Naomi Wolf : les documents de Pfizer montrent que le vaccin COVID « tue les bébés dans l’utérus »
Naomi Wolf.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
18 août 2023 (LifeSiteNews) — L’auteure et journaliste féministe Naomi Wolf a renouvelé l’affirmation selon laquelle l’injection d’ARNm contre le COVID de Pfizer était connue pour être mortelle pour les bébés à naître avant d’être déployée, déclarant que les propres documents de la compagnie Pfizer montrent que l’injection « assassine des bébés dans l’utérus ».
Mme Wolf, une démocrate qui, il y a plusieurs décennies, a affirmé de manière controversée que l’avortement était un « mal nécessaire », a fait part de ses sombres conclusions sur l’injection dans l’émission War Room de Steve Bannon au début du mois. Lorsque M. Bannon lui a demandé de justifier son utilisation du mot « meurtre », qui, selon lui, suggère l’existence d’« éléments criminels » impliqués dans la diffusion de l’injection COVID, Mme Wolf a affirmé que les preuves étayaient ce terme.
« Oui, nous avons apporté les preuves », a déclaré Mme Wolf, indiquant aux auditeurs l’analyse des rapports Pfizer qu’elle a partagée sur son site internet, y compris le rapport Pfizer 69, publié en avril 2023 par la Food and Drug Administration (FDA) sur ordre du tribunal.
Amy Kelly, directrice du projet d’analyse des documents Pfizer de War Room/DailyClout, a qualifié les informations contenues dans ce lot de documents cliniques de Pfizer, qui comprenaient un « examen cumulatif de la grossesse et de l’allaitement », de « parmi les plus horribles » à avoir été rendues publiques.
Le document de Pfizer révèle que dans ses essais cliniques, des « effets indésirables » se sont produits dans plus de 54 % des cas d’« exposition maternelle » au vaccin (y compris lors de rapports sexuels, par inhalation et par contact cutané) ; 53 femmes (21 %) ont subi des avortements spontanés « à la suite de la vaccination par le BNT162b2 (ARNm de Pfizer) » ; et six cas d’accouchement prématuré ont entraîné la mort de deux nouveau-nés.
Lire la suiteUne infirmière dénonce l'augmentation alarmante du nombre de décès fœtaux après le lancement d’un certain produit injectable
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
6 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Lors d’une récente table ronde organisée par Children’s Health Defense (CHD), une infirmière a dénoncé une augmentation alarmante des décès fœtaux chez les mères qui avaient reçu un vaccin COVID-19.
Mme Michelle Gershman, infirmière, s’est jointe au Dr James Thorp et aux membres de l’équipe du CHD dans leur émission hebdomadaire pour discuter du lien entre les vaccins COVID et les morts fœtales, ainsi que du manque d’attention sérieuse accordée à ce problème croissant.
« Je ne comprends pas comment les gens peuvent se contenter de balayer la question du revers de la main et prétendre que ce n’est pas grave », a déclaré Mme Gershman au cours de la discussion. « C’est absolument un problème majeur. Je crois sincèrement que les bébés nous sont donnés par Dieu, qu’ils sont censés nous apporter amour et joie, et si quelque chose vient s’interposer, en essayant de vous enlever votre bébé, pour moi c’est absolument diabolique. »
Mme Gershman a commencé à travailler en tant qu’infirmière post-partum en novembre 2020, pendant la pandémie de COVID-19. Au début, elle a déclaré que le virus ne semblait pas avoir d’impacts majeurs sur les décès fœtaux et les problèmes de santé des femmes enceintes.
Mais au fil du temps, l’infirmière a constaté divers problèmes circulatoires chez les mères. Outre l’hypertension artérielle qui se poursuivait même après l’accouchement, les femmes présentaient davantage de caillots sanguins et d’éclatements de vaisseaux sanguins dans les yeux. Certains bébés nés de femmes vaccinées étaient anormalement fatigués, et leur visage semblait décoloré ou meurtri, mais ce n’était pas la jaunisse. Beaucoup de ces bébés ont également été envoyés à l’USIN [unité de soins intensifs néonatals] pour des problèmes respiratoires.
Lorsque les vaccins ont été mis sur le marché au printemps 2021, elle a commencé à remarquer des problèmes fréquents, notamment une pression artérielle élevée, chez les femmes enceintes et des accouchements précoces. Gershman a noté que beaucoup de femmes rencontrant ces problèmes avaient reçu le vaccin peu de temps avant le début de leurs symptômes. Peu de temps après celui-ci, les femmes se retrouvaient « tout d’un coup à l’hôpital pour accoucher et leurs bébés allaient à l’USIN ».
Lire la suiteNaomi Wolf affirme que les injections covid provoquent une surmortalité chez les nouveau-nés et les enfants à naître
Naomi Wolf.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sunset Parkerpix/Wikimedia Commons
2 juin 2022 (LifeSiteNews) — L’écrivain féministe Naomi Wolf a lancé un avertissement sévère sur les effets voulus ou non des injections expérimentales d’ARNm COVID-19 : selon Wolf, elles provoquent une « mort des bébés » à grande échelle qui équivaut à un « génocide ».
Personnalité éminente qui ne se range ni dans le camp des pro-vie ni dans celui des pro-avortement, Mme Wolf a suscité la controverse lorsqu’elle a admis que l’avortement était un « mal », mais un « mal nécessaire » [elle est donc pro-avortement puisqu'elle considère l'avortement comme une nécessité].*
Sur la question du verrouillage des COVID-19 et des mandats de vaccination, cependant, Wolf a fermement pris le parti de l’opposition.
Dans un billet publié le 29 mai sur Substack, l’auteure et journaliste féministe de troisième vague ─ qui a été suspendue de Twitter l’année dernière après avoir tiré la sonnette d’alarme sur les perturbations du cycle menstruel associées aux injections contre le coronavirus ─ a mis en lumière une analyse en cours effectuée par une équipe de chercheurs qui passe au peigne fin les 55 000 documents de Pfizer divulgués par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à la suite d’une décision de justice. Auparavant, la FDA avait demandé un délai de 75 ans avant de divulguer intégralement ces documents cruciaux.
Selon Naomi Wolf, les 3 000 « médecins, infirmières, biostatisticiens et enquêteurs hautement qualifiés sur la fraude médicale » affiliés à War Room de Steven Bannon et à Daily Clout, une société de médias cofondée par Naomi Wolf, « servent l’humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples ».
Après avoir souligné que, d’après les documents, Pfizer et la FDA savaient que les vaccins COVID-19 n’avaient pas réussi à prévenir les infections et avaient contribué à un grand nombre de réactions indésirables (dont 1 223 décès), Wolf s’est concentrée sur l’impact que les injections semblent avoir eu sur les femmes enceintes et allaitantes et leurs bébés.
La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins à ARNm
Selon la lecture que fait Wolf de l’analyse, la FDA et Pfizer savaient que l’ARNm, la protéine de pointe et les nanoparticules lipidiques contenues dans les injections expérimentales COVID « ne restaient pas au site d’injection dans le muscle deltoïde », circulent plutôt dans la circulation sanguine ─ et, pour les femmes, jusque dans les ovaires.
« Il peut en effet y avoir un génocide fortuit », a déclaré Wolf. « La reproduction elle-même est ciblée, intentionnellement ou non, par les vaccins ARNm. »
Lire la suiteVaccination covid et grossesse
Par le Swiss Policy Research — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : uni/Adobe Stock
Selon une analyse préliminaire des données britanniques, la vaccination contre le covid pendant la grossesse pourrait être associée à un risque accru de 33 % de mortinatalité.
Remarque : cet article ne constitue pas un avis médical ; les lecteurs sont priés de consulter leur médecin.
Une analyse bayésienne préliminaire des données britanniques sur la mortinatalité, ajustée en fonction de l’âge et du trimestre, réalisée par un analyste de données indépendant, a révélé que la vaccination contre le covid pendant la grossesse était associée à une augmentation de 33 % du risque de mortinatalité par rapport aux [grossesses des] femmes non vaccinées (estimation min./max. : 11 % et 57 %).
Il convient de noter que le risque absolu de mortinatalité (après la 20e semaine) est plutôt faible (généralement environ 0,5 %) et que les données britanniques ne font pas de distinction entre la première et la deuxième vaccination. En outre, les données couvrent la période de janvier à août 2021, au cours de laquelle seules 25 000 des 355 000 femmes enceintes ont été vaccinées, et la plupart d’entre elles (71 %) n’ont reçu le premier vaccin covid qu’au troisième trimestre de leur grossesse. Enfin, la Grande-Bretagne a surtout utilisé le vaccin ADN d’AstraZeneca.
Néanmoins, si les 355 000 femmes enceintes avaient toutes été vaccinées, et si l’estimation du risque supplémentaire de 33 % est correcte et liée à la cause, cela aurait représenté environ 600 bébés mort-nés supplémentaires en Grande-Bretagne et environ 6 000 aux États-Unis et en Europe combinés.
Il convient de noter que le CDC américain a constaté qu’un « diagnostic de covid » peut également augmenter le risque de mortinatalité, mais toutes les femmes enceintes ne contractent pas le covid et la vaccination ne prévient pas forcément le covid.
Lire la suiteLes documents secrets de Pfizer : le vaccin covid a provoqué quantité de fausses couches et de mortinaissances
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — La semaine dernière, Maya Vander, actrice vedette de Netflix, a raconté à ses admirateurs la douleur qui l’a dévastée d’avoir accouché d’un bébé mort-né à 38 semaines de grossesse le 9 décembre 2021.
« Hier a été le jour le plus difficile de ma vie », a posté Vander, 39 ans, sur Instagram, avec une photo de nouveaux vêtements de bébé dans une boîte à souvenirs qu’elle ramenait de l’hôpital à la place de son petit garçon. « J’en ai toujours entendu parler mais je n’ai jamais imaginé que je ferais partie des statistiques ».
Vander, un agent immobilier de Beverly Hills qui joue dans l’émission « Selling Sunset », avait posté en novembre une photo d’elle lors d’un tournage de grossesse et elle semblait l’image de la santé. Décrite comme « entièrement vaccinée » par le magazine US, Mme Vander a deux autres enfants : Aiden, deux ans, et sa fille Elle, un an.
Après sa perte, elle a écrit dans le magazine Insider qu’elle avait ressenti une diminution des mouvements du bébé quelques jours avant d’apprendre son décès et que son mari et ses deux enfants étaient positifs au COVID, alors qu’elle avait été testée négative. Elle a déclaré que le bébé, qui était « parfait » et pesait trois kilos et quatre onces, sera autopsié.
La perte de Vander a fait l’objet d’un grand nombre de reportages compatissants, mais aucun article n’a osé poser les questions brûlantes : les injections de vaccin COVID pendant sa grossesse ont-elles eu un rapport avec la mort de ce bébé ? Ou bien, le COVID avait-il quelque chose à voir avec la mort du bébé et le vaccin COVID aurait-il échoué ?
Les données que Pfizer ne voulait pas que vous voyiez
Lorsqu’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency a demandé à Pfizer de partager les données brutes des essais du vaccin COVID et de la surveillance post-commercialisation qui ont été utilisées pour homologuer l’injection, le géant pharmaceutique s’est associé à la Food and Drug Administration (FDA) pour refuser les demandes de Freedom of Information Act (FOIA). En fait, la FDA (censée servir et protéger la santé publique) a engagé des avocats du ministère de la Justice et est allée en justice pour éviter au géant pharmaceutique de devoir révéler ses données ─ pendant 55 ans. C’est exact. La FDA et Pfizer ne voulaient pas que quelqu’un voie les chiffres derrière leur vaccin COVID avant 2076.
Lire la suiteRapport du VAERS : le nouveau-né d’une mère « entièrement vaccinée » meurt, ayant saigné de la bouche et du nez
Par Celeste McGovern – Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sushytska/Adobe Stock
10 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un bébé dont la mère a reçu deux injections de vaccin COVID au cours de son dernier trimestre de grossesse est né en saignant de la bouche et du nez, et est mort le lendemain de sa naissance, selon un rapport récent transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain par une « autorité de réglementation » étrangère.
Le petit garçon est né le matin du 6 octobre 2021, après que sa mère eût reçu deux injections expérimentales de Moderna à ARNm les 19 juillet et 13 août. Il était attendu le 15 octobre mais a été mis au monde à l’hôpital le 6, pesant 2 800 grammes (un peu plus de six livres, deux onces), après un travail marqué par des battements cardiaques fœtaux instables.
« Le médecin a dit qu’après la naissance du patient, il y a eu un cri. Lorsque le cordon ombilical a été coupé pour les soins au nouveau-né, le personnel infirmier a constaté que le patient présentait des symptômes de saignement buccal et nasal, et a immédiatement demandé au pédiatre de l’intuber et de lui donner de l’oxygène, et il a été admis à l’USIN [Unité de soins intensifs néonataux] », selon le rapport reçu le 18 novembre par le VAERS d’une agence de santé étrangère non identifiée. « À l’USIN, son résultat d’examen a montré une coagulation sanguine anormale, une hémorragie pulmonaire [saignement aigu des poumons] et un dysfonctionnement cardiaque ».
Selon le rapport du VAERS (n° 1879991), ce décès est survenu à la suite d’une « exposition transplacentaire » au vaccin ARNm ; on ne sait pas si une autopsie a été pratiquée et aucune cause du décès n’a été précisée, mais le père du nourrisson soupçonne qu’il est lié au vaccin.
Le décès du nourrisson est l’un des 52 décès signalés parmi les 30 550 événements indésirables enregistrés par le VAERS pour les enfants de moins de 17 ans au 3 décembre 2021.
Lire la suiteMgr Viganò met en garde les évêques américains contre les vaccins du covid
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Jacques T. (Le Forum Catholique)
Traduction d’une nouvelle intervention de Mgr Viganò, concernant les dangers de la vaccination anti-Covid, ayant été publiée par LifeSiteNews :
Mgr Viganò met en garde les évêques américains contre le vaccin du Covid : la grande réinitialisation veut « des milliards de personnes souffrant de maladies chroniques »
Le silence de tant de cardinaux et d’évêques, ainsi que la promotion inconcevable de la campagne de vaccination par le Saint-Siège, représentent une forme de complicité sans précédent qui ne peut plus durer.
26/10/2021
Note de la rédaction : Mgr Carlo Maria Viganò a décidé de rendre publique une lettre du 23 octobre envoyée au Cardinal Luis F. Ladaria SJ, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Mgr José Gómez, Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, ainsi qu’à tous les évêques des États-Unis d’Amérique.
*
Éminences,
Excellences,
J’adresse à vous, Mgr Gómez, en tant que Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, et à vous, Cardinaux Ladaria et Müller, pour votre compétence, quelques considérations sérieuses liées aux soi-disant vaccins contre le Covid-19.
Je pense que certains aspects de la question permettent désormais une évaluation plus complète de ce que sont ces médicaments et de leurs effets ; cette évaluation doit conduire à une position collégiale, conforme au Magistère de l’Église et non influencée par des informations biaisées ou par des informations erronées diffusées par les producteurs de ces drogues ou par les médias.
Lire la suiteUne religieuse courageuse met en garde contre le vaccin covid, citant de nombreux décès et blessures graves
Mère Marilla.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, 2 juin 2021 (LifeSiteNews) — La fin de semaine dernière, à Londres, au Royaume-Uni, les manifestants contre le confinement ont été accueillis par des religieuses catholiques du couvent historique de Tyburn, dont l’une a révélé qu’on lui avait demandé de prier pour « 50 personnes qui sont mortes » à la suite de la réception des vaccins expérimentaux contre le COVID-19. La courageuse religieuse a par la suite accordé une puissante entrevue par courriel à LifeSiteNews, fournissant des détails choquants sur les incidents qui avaient été confiés aux prières du couvent, exhortant les gens à garder espoir et à renforcer leur vie de prière face à ce qui est finalement une « bataille entre le bien et le mal ».
À Londres, les manifestants de la marche Unite for Freedom [S’unir pour la liberté], qui protestaient contre les restrictions liées au coronavirus et les passeports vaccinaux, ont été accueillis par un groupe de religieuses en liesse alors qu’ils passaient devant Marble Arch.
L’une des sœurs, Mère Marilla, la mère générale s’est adressée aux manifestants, les encourageant alors qu’ils défilaient dans les rues de la capitale.
« Vous avez été créés à l’image et à la ressemblance de Dieu. Vous êtes nés libres », a-t-elle déclaré. « Ne les laissez pas vous priver de vos libertés. »
Elle a également mis en garde contre les injections expérimentales tant vantées contre le coronavirus. « Protégez les enfants, et ne les laissez en aucun cas avoir ce vaccin, il tue des gens », a-t-elle déclaré.
« Depuis janvier, on m’a demandé de prier pour 50 personnes qui sont mortes. Je suis religieuse depuis 28 ans, et pendant toute ma vie, on ne m’a jamais demandé de prier pour quelqu’un qui est mort, ou même, qui a été blessé par un vaccin. [En fait, cela est arrivé,] une seule fois, en 2015, pour une jeune fille, mais depuis janvier de cette année, 2021, 50 personnes pour lesquelles on nous a demandé de prier sont mortes à cause du vaccin. »
Son avertissement n’est pas sans données à l’appui. Aux États-Unis, les données montrent qu’« entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables ont été signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), dont 4 406 décès — soit une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 effets secondaires graves, soit une augmentation de 3 009 depuis la semaine dernière ».
Lire la suiteDes milliers de rapports de problèmes reproductifs suite aux vaccins covid-19, dont des fausses couches et des mortinaissances
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Rawpixel.com/AdobeStock
La compagnie Pfizer, lors du lancement de son vaccin covid-19, avait émis des avertissements à son sujet comme quoi il était déconseillé pour les femmes enceintes. Plusieurs scientifiques, de leur côté, ont mis en garde les gouvernements et les populations contre les possibles effets secondaires graves de ces vaccins, dont la stérilisation pouvant résulter des particularités de la protéine de la spicule (spike) du covid-19 qu’on cherche à faire produire par le corps avec les vaccins à ARNm ou à injecter avec les vaccins plus « classiques ». Maintenant on dénombre des chiffres troublants de problèmes procréatifs suite à l’injection du vaccin de Pfizer ou d’AstraZeneca en Grande-Bretagne, principalement chez les femmes, mais aussi chez les hommes. Selon LifeSiteNews :
Des milliers de femmes dans le monde signalent des cycles menstruels perturbés après avoir s’être fait injecter un des vaccins covid-19.
Le système gouvernemental britannique de notification des effets indésirables des vaccins a recueilli plus de 2 200 rapports de troubles procréatifs après avoir reçu une injection de vaccin coronavirus, notamment saignements menstruels excessifs ou absents, retards de menstruation, hémorragies vaginales, fausses couches et mortinaissances.
Au Royaume-Uni, le système de signalement des événements indésirables Yellow Card comprend 2 233 rapports de « troubles de la reproduction et du sein » après administration des vaccins AstraZeneca et Pfizer.
Le programme britannique Yellow Card fait état le 5 avril de 1 465 réactions concernant l’appareil reproducteur ainsi que de dix-neuf « avortements spontanés » (fausses couches), de cinq accouchements prématurés et de deux mortinaissances en rapport avec le vaccin AstraZeneca.
[…]
768 autres cas de « troubles de la reproduction et du sein » ont été signalés pour le vaccin coronavirus de Pfizer au Royaume-Uni, ainsi que quarante-deux « avortements spontanés », cinq accouchements prématurés et deux mortinaissances.