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Les documents secrets de Pfizer : le vaccin covid a provoqué quantité de fausses couches et de mortinaissances

Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock

23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — La semaine dernière, Maya Vander, actrice vedette de Netflix, a raconté à ses admirateurs la douleur qui l’a dévastée d’avoir accouché d’un bébé mort-né à 38 semaines de grossesse le 9 décembre 2021.

« Hier a été le jour le plus difficile de ma vie », a posté Vander, 39 ans, sur Instagram, avec une photo de nouveaux vêtements de bébé dans une boîte à souvenirs qu’elle ramenait de l’hôpital à la place de son petit garçon. « J’en ai toujours entendu parler mais je n’ai jamais imaginé que je ferais partie des statistiques ».

Vander, un agent immobilier de Beverly Hills qui joue dans l’émission « Selling Sunset », avait posté en novembre une photo d’elle lors d’un tournage de grossesse et elle semblait l’image de la santé. Décrite comme « entièrement vaccinée » par le magazine US, Mme Vander a deux autres enfants : Aiden, deux ans, et sa fille Elle, un an.

Après sa perte, elle a écrit dans le magazine Insider qu’elle avait ressenti une diminution des mouvements du bébé quelques jours avant d’apprendre son décès et que son mari et ses deux enfants étaient positifs au COVID, alors qu’elle avait été testée négative. Elle a déclaré que le bébé, qui était « parfait » et pesait trois kilos et quatre onces, sera autopsié.

La perte de Vander a fait l’objet d’un grand nombre de reportages compatissants, mais aucun article n’a osé poser les questions brûlantes : les injections de vaccin COVID pendant sa grossesse ont-elles eu un rapport avec la mort de ce bébé ? Ou bien, le COVID avait-il quelque chose à voir avec la mort du bébé et le vaccin COVID aurait-il échoué ?

Les données que Pfizer ne voulait pas que vous voyiez

Lorsqu’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency a demandé à Pfizer de partager les données brutes des essais du vaccin COVID et de la surveillance post-commercialisation qui ont été utilisées pour homologuer l’injection, le géant pharmaceutique s’est associé à la Food and Drug Administration (FDA) pour refuser les demandes de Freedom of Information Act (FOIA). En fait, la FDA (censée servir et protéger la santé publique) a engagé des avocats du ministère de la Justice et est allée en justice pour éviter au géant pharmaceutique de devoir révéler ses données ─ pendant 55 ans. C’est exact. La FDA et Pfizer ne voulaient pas que quelqu’un voie les chiffres derrière leur vaccin COVID avant 2076.

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Heureusement, un juge a décidé que la FDA et Pfizer devaient répondre aux demandes formulées en vertu de la FOIA. Parmi les premiers rapports remis par Pfizer figure une « Cumulative Analysis of Post-authorization Adverse Event Reports » [« Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation »] décrivant les événements signalés à Pfizer jusqu’en février 2021. Ce rapport révèle que le géant pharmaceutique a reçu plus de 150 000 rapports d’événements indésirables graves dans les trois mois qui ont suivi le lancement de son vaccin COVID, mais nous nous concentrerons ici sur le tableau 6 des données concernant les femmes enceintes et allaitantes qui ont reçu les injections au cours des premiers mois du lancement, qui a débuté le 11 décembre. La plupart de ces femmes étaient des travailleuses de la santé, car c’est à elles que s’adressaient les premières séries de vaccins. Comme les essais cliniques précédant le déploiement excluaient les femmes enceintes, ces femmes auraient ainsi été les premières femmes enceintes et allaitantes à recevoir les vaccins.

Le tableau 6 indique que sur 270 « grossesses uniques » qui ont été exposées au vaccin, « aucune issue n’a été fournie pour 238 grossesses ».

Il reste donc 32 grossesses dont l’issue est connue.

Le rapport de Pfizer indique qu’il y a eu 23 avortements spontanés (fausses couches), deux naissances prématurées avec décès néonatal, deux avortements spontanés avec décès intra-utérin, un avortement spontané avec décès néonatal et une grossesse à « issue normale ». Cela signifie que sur les 32 grossesses dont l’issue est connue, 28 ont abouti à une mort fœtale.

Le rapport de Pfizer indique qu’il y avait cinq grossesses dont l’issue était « en suspens », ainsi que les 238 dont l’issue n’était pas connue. Mais 32 moins 28 font quatre, et non cinq.

En raison de cette confusion, j’ai appelé Pfizer et envoyé des questions par courriel à son représentant des médias. Est-ce que 28 des 32 issues de grossesse connues ont été fatales au cours des 10 premières semaines de disponibilité du vaccin, comme le suggère le rapport ? Cela représente un taux de perte de grossesse de 87,5 % ? Et une seule issue de grossesse était « normale » ? Veuillez me corriger si je me trompe.

Pas de réponse.

La FDA aurait eu ces données entre les mains à la fin du mois d’avril. C’est peut-être pour cela qu’ils ont voulu les cacher pendant 55 ans.

Normalement, lorsqu’un nouveau médicament ou un nouveau dispositif médical est mis en œuvre, il incombe, et devrait incomber, au fabricant de prouver que tout événement inattendu survenant par la suite n’est pas lié au produit. « Tous les rapports spontanés ont une relation causale implicite conformément aux directives réglementaires, quelle que soit l’évaluation du rapporteur », selon les directives relatives à la déclaration des événements indésirables. Mais Pfizer et la FDA ont ignoré les événements présentant une association temporelle et une cause plausible de blessure et ont allègrement déclaré le vaccin « sûr et efficace » pour les femmes enceintes.

Ils ont même permis qu’il soit rendu obligatoire.

Rapports de mortinatalité au Canada

Au Canada, des dénonciations ont fait état de taux de mortinatalité en hausse après des injections de vaccin COVID. Un médecin retraité de Colombie britannique, le Dr Mel Bruchet, a affirmé en novembre que des « doulas » lui avaient dit qu’il y avait eu 13 mort-nés en 24 heures à l’hôpital Lion’s Gate de Vancouver. Une grand-mère dont le petit-fils est mort-né à l’hôpital a tweeté le 21 novembre : « Ma fille a reçu ce satané vaccin empoisonné il y a un mois parce qu’elle ne pouvait pas aller au restaurant, et les gens paniquaient parce qu’elle n’était pas vaccinée. Je veux poursuivre le gouvernement en justice. » Le message a été supprimé de Twitter.

Le Dr Daniel Nagase, un médecin de l’Alberta qui a reçu l’ordre de quitter son hôpital albertain pour avoir traité à l’ivermectine trois patients atteints du COVID (qui sont tous rentrés vivants de l’hôpital), a déclaré à un journaliste qu’il avait été informé de 86 mortinaissances à Waterloo, en Ontario, entre janvier et juillet.

« Normalement, il n’y a que cinq ou six enfants mort-nés par an. Le taux habituel est donc d’environ une mortinatalité tous les deux mois », a-t-il déclaré. « Il est donc tout à fait inhabituel de passer soudainement à 86 enfants mort-nés en six mois. Mais la confirmation la plus importante que nous avons du rapport de Waterloo, en Ontario, est que toutes les [mères des] 86 mort-nés étaient entièrement vaccinées. »

Des vérifications de faits plutôt floues

Les médias et les hôpitaux ont immédiatement décrié ces affirmations en les qualifiant de désinformation, mais leurs « vérifications des faits » ne les ont pas réellement réfutées. Ils ont fourni des données de la « dernière année fiscale », soit d’avril à août.

« Les données spécifiques de l’hôpital Lions Gate n’ont pas pu être divulguées pour des raisons de confidentialité », a déclaré Global News. Ils ont fourni des déclarations peu rassurantes de médecins telles qu’« Il existe un ensemble croissant de preuves que la vaccination est sûre ». Les « preuves de plus en plus nombreuses » proviennent clairement des femmes enceintes et de leurs bébés qui participent à l’essai clinique.

Factcheck a cité le site internet des Centers for Disease Control and Prevention qui le confirme, en déclarant que, selon les CDC, « les avantages de recevoir un vaccin COVID-19 l’emportent sur tout risque connu ou potentiel de la vaccination pendant la grossesse » (c’est nous qui soulignons). C’est le genre de langage utilisé pour couvrir ses arrières : nous ne sommes pas responsables jusqu'à ce que nous sachions qu’il y a un problème ou que nous voyions un risque potentiel se réaliser.

Vous mourrez aux soins intensifs

Lorsque le député indépendant Rick Nicholls a posé une question sur la mortinatalité à l’Assemblée législative de l’Ontario, la ministre de la Santé s’est contentée de répondre que le CDC et la Food and Drug Administration recommandent les vaccins.

« Elle n’a même pas répondu correctement, elle a juste répété ce que toutes les autres marionnettes disent toujours, “c’est sans danger” », a commenté une mère, Chané Neveling. « Cela me rend tellement furieuse. Je viens d’avoir ma petite fille en juillet [et] la pression que j’ai ressentie de la part de mes médecins pour que je me fasse vacciner pendant la grossesse m’a presque fait aller contre ma morale et j’ai failli accepter. Les mots exacts de mon gynécologue étaient “tu es stupide de ne pas l’avoir fait. Tu vas mourir aux soins intensifs” ».

Si les médecins tiennent de tels propos alarmistes auprès de leurs patients, est-il déraisonnable de penser qu’il existe au moins un problème de sous-déclaration des effets indésirables de la vaccination ? Quel médecin aussi dogmatique à l’égard de son dernier cocktail pharmaceutique va envisager (et encore moins admettre) qu’il puisse y avoir un problème avec celui-ci ?

Il y a 3 604 rapports d’avortements spontanés, de fausses-couches, de mortinaissances et de décès de nouveau-nés dans le système américain de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) jusqu’au 10 décembre 2021. Il s’agit notamment de milliers de fausses-couches et de pertes de grossesse précoces peu après l’injection de vaccins expérimentaux COVID à ARNm modificateur de gènes ; de rapports de bébés qui cessent brusquement de grandir ou qui subissent un accident vasculaire cérébral in utero ; de bébés malformés ; d’un bébé mourant d’une inflammation du placenta ; et d’un bébé né avec une hémorragie mortelle de la bouche, du nez et des poumons. Un nombre surprenant de ces rapports notent qu’il n’y a pas eu d’autopsie et admettent [n’avoir] « aucune autre information ». C’est comme si la santé publique ne voulait pas savoir ce qui a causé la mort de ces bébés ─ même s’il existe de nombreuses théories raisonnables pour expliquer pourquoi ces événements peuvent se produire.

Les données VigiBase

Compte tenu du nombre élevé de doses administrées, le nombre d’événements indésirables ne cesse d’augmenter. VigiBase, la base de données de l’Organisation mondiale de la santé, fait état de complications liées à la grossesse, parmi lesquelles

  • 3 952 avortements spontanés
  • 353 morts fœtales
  • 189 avortements manqués [sic]
  • 166 cas de travail prématuré
  • 160 bébés prématurés
  • 154 avortements [sic]
  • 150 mouvements lents du bébé à naître
  • 146 hémorragies pendant la grossesse
  • 132 accouchements prématurés
  • 123 retards de croissance fœtale
  • 120 enfants mort-nés
  • 105 grossesses extra-utérines
  • 90 pré-éclampsies

Études problématiques

Les organismes de santé publique justifient ces dangers en affirmant que les femmes (ou leurs bébés) sont plus susceptibles de les subir en cas d’exposition au virus qu’au vaccin ─ mais ils n’en fournissent aucune preuve. L’étude à laquelle ils se réfèrent le plus provient du CDC lui-même. Comparant les taux de mortinatalité de 1 249 634 accouchements dans 736 hôpitaux entre mars 2020 et septembre 2021 chez des femmes infectées ou non par le COVID, elle établit qu’il y a bien eu une augmentation de la mortinatalité ─ mais pas au plus fort de la première vague, plus meurtrière, du virus, seulement « pendant la période de prédominance du variant Delta », c’est-à-dire après que les femmes enceintes aient été poussées à se faire vacciner. Les CDC n’ont pas voulu considérer que la « nouvelle plateforme » d’injections expérimentales d’ARNm pouvait être la raison pour laquelle la mortinatalité n’a touché que 0,98 % des accouchements affectés par le COVID-19 avant Delta, contre 2,70 % après l’introduction des vaccins.

« Le statut vaccinal n’a pas pu être évalué dans cette analyse », ont écrit les CDC. C’est cette agence qui réclame des mandats de vaccination et qui introduit des codes QR dans tout le pays. Elle peut exiger de savoir si vous êtes vacciné ou non si vous voulez aller au restaurant, à la salle de sport ou au match de football de votre quartier, mais pour une étude nationale sur son intervention « la plus critique », censée sauver des vies au cours d’une pandémie mondiale supposément sans précédent, il n’est tout simplement pas possible pour l’agence sanitaire la plus puissante du monde de déterminer le statut vaccinal ? Tout le monde sait que chaque femme enceinte entrant dans un hôpital au cours des 18 derniers mois a subi un test COVID. Le CDC sait quelles femmes ont été vaccinées et lesquelles ne l’ont pas été, mais il ne veut pas nous le dire.

La science du vaccin COVID est comme leur « science » de l’avortement

Au lieu de cela, les « experts » du CDC ont recours à des platitudes. « Cependant, étant donné que les vaccins COVID-19 sont très efficaces, et que la couverture vaccinale du COVID-19 chez les femmes enceintes était d’environ 30 % en juillet 2021, la plupart des femmes présentant un COVID-19 à l’accouchement étaient probablement non vaccinées » (c’est nous qui soulignons). Pourquoi cela semble-t-il si peu scientifique ? La bonne science n’est généralement pas une supposition basée sur un slogan ajouté à une estimation. N’avons-nous pas déjà vu ce genre de science ? N’était-ce pas lorsqu’ils nous ont dit que les femmes n’avaient pas de complications après l’avortement ─ et que le CDC a fait disparaître par magie toutes les septicémies et les hémorragies, les utérus perforés et les séquelles psychologiques post-avortement ? Ils paient simplement d’habiles scientifiques pour manipuler les données et blanchir les chiffres indésirables jusqu’à ce qu’ils disparaissent. Il n’y a rien à voir. La science des vaccins est exactement comme celle de l’avortement. Maintenant, elles sont littéralement en train de fusionner.

82 % de perte de grossesse ?

Une autre étude sur laquelle les « experts » s’appuient fortement est celle du New England Journal of Medicine. Les auteurs de celle-ci ─ du CDC ─ ont cependant été contraints de publier une correction majeure lorsque les analystes ont reconnu que leurs calculs de données montraient en fait la possibilité d’un taux de 82 % de fausses couches en début de grossesse, alors qu’ils concluaient que les injections de COVID étaient sûres et efficaces.

À l’origine, l’étude a été publiée avec un Tableau 4 montrant les « avortements spontanés » après la vaccination. Les auteurs ont affirmé que 104 pertes de grossesse divisées par 827 grossesses donnaient un taux de perte de grossesse de 12,6 %, ce qui se situe dans une fourchette normale. Cependant, comme Deanna McLeod, analyste professionnelle des données sur le cancer chez Kaleidoscope Strategic Inc. à Toronto, et ses collègues l’ont fait remarquer dans une lettre adressée au NEJM, en tout petits caractères sous le tableau, il est indiqué qu’un « total de 700 participantes ont reçu leur première dose admissible au cours du troisième trimestre ». Étant donné que la définition de l’avortement spontané se rapporte à une perte de grossesse avant la 20e semaine de gestation, cela signifie que 700 femmes ne faisaient pas partie du dénominateur, car lorsqu’elles ont été vaccinées, elles avaient déjà dépassé le stade où elles pouvaient avoir un avortement spontané. Ainsi, en lisant correctement, la fraction est passée de 104/827 à 104/127 (81,9 %). D’où un taux de perte de grossesse de 82 % pour les grossesses du premier trimestre.

Les experts du CDC ont rédigé une correction, mais le New England Journal of Medicine a simplement effacé le dénominateur erroné de la publication originale et a conservé les mêmes conclusions.

Le chiffre de 82 % a fait couler beaucoup d’encre, et McLeod a déclaré à LifeSite qu’il s’agissait probablement d’une surestimation, mais le véritable résultat des pertes de grossesse n’est toujours pas disponible et, en fait, d’autres scientifiques ont examiné les données et calculé un taux de perte de grossesse précoce de 91,2 %. Ces chiffres correspondent aux données cachées de Pfizer.

Des chercheurs ont publié un suivi de l’étude, mais celui-ci était tout aussi défectueux. Tout d’abord, ils partent de l’hypothèse absurde selon laquelle « il n’y a aucune raison biologique convaincante de penser que la vaccination COVID-19 à l’ARNm (que ce soit avant la conception ou pendant la grossesse) présente un risque pour la grossesse », explique Jeremy Hammond, journaliste indépendant et analyste politique qui a analysé les données relatives au vaccin contre la grippe pendant la grossesse. « C’est un mensonge éhonté, bien sûr, puisque l’activation immunitaire maternelle en soi est un mécanisme biologique convaincant, connu pour être associé à des dommages au fœtus. »

Ensuite, selon Hammond, « ils ont brouillé leur analyse du risque de vaccination pendant la grossesse en incluant des femmes qui avaient été vaccinées jusqu’à 30 jours avant la conception, sans en donner la raison ». Ensuite, ils ont défini l’avortement spontané comme une perte de grossesse entre six et 20 semaines, excluant ainsi toutes les pertes dans les cinq premières semaines (période pendant laquelle 90 % des avortements spontanés se produisent).

« Cela signifie que si une femme s’est fait vacciner, puis est devenue enceinte 3 semaines plus tard, puis a passé les 6 semaines de gestation sans faire de fausse couche, elle a été incluse [dans les données] », explique Hammond, « alors que si une femme s’est fait vacciner, puis est devenue enceinte 3 semaines plus tard, puis a fait une fausse-couche à 5 semaines de gestation, elle a été exclue. Cela biaise évidemment leurs données en faveur de l’absence de risque accru de fausse-couche. »

Tout cela nous montre que les agences de santé publique et les scientifiques sont prêts à manipuler les données pour protéger les intérêts des compagnies pharmaceutiques plutôt que les femmes et les bébés qu’ils sont censés servir. Au moins quelques-unes des histoires qui nous parviennent de bébés mort-nés, d’hémorragies et de fausses-couches sont liées aux nouvelles injections expérimentales ─ peut-être même beaucoup plus que nous ne le pensons. Mais il faudra beaucoup de temps ─ et de nombreuses autres vies de bébés seront perdues ─ avant que nous apprenions toute la vérité.



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