?

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Accommodements raisonnables: libéraux et péquistes ne s'entendent pas.

Un article de Jean-Marc Salvet dans le journal Le Soleil du 31 janvier 2012 fait le point sur la situation des accommodements raisonnables:

Selon des informations du Soleil, le gouvernement libéral ramènera sous peu son projet de loi en commission parlementaire, mais sans vraiment d'espoir de pouvoir le faire adopter. Québec ne déposera aucun amendement, pas même pour interdire le port de signes religieux chez les juges et les policiers, comme le recommandait la commission Bouchard-Taylor. Il estime que les chartes québécoise et canadienne des droits et libertés ne le permettent pas.

Que les relations entre l'État et les usagers se déroulent à «visage découvert» est suffisant pour Jean Charest. Porter une croix ou un autre signe religieux «n'est pas un obstacle en soi à ce qu'une personne fasse son travail de façon professionnelle et impartiale», avait-il déclaré lors de la présentation du projet de loi. «Nous réaffirmons le choix historique du Québec de vivre une laïcité ouverte», s'était-il alors exclamé.

Le PQ demeure opposé au projet de loi 94. Sans changement majeur, il ne lui permettra pas de cheminer lorsqu'il reviendra en commission parlementaire. Pour le PQ, les représentants de l'État québécois doivent s'abstenir de porter tout signe religieux ostensible dans l'exercice de leurs fonctions. Le Parti réclame l'élaboration d'une charte de la laïcité.

"Cachez cette croix (ce voile), que je ne saurais voir" dirait Molière...

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Les ultrasons, un nouveau contraceptif?

Des chercheurs parasites tentent de mettre au point un nouveau moyen de contraception. Les ultrasons bombardant les spermatozoïdes, tueraient ces derniers. Le site de Radio-Canada du 31 janvier 2011 nous donne cette nouvelle:

 

Le Dr James Tsuruta et ses collègues de l'École de médecine de l'Université de la Caroline du Nord à Chapel Hill, aux États-Unis, affirment que leur technique innovatrice menée chez le rat permet de détruire les spermatozoïdes.

Les chercheurs ont soumis les testicules des rongeurs à des séances d'ultrasons de 3 mégahertz. Une solution saline chauffée à 37 degrés reliait les testicules à l'émetteur d'ultrasons afin d'en assurer la conductivité.

Ainsi, à la suite de deux séances de 15 minutes en 48 heures, les auteurs de ces travaux publiés dans la revue Reproductive Biology and Endocrinology ont détruit l'ensemble des spermatozoïdes.

Le Dr Tsuruta estime que les résultats obtenus chez le rat peuvent se transposer aux humains.

Et ils sont payés pour cela!

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