Un bébé prématuré qui ne pesait pas plus qu’une miche de pain rentre à la maison
Lloyd Hayes, Sophie James et leur bébé Marley.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (bords flous rajoutés) : SWNS
Un bébé prématuré, qui était si petit à la naissance qu’il pesait le même poids qu’une miche de pain, s’est remarquablement rétabli. Aujourd’hui, sa famille a hâte de fêter leur premier Noël ensemble.
Alors que Sophie James était enceinte de 25 semaines, elle a perdu les eaux et a donné naissance à sa petite fille prématurée, Marley, qui ne pesait que 750 grammes à la naissance, soit à peu près le poids d’une miche de pain. Selon le Mirror, elle a eu un certain nombre de problèmes de santé dus à son arrivée précoce, notamment une insuffisance rénale et une hémorragie cérébrale. Elle a également souffert d’une maladie appelée hypercalcémie, ce qui signifie qu’elle avait trop de calcium dans le sang.
« Les médecins ne comprenaient pas pourquoi cela se produisait. Finalement, on a cessé de lui donner du calcium », explique Sophie. « Cela signifie qu’elle n’a plus reçu de lait maternel et qu’elle a dû se contenter de sachets de vitamines. Elle a à peine grandi en quatre semaines. Puis elle a commencé à prendre une version de lait maternisé pauvre en calcium, appelée Locasol, et finalement, elle a été autorisée à boire mon lait maternel. »
Sophie et son compagnon, Lloyd Hayes, ont passé les semaines suivantes aux côtés de Marley pendant son séjour à l’Unité de soins intensifs néonataux.
« Tout ce que nous voyions, c’était Marley, et nous nous sommes dit que nous devions faire face à cette situation. Les médecins ont dit qu’il fallait tout faire pour la maintenir en vie, elle a donc été incubée et mise directement sous respirateur », raconte Sophie.
Lire la suiteDes parents néo-zélandais se voient retirer la tutelle de leur bébé pour avoir refusé du sang contaminé par le vaccin covid pour l’opération au cœur de celui-ci
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a pris la tutelle d’un bébé de quatre mois après que ses parents soient restés fermes en demandant que seul du sang non contaminé par le « vaccin » COVID-19 soit utilisé lors de l’opération chirurgicale visant à réparer la malformation cardiaque de leur fils.
Le juge Ian Gault a décrété que le bébé resterait sous la tutelle du tribunal jusqu’à ce qu’il se soit remis de l’opération, selon un article de CNN.
La simple demande des parents du bébé a été rejetée par l’hôpital Starship d’Auckland et son chirurgien cardiaque pédiatrique, ainsi que par le Service néo-zélandais du sang [NZBS], qui l’ont jugée inutile et « irréalisable », bien que les parents aient identifié 20 personnes non vaccinées prêtes à donner de leur sang pour l’intervention qui sauverait la vie de l’enfant.
« C’est une histoire désespérée où les pouvoirs de l’hôpital soutiennent la banque de sang, et les parents se sont sentis absolument impuissants », a déclaré Liz Gunn lors d’un entretien vidéo dans une chambre d’hôpital avec les parents du petit garçon.
« Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination », a déclaré le père du petit garçon. « Nous sommes d’accord avec tout ce que ces médecins veulent faire d’autre ».
« C’est une question si facile à éclaircir, et vous ne le faites pas », a poursuivi le père, adressant ses commentaires au responsable de la NZBS.
« Cela ressemble un peu à une action criminelle pour moi », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons pas prendre de risque avec un garçon qui a déjà un problème cardiaque », a expliqué la mère de l’enfant.
« Je suis horrifiée et dégoûtée que vous n’ayez même pas la décence de nous parler », a déclaré la mère, qui s’est également tournée vers le responsable de NZBS, « alors que vous empêchez de toute évidence notre bébé de recevoir le sang dont il a besoin pour cette opération cardiaque ».
Elle a déclaré qu’elle s’était sentie « intimidée » par ceux qui faisaient obstruction à leur demande de sang non contaminé, racontant comment un médecin avait essayé de la contraindre à signer un document autorisant l’intervention avec du sang contaminé, puis l’avait menacée d’un avocat et avait suggéré qu’elle avait besoin de l’aide d’un psychiatre parce qu’elle refusait.
L’entrevue de Gunn avec les parents de l’enfant est devenue virale, ayant été vue par plus de 57 000 personnes à ce jour.
Lire la suiteUn bébé prématuré né à 23 semaines de grossesse et atteint d’une maladie rare
Haper Jacobo et ses parents.
Par Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Au Colorado, où les avortements sont légaux jusqu’à la naissance, un bébé est né dont l’œsophage n’était pas relié à la bouche. Il serait le « plus petit bébé jamais né » avec cette condition et à y survivre.
Nées à seulement 23 semaines, les jumelles Harper Jacobo et sa sœur Gabriella ne pesaient qu’un kilo chacune. Les jumelles sont nées si tôt qu’elles ont dû être emmenées d’urgence à 250 km de là, à l’hôpital spécialisé Rocky Mountain Hospital for Children de Denver, dans le Colorado.
Après leur arrivée à l’hôpital, les médecins ont rapidement découvert que bébé Harper souffrait d’une atrésie de l’œsophage, une maladie rare caractérisée par l’absence de connexion entre le tube reliant la bouche et l’estomac. Un bébé atteint de ce syndrome est alors incapable de faire passer les aliments dans son système digestif et a parfois du mal à respirer.
Le « plus petit bébé jamais né avec cette [maladie] à survivre »
Les médecins ont attendu quatre mois avant de procéder à l’opération, au cours de laquelle ils ont utilisé des aimants pour réunir les deux parties de l’œsophage.
Le Dr Steven Rothenberg, chef du service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital, a déclaré que Harper était « le plus petit bébé à être né avec cette [pathologie] et à y survivre ».
Harper a passé la première année de sa vie à l’hôpital, où elle a été soignée avant d’être finalement autorisée à sortir. Sa sœur, Gabriella, n’était pas atteinte de cette maladie et elle est sortie plus tôt de l’hôpital.
Les parents Kayla Hatch et Victor Jacobo ont remercié les médecins d’avoir maintenu leurs bébés en vie.
« De les voir respirer, donner des coups de pied... c’est vraiment impressionnant », a déclaré Jacobo. « Nous ne pourrons jamais assez remercier tout le monde d’avoir été là et de nous avoir aidés à traverser ces moments difficiles ».
« Je vais les remercier le reste de ma vie ».
Malgré la gravité de cet état, presque tous les bébés diagnostiqués survivent.
Le taux de survie des grands prématurés ne cessent de s’améliorer
L’avortement est légal jusqu’à la naissance dans de nombreux endroits aux États-Unis, en Angleterre et au Pays de Galles si le bébé à naître est diagnostiqué avec un handicap. Cependant, les résultats, même pour les bébés extrêmement prématurés comme Harper et Gabriella, ne cessent de s’améliorer.
Au début de l’année, John Wyatt, professeur d’éthique et de périnatologie à l’University College de Londres et professeur émérite de pédiatrie néonatale, d’éthique et de périnatologie à l’University College de Londres, a présenté aux parlementaires du Royaume-Uni et du monde entier des preuves montrant « qu’il y a eu une amélioration constante des chances de survie des bébés nés à 22 et 23 semaines de gestation depuis la dernière modification de la loi sur l’avortement [en 1990] ».
Catherine Robinson, porte-parole de Right To Life UK, a déclaré : « Les perspectives des bébés extrêmement prématurés s’améliorent sans cesse. Il s’agit d’une histoire de plus où des bébés nés avant la limite d’avortement survivent. Chaque avortement est une tragédie et la discrimination à l’encontre des bébés à naître handicapés est particulièrement triste. Il faut espérer que les réussites comme celle de Harper seront de plus en plus répandues et rendues publiques, et que le vent commencera à tourner contre l’avortement sélectif en fonction du handicap. »
Selon Dr McCullough, l’altération de l’ADN par les vaccins covid pourrait s’étendre aux cellules reproductrices et affecter les bébés
Par Emily Mangiaracina (Campagne Québec-Vie) — Photo : unai/Adobe Stock
26 juillet 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins les plus accomplis et les plus renommés des États-Unis prévient que l’altération de l’ADN humain par le vaccin COVID, démontrée par une récente étude suédoise, pourrait affecter les cellules reproductrices et ainsi modifier génétiquement les enfants.
Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et principal médecin américain du COVID, a discuté de la découverte, partagée plus tôt cette année, selon laquelle « le vaccin Pfizer, en fait, [peut être] rétrotranscrit et installer de l’ADN dans le génome humain », selon les mots de McCullough, lors d’un débat télévisé animé par la présentatrice chrétienne Joni Lamb.
Le responsable de l’étude suédoise, Markus Aldén, de l’université de Lund, a observé qu’un fragment de l’ARN messager du vaccin Pfizer entraînait des « changements » dans l’expression du [rétrotransposon] LINE-1, qui fait partie du génome. Le LINE-1 est lui-même rétrotranscrit, ce qui produit des copies d’ADN qui peuvent être insérées dans le génome à différents endroits.
Les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des Centers for Diseases Control selon lesquelles « les vaccins COVID-19 ne modifient pas votre ADN et n’interagissent avec lui en aucune façon ».
À la question de savoir si le vaccin COVID peut « affecter votre bébé », Dr McCullough a répondu : « Oui, c’est la conclusion alarmante. »
Dr McCullough ne s’est pas prononcé définitivement sur la question de savoir si le vaccin affecterait effectivement les bébés sur le plan génétique, mais il estime que c’est une possibilité. Il a appelé à d’autres études pour confirmer que « l’ensemble du code est installé, et ensuite pour confirmer réellement que... la protéine de spicule (spike) est maintenant continuellement exprimée par les cellules humaines parce que les nanoparticules lipidiques sont absorbées partout ».
« Cela signifie », poursuit McCullough, que « les cellules somatiques de vos organes », mais aussi les cellules gamètes, « les cellules qui sont en fait le sperme et l’ovule, si elles portent le code, cela signifie en effet qu’il pourrait être transmis aux cellules filles… [l’embryon] ».
Lire la suiteLe bébé prématuré d’une maman a survécu à 23 semaines. Aujourd’hui, elle défend ceux des autres
Par Victoria Clarizio (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : christianabella/Pixabay
C’était Thanksgiving 2019, et Crystal Odom préparait la voiture pour des vacances relaxantes avec sa famille. Mais ce jour-là, Odom, enceinte de son deuxième enfant, a commencé à éprouver ce qui ressemblait au début d’un travail prématuré à seulement 17 semaines de grossesse. Abandonnant leurs projets de Thanksgiving, elle et son mari Alex se sont précipités à l’hôpital de l’Université d’Alabama à Birmingham.
Odom avait en fait commencé le travail prématurément en raison d’une incompétence du col de l’utérus, une condition qui entraîne une ouverture prématurée du col. Le bébé n’étant pas assez développé pour survivre en dehors de l’utérus, l’équipe médicale a dû faire quelque chose pour empêcher Odom d’accoucher. Ils ont procédé à un cerclage du col de l’utérus, qui consiste à mettre un point de suture autour du col pour le maintenir fermé. Cela a permis de retarder la naissance du bébé jusqu’à la 23e semaine, moment où les chances de survie étaient les plus élevées. Odom a donné naissance à une petite fille, qu’elle a appelée Everleigh. Avec sa naissance prématurée, Everleigh avait 50 % de chances de survie, mais elle a reçu les meilleurs soins médicaux et elle a maintenant deux ans.
Everleigh a connu diverses conséquences de sa naissance prématurée. Elle a subi plusieurs opérations chirurgicales pour ses organes sous-développés et, plus récemment, on lui a diagnostiqué une paralysie cérébrale. Ses parents ont dû apprendre à se battre pour les soins de leur enfant, et ils remercient également le personnel hospitalier pour sa volonté d’aider Everleigh. « Je suis tellement reconnaissante d’avoir eu Everleigh ici [à l’UAB] et d’avoir maintenant la chance de la voir s’épanouir à la maison grâce à leur volonté d’aider les bébés à un si jeune âge gestationnel », a déclaré Mme Odom.
Malheureusement, toutes les personnes souffrant d’une incompétence du col de l’utérus ne bénéficient pas d’une telle attention. En fait, un autre bébé né à 22 semaines de grossesse en raison de ce problème n’a pas reçu de soins médicaux et n’a survécu que quelques heures. Mais, comme pour beaucoup d’autres bébés prématurés qui ont survécu à une naissance précoce, l’expérience d’Everleigh démontre qu’il est possible à des bébés aussi jeunes de survivre en dehors de l’utérus s’ils reçoivent les soins et l’attention appropriés.
Pendant cette épreuve, Odom a partagé les progrès d’Everleigh avec ses amis et sa famille via les médias sociaux. À sa grande surprise, cela lui a ouvert la porte pour aider d’autres parents dans des situations similaires, en particulier les parents d’enfants handicapés. Ses efforts de sensibilisation ont été remarqués et Mme Odom a été nommée par le gouverneur Kay Ivey au Governor’s Interagency Council du système d’intervention précoce de l’Alabama pour la période 2022-2023. Au sein de ce conseil, Mme Odom sera mieux à même de partager ses expériences, de fournir une aide aux parents et aux prestataires se trouvant dans des situations similaires et d’aider à déterminer où les fonds de l’État seront le mieux utilisés. « C’est une bénédiction qu’ils nous aient choisis », a-t-elle déclaré.
Mme Odom donne ce conseil aux parents qui pourraient se trouver dans une situation similaire : « Dès le début, il ne faut pas avoir peur de poser des questions, de s’impliquer avec l’équipe de soins et d’essayer de comprendre ce qui se passe pour pouvoir défendre les intérêts de son enfant. »
Des militants pro-vie jeûnent au pain et à l’eau pendant 40 jours et sauvent six bébés de l’avortement
40 Jours pour la Vie de Toronto en 2022.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maria Buelvas
12 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Lorsque Maria Buelvas a discerné que Dieu lui demandait de mener une campagne pro-vie dans les rues de Toronto pendant 40 jours afin de convaincre les femmes confrontées à l’avortement de garder leur bébé, elle a également discerné que pour que cette campagne soit fructueuse, cela impliquerait beaucoup de prière, de sacrifice et surtout de jeûne.
« Pour être honnête avec vous, la seule chose que nous n’avons pas fait dans les autres campagnes, c’est le jeûne. Nous jeûnons tous, y compris notre conseiller spirituel, au pain et à l’eau pendant 40 jours », a déclaré Maria à Campaign Life Coalition dans une entrevue exclusive.
À partir du 2 mars, Maria et une équipe de militants pro-vie dévoués se sont lancés dans une campagne de 40 jours pour la vie, au cours de laquelle les volontaires tiennent des pancartes et prient devant un centre d’avortement voisin. Les pancartes portent différents messages, tels que « Priez pour mettre fin à l’avortement » et « Nous allons vous aider ». Dans ce cas, le centre d'avortement est l’Abortion Care Clinic de Toronto, qui tue des enfants à naître par voie médicale ou chirurgicale depuis 1996.
Le nom « 40 jours » vient du délai que Dieu utilise constamment tout au long de l’histoire du salut pour transformer son peuple. Par exemple, Dieu a lavé le péché de la terre avec 40 jours de pluie à l’époque de Noé. Le peuple hébreu a vécu en dehors de la terre promise pendant 40 ans en guise de punition pour avoir adoré de faux dieux. Jésus s’est préparé à transformer le monde en jeûnant et en priant pendant 40 jours dans le désert.
Maria, infirmière diplômée de profession, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’environ 150 personnes de la paroisse qu’elle fréquente avec son mari et ses trois enfants se sont également jointes à la campagne en jeûnant au pain et à l’eau pendant 40 jours dans l’intention de sauver des vies de l’avortement.
« Dans les Écritures, il y a des démons qui ne peuvent être chassés que par la prière et le jeûne. C’est donc ce qui nous a inspirés, tout comme Jésus qui a jeûné pendant 40 jours dans le désert », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteLa réalité brutale de l’origine des vaccins covid : dissection de bébés avortés vivants
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
29 mars 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais dévoiler la vérité horrifiante et brutale qui se cache derrière les lignées de cellules fœtales utilisées dans la production des vaccins.
Il y a quelque temps, j’ai fait une émission avec Pamela Acker, une chercheuse dans le domaine des vaccins qui a renoncé à son doctorat en refusant — selon sa conscience — de travailler avec des lignées de cellules souches créées au détriment de bébés avortés. Elle est probablement la chercheuse la plus cultivée de la planète en matière de vaccins, et pourtant, beaucoup ont pris sur eux de salir sa réputation après notre entretien. Principalement parce qu’elle a fait remarquer que pour obtenir les lignées de cellules souches les plus couramment utilisées aujourd’hui, il a fallu non seulement sacrifier la vie de centaines de fœtus, mais surtout que ces fœtus soient vivants au moment de l’extraction des organes fœtaux dont sont issues les lignées de cellules souches. Ainsi, c’est par la vivisection de bébés à naître, et pas seulement par l’avortement, que nous avons obtenu les lignées de cellules souches humaines d’où proviennent tous les vaccins COVID aux États-Unis.
Pour la totalité des vaccins COVID-19 actuellement disponibles et dont l’utilisation est approuvée aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, on a utilisé des lignées de cellules souches fœtales, en particulier HEK-293, de la manière suivante :
- Au cours de la phase initiale de développement du vaccin, les cellules souches fœtales ont été utilisées, avec d’autres lignées cellulaires humaines, pour développer une protéine de pointe génétiquement modifiée (« spike » pour laquelle l’ARNm du vaccin code)
- Le vaccin Pfizer à ARNm et le vaccin Moderna ont été testés sur des HEK 293 avant le début des essais sur l’homme. Ces tests sont en cours pour tous les nouveaux lots.
- Pour les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca de « vieille technologie » (utilisés au Canada et au Royaume-Uni seulement), on a cultivé une souche virale affaiblie dans une culture cellulaire HEK 293, qui a ensuite été tamisée et raffinée avant d’être utilisée — laissant malgré tout de minuscules composants cellulaires et des débris d’ADN du bébé avorté.
Melissa Strickler, la dénonciatrice de Pfizer, a pu partager des courriels qui ont révélé l’utilisation de HEK-293 dans les tests pour le vaccin Pfizer. Moderna et Novavax utilisent des lignées cellulaires HEK-293 pour leurs tests, tandis que les vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés à la fois pour la production et les tests. L’Institut Charlotte Lozier dispose d’une liste complète de vaccins avec des détails sur leur nature éthique, et je vous encourage à la consulter.
HEK-293 est une lignée cellulaire humaine créée à partir d’un rein d’une fillette à naître néerlandaise disséquée aux Pays-Bas par l’équipe de l’Université de Leiden entre 1972 et 1973. Il s’agit de la deuxième lignée cellulaire la plus courante et elle est largement utilisée dans la « recherche pharmaceutique et biomédicale ». Elle est également utilisée pour la création de vaccins et la recherche sur le cancer. HEK est l’abréviation de « Human Embryonic Kidney » (rein embryonnaire humain) et le chiffre 293 correspond au nombre d’expériences que le chercheur canadien Frank Graham a dû mener pour modifier génétiquement les cellules afin qu’elles puissent se développer indéfiniment dans un environnement artificiel.
Lire la suiteUn bébé atteint d’un grave spina bifida a été opéré dans l’utérus de sa mère
Helena et sa fille Mila.
Par Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un bébé a subi une intervention chirurgicale « révolutionnaire » avant sa naissance, dans l’utérus, pour le soigner de son spina-bifida. À seulement 23 semaines de gestation, le bébé Mila — abréviation de Milagro, ou miracle, en espagnol — a subi une opération complexe réalisée par une équipe de 25 chirurgiens pour réparer sa moelle épinière exposée et refermer le trou dans son dos.
Sa mère, Helena, a appris que son enfant était atteinte de spina bifida lors de l’examen médical effectué à 20 semaines.
« Il y avait une très grosse lésion dans son dos et la moitié de sa colonne vertébrale était exposée. Ils ont dit qu’il était probable qu’elle soit paralysée, incontinente et ait besoin d’une dérivation pour drainer le liquide de son cerveau plus tard », dit-elle.
« J’étais hors de moi quand ils m’ont dit toutes les conséquences possibles de cette maladie et je n’ai pas pu m’arrêter de pleurer ».
« Ils m’ont dit que la probabilité qu’elle marche ou bouge ses jambes était très, très faible — c’était absolument dévastateur ».
Cependant, quelques jours après, Helena a appris qu’elle et sa fille pouvaient bénéficier d’une intervention chirurgicale pendant que sa fille était encore dans l’utérus. À 23 semaines, elle a été envoyée dans un hôpital spécialisé en Belgique, qui travaille en partenariat avec le NHS, où elle a été opérée.
« Je suis tellement reconnaissante »
Le spina bifida touche environ 1 500 bébés chaque année. Souvent, une partie de la moelle épinière est exposée et ne peut se développer correctement. Cela peut entraîner une paralysie, des problèmes d’intestin, de la vessie et des reins. Mais si les chirurgiens peuvent opérer entre la 22e et la 26e semaine de grossesse, au lieu de le faire après la naissance, cela signifie un bien meilleur résultat pour le bébé.
Lire la suite«Des meurtres ont été commis»: les pro-vie demandent justice pour les cinq bébés tardivement avortés, trouvés à Washington
Terrisa Bukovinac (à droite).
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
8 avril 2022, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Les défenseurs de la vie se sont rassemblés vendredi devant le bureau du médecin légiste de Washington, D.C., pour demander justice pour les cinq bébés avortés presque à terme dont les corps démembrés ont été découverts par des militants pro-vie à la fin du mois dernier à l’extérieur d’une infâme clinique d’avortement de D.C.
Plusieurs groupes pro-vie ont collaboré à l’organisation d’une conférence de presse et d’un rassemblement devant le bâtiment, demandant au maire de Washington, Muriel Bowser, et au médecin légiste de la ville de procéder à l’autopsie des bébés morts, qui, selon certains experts, pourraient avoir été victimes d’infanticide après des tentatives d’avortements bâclés.
La police de Washington a trouvé les corps des bébés dans l’appartement de la militante pro-vie Lauren Handy, après que le FBI ait fait une descente à son domicile et l’ait arrêtée la semaine dernière pour des accusations liées à un « sauvetage traditionnel » qu’elle a mené avec huit autres pro-vie en octobre 2020.
Lauren Handy et Terrisa Bukovinac, une autre militante pro-vie, affirment avoir obtenu une boîte contenant les corps d’un chauffeur de camion anonyme qui aurait chargé des boîtes provenant de la clinique d’avortement Washington Surgi pour les transporter au centre d’incinération de déchets médicaux de Curtis Bay. Les pro-vie ont ramené les bébés avortés à l’appartement de Handy afin de leur offrir un « enterrement correct » et des funérailles.
Entre-temps, bien que l’on ait suggéré que les bébés auraient pu être tués en violation de la loi fédérale, qui interdit aux avorteurs d’assassiner les bébés nés vivants après un avortement raté, les autorités de D.C. ont déclaré qu’elles ne lanceraient aucune enquête ni ne procéderaient à des autopsies sur les nourrissons, car elles affirment que les bébés ont été « avortés conformément à la loi de D.C. ».
Lire la suiteUne mère a refusé d’avorter son bébé atteint de spina-bifida — « Pas une option, je l’aime déjà »
(De gauche à droite) Michelle, Michael et Lacey Grace Bower.
Par SPUC (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère qui a courageusement défié le conseil de son médecin d’avorter sa petite fille célèbre son petit miracle.
Michelle Bower et son mari, Michael, ont été incités à avorter après avoir reçu un diagnostic de spina bifida pour leur enfant à naître. Heureusement pour la petite Lacey Grace, ses parents se sont accrochés à sa vie et ont refusé de céder au défaitisme du personnel médical.
Mme Bower, originaire de l’Indiana, aux États-Unis, a déclaré : « Nous avons rencontré le médecin juste après l’échographie et avons entendu pour la première fois les mots “anomalie du tube neural”, “tête en forme de citron” et “spina bifida” pour décrire notre fille. »
« Nous étions complètement désemparés. Les larmes n’ont pas cessé de couler pendant quelques jours. »
Le spina bifida signifie que le canal rachidien du bébé ne se ferme pas complètement lors de son développement, ce qui entraîne de graves lésions des nerfs de la moitié inférieure du corps, pouvant conduire à un handicap.
« J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps »
Mme Bower a été orientée vers un médecin spécialiste qui lui a dit que l’état de Lacey Grace était grave, et lui a fortement conseillé d’avorter.
« J’ai pleuré à chaudes larmes à cette évocation. À travers mes larmes, j’ai dit : “Ce n’est pas une option, je l’aime déjà !” »
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