Un conseil scolaire catholique canadien maintient l’interdiction d’arborer le drapeau de la « fierté » LGBT
Matthew Wojciechowski, vice-président de la Coalition nationale pour la vie, s'exprimant devant le Dufferin-Peel Catholic District School Board (DPCDSB).
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CampaignLifeTV/YouTube
23 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire catholique canadien a voté à la quasi-unanimité contre une motion lui demandant d’annuler l’interdiction de hisser tout drapeau autre que le drapeau national ou provincial au sommet de ses bâtiments, y compris le drapeau de la « fierté » pro-LGBT.
Lors d’une réunion du 21 janvier, les conseillers du Dufferin-Peel Catholic District School Board (DPCDSB), en Ontario, ont voté à 10 contre 1 contre la motion de la conseillère Brea Corbet visant à annuler l’interdiction de déployer des drapeaux non gouvernementaux, tels que le drapeau de la « fierté » pro-LGBT, dans les écoles du district ou sur leur toit.
Ce n’était pas la première fois que Corbet tentait de faire annuler l’interdiction de déployer des drapeaux non gouvernementaux, une motion similaire de Corbet ayant été rejetée en juin. L’interdiction initiale du DPCDSB concernant les drapeaux non gouvernementaux est entrée en vigueur le 15 mai 2024.
À la suite du rejet de la motion, seuls le drapeau canadien et le drapeau de l’Ontario pourront être déployés.
Lire la suiteDes livres LGBT dans les écoles catholiques
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
AVERTISSEMENT : Certains des contenus suivants sont inappropriés et ne doivent pas être vus par les enfants.
C’est avec un préavis très court, je le sais, mais je vous appelle à l’aide pour lutter contre l’endoctrinement LGBT qui se déroule dans une école primaire catholique à Kitchener (Ontario).
Je lance un appel à l’action important auquel j’espère que vous participerez, mais d’abord, je vais résumer la situation au cas où vous auriez manqué mon courriel de lundi.
Nous avons exposé au grand jour la quantité choquante de livres de propagande homosexuelle et transgenre se trouvant dans la bibliothèque de l’école primaire catholique Canadian Martyrs, qui fait partie du conseil scolaire du district catholique de Waterloo (WCDSB).
Lire la suiteLes grincheux du Conseil scolaire catholique de Toronto veulent voler le Noël de leur collègue
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lisa Zins/Flickr
Vous attendiez-vous à un « esprit de Noël » au Toronto Catholic District School Board ?
Eh bien, « Bah, balivernes ! », est la réponse que vous obtiendrez probablement de la part du nouveau président du conseil, le conseiller Markus De Domenico, en ce qui concerne un sujet particulièrement d’importance pour les catholiques fidèles.
Lors de la dernière réunion du conseil avant que les catholiques ne célèbrent la naissance de Jésus, les grincheux au petit cœur du TCDSB ont décidé de gâcher le Noël de l’administrateur Mike Del Grande.
Êtes-vous un peu confus ?
Après tout, ce n’est que l’autre jour que je vous ai écrit au sujet de la merveilleuse motion de Del Grande qui sera votée lors de la réunion du TCDSB de jeudi soir. Si elle est adoptée, elle rendra obligatoire la récitation régulière de la puissante prière de Saint-Michel Archange.
C’était une bonne nouvelle, n’est-ce pas ?
Lire la suiteUn conseil scolaire réclame 47 000 $ à Josh Alexander pour avoir soutenu qu’il n’y a que deux sexes
Josh Alexander.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/Jordan Peterson/YouTube
6 décembre 2024, Renfrew, Ontario (LifeSiteNews) — La commission scolaire Renfrew County Catholic District School Board (RCCDSB) réclame maintenant des dizaines de milliers de dollars à Josh Alexander, un collégien canadien qui a été suspendu en 2022 pour s’être exprimé contre l’idéologie transgenre.
Dans un message publié le 28 novembre, Josh Alexander a révélé que RCCDSB lui réclamait près de 47 000 dollars après que la Cour divisionnaire de l’Ontario ait rejeté son appel visant à annuler la décision du conseil scolaire de le suspendre pour avoir défendu les croyances bibliques sur les questions regardant le sexe.
« La commission scolaire Renfrew County Catholic District réclame maintenant à Josh des dizaines de milliers de dollars », a posté Alexander sur X, citant une campagne GiveSendGo mise en place pour couvrir ses frais de justice.
« L’arrestation, la suspension, l’exclusion, la diffamation, l’échec et le retrait permanent de Josh n’étaient pas suffisants. Cela mettra Josh en faillite à l’âge de 18 ans », cite-t-il.
« Mon conseil scolaire, le RCCDSB, soutient que j’ai le droit de croire ce que je veux, mais à la seconde où j’exprime cette opinion, il est acceptable de me soumettre au ridicule, à la discrimination basée sur ma foi, à la suspension, à l’exclusion, aux arrestations, aux accusations, à une interdiction permanente d’éducation, et maintenant à une facture de près de 47 000 dollars », écrit Alexander dans un message de mise à jour le 4 décembre.
« S’ils peuvent me faire ça, ils peuvent le faire à vous et à vos enfants », avertit Alexander.
Lire la suiteVictoire pro-vie ! Linda Gibbons innocentée de toute charge criminelle
Linda Gibbon.
Par Campaign Life Coalition/X — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un juge de l’Ontario a jugé que l’héroïne pro-vie Linda Gibbons n’était PAS coupable de l’infraction criminelle du « méfait » d'« entrave » au fonctionnement d'une clinique d’avortement de Toronto.
Les actions de Linda « ne constituent pas un méfait criminel sur la propriété », a statué la juge ontarienne Maria Speyer ce matin (5 décembre). Il n’y a « aucune preuve » qu’elle ait bloqué la clinique. « Elle n’a pas harcelé, elle n’a pas été violente. Elle n’a pas pénétré sans autorisation. »
« Elle n’a jamais mis les pieds sur le trottoir menant à la porte... Les avortements ont eu lieu ce jour-là, avec quelques inconvénients. »
« Elle n’est pas coupable du méfait reproché ».
Lors de la lecture de la décision, Linda, vêtue de son habituel chandail vert clair, était assise dans le box des accusés avec une expression neutre sur le visage. Elle avait les mains jointes sur ses genoux. Elle est restée silencieuse, comme à son habitude.
Toutes les autres accusations criminelles ont été abandonnées par la Couronne. Linda a été libérée du box et tout de suite ses amis et partisans l’ont entourée et l’ont serrée dans leurs bras.
Le juge a demandé à tout le monde de quitter la salle d’audience et de faire leurs embrassades à l’extérieur.
« Justice a été rendue aujourd’hui pour Linda Gibbons », a déclaré le président national de la Coalition nationale pour la vie, Jeff Gunnarson. « Le juge a clairement vu que les actions de Linda étaient pacifiques et que les défenseurs de la vie ont le droit de s’exprimer sur le trottoir public. Ce sont des décisions comme celle-ci qui doivent être utilisées pour contester les zones-bulles qui servent à faire taire le discours pro-vie à travers le pays. »
« Rendons grâce à Dieu, Linda est libre ! »
Des conseillers scolaires vindicatifs cherchent à ruiner Michael Del Grande
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lianne Laurence/LifeSiteNews
20 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il existe une certaine vérité que j’ai vue se manifester à maintes reprises au cours de mes années de reportage sur les questions concernant l’Église.
Voici : absolument personne n’est plus haineux et destructeur pour l’Église catholique que ceux qui se disent « catholiques », mais qui rejettent ses enseignements contre l’homosexualité.
Plus encore que ceux qui rejettent l’enseignement de l’Église sur le divorce, la contraception ou l’avortement, les pro-LGBT qui se disent catholiques se distinguent, par leur vindicte inégalée et leur attaque impitoyable de la doctrine de l’Église... et de tous ceux qui se mettent en travers de leur chemin.
Pensez au cardinal homosexuel Theodore McCarrick, responsable de l’accord secret du Vatican avec la dictature du PCC, qui a abandonné des millions de catholiques chinois clandestins à la persécution brutale de l’État.
Lire la suiteLe Tribunal des droits de la personne d’Ontario condamne une ville à une amende pour avoir refusé d’arborer le drapeau LGBT
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
25 novembre 2024 Emo, Ontario (LifeSiteNews) — Le Tribunal des droits de la personne d’Ontario a imposé une amende au canton d’Emo pour avoir refusé de faire flotter le « drapeau de la fierté » en juin 2020.
Dans une décision rendue le 20 novembre, le Tribunal des droits de la personne d’Ontario a accordé à Borderland Pride, un groupe militant LGBT local, une amende de 15 000 $ au canton d’Emo et au maire d’Emo, Harold McQuaker, après que la petite ville d’Ontario ait refusé de se plier aux exigences des militants LGBT et de célébrer le mois de juin comme le mois de la « fierté ».
« J’estime que la somme de 15 000 dollars est un niveau d’indemnisation approprié pour le préjudice subi par Borderland Pride en termes de dignité, de sentiments et de respect de soi », a écrit Karen Dawson, juge du Tribunal des droits de la personne d’Ontario, dans sa décision.
Lire la suiteUne grand-mère chrétienne emprisonnée écrit une lettre puissante au mouvement pro-vie canadien
Linda Gibbons en mais 2024, sa pancarte dit : Pourquoi maman ? Alors que j'ai tant d'amour à donner.
Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
L’héroïne pro-vie Linda Gibbons a rédigé, depuis sa prison, une lettre puissante à l’intention des Canadiens qui croient en la vie, les encourageant à « persister et à continuer » de défendre les enfants à naître destinés à être avortés. Lisez la lettre dans son intégralité ici.
Cette grand-mère chrétienne canadienne, âgée de 76 ans, a été arrêtée et inculpée en juin pour sa présence pacifique devant la clinique d’avortement de Toronto, anciennement connue sous le nom de clinique Morgentaler. Linda a été emmenée en prison pour « méfait ». Le fait qu’elle ait marché lentement sur le trottoir en tenant une pancarte sur laquelle était écrit « Pourquoi maman, alors que j’ai tant d’amour à donner » a été interprété comme une « interférence » avec le fonctionnement d’une entreprise qui tue des enfants à naître.
Linda n’est pas là pour juger ou condamner les femmes qui entrent dans l’usine d’avortement. Elle n’a que de l’amour et de la compassion pour elles et leurs enfants à naître. Elle sait ce qu’elles vivent puisqu’elle y est passée elle-même. En 1970, Linda est devenue enceinte alors qu’elle était étudiante à l’université. Elle a convaincu un médecin qu’elle avait besoin d’un avortement, qui a eu lieu dans un hôpital. L’âge gestationnel du bébé de Linda était de 13 semaines.
Lire la suiteLe régime d’euthanasie du Canada est une pagaille diabolique et des personnes vulnérables meurent
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
18 novembre 2024 (LifeSiteNews) — En lisant le dernier commentaire d’Alexander Raikin dans The Hub ce matin, j’ai ressenti une sinistre impression de déjà-vu. « Un quart de tous les fournisseurs d’AMM de l’Ontario pourraient avoir violé le Code criminel », dit le titre de sa colonne. « Est-ce que quelqu’un s’en préoccupe ? » Son premier paragraphe se lit comme un plaidoyer :
Chaque praticien de l’aide médicale à mourir (AMM) est censé respecter le droit pénal. Pourtant, Dirk Huyer, coroner en chef de l’Ontario, a d’abord publiquement, puis en privé pendant des années, mis en garde contre le « non-respect systématique » par les médecins et les infirmières du droit pénal relatif à l’AMM. Plus de 428 cas signalés plus tard, comme je l’ai écrit dans un récent rapport d’enquête pour The New Atlantis, personne n’écoute.
Si vous n’avez pas encore lu l’intégralité du rapport de Raikin pour The New Atlantis, vous devriez le faire. Il s’agit de l’un des meilleurs articles de journalisme d’investigation jamais publiés sur le régime d’euthanasie du Canada, qui vient s’ajouter au palmarès déjà excellent de Raikin en matière d’exposition de ce qui se passe réellement dans ce pays. Mais sa frustration est palpable et compréhensible. « Il est difficile de comprendre comment ces accusations de non-respect de la législation de l’AMM sont restées si longtemps cachées par toutes les parties responsables », note M. Raikin.
Lire la suiteOntario : au moins 428 euthanasies non conformes à la loi
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Un essai d'Alexander Raikin, publié par New Atlantis le 11 novembre 2024, révèle qu'il y a eu au moins 428 décès par euthanasie non conforme dans la province de l'Ontario. Dans son essai de recherche, Raikin donne le ton de ses conclusions dans son paragraphe d'ouverture, déclarant :
Depuis des années, des signaux clairs indiquent que les prestataires d’euthanasie au Canada pourraient enfreindre la loi et s’en tirer à bon compte. C’est ce qu’ont constaté les fonctionnaires chargés de surveiller les décès dus à l’euthanasie pour s’assurer du respect de la loi dans la province de l’Ontario. Des rapports récemment dévoilés révèlent que ces autorités ont jusqu’à présent dénombré plus de 400 violations apparentes, qu’elles ont caché ces informations au public et qu’elles n’ont pas engagé la moindre poursuite pénale, même à l’encontre des récidivistes et des contrevenants « flagrants ».
Tout d’abord, je voudrais remercier Alexander Raikin pour l’incroyable travail de recherche qu’il a effectué et qu’il continue d’effectuer sur la loi canadienne sur l’euthanasie. L’essai de Raikin est long, mais approfondi. Je peux vous assurer que Raikin ne dévoile que la partie émergée de l’iceberg.
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