Une jeune femme explique de façon émouvante sa décision de donner naissance à son bébé qui a peu de chances de survie
Ava Trammell.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
11 octobre 2024 (LifeSiteNews) — Dans une courte vidéo profondément émouvante qui est devenue virale sur les médias sociaux, une collégienne enceinte explique pourquoi elle a choisi de donner naissance à son enfant qui, selon les médecins, mourra probablement peu après la naissance.
Ava Trammell est devenue enceinte à l’âge de 17 ans. Après une échographie de routine, la jeune mère a appris que le bébé qu’elle portait — une fille qu’elle avait déjà nommée Sophie — souffrait d’agénésie rénale bilatérale, une maladie rare caractérisée par l’absence des deux reins, ce qui signifie que son bébé ne vivra probablement pas plus de quelques minutes ou quelques heures après sa naissance.
Trammell, avec sa mère qui la soutenait, est restée inébranlable dans sa foi et sa détermination à protéger la vie en elle.
« C’est peut-être fou, parce que je sais qu’elle ne survivra pas, mais le temps qu’il me reste à passer avec elle est limité. Pourquoi devrais-je l’écourter ? », a expliqué Trammell lors d’une entrevue avec Zach Rippey pour son émission en ligne I Like Birds.
Lire la suiteUn bébé à naître sourit en entendant la voix de son père lors d’une échographie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran/YouTube
1er octobre 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo virale d’un bébé à naître réagissant à la voix de son père met en lumière la beauté et l’humanité des enfants à naître.
Dans une vidéo téléversée par le New York Post, on voit une petite fille de 32 semaines sourire en entendant son père lui parler lors d’une échographie dans un hôpital de Xanxere, au Brésil.
Les bébés à naître, qui sont des personnes humaines dès le moment de la conception, commencent à entendre des sons à l’intérieur du corps de leur mère vers la 18e semaine. Entre la 27e et la 29e semaine, les bébés peuvent entendre des voix à l’extérieur du corps de leur mère, comme la sienne et celle des personnes qui l’entourent.
Lire la suite« Nous avons choisi la vie pour notre fils “non-viable”. Il a survécu 53 jours et a conquis le cœur de nombreuses personnes »
Par Stephanie Vergano et Bradley Vergano — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photos : Stephanie et Bradley Vergano
26 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Notre fils Remy nous a inspiré de nous joindre aux 40 jours pour la vie. Suite à son combat pour la vie dans et hors de l’utérus, nous avons été convaincus d’être une voix pour les enfants qui sont considérés comme « non-viables » par les communautés médicales et scientifiques. À 24 semaines et quatre jours de grossesse, nous avons découvert quelque chose d’horrible à propos des lois australiennes. L’avortement est légal jusqu’à la naissance, et nous le savons parce qu’on nous l’a proposé.
Nous nous sommes mariés à la fin de la vingtaine, en décembre 2021. Avec l’espoir au cœur, nous avons aimé chaque minute de notre nouvelle vie ensemble, ne nous étant rencontrés qu’au Nouvel An de cette année-là. Bien que nous ayons vécu toute notre vie dans la même grande ville de Sydney, ce n’est qu’à ce moment précis que nous nous sommes rencontrés. Nous avions l’impression que Dieu nous avait conduits l’un vers l’autre par un long chemin détourné ! Maintenant, nous étions prêts à l’honorer par notre vie et à fonder une famille.
Peu de temps après notre mariage, nous avons appris l’heureuse nouvelle : nous étions bénis, nous attendions notre premier enfant. La grossesse se déroulait à merveille. Cependant, l’échographie de la 20e semaine a révélé que les choses semblaient un peu inhabituelles. Notre bébé était assez petit. Comme nous vivions dans une ville régionale, nous avons été envoyés dans un grand hôpital, à environ trois heures de route, pour passer un examen spécialisé afin de confirmer les résultats. Nous avons pris congé de notre travail et nous sommes allés à l’hôpital, pensant qu’il s’agissait d’un examen de routine qui nous donnerait plus d’informations. Au lieu de cela, nous avons eu le choc de notre vie.
Lire la suiteOn a dit à Leah Darrow que son bébé prématuré ne survivrait pas — 29 jours plus tard, il est toujours vivant
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Leah Darrow/Facebook
Suite à sa naissance prématurée par césarienne d’urgence à seulement 22 semaines, le fils de Leah Darrow, conférencière pro-vie, auteur et ancienne candidate de l’émission « America’s Top Model », a été transféré dans un hôpital de plus haut niveau à Saint-Louis, où il a été opéré jeudi.
Mercredi, Mme Darrow a publié sur Facebook : « Demain matin, Sly subira une intervention chirurgicale que l’équipe ne voulait pas faire, mais le médecin a dit que nous n’avions plus d’autres options ».
« Nous allons poser une ligne Broviac pour qu’il puisse recevoir une transfusion sanguine, dont il a désespérément besoin, ainsi qu’une alimentation. Cela est devenu nécessaire parce que sa ligne PIC d’origine s’est déplacée d’une manière qui a entravé son fonctionnement, et qu’elle n’a pas pu être réparée malgré de multiples tentatives ».
« C’est la seule option qui nous reste pour maintenir Sly en vie ».
Lire la suiteNombre record de bébés jumeaux sauvés de l’avortement lors des 40 Jours pour la Vie
Par Kim Hayes (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Art man/Adobe Stock
Imaginez l’échographiste de Planned Parenthood, formé pour minimiser l’effet émotionnel de l’échographie. La procédure standard consiste à détourner l’écran de la femme, à indiquer l’âge gestationnel du fœtus et à confirmer une grossesse in utero normale.
Mais lorsque deux bébés apparaissent à l’écran, comment l’échographiste signale-t-il la présence d’un fœtus supplémentaire ? L’échographiste peut annoncer « deux fœtus », mais la patiente interprétera quand même la déclaration comme étant des jumeaux.
Un nombre record de jumeaux sauvés a été célébré par 40 Jours pour la Vie ce printemps. Le précédent record était de trois duos de jumeaux, ce printemps il était de cinq.
« Les jumeaux humanisent les enfants à naître », a déclaré Shawn Carney, président et directeur général des 40 Jours pour la Vie, à Pregnancy Help News.
« Dans tous ces cas — qui se situent dans des endroits très divers —, les femmes étaient allées se faire avorter », a expliqué Carney. « Elles ont ensuite découvert qu’elles allaient avoir des jumeaux et c’est ce qui a déclenché l’idée qu’elles ne pouvaient pas aller jusqu’au bout ».
M. Carney a souligné l’état d’esprit qui consiste à considérer l’avortement d’abord comme une simple « procédure », puis tout à coup comme « vos enfants ».
« C’est vraiment magnifique », a déclaré Carney.
« C’est arrivé au Kansas, en Indiana et en Croatie », dit-il. « Il y a eu également des jumeaux sauvés en Colombie, ce qui fait que les lieux sont très diversifiés, et ce sur une période de 40 jours ».
Lire la suiteUn bébé rentre chez lui après 17 mois d’hospitalisation
Nathan Alves Goncalves et ses parents.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un bébé qui pesait moins d’un kilo à la naissance et qui a passé les 17 premiers mois de sa vie à l’hôpital a finalement rejoint sa famille à la maison — juste à temps pour les fêtes.
Nathan Alves Goncalves est né prématurément alors que sa mère Suellen n’était enceinte que de 25 semaines. Il a passé les neuf premiers mois de sa vie à l’hôpital pour enfants de Boston, avant d’être transféré à l’hôpital pour enfants Franciscan de Brighton, dans le Massachusetts.
Selon Franciscan Children’s, Nathan a dû faire face à de nombreux problèmes de santé en raison de ses débuts précoces, notamment une maladie pulmonaire chronique. Lorsqu’il est arrivé dans l’établissement, il avait besoin d’un ventilateur pour l’aider à respirer et d’une sonde gastrique pour s’alimenter.
Lire la suiteUn juge britannique refuse qu’un bébé gravement malade se fasse soigner en Italie
Indi Gregory.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : GFS News/YouTube
Un juge britannique a rejeté la demande d’un couple qui espérait faire soigner son bébé gravement malade en Italie.
Indi Gregory, une petite fille de huit mois, est atteinte d’une maladie mitochondriale rare. Ses parents, Dean Gregory et Claire Staniforth, sont engagés dans une bataille judiciaire avec les médecins du NHS Foundation Trust de l’hôpital universitaire de Nottingham, qui soutiennent qu’il n’y a rien à faire pour Indi Gregory et qu’elle devrait être débranchée du soutien vital et du respirateur artificiel.
Ses parents, représentés par le Christian Legal Centre, avaient demandé le transfert d’Indi à Rome, où les médecins de l’hôpital pour enfants Bambino Gesu avaient accepté de la soigner. Toutefois, le juge Robert Peel a rejeté cette demande, estimant qu’il était dans « l’intérêt supérieur » d’Indi de mourir au Royaume-Uni plutôt que de se rendre dans un établissement médical qui pourrait lui donner l’espoir de vivre.
Lire la suiteUne mère s’est battue pour son bébé atteint d’une maladie mortelle — l’enfant est aujourd'hui en pleine santé
La petite Emmie.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Alors qu’elle était enceinte de 20 semaines, Andi Mahoney, une mère de Floride, a appris une nouvelle dévastatrice : sa fille à naître, Emmie, était atteinte d’une maladie appelée agénésie rénale bilatérale. Cette maladie signifiait qu’Emmie n’avait pas de reins et que, selon les médecins, elle n’avait aucune chance de survivre après la naissance.
« C’est une maladie universellement mortelle », indique Mme Mahoney à 11 Alive. « Nous avons donc fait notre deuil. Nous pensions perdre notre bébé, on nous avait dit qu’il n’y avait pas d’espoir ».
En dépit de ce diagnostic, Mme Mahoney a refusé d’accepter qu’il n’y ait rien à faire. Elle s’est mise à la recherche d’un spécialiste prêt à les aider, elle et sa fille, ce qui lui a pris des semaines. Elle a fini par trouver le Dr Ruben Quintero de l’Institut fœtal de Miami, à six heures de route de son domicile de Jacksonville. Mme Mahoney a commencé à se rendre chez le Dr Quintero pour des perfusions de liquides qui augmenteraient les chances de survie d’Emmie.
Lire la suiteUn bébé atteint d’une complication rare est opéré avec succès — ses parents catholiques ont refusé l’avortement
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
24 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Une jeune famille catholique pro-vie dont la petite fille est née avec une complication médicale rare dit qu’elle a rejeté les recommandations d’avortement des médecins et a choisi de se battre pour sa fille parce que, affirment les parents, il est « fondamental qu’en tant que parents, nous n’abandonnions jamais nos enfants, quel qu’en soit le prix ».
Bella est née le 13 juillet à 35 semaines de grossesse avec une encéphalocèle — un sac qui sort d’une ouverture dans le crâne et qui contient du tissu cérébral et du liquide céphalo-rachidien. Le taux de survie des bébés atteints de cette anomalie congénitale est d’environ 55 %.
Bella a, depuis, subi sa première intervention chirurgicale, qui a permis de retirer l’encéphalocèle. Bien que le nouveau-né ait un combat difficile à mener, ses jeunes parents attribuent sa naissance et la réussite de sa première intervention chirurgicale à l’afflux de prières en faveur de leur petite fille.
« Des milliers de personnes dans le monde ont prié et bombardé le ciel aujourd’hui pour demander à Dieu un miracle et NOUS L’AVONS OBTENU », a écrit Nicole Mart, la mère de Bella, sur Facebook la semaine dernière, pour annoncer la réussite de l’opération. « Dieu soit loué, merci BEAUCOUP à tous ceux qui ont prié si fort pour notre petite fille. Dieu a entendu les prières ».
« La première opération de Bella n’a pas seulement été un succès, elle a aussi défié les pronostics », écrit-elle. « Ils ont réussi à retirer l’encéphalocèle sans dommages supplémentaires et sans avoir besoin de placer un drain. Les prochaines étapes consistent à la surveiller et à stabiliser son état ».
Nicole et son mari, Mike, instructeur de vol dans la marine américaine, sont mariés depuis quatre ans. En plus de la petite Bella, ils ont un fils de deux ans nommé Tommy.
Dans des messages adressés à LifeSiteNews via les médias sociaux, le jeune couple catholique pro-vie a déclaré qu’il avait appris l’existence de la maladie rare de Bella lors d’une échographie à seulement 13 semaines de gestation.
Lire la suiteUn bébé sauvé par la première boîte à bébé du Tennessee... 30 minutes seulement après sa naissance
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews)— Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : jcomp/Freepik
Un bébé âgé de seulement 30 minutes a été déposé en toute sécurité dans une boîte à bébé Safe Haven à Knoxville, dans le Tennessee, tôt samedi matin. Il s’agit du tout premier dépôt dans la boîte à bébé de l’État depuis l’installation de celle-ci en février.
Selon WATE, trois membres de l’équipe de la station 17 du service d’incendie de Knoxville ont répondu à l’alarme de la boîte, qui s’est déclenchée juste après minuit. Ils ont trouvé le petit garçon moins de deux minutes après qu’il y ait été placé.
L’organisme Safe Haven Baby Box installe des boîtes à température contrôlée dans des lieux tels que les casernes de pompiers. La boîte permet à un parent de se prévaloir de la loi sur la zone de refuge de son État, qui lui permet de remettre légalement son enfant dans un délai précis après sa naissance. Lorsque l’enfant est placé à l’intérieur, une alarme silencieuse se déclenche et les secours arrivent en quelques minutes, comme ce fut le cas pour cette remise à Knoxville. La loi du Tennessee autorise la remise de l’enfant dans les deux semaines qui suivent sa naissance.
« Le but de cette boîte est d’être une ressource pour notre communauté, afin qu’une mère ou un parent en situation de crise et qui ne sait pas quoi faire de son enfant, ait un endroit où aller », a déclaré le chef adjoint Mark Wilbanks du KFD.
Wilbanks a également noté que la conception de la boîte confère délibérément l’anonymat aux parents.
« Lorsqu’ils ferment la porte, cela prend une minute pour que la caserne soit alertée ; c’est l’aspect anonyme de la boîte elle-même, elle ne nous alerte pas immédiatement sur le fait qu’il y a un bébé dans la boîte, et cela donne à la personne le temps de quitter la caserne sans que nous sachions qui elle est », a déclaré Wilbanks.
Il a également fait l’éloge des boîtes à bébés, qui ont pour but de contribuer à réduire le problème de l’abandon des nouveau-nés.
« Cela peut sembler un peu difficile à dire, mais nous ne voulons pas qu’ils mettent l’enfant à la poubelle ; nous préférons qu’ils le placent dans cette boîte où il est en sécurité et où il a une chance de s’en sortir », a déclaré M. Wilbanks. « Il s’agit donc simplement d’une ressource pour la communauté et nous sommes ravis de savoir qu’elle a fait du bien dans les trois mois qui ont suivi son installation ».