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Les élèves de l’école secondaire Trafalgar d’Oakville, exposés à l’obscénité d’un professeur transgenre

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Africa Studio/Adobe Stock

Les élèves de l’école secondaire Trafalgar D’Oakville, en Ontario, sont exposés depuis la rentrée scolaire à l’obscénité d’un de leur professeur qui se déclare maintenant femme — il arbore des prothèses de seins de taille grotesquement disproportionnée, aux mamelons saillants, et qui n'ont absolument rien de féminin soit dit en passant. J’ai traduit ci-dessous un large extrait d’un courriel de Josie Luetke de Campaign Life Coalition. — A.H.

Libs of TikTok est un compte consacré à la dénonciation des absurdités qui sont devenues monnaie courante en Amérique du Nord, notamment dans les écoles.

Je regarde beaucoup de vidéos ridicules d’enseignants socialement libéraux se réjouissant d’endoctriner les enfants dans l’idéologie LGBTQ, mais vendredi, cette absurdité a touché de près — de très près — la maison.

Presque tous mes camarades de l’école primaire ont été à l’école secondaire Trafalgar d’Oakville, qui se trouve à moins de 5 minutes en voiture de la maison de mon enfance.

L’école a fait les manchettes à l’échelle internationale parce que son professeur d’atelier masculin, qui s’est récemment identifié en tant que femme, est retourné en classe cet automne en portant du maquillage, une perruque et des prothèses mammaires géantes — de taille grotesque — avec des mamelons saillants. […]

Il semble que cet homme prenne plaisir à exposer des jeunes — dont certains n’ont que 13 ans — à son fétichisme sexuel grossier. Je ne sais pas si cet homme est un cynique, ou s’il est authentiquement perturbé mentalement.

Quoi qu’il en soit, c’est complètement et totalement inacceptable. Dans un monde sain, c’est évident. Je ne devrais pas avoir besoin de le dire.

Malheureusement, les individus avec des inclinaisons sexuelles bizarres se comptent par dizaines de nos jours.

Ce qui est bien plus déplorable, c’est le fait que cet homme ait été autorisé à revenir à l’école jour après jour et à continuer à enseigner aux élèves.

Aucun collègue enseignant ou administrateur de l’école ne l’a arrêté.

L'article continue ci-dessous...

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Un membre du personnel du HDSB a affirmé que « l’identité et l’expression sexuelles sont des motifs protégés par le Code des droits de la personne de l’Ontario. »

Selon le Toronto Sun, le Halton District School Board est en train de « créer un plan de sécurité » pour « s’assurer qu’elle (l’enseignante) est protégée. » La présidente du HDSB, Margo Shuttleworth, a déclaré que « l’enseignante est complètement acceptée et accueillie dans la communauté scolaire en ce qui concerne le personnel. »

Au-delà du fait que ses faux seins sont évidemment obscènes, le document du HDSB sur « le code vestimentaire et l’uniforme de l’école », stipule clairement : « Les codes vestimentaires doivent empêcher les élèves de porter des vêtements qui exposent ou rendent visibles les organes génitaux et les mamelons. »

Mais apparemment, dans sa tolérance au transgenrisme, tout le monde est devenu paralysé.

Tout le monde fait passer le politiquement correct avant la protection des enfants.

Un élève aurait écrit dans un tweet maintenant supprimé : « Les enfants ici ne pensent certainement pas que c’est normal, mais en réalité, nous ne pouvons rien dire. L’année dernière, le professeur était un homme et je ne pense pas que l’école puisse le renvoyer. »

Au lieu de compatir, Lauren O’Neil, écrivant pour blogTO, se désole : « C’est loin d’être la première fois qu’une femme [sic] éducatrice est largement critiquée en ligne pour avoir porté quelque chose d’inapproprié ou de distrayant au travail, et ce n’est pas non plus la première fois qu’un enseignant de la communauté LGBTQIA2S+ est harcelé pour avoir exprimé son identité. »

C’est encore un autre exemple de l’empereur nu, et seuls les enfants ont le courage de le dénoncer.

Je me sens si mal pour les étudiantes qui le rencontrent. Objectivement, il se moque du corps féminin, mais aussi, les seins de beaucoup de ces filles sont encore en développement et beaucoup d’entre elles ont déjà du mal à se sentir à l’aise avec ces changements (ce qui, tangentiellement, explique pourquoi beaucoup de jeunes filles s’identifient comme des garçons et demandent des mastectomies). Cet homme adulte est autorisé à les mettre encore plus mal à l’aise.

Il a le droit de distraire les garçons de sa classe qui, à juste titre, peuvent avoir du mal à se concentrer sur l’apprentissage de quoi que ce soit lorsque leur professeur est clairement plus intéressé à les soumettre à sa fixation sexuelle.

Pourquoi n’a-t-il pas encore été renvoyé ? Et pourquoi ne s’est-il pas fait offrir de l’aide ?

Pourquoi tous les adultes dans cette situation sont-ils de si pitoyables lâches ?

Où cela va-t-il s’arrêter ? Si cet étalage ouvertement sexualisé est autorisé au nom de « l’expression du genre », qu’est-ce qui ne le sera pas ?

Je pense qu’il y a peu d’histoires qui démontrent mieux à quel point l’idéologie LGBTQ a corrompu nos écoles, à quel point les Canadiens se sont laissé berner.

Il ne suffit pas de secouer la tête et de passer à autre chose. Nous ne serions guère mieux que les autres adultes qui laissent faire.



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