Le président de la Conférence des évêques du Canada soutient le refus de la communion aux politiciens pro-avortement comme Mark Carney
Mark Carney.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/YouTube
15 avril 2025 (LifeSiteNews) — Le président de la Conférence des évêques catholiques du Canada soutient le refus de la Sainte Communion aux politiciens pro-avortement, dans le contexte de la réception de l’Eucharistie par le premier ministre Mark Carney la semaine dernière.
Dans une entrevue accordée le 11 avril dernier à Eternal Word Television Network (EWTN), Mgr William McGrattan, président de la Conférence des évêques catholiques du Canada, a déclaré que les politiciens pro-avortement ne devraient pas recevoir la Sainte Communion, moins d’une semaine après que Carney ait reçu l’Eucharistie dans une paroisse d’Ottawa.
« Je dirais de quelqu’un qui fait de la politique, qui prétend vivre selon sa foi et qui fait de telles déclarations : nous voyons que cela est incohérent — et c’est malheureusement le cas de beaucoup de nos politiciens », a-t-il dit.
Le journaliste d’EWTN a demandé si cela incluait M. Carney, pro-avortement, qui a été vu en train de recevoir la Sainte Communion lors de la transmission en direct d’une messe célébrée dans une paroisse d’Ottawa dimanche dernier.
Lire la suiteMark Carney continuera de soutenir les bloqueurs de puberté stérilisants, « sans exception », même pour les enfants
Mark Carney.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/cpac/YouTube
10 avril 2025, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Le premier ministre Mark Carney a promis de poursuivre l’héritage libéral en promouvant la fourniture de bloqueurs de puberté stérilisants aux enfants, « sans exception ».
Au cours d’une conférence de presse tenue le 8 avril en Alberta, Carney a réaffirmé sa volonté de promouvoir l’agenda LGBT en s’engageant à protéger le soi-disant « droit fondamental » à des médicaments et à des chirurgies irréversibles pour les Canadiens confus du genre.
« L’accès aux soins de santé est un droit fondamental », a déclaré Carney aux journalistes environ 28 minutes après le début de la conférence de presse.
Les médias ont demandé s’il inclurait les « droits » des LGBT dans la loi canadienne sur la santé, compte tenu de la législation récemment adoptée par l’Alberta, qui empêche les mineurs de prendre des bloqueurs de puberté irréversibles ou de subir des opérations de « réassignation » sexuelle.
Lire la suiteMark Carney refuse de clarifier ses propos de 2022, lorsqu’il accusait le Convoi de la Liberté de « sédition »
Mark Carney.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Wikimedia Commons
1er avril 2025 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Mark Carney a refusé de clarifier les commentaires qu’il a faits en 2022, alors qu’il qualifiait la manifestation du Convoi de la Liberté (contre les mandats COVID) d’acte de « sédition » et préconisait que le gouvernement mette fin au mouvement.
« Eh bien, voyez-vous, je n’étais pas encore un politicien », a-t-il répondu à un journaliste de Windsor (Ontario) où un blocus frontalier lié au Convoi de la Liberté a eu lieu en 2022, et qui lui demandait : « Que dites-vous aux Canadiens qui ont perdu confiance dans le gouvernement libéral à l’époque et qui n’ont plus confiance en vous aujourd’hui ? »
« Je suis devenu un homme politique il y a un peu plus de deux mois, deux mois et demi », a-t-il déclaré. « Je suis entré en politique parce que je pensais que ce pays avait besoin d’un grand changement. Nous avions besoin d’un grand changement dans l’économie ».
L’absence de réponse de Carney semble contraster fortement avec l’opinion ferme qu’il a exprimée dans un article publié le 7 février 2022 dans le Globe & Mail (à l’époque du convoi) et intitulé « It's Time To End The Sedition In Ottawa » [« Il est temps de mettre fin à la sédition à Ottawa »].
Lire la suiteMark Carney, catholique pratiquant, trahit sa foi en défendant l’avortement
Mark Carney.
Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture décran vidéo/Juno News
Dimanche dernier [le 23 mars, 2025], après avoir assisté à la messe catholique, le premier ministre Mark Carney s’est vu demander par un journaliste s’il soutenait « explicitement le droit de choisir d’une femme ». Avant de poser cette question, le journaliste avait mentionné que M. Carney était un « catholique pratiquant ayant assisté à l’église » plus tôt dans la matinée.
Carney, trébuchant presque sur ses mots tant il avait hâte de répondre, a déclaré : « Je soutiens absolument le droit d’une femme de choisir, sans aucune réserve, et je le défendrai comme le Parti libéral l’a toujours défendu — fièrement et constamment ».
Oui, de manière horrible, Carney, catholique pratiquant, soutient le massacre barbare des plus faibles et des plus vulnérables parmi nous — les enfants à naître. Il soutient cela malgré l’enseignement clair de l’Église catholique, selon lequel tuer les enfants à naître constitue un grave mal moral.
« Depuis le premier siècle, l’Église affirme le mal moral de tout avortement provoqué », affirme le Catéchisme de l’Église catholique. « Cet enseignement n’a pas changé et reste immuable. L’avortement direct, c’est-à-dire voulu comme une fin ou un moyen, est gravement contraire à la loi morale ».
La réponse de Carney constitue une trahison de sa foi catholique. Jésus est clair : ce que l’on fait au plus petit d’entre nous, c’est à Lui qu’on le fait. Ceux qui prétendent suivre Jésus tout en soutenant la mise à mort des bébés à naître, certainement les « plus petits » d’entre nous, le font également à Jésus.
Lire la suiteMark Carney : le successeur de Trudeau… en pire ?
Mark Carney.
Par Jack Fonseca (voteprolife.ca) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Flickr
Le 9 mars 2025, Mark Carney a remplacé Justin Trudeau à la tête du Parti libéral du Canada, un parti pro-avortement et pro-LGBT enragé, lors d’une élection à la direction très irrégulière que de nombreux experts soupçonnent d’avoir été menée frauduleusement pour assurer un couronnement à M. Carney.
Que savons-nous exactement de cet homme qui pourrait très bien remporter les prochaines élections et nous gouverner pendant les quatre prochaines années ?
Eh bien, presque rien si l’on se contente de consommer les informations des médias habituels, qui n’ont absolument pas vérifié ses politiques passées en tant qu’élite mondiale influente, ni les associations connues (et peu connues) dont il est membre, parmi lesquelles certaines sont assez peu recommandables.
Les médias ne sont pas le moins du monde curieux du passé de M. Carney ou de ses politiques encore inexplorées. Les médias subventionnés par le gouvernement ne veulent pas lui poser de questions difficiles et semblent uniquement désireux de l’accompagner jusqu’à l’office de premier ministre.
Heureusement, nous avons pu trouver de nombreuses informations sur M. Carney que les électeurs croyants et les conservateurs sociaux doivent connaître.
Lire la suiteMark Carney déclare qu’il est à la fois catholique et « absolument » favorable à l’avortement
Mark Carney.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Radio-Canada Info/YouTube
24 Mars 2025 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Mark Carney a fait peu de déclarations publiques sur l’avortement, mais beaucoup de déclarations publiques sur le fait d’être catholique. Aussi pouvions-nous (faiblement) espérer qu’il abrogerait l’infâme déclaration de Justin Trudeau en 2015, selon laquelle aucun pro-vie ne peut se présenter pour le Parti libéral du Canada.
La seule déclaration publique de Carney sur l’avortement que j’aie pu trouver jusqu’à présent est son message sur X le jour où Roe v. Wade a été renversé, le 24 juin 2022.
« Je suis fier de vivre dans un pays où le droit des femmes à choisir est si fortement soutenu. Mais la décision dévastatrice prise aujourd’hui aux États-Unis nous rappelle clairement que les progrès ne doivent jamais être considérés comme acquis », avait-il écrit. « Notre engagement à protéger les droits fondamentaux doit être inébranlable ».
Cela indiquait clairement que Carney est favorable à l’avortement et que son prétendu catholicisme est secondaire par rapport à son engagement en faveur du fœticide. Il ne faut pas oublier que le Canada est la seule démocratie et l’un des seuls pays au monde (avec la Corée du Nord) où l’avortement est autorisé jusqu’à la naissance, pour n’importe quelle raison et même sans aucune raison, et financé par les contribuables canadiens. Aucun autre pays occidental n’autorise, ne finance et ne facilite les avortements barbares tardifs avec autant d’enthousiasme.
Lire la suiteUn groupe pro-vie demande aux évêques canadiens de réagir aux propos de Mark Carney en faveur de l'avortement
Mark Carney.
Par la Coalition nationale pour la vie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Radio-Canada Info/YouTube
Le nouveau premier ministre du Canada, Mark Carney, a déclaré publiquement le 23 mars 2025 son soutien « sans réserve » à l'avortement, affirmant qu'il « soutient absolument le droit des femmes à choisir » et qu'il le défendra « avec fierté et constance ».
« Je trouve cette déclaration non seulement profondément troublante, mais aussi spirituellement scandaleuse, d'autant plus que M. Carney se présente comme un catholique pratiquant qui assiste régulièrement à la messe », déclare Jeff Gunnarson, président national de la Coalition nationale pour la vie.
« Un homme politique catholique ne peut pas, en toute conscience, prétendre être un membre fidèle de l'Église tout en s'engageant à maintenir et à élargir l'accès à l'avortement, que l'Église condamne sans équivoque comme étant le meurtre délibéré d'une vie humaine innocente », affirme Gunnarson.
« La position de M. Carney n'est pas seulement en opposition directe avec l'enseignement clair et cohérent de l'Église catholique, c'est une trahison pure et simple du plus faible et du plus vulnérable d'entre nous, l'enfant à naître ».
Lire la suiteMark Carney a été l’un des premiers à soutenir la répression du gouvernement contre le Convoi de la Liberté
Le Convoi de la Liberté en 2022.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Rebel News
19 mars 2025 (LifeSiteNews) — Le Convoi de la Liberté est arrivé à Ottawa le 29 janvier 2022. Deux semaines plus tard, le 14 février, Justin Trudeau a déclaré la Loi sur les mesures d’urgence (qui a remplacé la Loi sur les mesures de guerre en 1988) ; son ministre de la Sécurité publique, Marco Mendicino, a insisté sur le fait que les forces de l’ordre avaient demandé cette mesure. Des policiers de tout le pays ont commencé à arriver à Ottawa et, le 18 février, ils ont été envoyés dans les rues pour les « dégager » — y compris avec un contingent à cheval. J’étais à Ottawa pendant la répression, et certaines scènes étaient surréalistes.
Le 23 janvier 2024, le juge Richard Mosley de la Cour fédérale a statué que la décision de M. Trudeau d’invoquer la loi sur les situations d’urgence était à la fois « déraisonnable » et constituait une violation des droits des Canadiens tels qu’ils sont garantis par la Charte canadienne des droits et libertés. Il a estimé que l’invocation de la loi manquait de « justification, de transparence et d’intelligibilité », qu’elle portait atteinte à la liberté d’expression et qu’en raison du gel des comptes bancaires et de la répression des manifestations, elle violait la protection contre les « perquisitions et saisies abusives ».
Le gouvernement Trudeau a fait appel de ce jugement, insistant — contre toute évidence — que la loi sur les mesures d’urgence était essentielle au rétablissement de la paix, bien qu’il n’y ait pas eu un seul incident de violence documenté pendant le Convoi de la Liberté. En outre, Brenda Lucki, commissaire de la Gendarmerie royale du Canada, a directement contredit les affirmations de Mendicino, en déclarant que les forces de l’ordre n’avaient pas demandé l’application de la loi sur l’état d’urgence, un élément clé de la justification de l’invocation par le gouvernement. « Il n’a jamais été question de demander l’application de la loi sur les mesures d’urgence », a carrément déclaré Brenda Lucki à la Commission de l’ordre public et des situations d’urgence.
Il est intéressant de noter que l’un des premiers partisans d’une répression du Convoi pour la Liberté était... l’actuel premier ministre Mark Carney. Le 7 février, une semaine à peine après le début des manifestations, Carney a rédigé un éditorial furieux dans le Globe and Mail, intitulé « C’est de la sédition et il est temps d’y mettre un terme à Ottawa ». Il affirme que les gens sont « terrorisés », que les femmes « fuient les abus » ; il déclare carrément : « C’est de la sédition. C’est un mot que je n’aurais jamais pensé utiliser un jour au Canada. Il signifie “incitation à la résistance ou à l’insurrection contre l’autorité légitime” ».
Lire la suiteQui est Mark Carney, nouveau premier ministre du Canada ?
Mark Carney.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : World Economic Forum/FLickr/Wikimedia Commons
La longue démission de Justin Trudeau prend enfin fin. Mark Carney, élu chef du parti libéral du Canada lors de la course à la chefferie dudit parti, devient aujourd’hui premier ministre du Canada.
Mais qui est ce Mark Carney qui devient premier ministre non élu, jusqu’à la fin des prochaines élections du moins ?
Il est ce qu’on pourrait justement appeler un banquier, entre autres fonctions il a travaillé pendant 13 ans pour Goldman Sachs avant de devenir gouverneur de la Banque du Canada, puis de celle d’Angleterre. Il a notamment conseillé Justin Trudeau sur les questions économiques durant la « pandémie ». Il était récemment président du conseil d’investissement du Brookfield Asset Management. Il est Envoyé spécial des Nations Unies pour le financement de l’action climatique. Il a également participé au G20, au G7, a été président du conseil consultatif du groupe de réflexion progressiste Canada 2020, membre du conseil de fondation du Forum économique mondial, président du Group of Thirty, membre des conseils d’administration de Bloomberg Philanthropies, de Harvard University Overseers et de la Fondation Rideau Hall.
Enfin, Mark Carney est catholique et irait à la messe toutes les semaines.
M. Carney semble être en général assez discret quant à ses convictions morales. À une rare exception près où, le 24 juin 2022, il écrivit un tweet à l’occasion du jugement Dobbs (infirmant le jugement Roe) de la Cour suprême des États-Unis, déplorant le recul du « droit de choisir » des femmes (entendez : avortement) :
« Je suis fier de vivre dans un pays où le droit des femmes de choisir est si fortement soutenu. Mais la décision dévastatrice prise aujourd’hui aux États-Unis nous rappelle clairement que les progrès ne doivent jamais être considérés comme acquis.
Notre engagement à protéger les droits fondamentaux doit être inébranlable. »
Son message d’alors indique que Mark Carney est pro-avortement, ce qui n’est pas étonnant puisqu’il a réussi à devenir chef du Parti libéral du Canada.
Lire la suiteMark Carney remplace Justin Trudeau comme premier ministre du Canada
Mark Carney.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Flickr/Wikimedia Commons
Lundi 10 mars 2025, Ottawa (LifeSiteNews) — Mark Carney, qui se décrit comme « mondialiste » et « élitiste », remplacera Justin Trudeau en tant que premier ministre du Canada.
Le Parti libéral a élu Carney à la tête du pays avec 85,9 % des voix, selon l’Associated Press. « L’autre principal candidat à la direction du parti libéral était l’ex-vice-premer ministre Chrystia Freeland, qui n’a obtenu que 8 % des voix », rapporte l’Associated Press.
Une élection générale doit avoir lieu d’ici le mois d’octobre de cette année au Canada. Il est probable qu’elles aient lieu avant cette date.
Carney a été gouverneur de la Banque d’Angleterre et a travaillé pour le géant financier Goldman Sachs. « En 2020, il a commencé à servir en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique et la finance », selon l’AP.
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