Un enseignant canadien portant d’énormes faux seins en classe est mis en congé payé après avoir été repéré sans
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
2 mars 2023, Oakville, Ontario (LifeSiteNews) — Un enseignant canadien qui porte des prothèses mammaires massives pour travailler a été retiré de la salle de classe après avoir été photographié s'habillant comme un homme en dehors du travail.
Le New York Post a rapporté qu'un photographe avait surpris l'homme, qui se fait appeler Kayla Lemieux, sans ses vêtements féminins, après avoir enquêté sur la routine et les mouvements de Lemieux.
Selon le Toronto Sun, le Post « a engagé un photographe de Toronto pour travailler avec ses journalistes afin d'en savoir plus sur Kayla Lemieux, et a passé un mois à faire des recherches ».
Des photos ont d'abord été prises de Lemieux habillé en femme avec les désormais tristement célèbres prothèses mammaires, puis le photographe a pris une photo de Lemieux habillé en homme en public.
C'est cette photo qui a entraîné le retrait de Lemieux de la salle de classe.
Lemieux a nié que c'était lui sur l'image et a insisté sur le fait que les seins n'étaient pas des prothèses, mais de vrais seins. Il a déclaré que les prétendus seins étaient dus à une maladie appelée « gigantomastie », mais n'a pas voulu fournir de diagnostic pour le prouver à la presse ou aux responsables de l'école.
En réponse à Lemieux qui contestait l'authenticité de l'image, le Post a redoublé d'efforts et insisté sur le fait que le photographe connaissait les habitudes de l'enseignant, sa voiture, sa plaque d'immatriculation, son immeuble et ses voisins, et qu'il était donc certain que l'homme sur la photo était lui sans son costume.
À l'origine, l'enseignant avait été autorisé à rester dans la salle de classe, malgré les protestations des parents et des élèves, parce que le port de vêtements grotesques et sexualisés était considéré comme protégé par le code des droits de l'homme de l'Ontario, qui prévoit des mesures de protection pour les personnes souffrant d'un trouble de l'identité sexuelle.
Cependant, étant donné que la photo de Lemieux indique qu'il choisit quand il veut porter des vêtements qui expriment sa confusion de genre, le conseil scolaire n'avait plus de raison de le garder dans la salle de classe.
Le ministre de l'Éducation, Stephen Lecce, ainsi que les députés de la région de Halton, Natalie Pierre, Stephen Crawford et Effie Triantafilopoulos, ont tous reproché au conseil scolaire d'avoir « abdiqué sa responsabilité en ne faisant pas passer les intérêts et la sécurité des élèves en premier ».
Les élèves de l’école secondaire Trafalgar d’Oakville, exposés à l’obscénité d’un professeur transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Les élèves de l’école secondaire Trafalgar D’Oakville, en Ontario, sont exposés depuis la rentrée scolaire à l’obscénité d’un de leur professeur qui se déclare maintenant femme — il arbore des prothèses de seins de taille grotesquement disproportionnée, aux mamelons saillants, et qui n'ont absolument rien de féminin soit dit en passant. J’ai traduit ci-dessous un large extrait d’un courriel de Josie Luetke de Campaign Life Coalition. — A.H.
Libs of TikTok est un compte consacré à la dénonciation des absurdités qui sont devenues monnaie courante en Amérique du Nord, notamment dans les écoles.
Je regarde beaucoup de vidéos ridicules d’enseignants socialement libéraux se réjouissant d’endoctriner les enfants dans l’idéologie LGBTQ, mais vendredi, cette absurdité a touché de près — de très près — la maison.
Presque tous mes camarades de l’école primaire ont été à l’école secondaire Trafalgar d’Oakville, qui se trouve à moins de 5 minutes en voiture de la maison de mon enfance.
L’école a fait les manchettes à l’échelle internationale parce que son professeur d’atelier masculin, qui s’est récemment identifié en tant que femme, est retourné en classe cet automne en portant du maquillage, une perruque et des prothèses mammaires géantes — de taille grotesque — avec des mamelons saillants. […]
Il semble que cet homme prenne plaisir à exposer des jeunes — dont certains n’ont que 13 ans — à son fétichisme sexuel grossier. Je ne sais pas si cet homme est un cynique, ou s’il est authentiquement perturbé mentalement.
Quoi qu’il en soit, c’est complètement et totalement inacceptable. Dans un monde sain, c’est évident. Je ne devrais pas avoir besoin de le dire.
Malheureusement, les individus avec des inclinaisons sexuelles bizarres se comptent par dizaines de nos jours.
Ce qui est bien plus déplorable, c’est le fait que cet homme ait été autorisé à revenir à l’école jour après jour et à continuer à enseigner aux élèves.
Aucun collègue enseignant ou administrateur de l’école ne l’a arrêté.
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