Né à 21 semaines, ce bébé prématuré du Wisconsin passera Noël à la maison
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Beth et Rick Hutchinson de Somerset, au Wisconsin, ont obtenu un miracle de Noël précoce cette année. En début de semaine, ils ont ramené leur fils Richard, âgé de six mois, de l’hôpital. Richard est né à seulement 21 semaines et deux jours, après que Beth eût entamé un travail précoce le 5 juin. Il pesait un peu moins d’une livre, plus léger qu’un sac de carottes pour bébé.
Les Hutchinson ont déclaré à la chaîne locale d'ABC News que le pronostic de survie de Richard semblait complètement désespéré au début. « Quand il est né, ils lui ont donné zéro pour cent de chance de survie », racontait son père.
Comme prévu, les deux premiers mois du bébé Richard ont été les plus difficiles. « Le premier mois, ils n’étaient même pas sûrs qu’il allait s’en sortir. C’était vraiment difficile. Vous savez au fond de votre tête [et] de votre esprit que ses chances n’étaient pas très bonnes », affirma Beth.
Richard eut d’abord besoin de ventilation mécanique avec un appareil respiratoire et d’être nourri par intraveineuse. Ses parents ont lentement commencé à voir des lueurs d’espoir alors qu’il faisait de petites améliorations. Beth dit à KSTP Eyewitness News avec un sourire : « Il est devenu plus fort chaque mois et a montré qu’il allait réussir. Nous avons appris tout au long de ce processus que Richard a son propre programme ».
Lire la suiteLors d’une grossesse à haut risque, une mère refuse d’avorter son bébé qui nait à 23 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère italienne partage son histoire de foi et d’espoir face à une grossesse à haut risque où sa vie et celle de sa petite fille étaient en jeu. Bien que les médecins lui aient proposé un avortement, elle a refusé, et maintenant sa petite fille est à la maison avec sa famille après des mois à l’hôpital.
« On m’a proposé un avortement thérapeutique », a déclaré Jessica à Avvenire.it, « mais j’ai immédiatement refusé ». Elle a ajouté : « J’aurais accepté ma fille avec n’importe quel problème. »
À 23 semaines, Jessica a dû subir une césarienne d’urgence à cause d’un décollement placentaire. Nicol Vittoria est née le 8 mai, ne pesant qu’une livre et mesurant environ 11 pouces. Elle a dû être réanimée et a reçu une canule nasale pour lui permettre de respirer, mais elle a finalement dû être intubée et placée sur un respirateur pendant deux mois. Nicol avait également un problème cardiaque commun aux prématurés, une septicémie staphylococcique et une rétinopathie. Elle a surmonté tous les obstacles.
« J’ai reçu de la force par la prière », a dit Jessica, « ainsi que par les paroles toujours réconfortantes des médecins et des infirmières, en particulier les sourires rassurants du Dr Viviana Cardilli qui a soigné Nicol ».
Jessica ne pouvait passer que quatre heures par jour avec Nicol pour lui tenir la main et lui parler de ses frères et sœurs, de son père et de sa grand-mère qui l’attendaient à la maison. Les précautions [inutiles*] prises à cause de la COVID-19 ne leur ont pas permis de passer beaucoup de temps ensemble et ont empêché d’autres membres de la famille, comme ses frères et sœurs, de lui rendre visite. La prière a aidé Jessica à « oublier les mauvaises pensées de son esprit ». Au bout d’un mois, elle a enfin pu tenir Nicol dans ses bras.
Lire la suiteDes parents refusent d’avorter leur fille diagnostiquée d’un cœur non viable
Mme Saba et sa fille Jessica.
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Made to Live Trailer/YouTube
Aujourd’hui, Jessica est une « jeune fille de 11 ans épanouie et énergique ». Mais ce n’était pas ce que les médecins avaient auguré pour elle. Son père, le médecin canado-américain Paul Saba, vient de publier le livre Made to Live : A Physician’s Journey to Save a Life racontant l’histoire « profondément personnelle » de la défense de sa fille Jessica. Selon un communiqué de presse fourni à Live Action News, « médecin de famille dans sa ville natale de Montréal, au Canada, le Dr Saba s’appuie sur son expérience de médecin, de mari, et de père, pour aider à la démystification de la fable conte selon laquelle la vie n’est qu’une autre marchandise jetable. »
D’après la vidéo YouTube faisant la promotion du livre, alors que Jessica avait vingt semaines et se développait dans le sein de mère, les médecins la diagnostiquèrent d’une maladie cardiaque congénitale rare : « elle n’a pas de cœur viable. Elle est probablement trisomique. Et nous nous demandons vraiment si elle sera en mesure d’avoir une vie de qualité, voire si elle aura simplement la capacité de vivre ». Les médecins invitèrent M. et Mme Saba de « considérer les options médicales » — euphémisme signifiant : avortement — et il leur fut suggéré de se décider rapidement. Les parents de Jessica choisirent d’attendre l’échographie suivante.
« Nous passâmes une autre échographie à 24 semaines, et la conclusion était la même. Et nous avons dit : “il n’en est pas question. Nous n’allons pas interrompre cette grossesse”. Et mon épouse a ajouté : “J’ai fait tout ce que j’ai pu pour mener la grossesse aussi loin que possible, et vous allez tout faire pour mon bébé.” »
« Le plus grand abandon est de laisser tomber les gens. Et la pire façon de les abandonner est de les tuer, soit par le suicide assisté, soit par euthanasie, soit par avortement » dit le Dr Saba. « Voilà donc l’histoire. C’est la valeur de chaque vie humaine. Avant la naissance. Ou après. Ou à la fin d’une longue vie. N’abandonnez jamais. Ayez toujours de l’espoir. Vous êtes inestimables parce que vous êtes fait pour vivre. »
Selon le communiqué de presse, l’écriture de ce livre fut « une affaire de famille », chaque membre de la famille y ayant apporté sa contribution.
Un bébé né à 25 semaines à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, plus petit que la main de son père
Kevin Cook mettant sa main à côté de son bébé Mirren.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Après un combat de 16 semaines, un bébé, plus petit à sa naissance que la main de son père, à qui les médecins ne donnaient que 10 % de chance de survie, se porte bien et a quitté l’hôpital avec ses parents, Kevin et Katie Cook.
Le bébé prématuré, nommé Mirren, né à 25 semaines dans un hôpital en Écosse, ne pesait que 467 grammes.
Sa mère, Katie, souffrait de pré-éclampsie, un problème de grossesse potentiellement fatal, caractérisé par une pression artérielle élevée. Une césarienne d’urgence fut nécessaire parce qu’elle ne sentait plus le bébé bouger.
Après transfert de Mirren à l’unité des soins intensifs néonataux, ses parents durent attendre 10 jours avant de pouvoir la tenir dans leurs bras.
Katie décrit le moment où elle tint Mirren dans ses bras pour la première fois : « C’était un sentiment indescriptible, j’aurais pu me noyer dans les larmes de joie… j’ai attendu ce jour pendant longtemps. En un sens, c’était comme si elle ne m’avait pas réellement appartenue jusqu’à ce jour. »
Je me félicite d’avoir été me faire examiner, ça nous a réellement sauvées.
La césarienne fut effectuée juste à temps, soit le 10 mai dernier. Les médecins mentionnèrent à Kevin et à Katie que s’ils avaient attendu un autre 48 heures, Mirren n’eut peut-être pas survécu ; même à ce moment, on lui accordait seulement 10 % de chance de survie.
« Les prochains quatre mois ont été en dents de scie, se rappelle Katie, mais Mirren continuait à lutter.
Lire la suiteUn bébé trouvé mort dans un conteneur à déchets à Laval
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : jcomp/Freepik
Un bébé né à 25 semaines de grossesse, selon les estimations, a été trouvé dans le conteneur à déchets collectif d’un immeuble à logement lundi dernier, à Laval au Québec. La mère du bébé a été appréhendée ainsi que le père, et ont été accusés tous deux d’avoir fait disparaître le corps de l’enfant afin de dissimuler sa naissance, et la femme notamment d’avoir négligé de chercher de l’aide pour l’accouchement. L’enquête est en cours, aussi ne sait-on pas si l’enfant est né mort ou vivant.
Toujours est-il que je ne m’étendrais pas en considération sur les intentions, l’état mental ou les circonstances des personnes impliquées dans cette affaire de toute façon sordide. Par contre, j’attire votre attention sur la façon dont Le Journal de Montréal (et les autres médias pro-avortement) traite l’affaire. Il faut voir le titre dont la journaliste assaisonne la nouvelle, selon Le Journal de Montréal, « Un bébé trouvé mort dans un conteneur à déchets à Laval », ou ce passage au ton tragique, « L’épouvantable découverte d’un bébé d’environ 25 semaines de gestation dans un conteneur »… Holà ! Que se passe-t-il ? Un être, qui, pour Le Journal de Montréal, n’aurait été qu’un bête « fœtus » s’il n’était pas né est un bébé sous la plume émotive de Frédérique Giguère ; l’adjectif qualificatif « épouvantable », appliqué à la découverte du corps du bébé dans un conteneur à déchets d’un immeuble à logement, n’aurait pas eu sa place dans les colonnes du journal s’il s’était agi des corps mutilés d’enfant à naître jetés dans les conteneurs à déchets médicaux d’un avortoir.
Je ne sais si vous faites confiance aux gros médias, mais si vous leur trouvez quelque crédibilité vous devriez considérer qu’ils appellent « bébé », sans doute non désiré, ce qu’ils auraient traité de « fœtus » dans un autre cas.
Car après tout, ce bébé aurait très bien pu se faire avorter dans un avortoir ou à l’hôpital, et ces mêmes médias n’y auraient rien vu de répréhensible.
Si donc il n’y a rien de répréhensible à avorter un bébé du même âge, pourquoi donc est-il horrible que la femme l’ait éventuellement tué, ou se soit débarrassé du corps d’un enfant mort-né, ou encore qu’elle ait négligé de recourir à des soins peut-être indispensables à la survie de son enfant ?
C’est vrai, est affreuse l’histoire qui mérite ces mots : « À leur arrivée, les policiers ont découvert l’impensable ». Mais si le premier cas est horrible, le second cas est également atroce. Si découvrir un enfant dans une poubelle est impensable, combien plus est inconcevable de trouver des dizaines de bébés broyés dans des dizaines de récipients à déchets médicaux… et pourtant c’est la triste réalité.
Les gros médias traitent deux sortes de cas également épouvantables (sinon plus dans le second) d’une façon partiale et partisane. Encore une fois, je ne sais si vous accordez quelque confiance dans ce qu’ils publient, mais pour ma part je ne le ferais pas, je me méfie de TOUT ce qu’ils publient, car là où il y a de l’incohérence sur un sujet aussi important que la vie, la mort ou l’humanité même des bébés nés ou à naître, pourquoi n’y en aurait-il pour le reste ?
C’est pourquoi je paraphrase, à l’intention des médias pro-avortement, la phrase de Virgile : Timeo diurnarios et dona ferentes (je crains les journalistes, même porteurs de dons).
Vietnam : un bébé naît avec le dispositif contraceptif de sa mère à la main !
Bébé né avec le dispositif intra-utérin de sa mère dans la main, 30 juin 2020.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (côté flous rajoutés) : Hai Phong International Hospital
Un bébé est né, pognant au passage le dispositif intra-utérin (DIU) qui sortait avec lui durant l’accouchement, à l’Hôpital international de Haiphong au Vietnam, serrant dans la main gauche le trophée, pour ainsi dire, de sa victoire sur ce contraceptif, qui est aussi un abortif précoce. Selon VnExpress :
Lorsque le garçon naquit, le dispositif sortait avec lui et il l’attrapa, déclare Tran Viet Phuong, chef du deuxième service d’obstétrique de l’hôpital.
[...]
Les médecins affirment que sa mère de 34 ans avait donné naissance à deux fois auparavant. Deux ans avant ce jour, elle s’était fait insérer le dispositif intra-utérin dans son utérus à un hôpital local. Elle découvrit plus tard qu’un fœtus de cinq semaines s’était formé dans ventre, à l’endroit où se trouvait le dispositif.
Elle a donné naissance mardi matin à un petit garçon en bonne santé, qui pèse 3,2 kg. La mère et l’enfant sont observés à l’hôpital.
Le DIU est un implant contraceptif qui est supposé empêcher la fertilisation de l’ovule par le sperme, mais il peut aussi prévenir l’implantation du zygote humain sur la paroi utérine, ce qui amène sa mort et représente donc un avortement : le DIU est donc un abortif. Heureusement, dans ce cas exceptionnel, le brave petit gars a survécu à cet engin.
Comment traiterions-nous un enfant endormi sur nos genoux ? C'est ainsi que nous devrions traiter l’enfant à naître
Par Peter Kwasniewski ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : PxHere
22 janvier 2019 (LifeSiteNews) ― « Loin des yeux, loin du cœur. » Ce simple dicton explique beaucoup de choses dans la bataille pour l'enfant à naître. Aussi longtemps que les gens peuvent faire en sorte qu’ils ne pensent pas au petit bébé humain qu'ils ne voient pas, ils peuvent prétendre qu'il ou n'existe pas vraiment ― ou faire comme si l'enfant est « quelque chose » de vague, d'indéfini, de flou, pas encore humain. Ceci explique, dans une large mesure, l'opposition aux lois qui exigent que les femmes qui envisagent l'avortement passent par une échographie. Les partisans de l'avortement ne veulent pas qu'elles le voient.
Dans l'une de ses œuvres les plus profondes, The Mystery of Being (Le mystère de l'Être), le philosophe du XXe siècle Gabriel Marcel (1889-1973) attire l'attention du lecteur sur « le caractère mystérieux qui s’attache à la présence proche d’une personne endormie, surtout d'un enfant en sommeil ». Il poursuit en disant :
Lire la suiteDu point de vue de l'activité physique, ou du moins dans la mesure où la notion d'activité physique est définie par rapport à la possibilité de prendre des choses, l'enfant endormi n'est absolument pas protégé et semble être en notre pouvoir; de ce point de vue, il nous est permis de faire ce qui nous plaît avec lui.
Mais du point de vue du mystère, on pourrait dire que c'est parce que cet être n'est absolument pas protégé, qu'il est à notre merci, qu'il est aussi invulnérable ou sacré. Et il ne fait aucun doute que la marque la plus forte et la plus irréfutable de la barbarie pure et simple que l'on puisse imaginer consisterait dans le refus de reconnaître cette mystérieuse invulnérabilité.
Un père agenouillé en prière devant le berceau de son enfant
Victor, le père, et Ivan Calmon, le fils.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : victorcomichao/Instagram
Les photos d’un père agenouillé en prière devant le berceau de son enfant nouveau-né ont fait le tour du monde, visionnées des milliers de fois par des internautes qui n’ont sûrement pas manqué d’être émus. Le bambin, Ivan est le fils de Victor et Luana Calmon. Victor, peu après la naissance de son fils, se tenait plein d’émotions devant le berceau. Et c’est pour implorer Dieu que Victor s’est mis à genoux, pour lui demander de l’aider à être un bon père pour cet enfant qui venait de naître. Extrait d’Aleteia :
Victor a été interviewé par le magazine Crescer, où il a dit que c’était plutôt spontané :
« Je me voyais au centre d’une situation compliquée, vous savez, et tout était nouveau pour moi, et une peur incroyable m’envahissait. Maintenant, je ne m’inquiéterais plus seulement pour moi ; je devais m’occuper de cette nouvelle vie. Alors j’ai surmonté mon embarras et je me suis agenouillé et j’ai parlé à Dieu. Je lui ai demandé de m’aider à mûrir, à devenir un homme meilleur, un bon père, un bon mari, et à augmenter mon désir de grandir et de travailler, afin que mon enfant ne manque de rien. »
Les médecins conseillaient à une mère d’avorter son enfant qu’ils disaient être potentiellement atteint de trisomie 21
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Et elle ne l’a pas avorté, il est né, sain et sauf. Le plus bête dans toute l’affaire, c’est qu’il n’avait pas la trisomie 21. Extrait de Parole de mamans :
... En Angleterre, Jordan Squires, 22 ans, était enceinte de 12 semaines lorsque ses médecins lui ont appris que son bébé était potentiellement atteint de trisomie 21.
Selon eux, son bébé possède une grande quantité de liquide située derrière la nuque, ce qui laisse présager un syndrome de Down. Ils lui préconisent alors d’avorter.
« Lorsque nous avons assisté à mon scan de 12 semaines, j’ai tout de suite compris que quelque chose n’allait pas parce que la sage-femme semblait inquiète », raconte la jeune Britannique au journal The Mirror.
Les futurs parents ont pu discuter après l’échographie avec les médecins : « Tout de suite, on m’a conseillé de mettre fin à la grossesse sans nous donner d’autres options ou du soutien », se désole-t-elle.
Refuser l’avortement
Malgré les fortes suspicions du corps médical, Jordan et son conjoint, Jonathan, refusent d’opter pour l’avortement.
[...]
Enfin est venu le moment de l’accouchement pour Jordan. Après une césarienne en urgence, la jeune femme a mis au monde Jay, un bébé non trisomique...
Il pesait moins de deux livres à la naissance. Maintenant, il est un jeune enfant en bonne santé
Thomas FioRito.
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie
Glenview, Illinois, 8 octobre 2018 (LifeSiteNews) — En réponse à un effort continu de normalisation de l’avortement, les producteurs du The 40 Film diffusent à nouveau le message pro-vie à travers le cinéma et les médias.
La nature précieuse de la vie est magnifiquement véhiculée par Pro-Life Champions dans le dernier volet de leur campagne Shout My Story. Le nouveau court métrage raconte l’histoire d’une famille qui a choisi la vie malgré les pressions exercées pour la pousser vers l’avortement après avoir reçu un diagnostic prénatal négatif.
Dan et Deborah FioRito n’étaient pas préparés à ce que les eaux de Deborah se rompent quand elle était enceinte de 21 semaines et cinq jours, mais le couple a tenu bon dans la foi et s’est battu pour leur fils, même lorsque les professionnels de la santé leur ont dit que leur bébé avait peu ou aucune chance de vivre.
The Miraculous Baby Thomas Story: One of the yougest premature babies ever to survive in the U.S. (L’histoire de Thomas le Bébé Miraculeux : l’un des plus jeunes bébés prématurés à avoir survécu aux États-Unis) fait voyager les gens à travers le périple que les FioRito ont eu pour donner à leur fils sa chance de vivre, malgré le peu de chance qui était en sa faveur.
Thomas, maintenant âgé de deux ans, en bonne santé et le plus jeune de neuf enfants, est né à seulement 22 semaines. Ses parents sont convaincus que Thomas est un miracle et que sa naissance prématurée faisait partie du plan de Dieu.
« Il est merveilleux », a dit Deborah FioRito à propos de son fils.
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