Chers amis de la Vie,
Mark Carney.
Par Jack Fonseca (voteprolife.ca) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Flickr
Le 9 mars 2025, Mark Carney a remplacé Justin Trudeau à la tête du Parti libéral du Canada, un parti pro-avortement et pro-LGBT enragé, lors d’une élection à la direction très irrégulière que de nombreux experts soupçonnent d’avoir été menée frauduleusement pour assurer un couronnement à M. Carney.
Que savons-nous exactement de cet homme qui pourrait très bien remporter les prochaines élections et nous gouverner pendant les quatre prochaines années ?
Eh bien, presque rien si l’on se contente de consommer les informations des médias habituels, qui n’ont absolument pas vérifié ses politiques passées en tant qu’élite mondiale influente, ni les associations connues (et peu connues) dont il est membre, parmi lesquelles certaines sont assez peu recommandables.
Les médias ne sont pas le moins du monde curieux du passé de M. Carney ou de ses politiques encore inexplorées. Les médias subventionnés par le gouvernement ne veulent pas lui poser de questions difficiles et semblent uniquement désireux de l’accompagner jusqu’à l’office de premier ministre.
Heureusement, nous avons pu trouver de nombreuses informations sur M. Carney que les électeurs croyants et les conservateurs sociaux doivent connaître.
|
|
|
|
|
|
|
Adepte de l’avortement
Commençons par sa position sur l’avortement. Carney a exprimé son attachement indéfectible au meurtre d’enfants à naître, le décrivant tour à tour comme « un droit fondamental » et « le droit d’une femme de choisir ».
Banquier international et envoyé climatique des Nations unies, il a également défendu les problématiques objectifs de développement durable des Nations unies. Il a entre autres choses, qualifié les ODD d’« impératifs moraux » lors d’un discours prononcé en avril 2016 devant l’Assemblée générale des Nations unies.
L’objectif n° 5 des ODD soutient la création d’un droit à l’avortement : « Assurer l’accès universel à la santé sexuelle et reproductive et aux droits reproductifs ».
Militant woke
Carney se décrit également comme un partisan de l’idéologie « woke ».
Après que le président Donald Trump ait signé des ordres exécutifs pour démanteler toutes les initiatives DEI au sein du gouvernement fédéral (propagatrices majeures de l’idéologie du genre), Carney a réagi en promettant de redoubler son soutien à l’idéologie woke s’il devenait premier ministre, déclarant : « Alors que l’Amérique s’engage dans une guerre contre les wokes, les Canadiens continueront à valoriser l’inclusion ».
Il apparaît également que Carney avait envoyé sa propre fille, alors qu’elle était une jeune adolescente, suivre une thérapie transgenre à la clinique Tavistock Gender, qui a été fermée par le gouvernement britannique pour avoir classé de manière inappropriée des milliers d’enfants comme « transgenres » et les avoir poussés dans le couloir de la mutilation chimique et chirurgicale.
Quel genre de père ferait cela ?
Cette fille, aujourd’hui âgée de 24 ans, est une militante transgenre qui se fait appeler « Sasha » (de son vrai nom, Sophia), s’identifie comme non binaire et utilise les pronoms « they » et « them ».
Il est tout à fait clair que si Carney remporte les élections de 2025, cela signifiera davantage d’enfants canadiens mutilés dont le cerveau sera lavé, une invasion continue d’hommes biologiques dans les compétitions féminines et une intrusion malvenue dans les prisons pour femmes, les refuges pour victimes de viol et les toilettes pour filles.
Des liens douteux
Carney a des liens sociaux avec Ghislaine Maxwell, trafiquante d’enfants condamnée et petite amie de Jeffrey Epstein.
De nombreuses photos ont été publiées montrant Carney et sa femme faisant la fête sur la propriété de sa sœur avec Maxwell, dirigeante du réseau pédophile. Jeffrey Epstein possédait une île privée que des gens riches et puissants auraient fréquentée pour y avoir des relations sexuelles avec des mineurs victimes de trafic.
Carney est également un élitiste mondialiste qui a siégé au conseil d’administration du FÉM, une organisation totalitaire quasi marxiste qui a l’intention de supprimer les droits individuels tels que la liberté d’expression, et qui défend un agenda transhumaniste maléfique.
Compte tenu de tous ces facteurs, et des révélations qui viennent d’être faites sur ses liens présumés avec le dictatorial Parti communiste chinois et sur la manière dont ces relations pourraient le compromettre, il semble bien que si Mark Carney devait nous gouverner pendant quatre années supplémentaires en tant que premier ministre, il pourrait faire s’effondrer le peu qu’il reste du Canada en tant que nation aux principes moraux après dix années pénibles passées sous le talon de Justin Trudeau.
Veuillez partager cette information avec vos amis croyants qui pensent qu’il serait envisageable de voter pour les libéraux de Mark Carney.
|
|
|
|