Les conservateurs de Poilievre rejettent un autre candidat pro-famille et pro-vie
Pierre Lemieux.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (côtés flous rajoutés) : Pierre Lemieux/Facebook
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Parti conservateur a informé un ancien député pro-vie et pro-famille qu’il ne sera pas le candidat de sa circonscription aux prochaines élections fédérales.
Dans un message publié le 23 mars sur Facebook, Pierre Lemieux, l’un des rares politiciens conservateurs pro-vie et pro-famille, a révélé qu’il avait été informé qu’il ne serait pas le candidat du Parti conservateur pour sa circonscription locale, bien qu’il ait représenté le parti dans cette région de 2006 à 2015 sous l’ancien Premier ministre Stephen Harper.
« Je veux que vous sachiez que, malheureusement, le Parti conservateur a décidé que je ne serai pas le candidat conservateur de ma circonscription », a-t-il écrit. « Aucune raison n’a été fournie ».
M. Lemieux a été député de la circonscription ontarienne de Glengarry-Prescott-Russell de 2006 à 2015. Pendant cette période, la Coalition nationale pour la vie lui a donné le « feu vert » en tant que candidat pro-vie et pro-famille.
Lire la suiteLes six candidats à la succession de Trudeau sont d’accord avec lui sur presque tout
Justin Trudeau.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pete Baklinski/LifeSiteNews
29 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Avec l’élection à la direction du parti libéral dans un peu plus d’un mois, le 9 mars, les Canadiens examinent les six candidats et se demandent s’ils apporteront un changement au parti libéral ou s’ils perpétueront l’héritage radical du premier ministre Justin Trudeau.
Les six candidats au poste de chef du parti libéral et, par conséquent, au poste de premier ministre, sont les suivants : Mark Carney, Chrystia Freeland, Karina Gould, Jaime Battiste, Frank Baylis et Ruby Dhalla.
Bien que tous les candidats susmentionnés promettent de redresser le Parti libéral, leurs politiques, passées et proposées, ne diffèrent guère de l’agenda radical, anti-vie et mondialiste adopté par le gouvernement Trudeau.
Lire la suiteLes libéraux vont augmenter le financement de Radio-Canada à près de 2 milliards de dollars par an
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Le gouvernement libéral a promis de dépenser des millions de dollars de l’argent des contribuables pour compenser les publicités que la télévision de Radio-Canada n’arrive pas à vendre.
Selon des informations publiées le 20 janvier par Blacklock’s Reporter, le ministère du Patrimoine canadien, dirigé par les libéraux, donnera à Radio-Canada des millions supplémentaires, ce qui portera la subvention parlementaire totale de la chaîne à près de 2 milliards de dollars par an.
« Radio-Canada est aux prises avec une série de pressions financières qui remettent en question sa capacité à maintenir les niveaux de programmation et de service », ont affirmé les libéraux, ajoutant que leur ministère « fournira un financement supplémentaire pour rendre Radio-Canada moins dépendante de la publicité privée, dans le but d’éliminer la publicité pendant les émissions d’information et d’autres émissions d’affaires publiques ».
« Radio-Canada est un pilier de l’économie créative du Canada, un fournisseur clé de programmes réalisés par et pour les Canadiens et une source importante de nouvelles et d’informations fiables », ont affirmé les libéraux.
Lire la suiteN’écoutez pas l’hypocrisie des médias canadiens au sujet d’une « presse indépendante » avant les élections
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stefamerpik/Freepik
20 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Les Canadiens vont devoir endurer une élection âpre et acrimonieuse cette année, car les libéraux — dirigés par le premier ministre substitut qu’ils nomment à la hâte dans l’espoir de sauver leur grand parti d’antan — tirent profit de chaque dénigrement, insinuation et accusation qu’ils peuvent trouver pour écarter les conservateurs de Pierre Poilievre. Ils seront aidés dans cette entreprise par une grande partie des médias grand public du Canada, qui verront cette élection comme existentielle pour leur propre survie. Poilievre a promis de démanteler la Société Radio-Canada, et les subventions fédérales aux médias généreusement accordées par Trudeau pourraient également se retrouver sur le billot.
Soyez donc prêts à entendre beaucoup de discours prétentieux et moralisateurs de la part des médias au sujet du caractère essentiel du cinquième pouvoir, d’une « presse indépendante », du rôle clé que joue CBC/Radio-Canada et d’autres sociétés de médias dans l’élaboration de l’identité canadienne. Et puis rappelez-vous que même si vous ne faites pas confiance aux médias, ce n’est probablement pas suffisant. Les médias canadiens — à quelques exceptions notables — sont devenus le bras de propagande du mouvement LGBT, et voient ceux d’entre nous qui s’opposent au programme LGBT comme des fanatiques (au mieux) et des extrémistes (au pire). C’est pourquoi Radio-Canada a dépensé l’argent des contribuables pour créer des documentaires qui célèbrent des enfants travestis, en costumes sexualisés, jouant pour les adultes.
Lire la suite« L’argent des milliardaires reste la plus grande menace pour le mouvement pro-vie. Mais nous avons la vérité »
Bill Gates.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sebastian Derungs/World Economic Forum/Wikimedia Commons
9 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Au cours des derniers jours, les pro-vie ont fait le point sur la situation politique après la réélection de Donald Trump. Comme je l’ai noté dans cet espace plus tôt cette semaine, nous savons ce que Kamala Harris ne pourra pas faire ; nous en savons moins sur ce que Trump fera ou ne fera pas. Mais la politique mise à part, les deux dernières années nous ont donné un bon aperçu des plus grands défis auxquels le mouvement est confronté.
Tout d’abord, le mouvement pro-vie n’a tout simplement pas accès au même type d’argent que les militants de l’avortement. En fait, si l’on considère ce que le mouvement pro-vie affrontait, il est incroyable que trois référendums sur l’avortement aient été battus, compte tenu de la tempête ininterrompue de propagande à laquelle les électeurs ont été exposés. Les militants de l’avortement disposent d’un vaste réseau d’organisations, de donateurs importants comme la famille Gates et les fondations Soros, et bien sûr, du trésor de guerre de Planned Parenthood. La classe des milliardaires soutient massivement le mouvement en faveur de l’avortement, et elle le fait généreusement.
Alors que de nombreux politiciens du parti républicain ont changé d’opinion sur l’avortement ou ont tenté d’éviter d’en parler, les démocrates et leurs super PAC [Comités d’action politique] ont déversé des millions de dollars pour promouvoir leur position. Selon Politico, « les dépenses combinées des candidats démocrates et des super PAC font de l’avortement le sujet de loin le plus répandu dans les messages démocrates, selon la société de suivi publicitaire AdImpact, devançant les soins de santé, l’économie et l’immigration ». Les démocrates ont dépensé au moins 175 millions de dollars, ce qui représente plus de 32 % de leurs dépenses totales, en publicité télévisée en 2024.
Lire la suiteLe vote sur les amendements sur l'avortement aux États-Unis
Par Arpad Nagy (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Je suis sûr que beaucoup d’entre nous ont suivi avec attention le résultat des élections hier soir, car beaucoup de choses dépendent des personnes élues aux États-Unis.
Mais saviez-vous que dix des cinquante États avaient proposé des amendements sur l’avortement au scrutin ?
Depuis le renversement de Roe v. Wade, la responsabilité de légiférer sur l’avortement a été rendue aux États. Cela signifie que ce n’est plus le gouvernement fédéral des États-Unis qui dicte la politique en matière d’avortement, mais chaque État. Depuis le renversement de Roe v. Wade, le lobby de l’avortement travaille d’arrache-pied pour inscrire l’avortement dans la législation ou la constitution de chaque État. Lors des élections de mi-mandat en 2022, ils ont réussi à étendre le droit à l’avortement dans de nombreux États.
Hier soir, la question de l’avortement était en jeu dans dix États. Voici les résultats :
L’Arizona a proposé un projet de loi visant à créer un droit fondamental à l’avortement jusqu’à 24 semaines de grossesse. Jusqu’à présent, l’Arizona autorisait l’avortement jusqu’à 15 semaines de grossesse. La proposition a été adoptée, avec 61,7 % de vote en faveur avec 61 % des bulletins de vote ayant été dépouillés jusqu’à présent. Le pro-vie a perdu beaucoup de terrain en Arizona.
Lire la suiteDonald Trump gagne les élections aux États-Unis
Donald Trump.
Par Calvin Freiburger et Peter Martin — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/X
6 novembre 2024 (LifeSiteNews) — L’ancien président républicain Donald Trump a remporté l’élection de cette année pour devenir le 47e président des États-Unis, battant la vice-présidente démocrate Kamala Harris.
Fox News a annoncé Trump gagnant de la course présidentielle de 2024 vers 1 h 50 EST mercredi après l’avoir déclaré vainqueur des états-clé de la Pennsylvanie et du Wisconsin. Associated Press a, depuis, annoncé l’élection de M. Trump.
Les républicains devraient également prendre le contrôle du Sénat avec au moins 51 sièges, alors que le contrôle de la Chambre des représentants n’est pas encore connu.
Trump, le célèbre homme d’affaires populiste qui a réalisé l’un des bouleversements politiques les plus stupéfiants en 2016, mais qui a été évincé lors de l’élection très disputée de 2020, a facilement obtenu l’investiture du parti pour la présidentielle de 2024, en grande partie grâce à la sympathie suscitée par les poursuites judiciaires engagées contre lui par les démocrates dans de nombreuses juridictions.
Lire la suiteAnalyse : ce qui a vraiment causé le balayage des conservateurs par les libéraux au Nouveau-Brunswick
Susan Holt, le soir de sa victoire.
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Radio-Canada
Le 21 octobre, les libéraux de Susan Holt ont choqué les observateurs politiques en balayant facilement le gouvernement conservateur (PC) du premier ministre Blaine Higgs, dans ce que tout le monde croyait être une course coude à coude.
Non seulement le Parti libéral du Nouveau-Brunswick remporte une forte majorité, obtenant 31 sièges contre 16 pour le Parti progressiste-conservateur, mais, fait étonnant, le chef du Parti progressiste-conservateur, Blaine Higgs, qui était sans doute le premier ministre conservateur le plus admiré au Canada en raison de ses prouesses en matière d’équilibre budgétaire et de son gouvernement audacieux dans le domaine des droits parentaux, perd son siège. À la dissolution de la législature, les PC détenaient 25 sièges, les libéraux 16, les Verts 3 et un indépendant.
Depuis l’élection, un article du Toronto Star, journal d’extrême gauche, a insinué que la position de Higgs sur les droits parentaux aurait pu contribuer à la défaite dévastatrice du Parti progressiste-conservateur. Le soir de l’élection, un journaliste de CBC a suggéré la même chose. Cela serait-il vrai ?
Examinons les faits.
Le premier ministre Higgs a déclenché une révolution populaire en matière de droits parentaux
En 2023, le premier ministre Higgs a fait du Nouveau-Brunswick la première juridiction au Canada à mettre en œuvre une règle sur l’identité de genre (politique 713) exigeant que les écoles obtiennent le consentement des parents avant de procéder à la transition d’enfants mineurs par l’utilisation de noms et de pronoms du sexe opposé.
Après l’introduction de la politique de notification et de consentement parental de Higgs pour les enfants de moins de 16 ans, une législation similaire sur les droits parentaux a été annoncée en Saskatchewan, puis en Alberta.
Pour contrer les insinuations du Toronto Star et de CBC, il est prouvé que la politique de M. Higgs en matière d’identité sexuelle a été extrêmement populaire auprès d’une majorité de Canadiens.
Lire la suiteLes avortements tardifs existent et les démocrates les défendent
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : olinchuk/Adobe Stock
12 septembre 2024 (LifeSiteNews) — Depuis que la vice-présidente et candidate démocrate à la présidence Kamala Harris a insisté sur le fait que « nulle part en Amérique une femme ne mène une grossesse à terme et demande un avortement », lors du débat présidentiel de mardi, les médias grand public se sont ralliés pour présenter l’avortement tardif et l’infanticide comme des mythes de droite, en dépit d’un dossier factuel liant les démocrates à ces deux problèmes très réels.
L’ancien président et candidat républicain Donald Trump a accusé les démocrates de soutenir « l’avortement au neuvième mois » et « l’exécution après la naissance », ce qui a déclenché une vague de « vérifications des faits » de la part de la presse :
- CNN : « Les origines de la fausse affirmation de Trump selon laquelle les démocrates veulent autoriser l’“exécution” des bébés après la naissance ».
- CBS News : « Trump prétend à tort que les démocrates soutiennent les avortements “après la naissance”. Voici une vérification des faits ».
- NBC News : « Trump a fait de fausses déclarations sur l’“avortement tardif” pendant le débat, selon des experts ».
- NPR : « Trump répète la fausse affirmation selon laquelle les démocrates soutiennent l’avortement “après la naissance” lors du débat ».
- USA Today : « Aucun État n’autorise les gens à “exécuter le bébé” après la naissance, comme le prétend Trump lors du débat ».
Bien que Trump n’ait pas expliqué la situation au-delà de l’invocation des commentaires tristement célèbres de l’ancien gouverneur démocrate de Virginie, Ralph Northam, en 2019, défendant l’option de laisser mourir un enfant mis au monde vivant à la suite d’un avortement raté, le dossier montre que des avortements tardifs se produisent, que les lois existantes ne suffisent pas à les empêcher et que la plupart des démocrates nationaux, y compris Mme Harris, s’opposent à ce que l’on fasse quoi que ce soit pour y remédier.
Lire la suiteKamala Harris voudrait « éliminer la liberté de religion » et a un programme anticatholique « extrême », dénoncent des personnalités catholiques
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PxHere
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — L'éventuelle présidence de Kamala Harris représenterait une menace pour les libertés religieuses des catholiques et la vie des bébés à naître, avertissent des personnalités catholiques.
La vice-présidente Kamala Harris est actuellement le choix du Parti démocrate pour l'élection présidentielle de 2024. Sauf changement de dernière minute, les démocrates la désigneront officiellement au cours de la première semaine d'août.
Ses antécédents d'opposition aux catholiques et aux valeurs catholiques suscitent des inquiétudes.
Sous l'administration Biden-Harris, le ministère de la Justice a appliqué de manière agressive et sélective la Loi sur la liberté d'accès aux entrées des cliniques (FACE Act), en s'en prenant notamment à des pères pro-vie pacifiques comme Mark Houck.
Ce même ministère de la Justice a également publié, par l'intermédiaire du Bureau fédéral d'enquête (FBI), un document accusant sans fondement d'« extrémisme » les catholiques qui assistent à la messe traditionnelle en latin. Le FBI a même espionné des églises pratiquant la messe en latin sous l'administration Biden-Harris.
De même, le procureur général de Biden, Merrick Garland, et le ministère de la Justice ont publié un document suggérant que les parents et les activistes inquiets qui s'opposaient à la politique d'identité raciale et à l'idéologie sexuelle dans les salles de classe étaient assimilés à des terroristes nationaux.
Lire la suite