Pour la première fois, des médecins réussissent une opération au cerveau chez un bébé à naître
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Des médecins de Boston ont récemment pratiqué une incroyable opération du cerveau sur un enfant à naître, alors qu’il était encore dans l’utérus, afin de lui sauver la vie. D’autres interventions chirurgicales ont été réalisées in utero, mais c’est la première fois que cette procédure particulière est effectuée.
Les détails de l’opération ont été publiés cette semaine dans la revue médicale Stroke. Une malformation de la veine de Galien (VOGM) a été diagnostiquée chez la petite fille à 30 semaines, une malformation rare des vaisseaux sanguins à l’intérieur du cerveau. Environ la moitié des enfants diagnostiqués avec une VOGM ont une malformation qui ne peut pas être corrigée, ce qui entraîne la mort peu après la naissance. Cependant, pour les enfants dont la malformation peut être traitée, le pronostic est très bon.
Selon la MIT Technology Review, les parents de la petite fille se sont inscrits à un essai clinique après avoir reçu le diagnostic dans l’espoir de lui sauver la vie.
« Avec le temps, la veine se gonfle comme un ballon », explique Darren Orbach, radiologue à l’hôpital pour enfants de Boston (Massachusetts), qui traite les bébés nés avec cette maladie. « Tout d’un coup, le cœur du nouveau-né est soumis à un énorme fardeau. La plupart des bébés atteints de cette maladie deviennent très malades, très rapidement ».
Mario Ganau, neurochirurgien consultant à l’hôpital universitaire d’Oxford, au Royaume-Uni, explique également : « Le sang est volé au reste de la circulation. » Dans la plupart des cas, les médecins tentent de corriger la malformation après la naissance ; malheureusement, il est alors parfois trop tard.
Lire la suiteUn grand-père pompier assiste la naissance de sa propre petite-fille à la caserne des pompiers
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une maman de Géorgie aura une histoire de naissance inhabituelle et inoubliable à partager avec sa fille lorsqu’elle sera assez grande — la petite fille est née dans une caserne de pompiers, avec l’aide de son grand-père pompier.
Bret Langston, pompier à Austell, a déclaré à 11 Alive News qu’il avait déjà mis au monde plusieurs bébés, puisqu’il travaille depuis 28 ans, mais qu’il ne s’attendait pas à ce que l’un d’entre eux soit sa propre petite-fille.
La fille de Bret, Hannah, était en train d’accoucher et se dirigeait vers le centre de naissance lorsqu’elle et sa mère April ont réalisé qu’elles risquaient de ne pas arriver à temps. Elles ont décidé de s’arrêter à la caserne des pompiers d’Austell, où Bret était de service. Dix minutes plus tard, la petite Adalynn est née.
« C’était inattendu, inhabituel, mais c’était une bénédiction et je ne changerais rien. Tout s’est bien passé », a déclaré April Langston, la mère d’Hannah.
« Je plaisante avec les gens en disant que c’était un bébé-surprise, qu’elle a eu une naissance surprise, que tout en elle est juste une surprise », a déclaré Hannah.
Bret a déclaré qu’il a aidé à mettre au monde une demi-douzaine de bébés et qu’il pensait toujours aux enfants après l’accouchement.
« Ce n’est pas la première fois que j’aide une mère à accoucher », dit-il, précisant qu’il a toujours aimé cette activité. « Après, on se demande toujours ce qui est arrivé à l’enfant. »
Mais il n’aura pas à se demander ce qui est arrivé à Adalynn. « Elle est belle, elle est parfaite », a déclaré Bret en la tenant dans ses bras.
Hannah a déclaré qu’elle n’oubliera jamais cette expérience. « Je suis plus forte que je ne le pense », dit-elle. « Je me sens vraiment plus forte après avoir accouché dans une caserne de pompiers. »
Le capitaine des pompiers d’Austell, Mitch Parrott, a également parlé de l’impact de la naissance d’Adalynn sur l’ensemble de la caserne. « C’était totalement inattendu », a-t-il déclaré à propos de la naissance d’Adalynn. « Ma petite fille est décédée il y a maintenant quatre ans. Et ce service m’a soutenu à 110 %, en m’aidant à surmonter cette épreuve », a-t-il ajouté. « Alors, qu’un bébé naisse dans la caserne pendant mon service — je me suis tenu dans le couloir et j’ai pleuré un peu. C’était un événement important pour moi », a-t-il ajouté.
La petite Adalynn est déjà revenue rendre visite à son grand-père à la caserne, ce qu’Hannah a l’intention de continuer à faire.
« Elle aura toujours une place à table », a déclaré Bret à propos d’Adalynn. « D’habitude, la recrue est la dernière à manger, mais je pense qu’elle aura sa place au début de la file. »
«0% de chance de survie»: les jumeaux les plus prématurés au monde fêtent leur premier anniversaire défiant les diagnostics
Adiah et Adrial Nadarajah.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
8 mars 2023 Toronto (LifeSiteNews) — Des jumeaux, les plus grands prématurés au monde, viennent de célébrer leur premier anniversaire, prouvant aux médecins qu’ils s’étaient trompés.
Le 4 mars, les jumeaux les plus prématurés du monde, Adiah et Adrial Nadarajah — nés à 22 semaines et ne pesant que 330 g et 420 g respectivement — ont défié tous les pronostics en célébrant leur premier anniversaire. Les médecins avaient d’abord annoncé à leurs parents, établis dans l’Ontario, que les jumeaux n’étaient « pas viables », qu’ils n’avaient « aucune chance de survie ».
La première réaction a été de dire : « Je suis désolé pour votre perte, vous allez perdre ces bébés », a déclaré le père des jumeaux, Kevin Nadarajah, au Guinness World Records.
« Les médecins nous ont dit qu’ils pouvaient venir au monde d’une minute à l’autre et qu’il n’y avait aucune chance qu’ils survivent ».
« Nous étions en état de choc », a déclaré Shakina Rajendram, la mère des jumeaux.
Mme Rajendram, qui avait fait une fausse couche lors d’une précédente grossesse, était folle de joie lorsqu’elle a appris qu’elle était enceinte de jumeaux. Mais le 2 mars, alors qu’elle n’était qu’à 21 semaines et 5 jours de grossesse et plus de quatre mois avant l’accouchement des jumeaux, elle a commencé à saigner et à avoir des contractions. La mère savait que quelque chose n’allait pas.
« La première chose qui m’est venue à l’esprit a été de me demander si j’allais perdre cette grossesse », a déclaré Mme Nadarajah.
Le couple s’est précipité à l’hôpital où, après un bref examen, les médecins leur ont annoncé que leurs jumeaux ne survivraient pas.
La première pensée qui m’est venue à l’esprit a été « “Oh! Non, pas encore”, car trois mois auparavant, nous avions perdu un bébé dans ce même hôpital », a déclaré Mme Rajendram.
La mère a déclaré que l’hôpital lui avait dit qu’il ne pouvait rien faire et que tout ce qu’il pouvait offrir aux parents dévastés était ce qu’il appelait des « soins de confort ».
« Ils nous ont dit qu’il n’y avait rien à faire et que le mieux que l’hôpital pouvait nous offrir était des soins de confort, c’est-à-dire qu’une fois que les bébés seraient nés, ils les prendraient et les mettraient sur ma poitrine et celle de Kevin et ils attendraient simplement qu’ils meurent », a expliqué Mme Rajendram.
Lire la suiteUn bébé prématuré qui ne pesait pas plus qu’une miche de pain rentre à la maison
Lloyd Hayes, Sophie James et leur bébé Marley.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (bords flous rajoutés) : SWNS
Un bébé prématuré, qui était si petit à la naissance qu’il pesait le même poids qu’une miche de pain, s’est remarquablement rétabli. Aujourd’hui, sa famille a hâte de fêter leur premier Noël ensemble.
Alors que Sophie James était enceinte de 25 semaines, elle a perdu les eaux et a donné naissance à sa petite fille prématurée, Marley, qui ne pesait que 750 grammes à la naissance, soit à peu près le poids d’une miche de pain. Selon le Mirror, elle a eu un certain nombre de problèmes de santé dus à son arrivée précoce, notamment une insuffisance rénale et une hémorragie cérébrale. Elle a également souffert d’une maladie appelée hypercalcémie, ce qui signifie qu’elle avait trop de calcium dans le sang.
« Les médecins ne comprenaient pas pourquoi cela se produisait. Finalement, on a cessé de lui donner du calcium », explique Sophie. « Cela signifie qu’elle n’a plus reçu de lait maternel et qu’elle a dû se contenter de sachets de vitamines. Elle a à peine grandi en quatre semaines. Puis elle a commencé à prendre une version de lait maternisé pauvre en calcium, appelée Locasol, et finalement, elle a été autorisée à boire mon lait maternel. »
Sophie et son compagnon, Lloyd Hayes, ont passé les semaines suivantes aux côtés de Marley pendant son séjour à l’Unité de soins intensifs néonataux.
« Tout ce que nous voyions, c’était Marley, et nous nous sommes dit que nous devions faire face à cette situation. Les médecins ont dit qu’il fallait tout faire pour la maintenir en vie, elle a donc été incubée et mise directement sous respirateur », raconte Sophie.
Lire la suiteDes parents néo-zélandais se voient retirer la tutelle de leur bébé pour avoir refusé du sang contaminé par le vaccin covid pour l’opération au cœur de celui-ci
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
7 décembre 2022 (LifeSiteNews) — La Haute Cour de Nouvelle-Zélande a pris la tutelle d’un bébé de quatre mois après que ses parents soient restés fermes en demandant que seul du sang non contaminé par le « vaccin » COVID-19 soit utilisé lors de l’opération chirurgicale visant à réparer la malformation cardiaque de leur fils.
Le juge Ian Gault a décrété que le bébé resterait sous la tutelle du tribunal jusqu’à ce qu’il se soit remis de l’opération, selon un article de CNN.
La simple demande des parents du bébé a été rejetée par l’hôpital Starship d’Auckland et son chirurgien cardiaque pédiatrique, ainsi que par le Service néo-zélandais du sang [NZBS], qui l’ont jugée inutile et « irréalisable », bien que les parents aient identifié 20 personnes non vaccinées prêtes à donner de leur sang pour l’intervention qui sauverait la vie de l’enfant.
« C’est une histoire désespérée où les pouvoirs de l’hôpital soutiennent la banque de sang, et les parents se sont sentis absolument impuissants », a déclaré Liz Gunn lors d’un entretien vidéo dans une chambre d’hôpital avec les parents du petit garçon.
« Nous ne voulons pas de sang contaminé par la vaccination », a déclaré le père du petit garçon. « Nous sommes d’accord avec tout ce que ces médecins veulent faire d’autre ».
« C’est une question si facile à éclaircir, et vous ne le faites pas », a poursuivi le père, adressant ses commentaires au responsable de la NZBS.
« Cela ressemble un peu à une action criminelle pour moi », a-t-il ajouté.
« Nous ne pouvons pas prendre de risque avec un garçon qui a déjà un problème cardiaque », a expliqué la mère de l’enfant.
« Je suis horrifiée et dégoûtée que vous n’ayez même pas la décence de nous parler », a déclaré la mère, qui s’est également tournée vers le responsable de NZBS, « alors que vous empêchez de toute évidence notre bébé de recevoir le sang dont il a besoin pour cette opération cardiaque ».
Elle a déclaré qu’elle s’était sentie « intimidée » par ceux qui faisaient obstruction à leur demande de sang non contaminé, racontant comment un médecin avait essayé de la contraindre à signer un document autorisant l’intervention avec du sang contaminé, puis l’avait menacée d’un avocat et avait suggéré qu’elle avait besoin de l’aide d’un psychiatre parce qu’elle refusait.
L’entrevue de Gunn avec les parents de l’enfant est devenue virale, ayant été vue par plus de 57 000 personnes à ce jour.
Lire la suiteUn bébé prématuré né à 23 semaines de grossesse et atteint d’une maladie rare
Haper Jacobo et ses parents.
Par Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Au Colorado, où les avortements sont légaux jusqu’à la naissance, un bébé est né dont l’œsophage n’était pas relié à la bouche. Il serait le « plus petit bébé jamais né » avec cette condition et à y survivre.
Nées à seulement 23 semaines, les jumelles Harper Jacobo et sa sœur Gabriella ne pesaient qu’un kilo chacune. Les jumelles sont nées si tôt qu’elles ont dû être emmenées d’urgence à 250 km de là, à l’hôpital spécialisé Rocky Mountain Hospital for Children de Denver, dans le Colorado.
Après leur arrivée à l’hôpital, les médecins ont rapidement découvert que bébé Harper souffrait d’une atrésie de l’œsophage, une maladie rare caractérisée par l’absence de connexion entre le tube reliant la bouche et l’estomac. Un bébé atteint de ce syndrome est alors incapable de faire passer les aliments dans son système digestif et a parfois du mal à respirer.
Le « plus petit bébé jamais né avec cette [maladie] à survivre »
Les médecins ont attendu quatre mois avant de procéder à l’opération, au cours de laquelle ils ont utilisé des aimants pour réunir les deux parties de l’œsophage.
Le Dr Steven Rothenberg, chef du service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital, a déclaré que Harper était « le plus petit bébé à être né avec cette [pathologie] et à y survivre ».
Harper a passé la première année de sa vie à l’hôpital, où elle a été soignée avant d’être finalement autorisée à sortir. Sa sœur, Gabriella, n’était pas atteinte de cette maladie et elle est sortie plus tôt de l’hôpital.
Les parents Kayla Hatch et Victor Jacobo ont remercié les médecins d’avoir maintenu leurs bébés en vie.
« De les voir respirer, donner des coups de pied... c’est vraiment impressionnant », a déclaré Jacobo. « Nous ne pourrons jamais assez remercier tout le monde d’avoir été là et de nous avoir aidés à traverser ces moments difficiles ».
« Je vais les remercier le reste de ma vie ».
Malgré la gravité de cet état, presque tous les bébés diagnostiqués survivent.
Le taux de survie des grands prématurés ne cessent de s’améliorer
L’avortement est légal jusqu’à la naissance dans de nombreux endroits aux États-Unis, en Angleterre et au Pays de Galles si le bébé à naître est diagnostiqué avec un handicap. Cependant, les résultats, même pour les bébés extrêmement prématurés comme Harper et Gabriella, ne cessent de s’améliorer.
Au début de l’année, John Wyatt, professeur d’éthique et de périnatologie à l’University College de Londres et professeur émérite de pédiatrie néonatale, d’éthique et de périnatologie à l’University College de Londres, a présenté aux parlementaires du Royaume-Uni et du monde entier des preuves montrant « qu’il y a eu une amélioration constante des chances de survie des bébés nés à 22 et 23 semaines de gestation depuis la dernière modification de la loi sur l’avortement [en 1990] ».
Catherine Robinson, porte-parole de Right To Life UK, a déclaré : « Les perspectives des bébés extrêmement prématurés s’améliorent sans cesse. Il s’agit d’une histoire de plus où des bébés nés avant la limite d’avortement survivent. Chaque avortement est une tragédie et la discrimination à l’encontre des bébés à naître handicapés est particulièrement triste. Il faut espérer que les réussites comme celle de Harper seront de plus en plus répandues et rendues publiques, et que le vent commencera à tourner contre l’avortement sélectif en fonction du handicap. »
Selon Dr McCullough, l’altération de l’ADN par les vaccins covid pourrait s’étendre aux cellules reproductrices et affecter les bébés
Par Emily Mangiaracina (Campagne Québec-Vie) — Photo : unai/Adobe Stock
26 juillet 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins les plus accomplis et les plus renommés des États-Unis prévient que l’altération de l’ADN humain par le vaccin COVID, démontrée par une récente étude suédoise, pourrait affecter les cellules reproductrices et ainsi modifier génétiquement les enfants.
Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et principal médecin américain du COVID, a discuté de la découverte, partagée plus tôt cette année, selon laquelle « le vaccin Pfizer, en fait, [peut être] rétrotranscrit et installer de l’ADN dans le génome humain », selon les mots de McCullough, lors d’un débat télévisé animé par la présentatrice chrétienne Joni Lamb.
Le responsable de l’étude suédoise, Markus Aldén, de l’université de Lund, a observé qu’un fragment de l’ARN messager du vaccin Pfizer entraînait des « changements » dans l’expression du [rétrotransposon] LINE-1, qui fait partie du génome. Le LINE-1 est lui-même rétrotranscrit, ce qui produit des copies d’ADN qui peuvent être insérées dans le génome à différents endroits.
Les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des Centers for Diseases Control selon lesquelles « les vaccins COVID-19 ne modifient pas votre ADN et n’interagissent avec lui en aucune façon ».
À la question de savoir si le vaccin COVID peut « affecter votre bébé », Dr McCullough a répondu : « Oui, c’est la conclusion alarmante. »
Dr McCullough ne s’est pas prononcé définitivement sur la question de savoir si le vaccin affecterait effectivement les bébés sur le plan génétique, mais il estime que c’est une possibilité. Il a appelé à d’autres études pour confirmer que « l’ensemble du code est installé, et ensuite pour confirmer réellement que... la protéine de spicule (spike) est maintenant continuellement exprimée par les cellules humaines parce que les nanoparticules lipidiques sont absorbées partout ».
« Cela signifie », poursuit McCullough, que « les cellules somatiques de vos organes », mais aussi les cellules gamètes, « les cellules qui sont en fait le sperme et l’ovule, si elles portent le code, cela signifie en effet qu’il pourrait être transmis aux cellules filles… [l’embryon] ».
Lire la suiteLe bébé prématuré d’une maman a survécu à 23 semaines. Aujourd’hui, elle défend ceux des autres
Par Victoria Clarizio (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : christianabella/Pixabay
C’était Thanksgiving 2019, et Crystal Odom préparait la voiture pour des vacances relaxantes avec sa famille. Mais ce jour-là, Odom, enceinte de son deuxième enfant, a commencé à éprouver ce qui ressemblait au début d’un travail prématuré à seulement 17 semaines de grossesse. Abandonnant leurs projets de Thanksgiving, elle et son mari Alex se sont précipités à l’hôpital de l’Université d’Alabama à Birmingham.
Odom avait en fait commencé le travail prématurément en raison d’une incompétence du col de l’utérus, une condition qui entraîne une ouverture prématurée du col. Le bébé n’étant pas assez développé pour survivre en dehors de l’utérus, l’équipe médicale a dû faire quelque chose pour empêcher Odom d’accoucher. Ils ont procédé à un cerclage du col de l’utérus, qui consiste à mettre un point de suture autour du col pour le maintenir fermé. Cela a permis de retarder la naissance du bébé jusqu’à la 23e semaine, moment où les chances de survie étaient les plus élevées. Odom a donné naissance à une petite fille, qu’elle a appelée Everleigh. Avec sa naissance prématurée, Everleigh avait 50 % de chances de survie, mais elle a reçu les meilleurs soins médicaux et elle a maintenant deux ans.
Everleigh a connu diverses conséquences de sa naissance prématurée. Elle a subi plusieurs opérations chirurgicales pour ses organes sous-développés et, plus récemment, on lui a diagnostiqué une paralysie cérébrale. Ses parents ont dû apprendre à se battre pour les soins de leur enfant, et ils remercient également le personnel hospitalier pour sa volonté d’aider Everleigh. « Je suis tellement reconnaissante d’avoir eu Everleigh ici [à l’UAB] et d’avoir maintenant la chance de la voir s’épanouir à la maison grâce à leur volonté d’aider les bébés à un si jeune âge gestationnel », a déclaré Mme Odom.
Malheureusement, toutes les personnes souffrant d’une incompétence du col de l’utérus ne bénéficient pas d’une telle attention. En fait, un autre bébé né à 22 semaines de grossesse en raison de ce problème n’a pas reçu de soins médicaux et n’a survécu que quelques heures. Mais, comme pour beaucoup d’autres bébés prématurés qui ont survécu à une naissance précoce, l’expérience d’Everleigh démontre qu’il est possible à des bébés aussi jeunes de survivre en dehors de l’utérus s’ils reçoivent les soins et l’attention appropriés.
Pendant cette épreuve, Odom a partagé les progrès d’Everleigh avec ses amis et sa famille via les médias sociaux. À sa grande surprise, cela lui a ouvert la porte pour aider d’autres parents dans des situations similaires, en particulier les parents d’enfants handicapés. Ses efforts de sensibilisation ont été remarqués et Mme Odom a été nommée par le gouverneur Kay Ivey au Governor’s Interagency Council du système d’intervention précoce de l’Alabama pour la période 2022-2023. Au sein de ce conseil, Mme Odom sera mieux à même de partager ses expériences, de fournir une aide aux parents et aux prestataires se trouvant dans des situations similaires et d’aider à déterminer où les fonds de l’État seront le mieux utilisés. « C’est une bénédiction qu’ils nous aient choisis », a-t-elle déclaré.
Mme Odom donne ce conseil aux parents qui pourraient se trouver dans une situation similaire : « Dès le début, il ne faut pas avoir peur de poser des questions, de s’impliquer avec l’équipe de soins et d’essayer de comprendre ce qui se passe pour pouvoir défendre les intérêts de son enfant. »
Des militants pro-vie jeûnent au pain et à l’eau pendant 40 jours et sauvent six bébés de l’avortement
40 Jours pour la Vie de Toronto en 2022.
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Maria Buelvas
12 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Lorsque Maria Buelvas a discerné que Dieu lui demandait de mener une campagne pro-vie dans les rues de Toronto pendant 40 jours afin de convaincre les femmes confrontées à l’avortement de garder leur bébé, elle a également discerné que pour que cette campagne soit fructueuse, cela impliquerait beaucoup de prière, de sacrifice et surtout de jeûne.
« Pour être honnête avec vous, la seule chose que nous n’avons pas fait dans les autres campagnes, c’est le jeûne. Nous jeûnons tous, y compris notre conseiller spirituel, au pain et à l’eau pendant 40 jours », a déclaré Maria à Campaign Life Coalition dans une entrevue exclusive.
À partir du 2 mars, Maria et une équipe de militants pro-vie dévoués se sont lancés dans une campagne de 40 jours pour la vie, au cours de laquelle les volontaires tiennent des pancartes et prient devant un centre d’avortement voisin. Les pancartes portent différents messages, tels que « Priez pour mettre fin à l’avortement » et « Nous allons vous aider ». Dans ce cas, le centre d'avortement est l’Abortion Care Clinic de Toronto, qui tue des enfants à naître par voie médicale ou chirurgicale depuis 1996.
Le nom « 40 jours » vient du délai que Dieu utilise constamment tout au long de l’histoire du salut pour transformer son peuple. Par exemple, Dieu a lavé le péché de la terre avec 40 jours de pluie à l’époque de Noé. Le peuple hébreu a vécu en dehors de la terre promise pendant 40 ans en guise de punition pour avoir adoré de faux dieux. Jésus s’est préparé à transformer le monde en jeûnant et en priant pendant 40 jours dans le désert.
Maria, infirmière diplômée de profession, a déclaré à Campaign Life Coalition qu’environ 150 personnes de la paroisse qu’elle fréquente avec son mari et ses trois enfants se sont également jointes à la campagne en jeûnant au pain et à l’eau pendant 40 jours dans l’intention de sauver des vies de l’avortement.
« Dans les Écritures, il y a des démons qui ne peuvent être chassés que par la prière et le jeûne. C’est donc ce qui nous a inspirés, tout comme Jésus qui a jeûné pendant 40 jours dans le désert », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteLa réalité brutale de l’origine des vaccins covid : dissection de bébés avortés vivants
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
29 mars 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais dévoiler la vérité horrifiante et brutale qui se cache derrière les lignées de cellules fœtales utilisées dans la production des vaccins.
Il y a quelque temps, j’ai fait une émission avec Pamela Acker, une chercheuse dans le domaine des vaccins qui a renoncé à son doctorat en refusant — selon sa conscience — de travailler avec des lignées de cellules souches créées au détriment de bébés avortés. Elle est probablement la chercheuse la plus cultivée de la planète en matière de vaccins, et pourtant, beaucoup ont pris sur eux de salir sa réputation après notre entretien. Principalement parce qu’elle a fait remarquer que pour obtenir les lignées de cellules souches les plus couramment utilisées aujourd’hui, il a fallu non seulement sacrifier la vie de centaines de fœtus, mais surtout que ces fœtus soient vivants au moment de l’extraction des organes fœtaux dont sont issues les lignées de cellules souches. Ainsi, c’est par la vivisection de bébés à naître, et pas seulement par l’avortement, que nous avons obtenu les lignées de cellules souches humaines d’où proviennent tous les vaccins COVID aux États-Unis.
Pour la totalité des vaccins COVID-19 actuellement disponibles et dont l’utilisation est approuvée aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, on a utilisé des lignées de cellules souches fœtales, en particulier HEK-293, de la manière suivante :
- Au cours de la phase initiale de développement du vaccin, les cellules souches fœtales ont été utilisées, avec d’autres lignées cellulaires humaines, pour développer une protéine de pointe génétiquement modifiée (« spike » pour laquelle l’ARNm du vaccin code)
- Le vaccin Pfizer à ARNm et le vaccin Moderna ont été testés sur des HEK 293 avant le début des essais sur l’homme. Ces tests sont en cours pour tous les nouveaux lots.
- Pour les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca de « vieille technologie » (utilisés au Canada et au Royaume-Uni seulement), on a cultivé une souche virale affaiblie dans une culture cellulaire HEK 293, qui a ensuite été tamisée et raffinée avant d’être utilisée — laissant malgré tout de minuscules composants cellulaires et des débris d’ADN du bébé avorté.
Melissa Strickler, la dénonciatrice de Pfizer, a pu partager des courriels qui ont révélé l’utilisation de HEK-293 dans les tests pour le vaccin Pfizer. Moderna et Novavax utilisent des lignées cellulaires HEK-293 pour leurs tests, tandis que les vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés à la fois pour la production et les tests. L’Institut Charlotte Lozier dispose d’une liste complète de vaccins avec des détails sur leur nature éthique, et je vous encourage à la consulter.
HEK-293 est une lignée cellulaire humaine créée à partir d’un rein d’une fillette à naître néerlandaise disséquée aux Pays-Bas par l’équipe de l’Université de Leiden entre 1972 et 1973. Il s’agit de la deuxième lignée cellulaire la plus courante et elle est largement utilisée dans la « recherche pharmaceutique et biomédicale ». Elle est également utilisée pour la création de vaccins et la recherche sur le cancer. HEK est l’abréviation de « Human Embryonic Kidney » (rein embryonnaire humain) et le chiffre 293 correspond au nombre d’expériences que le chercheur canadien Frank Graham a dû mener pour modifier génétiquement les cellules afin qu’elles puissent se développer indéfiniment dans un environnement artificiel.
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